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Elisabeth s’éveille

Chapitre 5

Inceste
Les jours suivants notre première fois, j’eus du mal à regarder Elisabeth dans les yeux. Ma gêne se répercutait aussi sur ma femme et Emma, bien entendu, mais je l’étais surtout vis-à-vis de mon aînée. Bien évidemment, j’étais heureux et épanoui. Ce n’est qu’après avoir joui que je m’étais rendu compte de la force de mon désir pour elle, un désir qui se comptait en mois. Peut-être en année ? Le souvenir le plus ancien de mon désir pour elle remontait au jour où je l’avais surprise, chevauchant son petit ami de l’époque. J’avais été interpellé par la rondeur et la fermeté de ses seins, le grain de sa peau parfaite et jeune, la longueur de ses cheveux noirs, la forme idéale de son petit cul rebondi. Avec le recul, j’avais seulement remisé ce souvenir et ce désir. Mais, d’un autre côté, j’étais perplexe et écœuré. Mon rôle de père était de protéger ses enfants, mon rôle d’époux était d’être fidèle. J’avais, à la fois, failli à mes deux promesses. J’avais trompé mon épouse et, de surcroît, avec ma propre fille. Pourtant, je ne pouvais m’empêcher de songer à un autre moment avec elle. J’y pensais quand je m’endormais, quand j’étais au travail, quand Anne dégustait mon sexe curieusement toujours en érection. A sa place, j’imaginais Eli, à quatre pattes face à ma bite dressée, ses yeux me sondant en même temps qu’elle avalait difficilement ma verge grosse et tendue. La voir déambuler devant moi, partout dans la maison, était une torture. Mon amour pour elle, déjà infini, s’était démultiplié. S’y mêlait à présent un désir impétueux, sauvage, violent. Après notre première fois, la semaine s’écoula sans que nous puissions réitérer l’expérience. Je travaillais toute la semaine, Anne était étrangement toujours dans mes pattes et Emma réclamait plus d’attention que d’ordinaire. Je m’étais toujours demandé si elle n’était pas jalouse d’Eli. Leur relation conflictuelle n’arrangeait rien à cette mauvaise impression. — J’espère que tu nous accompagneras chez papi, ce soir ? demandai-je à Eli, l’air de rien, au déjeuner. — Oui, pourquoi ? dit-elle. — Nous sommes samedi, rit Emma. Tu n’as pas une soirée de prévue ? — Eh non, pas cette fois ! Eli nous sourit, de bonne humeur. — À la bonne heure ! répondit Anne. Sois prête à l’heure. Eli acquiesça et termina son repas sans rien dire. C’était étrange. Peu avant notre départ, j’allai la voir dans sa chambre. Dos à la porte et face au miroir en pied de sa chambre, elle se contemplait dans sa tenue du soir. Elle portait une robe rose pâle qui faisait ressortir sa peau hâlée. La robe moulait son corps parfait, sa taille étroite, son cul bombé. Un décolleté en V mettait en valeur ses seins. Ses jambes étaient allongées par une paire d’escarpins à talons aiguilles. Pour finir, ses cheveux étaient ondulés et coiffés à la perfection. Ma bite me fit mal.En tendant l’oreille, pour vérifier que ni sa sœur ni ma femme n’arrivait, je m’approchai et enlaçai sa taille.— Enfin, soupira-t-il en frottant ses fesses contre mon sexe tendu. J’ai cru que tu regrettais.— Jamais, répondis-je en embrassant ses épaules et son cou. Mais nous n’avons réussi à avoir aucun moment cette semaine... — Ce soir, peut-être ? — Peut-être quand tout le monde sera occupé à discuter... Elisabeth ne cessait d’onduler son cul contre moi. Je posai une main délicate sur son cou, son cœur battait la chamade. — Il me tarde de te prendre, dis-je férocement.Et, tout aussi rapidement, je quittai sa chambre. La soirée se déroula sans encombre. Nous étions régulièrement invités chez mon père, veuf depuis trois ans. Étant fils unique, le décès de ma mère nous avait d’autant plus soudés. Nous retrouvâmes, dans sa grande maison de campagne, ma tante et mon oncle ainsi que certains de leurs enfants et petits-enfants. Les retrouvailles furent joyeuses, bon enfant et riches en discussions passionnantes et amusantes. Je préférais, de loin, les soirées avec ma famille plutôt qu’avec celle de mon épouse. Anne était à l’aise comme un poisson dans l’eau, l’ensemble de mes proches l’adulant depuis toujours. C’était une épouse et une mère parfaite. Emma riait de bon cœur et se mêlait avec entrain à la soirée.Elisabeth, quant à elle, impressionnait par son humour piquant et parfois effronté, et conversait habilement grâce à sa langue bien pendue. Assise à côté de moi, à ma droite, je l’observais rire et parler. 
