Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 227 J'aime
  • 14 Commentaires

Elisabeth s’éveille

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Elisabeth. J’ai eu 19 ans il y a quelques mois et cette nouvelle année de ma vie a notamment mis fin au couple que je formais avec Tom depuis 3 ans. Tom a été mon premier petit ami, celui avec lequel j’ai connu les premières soirées en amoureux, les bisous volés dans les couloirs du lycée, les premières déclarations adolescentes. Tom est aussi celui avec lequel j’ai perdu ma virginité à 18 ans. C’était « le bon » comme toutes mes copines et ma mère me disaient. Je n’ai jamais regretté mais, une fois le lycée terminé et au fur et à mesure des mois de ma première année de fac, je commençais à m’ennuyer. Je sortais de plus en plus entre filles et, surtout, je faisais des rencontres que j’avais envie de concrétiser. Le sexe avec Tom n’était plus suffisant... j’avais besoin de connaître d’autres partenaires, d’autres mains, d’autres langues, d’autres sexes...
Bref, ce nouveau mode de vie déplaît à mes parents et gêne ma sœur. Mon père, Ivan, a 45 ans. Lui et ma mère, Anne, forment un couple idéal. Mariés depuis vingt ans, amoureux, harmonieux. J’ai aussi une sœur, Emma. Elle a 18 ans et sa vie diffère de la mienne. Elle est très timide, presque renfermée sur elle-même. Plus le temps passe et moins nous avons de passions communes. Je pense qu’un jour elle se libérera de sa gêne, elle est suffisamment jolie et souriante pour cela.
J’ai toujours été le plus proche de mon père. Physiquement, je tiens de lui. Nous avons tous les deux les cheveux noirs, les yeux noisette et un corps élancé et musclé. Il mesure environ 1,90 mètre, est bien taillé sans être outrageusement body buildé. Depuis quelque temps, il porte une barbe plus fournie - je l’ai encouragé à adopter cette nouvelle mode. Il a la peau légèrement mate et un beau sourire. C’est mon papa et j’en suis terriblement fière. Même s’il ne cautionne pas mes nouvelles mœurs, il a toujours été d’accord avec ma séparation d’avec Tom - il est très sélectif quant à mes fréquentations, surtout masculines. Heureusement, mes multiples sorties n’ont rien changé à notre relation. Ce qui n’est pas le cas de ma mère. Mais je préfère ne pas y penser et je profite d’être toujours défendue bec et ongles par mon père. Je suis son aînée, sa première fille et je sais qu’il me voue un amour inconditionnel.
Cependant, son attitude a parfois tendance à me surprendre. Tout a commencé un soir, ou plutôt une nuit. Debout dans la cuisine, je mangeais quelques friandises trouvées dans les placards. Il était quatre heures du matin, je venais de rentrer de boîte de nuit, nous étions samedi - ou, plutôt, dimanche matin. Ivre et les oreilles bourdonnant à cause de la musique que j’avais écoutée toute la soirée et toute la nuit, je mangeais en fermant les yeux, ne prêtant aucune attention à ce qu’il pouvait se passer autour de moi. En faisant volte-face pour me rendre dans ma chambre, je remarquai que mon père était là. Surprise de le voir, car il n’avait fait aucun bruit et ne s’était pas manifesté, je fis un bond.
— Tu m’as fait peur, bredouillai-je. — Tu es ivre ? demanda-t-il, ses sourcils noirs froncés.
Il croisa les bras sur sa poitrine et je me surpris à regarder avec attention les muscles de ses avants-bras ressortir. Il semblait agacé.
— C’est la deuxième fois en deux jours, ajouta-t-il. — Désolée, ris je en mettant ma main devant ma bouche. C’est que j’ai retrouvé Alice et...— Tu devrais aller te toucher et boire beaucoup d’eau. Tu as de la chance que ta mère ne te voit pas comme ça.— Ça va, j’ai le droit de profiter de ma jeunesse, dis je en attrapant la bouteille d’eau.
