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Elisa

Chapitre 4

Lesbienne
Révélation
Quand nos bouches se séparent, elle me regarde.
— Je n’oublierais jamais ton visage quand tu as joui.— Pourquoi ?— Tu avais l’air si heureuse de ce qui t’arrivait, je t’ai souvent vue jouir, mais jamais tu n’as eu cette expression de bonheur absolu.— Tu regrettes d’avoir été avec moi ?— Pas du tout mon amour, pas du tout, simplement, je me demande comment tu as pu être si heureuse.— Pour le savoir, tu n’as qu’à faire l’amour avec un homme.— Tu dis ça pour te moquer de moi ?— Pas du tout ma chérie, simplement, c’est la seule manière de le savoir.— Oui, mais toi, tu l’as fait avec quelqu’un qui t’aime, même si ce n’est que de l’amour fraternel, c’est quelqu’un qui tient énormément à toi.— Oui, tu dois en trouver un.— On verra.
Nous sommes toujours enlacées, Phillipe se redresse, je me tourne vers lui.
— Ça va mon Philou ?— Très bien.— Tu as été heureux ?— Oui, très heureux, je ne savais pas que ça se passerait comme ça, mais j’ai adoré te voir jouir grâce à moi, c’est pour ça que j’ai joui.— Heureusement, je n’aurais pas accepté que tu restes sur ta faim.— Rassure-toi chérie, je n’ai plus faim.
Il se penche sur moi pour m’embrasser, il embrasse Virginie et s’en va, nous restons seules enlacées et heureuses.
— Il est très beau.— Tu regardes les hommes maintenant ?— Je les ai toujours regardés, simplement, voir un bel homme ne m’émeut pas comme voir une belle femme.— Oui, mais tu l’as trouvé beau.— Je dois dire que Phillipe me trouble un peu, je le trouve très gentil avec moi, bien qu’il sache que je suis lesbienne, il est prévenant, attentionné, d’une humeur égale, jamais un mot plus haut que l’autre, c’est un homme que j’apprécie beaucoup, et je peux te dire que c’est très rare.
En moi-même, je me dis que tout n’est peut-être pas perdu pour mon Philou chéri. J’avoue que j’adorerais avoir Virginie comme belle-sœur, elle se partagerait entre nous deux, car il n’est plus question que ce qui s’est passé aujourd’hui se reproduise, ça restera un souvenir toute ma vie, un merveilleux souvenir. Je sens Virginie très calme dans mes bras, en fait, elle s’est endormie, je réussis à éteindre la lumière sans la réveiller et me laisse aller dans les bras de Morphée.
Le lendemain, je me réveille sous les baisers de Virginie, je ne sens qu’une légère gêne dans mon sexe, ça va déjà beaucoup mieux. Quand elle voit que je suis réveillée, elle se glisse entre mes jambes pour me faire la traditionnelle minette du matin. Je jouis très vite, elle s’allonge et je lui rends la politesse. Nous nous levons, et après une rapide douche, nous descendons déjeuner. D’un commun accord, nous avons décidé que Virginie prendrait tous ses repas chez nous quand elle est là, ça évite d’utiliser la plaque de sa cuisine qui n’inspire pas trop confiance à papa. Elle a juste mis en route le petit réfrigérateur pour avoir des boissons fraîches.
Nous décidons d’aller nous balader dans la ville pour qu’elle connaisse un peu la ville. Après les traditionnelles places du Capitole, Wilson, St Georges et Esquirol, nous arrivons sur la Garonne. Virginie voit un espace vert sur l’autre rive et veut y aller. Nous traversons le Pont Neuf et arrivons sur la Prairie de Filtres, nous trouvons un banc face au fleuve, nous décidons de nous y reposer un peu. Nous sommes côte à côte, il n’y a pas beaucoup de monde, sa main gauche se pose sur ma cuisse droite, instinctivement, j’ouvre mes cuisses. Elle comprend le message et sa main remonte le long de ma cuisse pour arriver sur mon sexe déjà bien humide. Je pose ma main droite sur sa cuisse gauche et remonte, moi aussi, jusqu’à son sexe. Nos majeurs s’activent sur nos clitoris, nous regardons droit devant nous, lentement le plaisir monte jusqu’à ce que nous jouissions sur le banc. Je suis un peu dans les vapes, elle aussi, nous nous regardons.
