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Elisabeth s’éveille

Chapitre 4

Inceste
— Ivan ? Elisabeth ? Où êtes-vous ? Je croisai le regard paniqué de mon père. A genoux devant moi, la tête entre mes cuisses largement écartées, il semblait se réveiller en sursaut. Très vite, il se releva sans me jeter un nouveau regard. Il bandait toujours : une bosse déformait son short. — J’arrive ! cria-t-il. Il sortit précipitamment de la chambre et me laissa seule. Tout aussi vite, et parce que j’entendais ma mère et ma sœur s’agiter dans le salon, j’enfilai mon maillot de bain. J’étais encore mouillée d’excitation. Il fallait que je passe rapidement dans ma chambre pour mettre un tee-shirt afin de cacher ma nudité. Si ma mère me voyait à demi-nue, j’allais encore avoir droit à un sermon. — C’était sympa cet aprem ? demandai-je en les rejoignant au salon, l’air de rien. — Oui, comme toujours, répondit maman en me regardant intensément. Tu as bien bronzé, dis donc ! Tu es toute rouge dans le visage. Sa remarque me fit piquer un fard. Mon père me regardait. J’avais l’impression que toute la vérité était inscrite sur mon front : maman, ton mari, mon père, vient de me faire jouir en léchant et en doigtant ma chatte. — Il a fait chaud ! répondis-je en allant chercher un verre d’eau. — Tu sais que tata a eu un nouveau téléphone ? m’informa ma sœur. Le dernier de chez Apple ! Il est tellement... Je ne fis pas attention aux pépiements d’Emma. Chaque gorgée d’eau que je prenais ne parvenait pas à calmer mon esprit tourmenté. J’avais toujours aussi chaud. Mon cœur battait la chamade. Là, à quelques pas, mon père était installé à côté de ma mère, portant simplement un unique short que j’avais espéré lui ôter quelques instants plus tôt. La frustration était à son comble. Je sentais ma mouille qui dégoulinait à l’intérieur de mon slip de bain. Je venais d’avoir un orgasme retentissant mais j’en voulais encore. Or, leur arrivée m’en avait empêché. Le dîner fut une véritable torture. Assise à côté d’Emma, face à papa, je mangeais peu et ne parlais pas. Lui aussi était étonnamment silencieux. — Ivan, tu es sûr que ça va ? lui demanda ma mère quand il se mit promptement à débarrasser la table. Tu as toujours mal à la tête ? — Non, c’est passé.— Vous vous êtes disputés ? demanda Emma en me sondant de ses yeux bleus. — Non, répondis-je froidement. — J’ai trouvé ta fille à moitié nue en train de bronzer au bord de la piscine, implosa soudainement mon père. Je perds patience. Elle sait à quel point le voisin peut être un vieux degueulasse !! Tout ça en buvant encore l’alcool de notre placard... Ma mère me regarda en fronçant les sourcils. — C’est vrai, Eli ? Choquée, je fixai mon père. Avait-il vraiment osé inventer cette histoire bidon pour dissimuler notre gêne ?! Au risque de me faire avoir, encore une fois, des ennuis ?! — Vu la culotte de ton maillot de bain..., persifla ma sœur. — Ferme-la, lui dis-je en me levant. Si c’est comme ça, je vais me coucher. Je jetai un regard courroucé à mon père avant de monter dans ma chambre. Depuis l’étage, je les entendais débattre sur le pourquoi du comment de la prétendue dispute. Pire que la frustration de notre moment volé, pire que la colère de cette dispute ridicule, je me sentais triste et déçue. Oui, nous étions gênés et nous ne voulions pas que cela se sache. Mais de là à inventer tout cela... Après une douche rapide et, une fois n’est pas coutume, sans masturbation, je me couchai et m’endormis rapidement pour ne me réveiller que quelques heures plus tard, en pleine nuit. Assoiffée, je descendis silencieusement les marches de l’escalier pour aller boire un verre. Malgré la nuit, la chaleur était toujours suffocante. A demi-endormie, j’entendis quelques bruits. A pas de loup, je traversai le couloir du rez-de-chaussée menant à la chambre de mes parents. La porte était entrouverte. Ma mère et mon père étaient en train de faire l’amour. Non, rectification. Mon père était en train de la baiser violemment. La bouche entrouverte, je les observais en silence. Ma mère était à quatre pattes sur le lit, les fesses tendues vers mon père qui la tenait fermement par les hanches. Ils étaient tous les deux face à la porte mais ni l’un ni l’autre ne le vit : elle avait la tête enfoncée dans le matelas, tandis qu’il observait, le regard lubrique, sa queue aller et venir dans sa chatte. Leurs râles emplissaient la pièce. Subitement, il la tira par les cheveux et je pus détailler ses petits seins se balancer. Les yeux clos, elle jouissait sans interruption. — Viens me sucer, lui ordonna-t-il.
