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Elisabeth s’éveille

Chapitre 3

Inceste
Laisser Elisabeth à la maison avait été une véritable torture. Tout cela pour me rendre à l’anniversaire d’une femme que je n’appréciais guère. Tout cela pour passer un après-midi ponctué de conversations banales, de gâteau d’anniversaire et de plaisanteries lourdes du beau-frère de ma femme. De plus, Anne et moi étions en froid à cause d’Elisabeth. Elle ne cautionnait pas ses sorties, l’alcool qu’elle pouvait boire et ses fréquentations. Je ne les appréciais pas plus mais il fallait bien que jeunesse se fasse. Imaginer ma petite fille dans les bras d’un homme me répugnait tout autant que cela attisait ma curiosité. Quand elle était rentrée, la veille, ivre et guillerette, je n’avais pas pu m’empêcher de me poser la question : un homme avait-il touché ce corps cette nuit-là ? La même interrogation m’était venu quand elle était sortie de la salle de bain, plus tôt ce matin-là. Je n’avais pas pu m’empêcher de me délecter de sa beauté. Petite, mince, aux longs cheveux noirs, sa peau légèrement mate humide, ses cuisses rondes mais fermes complètement nues, la bosse que formaient ses seins sous sa serviette. Avait-elle remarqué que je l’observais différemment ? Est-ce que cela lui faisait peur ? Avait-elle aperçu mon érection quand nous étions assis, tous les deux, sur son lit ? J’avais l’impression de devenir fou. — Chéri, ça va ? me demanda Anne. Les autres convives me regardèrent. — J’ai mal au crâne. — Tu veux rentrer ? Te reposer ? — Je ne veux pas gâcher ce moment. — Tu peux rentrer et tata nous raccompagnera, dit Emma. Emma n’avait rien de comparable avec Elisabeth. Très menue, elle était blonde comme ma femme et ses yeux étaient d’un bleu vif. Elle avait moins de formes qu’Elisabeth : ses fesses étaient plutôt plates et ses seins petits. J’avais toujours été moins proche d’elle que d’Eli. Éli et moi formions le duo père/fille tandis que ma femme et Emma étaient comme les deux doigts de la main. — Ça ne vous dérange pas ? — Pas du tout, répondit ma belle-sœur. Il faut se reposer... je comprends. Fais surtout attention sur la route. J’approuvai, embrassai ma femme et ma fille et pris la voiture en espérant n’avoir froissé personne. Bah, il y aurait d’autres occasions ! Mais je ne me sentais vraiment pas dans mon assiette. Arrivé à la maison, je bus un grand verre d’eau et retirai ma chemise. Il commençait à faire vraiment chaud. Tout était silencieux. J’allais appeler Elisabeth quand je la vis. Elle était allongée au bord de la piscine, une jambe relevée. Ses cheveux noirs étaient épars autour de sa tête. Très vite, je m’aperçus qu’elle ne portait pas de haut de maillot de bain, seulement un minuscule slip rouge. Ses seins étaient entièrement exposés au soleil et à mon regard inquisiteur. Instinctivement, je posai ma main sur mon sexe. Je commençais à bander. Doucement, je me mis à frotter ma bite par-dessus mon short. Ainsi offerte, Elisabeth semblait à la fois tellement femme mais aussi tellement fragile. Elle ne m’avait pas vu. Que penserait-elle si elle me voyait, son père, en train de me masturber en la regardant ? Mais je ne pouvais m’en empêcher. Je fis glisser mon short afin de libérer mon sexe. J’aurais été prêt pour la pénétrer. Dur, gros, il se dressait. Je fermai les yeux et commençai à me branler. J’imaginais ma langue sur sa peau, mon sexe en elle, je voulais l’entendre gémir encore, comme quand elle se masturbait, parfois, dans sa chambre... — Papa ? Je sursautai. Eli s’était relevée sur ses coudes et me regardait, ahurie. — Je... je... désolé ! Comme un gosse pris sur le fait en train de mater un porno, je remontai mon short et m’enfuis vers la chambre à coucher conjugal. Pourquoi étais-je rentré à la maison ?! Pourquoi attiser la flamme ?! Quel con ! — Papa ! cria-t-elle.Un court instant plus tard, elle était face à moi. Mon short cachait ma nudité mais pas mon érection. Ma bite était tellement tendue que j’en avais mal. Et la voir, à demi-nue, face à moi, n’arrangeait rien. Elle n’avait même pas pris la peine de passer un haut, la garce !! — Ça va papa ? demanda-t-elle d’une petite voix presque enfantine.
— Oui oui. Excuse-moi. Je ne sais pas ce qui me prend mais... — Je t’ai vu, tu sais.— Je sais mais oublie ça. Je me perds depuis hier et... — Alors je n’ai pas rêvé ? dit-elle en haussant un sourcil. Merde !! — J’ai pensé à toi, hier, en allant me coucher... murmura-t-elle en s’approchant doucement. Je faisais tout pour éviter de regarder ses seins mais je n’avais jamais vu une paire aussi belle et attirante. J’avais envie d’y poser mes mains, de les goûter de ma langue. Je m’écoeurais tout autant qu’il m’était impossible de réfréner ces envies... — Ah oui ? dis-je, l’air de rien. — Oui oui... j’ai beaucoup pensé à toi cet après-midi... j’ai envie... j’ai envie de toi, je crois...Abasourdi, je ne répondais pas. Eli prit une de mes mains et la posa sur son sein droit. — Tu les trouves comment ? Assez durs ? Assez doux ? — Je... je ne sais pas...— Alors touche-les... Sans pouvoir m’en empêcher, je me mis à malaxer son sein. Très vite, ma seconde main lui empoigna l’autre. Ils étaient fermes et soyeux. C’était des seins de jeune fille. — Je peux m’asseoir, papa ? Je hochai la tête. Elle s’assit sur le lit. Le lit que je partageais avec sa mère. Le lit dans lequel nous avions conçu notre fille, Eli, qui me demandait maintenant de caresser ses seins. Tout ça n’était que pur délire. Elle s’assit et je me mis à genou, face à elle. Doucement, j’approchai ma langue de ses tétons. Elle frémit et poussa un gémissement. Elle écarta la jambe et une chaleur émana d’entre ses cuisses. Je croisai brièvement son regard : c’était celui d’une femme qui avait envie de sexe. — C’est bon, continue... soupira-t-elle. Je bouffais ses seins avec passion. Leur odeur m’enivrait. — Attends, papa, j’enlève ma culotte. Je la regardai ôter son minuscule slip noir. Puis, elle se pencha en arrière en s’appuyant sur ses coudes. Tout en me regardant, elle écarta les cuisses. Je découvris sa petite chatte, parfaitement lisse, dont les lèvres étaient gonflées et humides d’excitation. — Mange-la, papa, ordonna-t-elle. Je ne me fis pas prier. J’y plongeai d’abord doucement puis férocement. Ma langue joua avec son clitoris bien dur et elle se mit à geindre. Très vite, je pénétrai sa fente avec ma langue. Sa mouille était abondante, sucrée, et délicieuse. J’y fourrai mes doigts et ses gémissements se transformèrent en cris. Une de ses mains passa dans mes cheveux et elle appuya sur ma tête - je dévorais littéralement la chatte de ma fille, j’aimais ça. Eli eut un orgasme et l’entendre m’appeler « papa » en jouissant me procura une frisson d’excitation que je n’avais pas ressenti depuis longtemps. Elle coulait dans ma bouche et je m’appliquais à avaler, du mieux que je pouvais, son précieux jus de jeune femme. — À mon tour, dit-elle.
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