— Je ne m’attendais pas à ça de ta part ma chère Elisa.
Je sursaute, c’est Sophie, une amie de toujours, qui est devant nous. Nous sommes toutes les deux les cuisses ouvertes avec la main de l’autre sur notre sexe, la situation est pour le moins inconfortable. C’est Virginie qui réagit la première, elle retire sa main, la porte à sa bouche et suce son doigt.
— Les Anglais prennent le thé à dix-sept heures, nous, c’est une petite branlette suivie d’une sucette.
Sophie éclate de rire et vient me faire deux bises, elle se retourne vers Virginie pour l’embrasser aussi, mais Virginie bouge au dernier moment pour que leurs lèvres se touchent une seconde.
— Il te plaît le goût d’Elisa.
Sophie la regarde avec un air de défi, nous sommes toujours les cuisses ouvertes, nous n’avons pas eu le réflexe de les fermer, elle tend sa main vers elle, se penche et plonge son majeur dans son sexe. Elle le porte à sa bouche et le suce. Elle me regarde et me fait la même chose.
— Je ne sais pas lequel je préfère, il faudrait approfondir.
Elle reste devant nous, elle est en minijupe plissée mi-cuisses, elle passe ses mains dessous et fait descendre son slip le long de ses jambes, il a une tâche au niveau du sexe, sa fontaine à cyprine a fonctionné un peu. Je regarde autour de nous, il n’y a pas grand monde, mais ce n’est quand même pas le désert. Elle s’approche de Virginie, s’immobilise devant elle en écartant les jambes.
— Tu veux goûter ?
Virginie met son majeur en pointe, soulève un peu sa jupe pour dévoiler un pubis bien lisse, mais avec un petit triangle blanc arrivant juste en haut de son sexe, et lui enfonce complètement le doigt dans le vagin. Elle le ressort pour le porter à ses lèvres et sucer ses phalanges avec gourmandise.
— Délicieux.
Sophie vient devant moi et me regarde en soulevant sa jupe. Je fais comme Virginie et enfonce mon doigt dans son antre dégoulinant de cyprine, elle est au paroxysme de l’excitation. Je suce mon doigt.
— Délicieux.
Virginie s’écarte de moi et fait signe à Sophie de s’assoir entre nous. Elle est à peine assise que deux mains se posent sur ses cuisses et remonte jusqu’à sa chatte. Nous lui titillons le clitoris à tour de rôle, elle penche sa tête en arrière et ferme les yeux. Elle ne met pas longtemps à jouir, les cuisses grandes ouvertes, tendue comme un arc sur le banc.
— Oui les filles, oui, oh que c’est bon, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ah oui.
Elle se détend doucement, nous la caressons, j’en profite pour passer une main sous son tee-shirt et lui caresser ses seins.
— Oui mes chéries, oui, j’aime vos mains sur mon corps.
Je lui caresse les seins pendant que Virginie s’occupe de son sexe, elle jouit une seconde fois. Quand je le sens se détendre de nouveau, je la libère ainsi que Virginie. Elle nous regarde avec un grand sourire, elle se tourne vers moi.