Je l’ouvris et commençai à boire directement au goulot. D’un geste trop vif sans doute car je sentis couler le liquide le long de ma gorge. Les yeux toujours ouverts, je fixais mon père avec attention et insolence. C’est ainsi que je vis ses yeux noisette suivre la trajectoire des gouttes d’eau le long de mon cou pour s’insinuer et disparaître entre mes seins fièrement dressés et mis en valeur par mon décolleté. Un frisson me parcourut et je me retins de sourire.
— Au lit, ordonna-t-il en semblant se reprendre. Et enlève tes talons, tu vas réveiller ta mère et Emma.
Chancelante, je fis quelques pas vers lui. Debout sur mes escarpins à talons de 10 centimètres, j’étais très loin d’être à sa taille, ne faisant qu’1,65m à plat. Ce n’était pas une paire de chaussures qui allait me permettre d’être à sa hauteur. Je pris appui sur son épaule pour enlever, une à une, mes chaussures, en le fixant effrontément. Sa bouche s’était entrouverte et je vis ses yeux détailler les miens, mon nez, mes lèvres roses et pleines.
— Voilà ! dis je fièrement. Ce n’était pas la peine de râler.— Tu ne me dis pas bonne nuit ? — Bonne nuit papa, chuchotai je en collant mon visage contre son torse.
Je sentais son cœur battre plus vite qu’il n’aurait dû. Ses mains entourèrent ma taille et notre étreinte dura plus longtemps qu’elle n’aurait dû. Quand il me lâcha, je lui fis un signe de la main et rejoignis ma chambre.
Ôtant robe, soutien-gorge et culotte dans la petite salle de bain attenante, j’entrepris de me démaquiller, de me brosser les dents et de démêler mes cheveux. Noirs, lisses et longs jusqu’aux omoplates, je les adorais. Après une rapide douche, je me glissai dans mon lit. Les effets de l’alcool semblaient s’atténuer. Cependant, ce n’était pas le cas de ma curiosité quant à ce qui s’était passé dans la cuisine. Étrangement, j’aurais aimé prolonger notre câlin et j’avais envie de l’avoir au lit, avec moi. Je voulais sa tendresse, sa gentillesse et ses caresses. Voilà qui aurait été réconfortant en cette fin de nuit mouvementée. Mais, je me rendis compte que je me mentais à moi-même et, quand je ressentis de petites crampes significatives entre mes jambes, je compris. J’étais excitée. J’avais envie de jouir.
J’écartai les jambes, léchai mes doigts et entrepris de faire des petits cercles sur mon clitoris. Je mouillais déjà abondamment - à cause des inconnus avec qui j’avais dansés ce soir-là ou à cause de l’étreinte de mon père ? Un doigt dans mon vagin me suffit à comprendre que j’allais jouir en un instant. Je fis donc durer le plaisir. J’aimais me faire jouir une première fois en frottant mon petit bouton puis en me pénétrant avec un de mes godes. C’était un rituel efficace, que j’aimais pratiquer à n’importe quel moment du jour ou de la nuit. En rentrant des cours, en me réveillant le matin, en révisant, en regardant la tv, en prenant ma douche... bref n’importe quand. Parfois, la nuit, je me réveillais même pour me faire jouir.
Mes doigts étaient trempés de mouille et s’activaient vivement sur mon clitoris. Je ne tardai pas à jouir une première fois. Ouvrant le tiroir de ma table de chevet, j’en extirpai mon gode préféré - en silicone, d’une longueur de 20 centimètre et d’une circonférence de 5cm. Je n’eus même pas besoin de lubrifiant, le jouet entrant en moi facilement. Dès que je sentis cette fausse bite s’activer dans ma chatte, je fermai les yeux pour imaginer un homme pour le remplacer. Grand, aux cheveux noirs, à la barbe fournie... j’atteignis l’orgasme quand je réalisai que celui que j’imaginais, c’était mon père.
Diffuse en direct !
Regarder son live