Prestement, elle se tourna et je pus voir sa queue. Longue et large, elle l’avalait avec gourmandise. Je sentais ma culotte s’humidifier à mesure que je voyais ma mère, pourtant si coincée et rigide, téter goulûment cette épaisse bite. J’étais à la fois excitée car j’avais envie d’être à sa place et contrariée de voir que mon père ne m’avait pas attendue pour se faire du bien. — Ouvre la bouche, je vais jouir. Elle s’exécuta en le regardant de ses grands yeux bleus. Il ne tarda pas à lâcher sur son visage et dans sa bouche une épaisse dose de sperme qu’elle entreprit d’avaler. J’en avais assez vu. Je retournai dans ma chambre, le cœur battant, et m’endormis à la fois troublée et soucieuse. En me réveillant, j’avisai mon téléphone portable : il était plus de onze heures du matin. La maison était silencieuse. Mes parents devaient être au travail et Emma avait, je m’en souvins rapidement, un rendez-vous médical. J’étais seule. Je me levai pour ouvrir le volet de ma chambre... et aperçus la voiture de mon père garée dans l’allée. Subitement, ce que j’avais vu la veille me revint en mémoire. L’excitation de la veille avait laissé place à la déception. Je retournai me coucher. -Eli ? fit une voix de l’autre côté de la porte. Je ne répondis pas. Elle s’ouvrit sur mon père, un plateau dans les mains. — Je t’apporte ton petit-déjeuner. Le dos tourné à lui, je dissimulai un sourire. Papa m’apportait régulièrement mon petit-déjeuner au lit, spécialement quand nous étions seuls à la maison. C’était une manière pour lui de me chouchouter davantage. — Tu as bien dormi ? — Oui. Je l’entendis poser le plateau sur mon bureau puis s’asseoir sur le lit. — Écoute, à propos d’hier... — N’en parlons plus. C’était une erreur, vu ce que tu as raconté comme connerie à maman. — Et j’aurais du dire quoi ? s’emporta-t-il. Je restai silencieuse. Je refusai de lui faire face. — Je vous ai vus, cette nuit, lâchai-je brutalement. Silence. Au bruit qu’il fit, je compris qu’il s’allongeait délicatement à côté de moi. Sa main entoura ma taille fine et des picotements me traversèrent. — Tu n’as même pas attendu qu’on ait le temps d’être seuls, toi et moi, dis-je. — - Un homme a des besoins, tu sais. Surtout après ce qu’on a fait hier, toi et moi... Sa main glissa sous mon débardeur et caressa mon ventre plat. Doucement, il la fit remonter jusqu’à mes seins. Il s’empara alors de mon téton, qu’il fit rouler entre son pouce et son index. En même temps, il se colla à moi et je sentis, contre mes fesses, son érection. Sa langue vint lécher mon oreille. Il murmura : — J’ai pensé à toi à chaque minute, mon bébé. J’ai cru devenir fou quand elles sont rentrées, hier. Je pensais que j’avais fait une erreur après t’avoir dévoré mais je suis convaincu du contraire depuis que je t’ai imaginé à la place de ta mère, cette nuit. Ses doigts laissèrent mon téton pour se diriger vers mon entre-jambe. Instinctivement, j’écartai les cuisses. Il les passa sous l’élastique de mon string et glissa son majeur sur ma fente. — Ma petite fille est excitée..., chuchota-t-il. Il la caressa quelques instants en prenant soin d’éviter mon clitoris. Quand ses doigts furent trempés, il les approcha de ma bouche. — Goûte ton jus, mon amour. J’ouvris la bouche et avalai ses doigts emprunts de ma mouille. Je les léchai avec application. — Tu