— Je ne savais pas que tu aimais les filles, on se connaît depuis des lustres et je ne m’en étais pas rendu compte.— C’est tout bonnement parce que je n’aimais pas les filles avant cet été, c’est Virginie qui m’a fait découvrir mon penchant pour les femmes.— Tu es lesbienne ?— Non, je viens d’ailleurs de me faire dépuceler, c’était un cadeau de Virginie.— Et qui t’a dépucelée, je le connais ?— Oui, Phillipe.— Ton frère !!!!— Oui, et il s’est aussi dépucelé en même temps, j’étais sa première femme, on a fait ça ensemble.— Décidément, vous êtes une famille spéciale, d’abord, tout le monde est tout le temps à poil chez vous, maintenant l’amour entre vous, avoue que c’est très spécial.— Mais, ce qui s’est passé hier ne se reproduira plus, je ne veux plus avoir de rapports sexuels avec mon frère, c’est arrivé comme ça, mais ça restera unique.— OK.— Mais toi, tu n’aimes que les femmes ?— Et les hommes, je suis bi, je tire autant de plaisir des uns que des autres, bien que j’aie quand même une petite préférence pour les femmes.— Moi aussi, j’aime les femmes, mais j’ai joui comme jamais avec Phillipe, j’aime avoir un beau sexe de mâle dans la chatte.
Sophie se tourne vers Virginie, elle se penche sur elle, leurs lèvres se soudent un moment. Je vois la main de Virginie sur la fesse de Sophie, elle lui a remonté le tissu pour avoir accès à sa peau nue. Nous décidons de rentrer, Sophie nous quitte, sans avoir remis son slip qui est resté sur le banc, mais elle doit venir nous voir demain à quatorze heures. Une fois chez elle, Virginie se déshabille, je l’imite. Nous nous allongeons sur son lit.
— Tu connais Sophie depuis longtemps.— Oh oui, nous nous sommes connues à la maternelle, nous avons fait notre primaire ensemble, mais au moment du collège, son père a été muté dans une autre ville, à Bordeaux, nous ne nous sommes retrouvées que l’année dernière en première au lycée Pierre de Fermat quand il est revenu travailler à Toulouse. Nous sommes très amies, mais pas intimes, je ne savais pas qu’elle aimait les filles par exemple. Elle n’est pas naturiste, elle n’aime pas trop venir chez moi, elle n’ose pas te déshabiller, tu as vu, elle a une trace de maillot de bain sur le pubis.— Qui est très mignon.— Je pense que tu aimerais bien l’explorer.— Oui, tu le sais, moi, je n’aime que les femmes.
Evidemment, nous faisons l’amour avant de descendre dîner. Papa n’est pas là, il est en déplacement et Phillipe est parti dans les Pyrénées avec des copains jusqu’à dimanche. Nous décidons de boire un petit apéritif, nous nous installons autour de la table basse, je suis à côté de Virginie, maman est en face de nous. Je vois que Virginie regarde maman avec un air d’envie, il faut dire qu’à trente-six ans, elle est encore splendide avec son corps svelte, mince, ses beaux seins ronds et encore hauts et surtout son cul d’enfer. Elle a des fesses rondes et bien hautes qui attirent la main. Maman se lève pour aller chercher un peu plus de glace, j’en profite.
— Elle te plaît maman hein ?— Oui, beaucoup, elle est magnifique, si jolie et tellement attirante, j’ai du mal à croire que c’est ta mère, elle parait si jeune, quel âge a-t-elle.— Elle va avoir trente-six ans le quatre octobre, elle nous a eus trois mois avant ses dix-huit ans, quand je pense que moi, j’étais encore vierge le jour de mes dix-huit ans.— Oui, mais c’est fini.— Tu aimerais bien passer un moment avec elle pour t’occuper de son magnifique corps n’est-ce pas ?— Oui, mais c’est ta mère, je ne peux pas.— Pourquoi ?— Je ne sais pas, j’ai l’impression que c’est interdit.— Comme de faire l’amour avec son frère, ça ne t’a pas gêné d’y participer.— Tu as raison, mais je ne sais pas, on verra.— Tu as envie de faire l’amour avec ma mère oui ou non ?— Oui, et même une envie folle.— OK.
Maman revient, nous discutons encore et encore. Le temps passe, nous réalisons qu’il est vingt et une heures, nous nous mettons à table. Nous discutons de la matinée de visite de Toulouse demain, nous devrions le faire avec maman qui connaît bien l’histoire de la ville. Nous débarrassons la table, arrivée à la cuisine, je me tourne vers maman.
