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Elisabeth s’éveille

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain matin, je me réveillai fatiguée. Je frissonnais de plaisir en sentant le drap sur ma peau nue et particulièrement sur mes tétons. J’avais des seins de taille moyenne, un bon bonnet B, et j’étais fière de leur tenue parfaite. Je commençais à faire glisser mes doigts dessus quand j’entendis ma mère m’appeler pour le petit-déjeuner. En soupirant, je me levai, enfilai un peignoir rose clair en satin qui couvrait à peine mes fesses rebondies et rejoignis le reste de la famille. J’aimais le dimanche matin, les petits-déjeuners copieux, les discussions en famille et, surtout, me délecter de notre beau jardin ensoleillé. Nous étions presque en été et les belles journées se succédaient.
— Bien dormi ? me demanda ma mère. — Très bien ! répondis-je en souriant. — Pas trop bu ? s’enquit ma sœur, Emma.
Elle et ma mère se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Elles étaient toutes les deux blondes, aux yeux clairs et très menues.
— Non, absolument pas, s’interposa mon père sans me regarder.
Je m’installai à table en fronçant les sourcils. J’étais contrariée de constater qu’il paraissait froid et distant. Bien sûr, je m’étais remise de mes émotions de la veille. À la lumière du jour, je culpabilisais même en pensant à l’orgasme que j’avais eu simplement parce que je l’avais imaginé à la place de mon gode. C’était mon père, bon sang ! Il fallait vraiment que j’arrête de boire.
— Tu viens avec nous cet après-midi ? me demanda ma mère.— Où donc ? répondis-je en mordant dans un croissant. — Tu sais bien que nous allons chez ma sœur pour son anniversaire. — Ah, ça... — Oui, ça ! Tu as oublié !
A vrai dire, non. Mais je n’avais absolument pas envie de les accompagner.
— J’aurais aimé me reposer, dis-je doucement. Et profiter du jardin, de la piscine...— Tu fais toujours bande à part, râla Emma. — Tu n’as qu’à rester avec moi ! — Non parce que je sais que c’est important pour tata.

Je levai les yeux au ciel. Ma mère allait enchaîner quand mon père intervint :
— Anne, laisse-la. Elle est rentrée tard, elle est fatiguée.— Bien sûr, tu la défends toujours ! — Je pense qu’Eli n’a plus forcément envie de nous accompagner à toutes les réunions de famille.
Je souris, fière et aux anges, savourant ma victoire. Papa daignait enfin me regarder. Torse nu, vêtu d’un simple short, il semblait encore endormi. J’avais envie de le prendre dans mes bras pour le remercier. À la place, je me levai et déposai un baiser sonore sur sa joue. J’en profitai pour jeter un œil vers son short... avant de me raviser. Maman ou Emma auraient pu me voir.
— Je vais prendre une douche, annonçai-je en quittant la table du petit-déjeuner.
Je les laissai tous les trois et tendis l’oreille. Emma commençait déjà à se plaindre de mon comportement. Qu’est-ce qu’elle était coincée !! Une fois dans la salle de bain, je fis glisser mon peignoir en satin à mes pieds et me mis sous l’eau chaude. Ma mère et ma sœur avaient vraiment le don de m’agacer. Elles trouvaient toujours quelque chose à dire à mes choix, à ma vie, à mon comportement. Le seul à me défendre était mon père. Lui n’avait pas changé à mon égard... du moins, pas en mal. J’avais toujours le droit à des bisous, des câlins, du réconfort, du soutien. Parfois, je me prenais à rêver de vivre seule, uniquement avec lui. Souvent, quand il m’arrivait de le voir embrasser ma mère ou quand je les entendais faire l’amour, j’étais jalouse. Je le voulais pour moi. D’autant plus quand elle était désagréable avec moi sans aucune raison valable. En quittant la salle de bain, je tombai nez à nez avec mon père.
— Mais ? fis-je simplement.
Assis sur mon lit, il resta silencieux en me voyant sortir. Le corps entouré d’une serviette blanche et moelleuse, la peau mouillée, les cheveux épars sur les épaules, il m’observa quelques instants qui me semblèrent durer une éternité. Ses yeux noisette étaient perçants et je les sentais parcourir mon corps. J’avais l’impression qu’ils auraient voulu voir au travers de la serviette.
— Je suis venu te déposer ton linge propre, dit-il en désignant une panière. — Merci papa.
Je m’assis à côté de lui et posai ma tête sur son épaule. Sa main se posa sur mon genou. Des picotements me traversèrent et je sentis mon cœur battre plus fort.
— Tu devrais être plus gentille avec ta mère et ta sœur. — Tu ne vas pas t’y mettre..., soupirai-je. — Je ne veux pas vous voir vous chamailler pour rien. C’est vraiment dommage. — Dis-leur à elles aussi. — C’est fait.
Nous restâmes ainsi quelques instants. Des picotements, plus que familiers, surgirent dans mon bas-ventre. Son odeur, sa proximité et, surtout, la sensation de sa peau contre la mienne me faisaient de l’effet. Que m’arrivait-il ?!

— Fais attention à toi cet après-midi en restant seule, d’accord ? — Reste avec moi, si tu veux, murmurai-je.
Je relevai la tête pour lui faire face. Nos visages n’étaient qu’à quelques centimètres. Je sentais son souffle sur moi. Il s’humecta les lèvres et la pression de sa main sur mon genou fut plus intense. J’eus même l’impression qu’elle remontait sur ma cuisse. Peut-être étais-je en train de fantasmer ?
— Je suis fatigué mais ta mère sera fâché... — Et alors ? Ça fait tellement longtemps qu’on a pas passé de moment... juste toi et moi.
Je m’approchai encore et posai une main sur sa cuisse.
— Désolé, mon ange. On se trouvera un autre moment. D’accord ? — Ok...
Et là, il se pencha et m’embrassa. Juste à la commissure des lèvres. Et, tout aussi vite, il sortit.
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