Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 9 J'aime
  • 1 Commentaire

Elisa ... et moi

Chapitre 1

Hétéro
Elisa et moi habitions ensemble depuis 1 an, et nous avions une relation de couple bien établie et bien définie. Nous nous comprenions souvent d’un geste, d’un regard, sans parler, nous vivions naturellement ensemble sans avoir à établir de règle. Les choses allaient de soit.
Nos relations sexuelles, par exemple, se passaient dans la douceur. Quand nous étions d’humeur nous le faisons comprendre à l’autre, notamment au dîner. Elle lançait des regards gourmands, me caressait la main, m’effleurait la jambe de son pied déchaussé, ce que je lui rendais de mon côté par des petites caresses sur les joues ou des baisers volés en passant pour amener les plats ou remplir la carafe. Elle avait aussi cette charmante habitude de défaire un bouton de son chemisier, laissant entrevoir le haut de ses seins, et ce petit interstice qui nous fait tant rêver, qu’on suis plusieurs fois tout du long et qui nous laisse imaginer un univers de volupté à sa fin.Puis c’était la vaisselle, nos caresses devenaient plus pressantes, plus fréquentes, des bisous dans le coup. J’adorais passer derrière elle lorsqu’elle avait les mains occupées, relever ses cheveux en arrière tout en sentant leur parfum enivrant, et lui glisser un petit bisous qui la faisait frémir. Puis une fois les mains sèches, nos petits jeux changeaient de registre.
Ce soir là avait commencé de cette façon, ma main massant ses fesses, la sienne tâtant ma poitrine, nous nous dirigions vers le canapé sur lequel elle m’étendis. Nos bouches l’une sur l’autre, elle commençait à défaire ma chemise alors que m’attaquais à sa ceinture, puis moi torse nu et elle sans pantalon nous inversions les rôles pour nous retrouver dans la chambre nus l’un comme l’autre. Nous nous arrêtâmes un instant dans notre route, serrés l’un contre l’autre, les yeux dans les yeux. Ses mains au bas de mon dos me provoquaient des frisons tout le long du corps, alors que je caressais ses longs cheveux raides ainsi que son épaule. La douceur de cette peau me donnait envie de pouvoir la toucher toute entière, que mes mains ne lui laissent par un centimètre carré de libre. La brise légère de son souffle chaud me caressait le bas du cou et s’évaporait sur ma nuque.En lui passant le bras derrière les épaules, je l’allongeais sur le lit doucement, lui évitant tout effort, puis je passais mes jambes autour des siennes, et m’étendais sur elle pour l’embrasser langoureusement. Je laissais aller ma bouche à son menton, puis sur sa pomme d’Adam pour sa poitrine où je sentais son coeur battre. Je m’arrêtais un instant posant l’oreille pour écouter son coeur pomper toute cette excitation dans son corps, puis je lançais ma bouche à l’escalade de son sein, laissant ma langue aller au manège de son téton. Je le sentais pointer, bien dur et bien plein de sensualité. Je le mordillais à plusieurs reprises. Elisa émit quelques léger gémissements, dont le bruit me caressa les oreilles délicatement. Je repris ma descente jusqu’à son ventre que je sentais se creuser au rythme de sa respiration, et j’arrivais finalement à sa hanche, puis en haut de sa cuisse. Je me laissais aller à lui lécher le haut de sa cuisse, sentant contre ma joue son sexe chaud, doux et humide qui m’appelait. Ma langue prit le chemin de sa lèvre, et je savourais ce baiser goûtu. Ses jambes s’écartèrent un peu plus, et je sentis son corps se raidir. Je commençais alors lentement à lécher sa vulve toute humide de notre soirée sensuelle, et je sentis sa main dans mes cheveux, caressante mais aussi pressante, m’invitant à intensifier les caresses de ma langue sur son sexe. Son souffle se fit alors plus fort, plus bruyant, et je sentais ma main sur son ventre aller de haut en bas au rythme de ses petits gémissements. Elle m’écrasa alors le visage entre ses jambes, me poussant à goûter totalement sa féminité, et c’est alors que je l’entendis jouir de ses petits cris traînants alors que son vin doux s’écoulait dans ma bouche.Je l’écoutais reprendre son souffle quelques secondes, avant que sa main ne m’invita à remonter l’embrasser. Nos lèvres entremêlées, elle saisit mon sexe tout dur pour le frotter sur le sien, puis dans un roulé-boulé dont elle avait le secret, se retrouva à califourchon sur moi, frottant sa verge encore dégoulinante sur la mienne. Ses cheveux me caressaient le torse et me chatouillaient les côtes. Je la sentis s’empaler sur moi, je poussais à mon tour un léger gémissement alors que mon gland franchissait cette porte sacrée. Doucement, elle commença son va et vient langoureux, ses seins se balançant au dessus de moi. Je réussis à en garder un dans ma bouche pendant quelques balancements, puis elle accéléra son rythme, se redressa. Je sentais cette vague monter en moi, je voyais sa poitrine agitée de spasmes derrière le rideau de ses cheveux. Je me sentis alors déborder, mon plaisir l’envahissait, elle continua sa chevauchée encore quelques instants, les yeux fixés sur mon visage, sa main me caressant les testicules. Puis elle sorti mon sexe de son fourreau pour s’allonger à mon côté.
Elle était toujours surprise de ce plaisir masculin qui passait comme une rafale, qui vous emporte un instant puis vous laisse retomber l’instant d’après.— Ce n’est pas frustrant cette jouissance éphémère? me dit-elle.— Les hommes sont comme ça, lui répondis-je.— Moi je peux jouir, rejouir, et j’y reste un moment. Je ne pourrai pas supporter!— Tu sais, nous n’avons pas le choix. Je ne serais pas contre la jouissance qui dure, mais je ne suis pas équipé pour, lui dis-je en lui posant la main sur mon sexe tout dégonflé.Elle rit de ma réponse, et de mon sexe qui n’avait plus rien à voir avec le vaillant instrument qu’il était quelques minutes plus tôt.