— Tu as vu Agathe dernièrement ?— Non, elle n’est pas entrée de vacances, ils sont encore à Marrakech chez les parents de Lionel, ils devraient rentrer dimanche.— Les parents de Lionel habitent là-bas ?— Oui, Lionel est né à Marrakech, ses parents n’ont pas quitté le Maroc, ils ne pourraient pas vivre ailleurs.— Elle ne te manque pas un peu ?— Oui, beaucoup, j’ai envie d’elle, je sais, c’est bizarre, mais je sais que vous me comprenez toutes les deux.— C’est quoi qui te manque ?— Sa peau, passer ma main sur sa peau, son corps.— Tu as envie de caresser un corps de femme, et qu’une main de femme parcourt ton corps c’est ça ?— Oui c’est ça, mais où veux-tu en venir ?
Je regarde maman, je regarde Virginie, elles se regardent. Le regard que porte Virginie sur maman est sans ambiguïté, elle a envie d’elle. Je vois le regard de maman sur Virginie changer, elles restent les yeux dans les yeux sans pouvoir détourner leurs regards.
— Tu comprends maintenant maman chérie.
Nous avons fini de débarrasser la table, Virginie a posé une main sur la banque de la cuisine, maman avance sa main pour la poser sur celle de Virginie. Elle s’en saisit, et l’entraîne vers le divan. Elle veut la faire allonger, mais Virginie l’en empêche.
— Non, pas moi.
Elle fait allonger maman sur le divan, s’agenouille à côté et commence à couvrir son corps de baisers. Maman se laisse faire, elle me regarde comme pour me demander mon approbation, je lui souris, elle comprend et me sourit. Les mains de Virginie ne restent pas inactives, elles se promènent elles aussi sur ce magnifique corps, faisant des stations sur son pubis, ses seins, son ventre. Je viens m’installer dans un fauteuil en face d’elles. Maman bouge sur le divan, son bassin ondule, ses cuisses s’ouvrent un peu, au bout d’un bon quart d’heure, Virginie se penche sur elle et la fait mettre sur le ventre. Elle lui caresse le dos, les fesses, les jambes, elle pose ses lèvres sur ses fesses, remonte sur la chute de rein, je vois maman réagir, serait-ce une zone particulièrement érogène ?
Un autre quart d’heure plus tard, elle la fait mettre sur le dos. Elle lui titille les tétons avec sa langue, descend sur le nombril pour arriver sur son pubis. Maman se tend, elle offre son corps à sa dominatrice, mais celle-ci veut faire durer le plaisir. Virginie se positionne entre ses jambes grandes ouvertes, elle lui indique la suite. Elle pose ses lèvres sur le haut du sexe de maman.
— Oh oui, oui.
Elle continue de l’exciter sans aller jusqu’au bout, je sais ce que doit ressentir maman, elle me fait la même chose. Mon sexe est ruisselant, cette scène m’excite au plus haut point. Je pose deux doigts sur mes lèvres pour en extraire la cyprine, et les porte à ma bouche, je me délecte de mon jus d’amour devant ma mère qui va jouir sous la langue de mon amante. Mais j’en veux plus, mon doigt commence à tourner sur mon clitoris. Maman se cabre de plus en plus, maintenant Virginie a sa bouche sur la vulve de maman, je vois sa tête bouger, maman est en attente, ses fesses commencent à décoller du divan.
— Oui ma chérie, oui, ça va être dantesque.
Soudain, je vois maman être secouée de spasmes, elle se cabre en soulevant la tête de Virginie, elle referme ses jambes sur son dos.
— Oh oui, oui, ta langue, ta langue, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ah oui, oui.
Maman jouit les yeux ouverts, dans ma direction, son regard est flou, je n’arrive pas à y distinguer autre chose que du bonheur, d’autant que moi aussi je jouis en voyant maman jouir. Son visage est resplendissant, elle est magnifique. Lentement, elle revient à elle, Virginie reste sur son sexe, je vois qu’elle la lèche, elle doit s’abreuver de sa cyprine. Au bout de plusieurs minutes, maman me regarde.