veux bien faire pareil avec mon sexe ? Je hochai la tête et me mis à genou. Il se leva et fit glisser ses vêtements par terre. Je me délectai de son corps taillé, de sa peau mate. Il brandit sa bite devant moi et je sautai dessus sans me faire prier. Je léchai délicatement son gland en le regardant dans les yeux. Puis, ma langue parcourut son manche de haut en bas, puis de bas en haut. Je mangeais sa queue tendue et raide avec avidité en savourant ses gémissements. Très vite, il empoigna ma tête et fit glisser son engin entre mes lèvres comme s’il pénétrait ma chatte. — Putain que tu suces bien... Je m’appliquais à humidifier sa bite de ma salive et à le rendre aussi dur que possible. J’aimais l’entendre gémir, le voir fermer les yeux et savourer ce que j’étais en train de lui faire. Sa queue était épaisse et je comprenais la gourmandise avec laquelle ma mère l’avait mangée quelques heures plus tôt à peine... — Allonge-toi, dit-il. Je m’exécutai en écartant les jambes. Je passai un doigt sur mon clitoris gonflé. Ma chatte était trempée et ouverte, prête à accueillir le sexe qui m’avait fait naître. Papa s’allongea sur moi et je guidai sa bite vers ma chatte. Un gémissement sourd m’échappa quand je le sentis entrer en moi. — Ça va, mon amour ? — Oui... tu es gros. — Je vais y aller doucement. Tu es tellement serrée... Il me pénétra encore plus loin et je compris qu’il n’avait pas encore rentrer l’intégralité de sa queue dans mon con. Quand il s’y trouva entièrement, je me mordais les lèvres. Il me regardait intensément. Il entreprit des va-et-vient profonds mais tendres. Je commençai à gémir et une agréable chaleur inonda mon bas-ventre. — C’est bon ? — Oh oui... continue papa... Il attrapa mes jambes pour les poser sur ses épaules et s’enfonça plus brutalement. Un cri m’échappa et je fermai les yeux, incapable de retenir ma jouissance. — Je veux te voir à quatre pattes, mon bébé, c’est possible ? Je fis oui de la tête et me retournai rapidement. Je m’étirai comme une chatte en chaleur et lui offrit une vue imprenable sur mon cul. — Que tu es belle..., souffla-t-il. Il pénétra alors ma chatte d’un coup sec et continua de me baiser. Très vite, je le sentis perdre toute mesure. Il se mit sur moi et enfonça sa queue dure comme de la pierre jusqu’aux couilles dans mon trou. Il le lima longuement. — Défonce-moi papa, hurlai-je. Baise-moi putain, baise-moi ! — T’aimes ma queue ? Qu’elle est bonne ma petite fille... ma petite princesse à moi, ma petite salope... Il me baisait violemment, et je compris qu’il ne cherchait plus uniquement à me faire jouir mais à se faire simplement du bien. Je sentais ma chatte se dilater sous ses coups de butoir et, plus je hurlais, plus il enfonçait sa queue profondément. — Je veux ton sperme, réclamai-je. Jouis en moi, remplis-moi ! J’avais toujours aimé recevoir une décharge de jus au fond de ma chatte. Imaginer celui de mon père me remplir me faisait mouiller comme jamais auparavant. — Je vais te remplir petite garce ! Il lâcha un râle rauque et je sentis mon trou être inondé d’un liquide chaud. Il savoura quelques instants la sensation de son sperme remplissant la chatte de sa fille avant de se retirer. — Eli..., soupira-t-il en me prenant dans ses bras, contre lui. Merci.
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