Notre vie sexuelle était épanouie, et nous n’hésitions pas de temps à autre à ajouter des positions et des pratiques originales à nos ébats. C’est d’ailleurs ce que fit Elisa quelques semaines plus tard. Elle avait arrêté en chemin nos baisers et caresses rituels.— Je voudrai essayer un petit quelque chose de nouveau.— Très bien, montre moi, je te suis.— C’est un peu plus compliqué que ça, il faut que je le prépare, déshabille toi, et attends moi sur le lit.Je m’exécutais avec une certaine excitation, et je la vis revenir avec ce qui me sembla être une poire à lavements.— Euh ... c’est ça ton truc?— Non! Il faut justement que le "truc" en question arrive dans un endroit propre.Nous n’avions jamais exploré le plaisir anal. Nous n’avions tout simplement pas eu l’idée jusque là. Elle me fit mettre à 4 pattes sur le lit, les jambes le plus écartées possibles de façon à avoir accès à mon anus. Après s’être mis un gant, qu’elle enduisit de lubrifiant, elle se mit à frotter un doigt sur mon anus, ce qui n’était pas désagréable. Je sentais malgré tout certains poils suivre le mouvement et me tirer un peu. Je me relaxais petit à petit, lorsqu’elle enfonça sans prévenir son doigt dans mon anus, ce qui me fit pousser un petit cri.— Préviens moi!— Ca n’a pas eu l’air de te déplaire tant que ça.— C’est vrai, mais préviens moi quand même.— D’accord, eh bien prépare toi alors.Elle enfonça alors l’embout de la poire dans mon anus, et se mit à appuyer sur le réservoir pour la vider de son contenu dans mon anus.Une fois l’opération réalisée, j’allais me vider aux toilettes. La sensation de liquide chaud s’échappant de mon anus était plutôt agréable, et je me sentais tout à coup propre, d’une manière différente à ce que j’avais pu ressentir jusque là. J’étais plutôt content de l’opération, et cela me mit de bonne humeur pour la suite.Une fois bien nettoyé, Elisa ramena dans la chambre un objet ressemblant très grossièrement à un T.— Tadaaa, s’écria-t-elle fièrement.— Et donc ce "machin" doit aller là où je pense alors.— Oui, tu as tout compris. C’est un masseur de prostate. Toi qui voulait connaître l’orgasme comme les femmes, ça devrait pouvoir s’en approcher, me répondit-elle en enduisant l’objet de lubrifiant. Pousse comme si tu était aux toilettes.Elle enfonça alors ce petit objet dans mon rectum. Je dois avouer que le contact avec le lubrifiant froid sur mon anus, et son entrée dans mon intimité furent plutôt désagréables.— Allonge toi maintenant, et mets-toi sur le côté.Je m’allongeais alors, et je sentis instantanément ce jouet dans mon anus me presser intérieurement. C’était désagréable, inconfortable, je n’étais plus vraiment à l’aise à cet instant.Une fois allongé, je le sentais encore, mais bien moins.— Détend toi, habitue toi à sa présence, tu ne le sentira bientôt plus.J’avais bien du mal à la croire, je sentais encore la gène occasionnée par passage trop étroit que ce "plug" avait emprunté.— Respire profondément, et sens le se déplacer à chaque respiration.Je le sentais effectivement bouger, glisser contre mes parois internes, et je n’aimais pas ça.Elisa s’allongea à côté de moi, nue elle aussi, me regardant dans les yeux, souriante. Pendant 10 minutes, je tâchais de me détendre, d’oublier mon anus bouché par ce petit bout de plastique, et finalement j’y arrivais. Je le sentais encore, mais il n’était plus gênant, il était tout simplement là, mon corps semblait l’avoir accepté.— Maintenant, tu va contracter ton anus lentement, et légèrement, puis tenir la contraction. Concentre toi sur les mouvements, et tes sensations, me dit-elle.Je démarrais une première contraction, et je le sentis avancer en moi, et l’un des deux morceaux du jouet, qui dépassait à l’extérieur de mon anus, m’appuyait désagréablement sur le périnée. Le glissement de l’objet était désagréable, mon corps n’était pas tant que ça habitué à lui.Après quelques contractions, la gène disparut. Malgré tout, je m’attendais à ressentir du plaisir, mais je ne trouvais rien. Contraction après contraction, je me concentrai pour sentir son frottement en moi, mon déceler la moindre étincelle de plaisir, Elisa me doucement le corps pour m’exciter, pour aider mon esprit à trouver le plaisir, mais rien n’y fit, pas de plaisir, pas d’orgasme.La séance se termina sur cette queue de poisson. Déçu, je fis comprendre à Elisa que je voulais d’elle, mais elle me répondit :— Si tu veux connaître l’orgasme, ton corps ne doit plus systématiquement associer le plaisir sexuel à ton pénis, nous ne pouvons pas faire l’amour maintenant. Tu sais, le plaisir demande des efforts, et quelques sacrifices.Elle me fit un petit clin d’oeil, m’embrassa, et clôt ainsi le débat.
Diffuse en direct !
Regarder son live