— Tu avais raison, j’étais en manque. — Tu étais si belle, maman.
Virginie se relève, elle aide maman à se relever aussi, elles s’assoient sur le divan. Maman la regarde.
— Ça a été merveilleux, tu es une diablesse du vagin ma petite Virginie, mais je n’ai pas pu faire quoi que ce soit, je suis un peu frustrée.— Tu n’as qu’à lui rendre la politesse, mais pas ici, dans ta chambre.— Et toi ma chérie ?— Moi, je suis fatiguée, je vais aller dans ma chambre, j’espère que je vais la reconnaitre depuis le temps.
Virginie vient s’assoir sur un bras du fauteuil.
— Tu veux que je passe la nuit avec Laurence ?— Oui mon amour, je sais que tu en crèves d’envie et je vois que maman aussi, tu sais très bien que tu es libre, je sais que tu m’aimes, c’est le principal, vas-y.
Elle se penche sur moi, nous échangeons un long baiser, quand elle se redresse, je vois que ses yeux brillent.
— Tu ne vas pas pleurer quand même ?— Non, mais c’est trop d’émotion pour moi. Je ne m’attendais pas à un amour pareil de ta part, je t’aime chérie, je t’aime.
Elle se lève, maman vient vers moi. Pour la première fois de ma vie, elle pose ses lèvres sur les miennes juste une seconde.
— Merci ma chérie, merci.
Elles vont vers la chambre de maman, je vais prendre une douche et je me couche. Dans mon lit, seule, je me masturbe et revoyant le merveilleux visage de maman qui jouit. Je pense à Virginie et maman, mais il est hors de question qu’il se passe quelque chose avec maman ou papa, ce qui s’est passé avec Phillipe est exceptionnel et le restera. Je m’endors assez vite.
Le lendemain, je me lève tôt, je saute dans mes fringues pour aller chercher du pain frais et des croissants. A mon retour, je prépare le petit-déjeuner, maman et Virginie arrivent un quart d’heure plus tard, tout est prêt. Elles ont l’air un peu fatiguées.
— La nuit a été dure ?— Oui ma chérie, Virginie est une amante infatigable, elle m’a tuée, mais je suis prête à mourir encore plusieurs fois entre ses bras, c’est une amante merveilleuse, tu as de la chance.— Mais, je ne suis pas exclusive, Virginie fait ce qu’elle veut, je sais que vous vous retrouverez d’autres fois.— Et toi, tu as bien dormi ?— Moi, je me suis masturbée en pensant à vous, c’était divin.— Bon, passons au petit-déjeuner.
Virginie vient m’embrasser, son baiser est d’une grande tendresse, je lui rends avec passion. Nous déjeunons rapidement, maman veut nous en faire voir le maximum en une matinée, Sophie doit venir à quatorze heures. La visite du centre de Toulouse se passe bien, St Sernin qui grouille de monde avec son marché aux puces, les jacobins avec son palmier et son cloitre, désert le samedi matin, juste à côté de mon ancien lycée, nous finissons par le marché Victor Hugo à côté de chez nous pour faire les dernières courses du week-end, entre autres du foie gras que Virginie ne connaît pas. Nous déjeunons tranquillement et montons vers treize heures trente dans le studio. Nous nous allongeons sur le lit, nos mains caressent le corps de l’autre, mais pas pour exciter son partenaire, simplement pour sentir sa peau glisser sous la main. Une minute avant quatorze heures, la sonnette retentit.
Virginie se lève pour aller ouvrir, Sophie n’est pas du tout étonnée de la voir ouvrir nue, elle entre, me voit sur le lit et, sans un mot, enlève ses fringues. Je remarque que cette fois, il n’a pas de slip. Elle apparaît, très belle, beaux seins, mais quelle fille de dix-huit ans n’a pas de beaux seins, pubis rebondi bien lisse et superbes fesses. Ses seins et son pubis ont un petit triangle blanc, je présume que son maillot de bain ne devait pas excéder les vingt centimètres carrés au total, tellement les triangles sont petits. Je découvre pour la première fois ce magnifique corps nu.
— Tu es magnifique ma chérie.— Merci, mais je peux te retourner le compliment, ainsi qu’à Virginie.— Je vois que tu as laissé tomber la culotte.— Oui, j’ai bien aimé quand je suis rentrée hier sans l’avoir remise, au fait, elle est où ?— Sur le banc, elle a dû faire le bonheur d’un fétichiste, surtout qu’elle était un peu souillée.— Un peu beaucoup, je l’ai senti, une merveille.— Assez de balivernes, on n’est pas ici pour discuter de culotte odorante sur un banc.
Elle prend Sophie par les épaules et la pousse pour la faire s’allonger sur le dos. Immédiatement, je lui saute dessus en même temps que Virginie. Nos mains et nos langues batifolent sur ce magnifique corps qui n’arrête pas de se contorsionner dans tous les sens.
— Oh oui, oui, oh mes chéries, oui.
Nous restons sur elle pendant plus d’un quart d’heure, elle est devenue à moitié folle d’impatience, elle bouge dans tous les sens, elle réussit à me bloquer la tête sur son sexe avec ses jambes. J’ai ce superbe sexe ruisselant de cyprine sous mes lèvres. Je m’abreuve à sa source, mais elle en veut plus, elle pose ses mains sur ma tête, malgré ma résistance, je suis obligée d’aller sur son clitoris. Je le pince avec mes dents, l’aspire avec mes lèvres, le titille avec ma langue. En levant les yeux, je vois qu’elles échangent un baiser. Le bassin de Sophie se lève, elle se crispe, me serre de plus en plus fort avec ses jambes.
— AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH, oui, oui, oh mes chéries, je suis folle, je vais mourir, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Elle jouit tendue comme un arc, son corps n’est qu’une succession de coups de reins, tremblement, sursaut. J’ai du mal à rester sur son sexe malgré ses jambes qui m’emprisonnent. Lentement, elle se calme, je n’arrête pas de lécher ses lèvres, je ne me lasse pas de son jus d’amour. Son corps est maintenant complètement détendu sur le lit, nous sommes allongées à côté d’elle, nos mains glissent sur son corps en nage. Je passe de ses seins à son sexe lentement, en essayant d’être la plus légère possible, Virginie fait la même chose. Mais elle est très réceptive, son corps commence à bouger de nouveau. Elle n’a toujours pas ouvert les yeux, concentrée sur son plaisir qui remonte lentement. Cette fois, sans nous être concertées, nous nous contentons de la caresser. Au bout de dix bonnes minutes, son corps bouge comme une liane, il se tortille avec grâce, mais tendu vers un plaisir qui tarde à arriver.
Je pose mes lèvres sur son sein gauche et remonte sur son cou, son menton pour arriver sur sa bouche. Elle l’ouvre et nous échangeons notre premier baiser. Elle m’enlace, je la sens se raidir, Virginie est sur son sexe, elle explose une nouvelle fois.
— MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM.
Notre baiser continue, elle me plaque contre elle, je peux à peine respirer. Quand elle revient sur terre, elle me libère, me regarde avec une grande tendresse.
— Tu sais que je rêve de ce moment depuis que nous nous sommes retrouvées en première.— Et pourquoi tu ne m’en as pas parlé ?— Parce que tu étais obnubilé par ton pucelage, tu ne pensais qu’à le perdre et je n’étais pas équipé pour te satisfaire.— Eh bien, maintenant les choses sont claires, tu pourras te rattraper.— Et moi, tu m’oublies ?— Non ma chérie, toi aussi, et plutôt deux fois qu’une.
Nous passons une bonne partie de l’après-midi à faire l’amour, nous ne descendons que vers dix-sept heures pour prendre le thé avec maman. Sophie descend avec nous nue, c’est une première. Je vois que depuis hier, maman regarde mes copines avec un autre regard, je sais qu’elle sait ce qu’on a fait dans le studio, mais elle s’en fout, pourvu que je sois heureuse. Sophie a dû se rendre compte du regard de maman sur elle, elle ne cesse de la regarder, je sais reconnaitre un regard de désir, et c’est le cas. Je présume qu’elle finira elle aussi dans le lit de maman qui décidément m’étonne de plus en plus. Sophie veut se laver les mains, maman intervient.
— Suis-moi, je vais te montrer la salle de bain.
Elle la suit, Virginie me regarde, je la regarde, elle me sourit.
— Je crois qu’on a le temps de s’amuser un peu, à mon sens, elles ne sont pas près de revenir.— Tu as raison.
Elle se jette sur moi, nous nous embrassons, nos mains se promènent sur le corps de l’aimée. Nous finissons sur le divan têtes bêches. Nous jouissons assez vite, juste au moment où maman et Sophie reviennent.
— Et bien les filles on ne peut pas vous laisser seules une seconde.— Tu as de très longues secondes, je trouve que vous avez mis bien du temps pour vous laver les mains.— Mais qui te dit qu’on ne s’est que lavé les mains ?
Je suis toujours sur Virginie qui, apparemment, ne veut pas que je m’en aille. Elle colle sa bouche sur ma vulve, je réagis, Sophie vient vers nous et commence à me caresser les fesses. Je ne peux résister longtemps, mon corps se tend dans un superbe orgasme, je vois maman qui me regarde avec amour, elle a porté sa main sur son sexe. Je la regarde, elle me regarde et jouit devant moi, debout, les yeux dans le vague. Lentement, je reviens sur terre, maman s’est assise sur un fauteuil, je me redresse et libère Virginie. Nous nous asseyons côte à côte toutes les trois sur le divan. Maman nous regarde.
— Bon, maintenant les filles plus de chichis, vous savez que je suis très gourmande de vos superbes corps, je suis à vous quand vous voulez, évidemment si je suis libre. Il est évident que mon mari est prioritaire.
Les filles se lèvent, elles prennent maman dans leurs bras et la font lever pour l’emmener dans sa chambre. J’hésite un instant, mais décide de les rejoindre. Elles ont allongé maman sur son lit, Virginie est sur ses seins, Sophie sur son ventre, je vois maman se tordre de plaisir sous leurs caresses. Elle a fermé les yeux, elle se laisse emporter dans son trip avec ses deux filles qui n’ont qu’une idée en tête, la faire jouir comme jamais elle n’a joui. Maman émet des sons, des soupirs, des petits cris, je la trouve merveilleusement belle, elle est tendue vers son plaisir. Les filles font tout pour l’amener au nirvana. Au bout de plusieurs minutes, maman se cabre, son corps est arc-bouté, seuls ses pieds et ses épaules touchent le lit. Elle divague, sort des onomatopées complètement incompréhensibles, elle secoue sa tête de droite à gauche, elle ouvre sa bouche comme pour pouvoir respirer plus fort, elle crie son bonheur.
— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH, oh mes chéries, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
’un seul coup, elle se tait, son corps s’écroule sur le lit. Elle semble inerte, je me précipite juste au moment où je la vois ouvrir les yeux. Son visage exprime la sérénité absolue. Je me jette sur elle pour couvrir son visage de baisers.
— Que t’est-il arrivé maman chérie.— Je crois que je suis tombée dans les pommes de plaisir, jamais je n’ai joui comme ça, jamais mon corps ne m’a échappé de la sorte, vous êtes les déesses de l’amour les filles.— Amour saphique Laurence, juste amour saphique.— Et je dois dire que l’amour saphique prend de plus en plus de place chez moi. on les filles, il faut redevenir sérieuses.
Nous retournons au salon, Sophie nous quitte vers vingt heures. La soirée est cool, tout le monde a eu sa dose de plaisir. Nous allons nous coucher vers vingt-deux heures. Après un orgasme chacune, nous nous endormons, enlacées.
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