Délicatement, je posai ma main sur sa cuisse nue. Elle frémit à mon contact et sourit discrètement. Je fis glisser ma paume le long de sa cuisse, jusque dans son entrejambe. Une chaleur moite émanait d’elle. Je montai ma main de quelques centimètres encore et m’aperçus... — Tu ne portes pas de culotte, chuchotai-je et le brouhaha ambiant dissimula ma voix. Elle hocha la tête. Difficilement, vu le contexte, j’insérai un doigt inquisiteur dans sa fente. Je ne tardai pas à y mettre un second. Eli devenait rouge - de honte ou de plaisir coupable ? — Dis voir, papa, dis-je assez fort, as-tu enfin réussi à faire installer ton jacuzzi ? — Oui ! soupira-t-il. Va le voir, si tu veux. — Ok. Chérie, tu viens avec moi ? demandai-je à mon aînée. Elle acquiesça, rouge écarlate, les deux doigts toujours en elle. Mon père, siégeant en bout de table, racontait en détails l’installation de son bain à remous après moult tracas. Il avait 65 ans, mais il était toujours aussi fringuant et charismatique. L’âge ne le marquait pas.J’ôtai mes doigts de la chatte de ma fille et, comme si je me frottais le nez, j’en profitai pour renifler son odeur. Sa mouille sucrée pénétra mes sens. J’entraînai Eli à ma suite, en m’assurant que personne ne nous suivait. La voie était libre. Le jardin de notre maison familiale était immense. Après une large terrasse, un petit chemin menait, à travers fleurs, buissons et arbustes touffus, à un bar en pierre. Face à lui, le fameux jacuzzi. De là où nous étions, nous ne voyions plus personne et inversement. — Et si quelqu’un nous voit ? dit Eli d’une voix enfantine. — Ça te dérangerait tant que ça ? grognai-je en soulevant sa robe. — Que dirait papi ? — Je suis sûr que tu adorerais qu’il nous regarde... Je découvris ses fesses rebondies et les claquai brutalement. Concentré sur ma découverte, je notai cependant qu’elle n’avait pas répondu. — Tu ne dis pas non... petite perverse. Elle gémit et je fis brutalement descendre mon jean. Spontanément, elle se pencha en avant pour s’offrir à moi. — Prends-moi, souffla-t-elle. Je ne me fis pas prier. Brusquement, je m’enfonçai dans sa grotte humide et accueillante. Je gémis - Elle était étroite. J’entrepris des va-et-viens tandis qu’elle s’appuyait contre le bar. — Putain, que tu es bonne, dis-je en m’agrippant à ses hanches arrondies. — C’est ta bite qui est bonne, papa, gémit-elle. Je m’enfonçai plus loin en elle. Ses gémissements se faisaient de plus en plus bruyants, pour se transformer en cris. Je plaquai ma main contre sa bouche : — Tais-toi, mon bébé... tu aimes ça hein ? Tu aimes la bite de ton papa ? — Mmmmm... mmmmm...Soudain, je vis qu’elle caressait son clitoris de sa main droite. La salope !!! — Tu te touches, cochonne ! grognai-je. Tu es vraiment une belle pute... putain que j’aime ça. Je me métamorphosais sans me retenir. Auparavant incapable de la regarder tant je pouvais culpabiliser, j’étais désormais un animal, un chien en rut. Je la pilonnais de toutes mes forces sans prêter attention à son plaisir. Je ne voulais que me faire jouir. Je sentais son trou se dilater sous mes coups de butoir, rapides et violents. Ses seins, dont j’avais arraché la robe, ballottait devant elle. Elle n’était qu’une chienne à baiser, offerte et soumise à mes désirs. — Je viens mon ange, mets toi à genoux et ouvre la bouche. Elle s’exécuta prestement et j’enfonçai ma queue humide dans sa gorge. Je baisais sa bouche comme sa chatte quelques instants auparavant. Soudain, plusieurs décharges de sperme se déversèrent dans la petite bouche de ma fille et je l’entendis hoqueter. Elle avala le tout sans broncher. Face au spectacle qu’elle m’offrait, à genoux par terre, cheveux ébouriffés et à moitié nue, je me mordis la lèvre. Elle était splendide. — J’aime avaler ton sperme, papa, couina-t-elle. Elle se releva et m’embrassa passionnément. Le bout de sa langue titilla la mienne et, en même temps, je m’aggripai à ses fesses, les écartant, les malaxant, les pinçant. Diabolique, je lui présentai mon majeur. Elle le lécha et le suçota, un air de démon dans les yeux. Mon doigt, humide, glissa dans sa fente encore trempée. Elle gémit. Mais ce n’était pas là mon objectif. — Cambre-toi, ordonnai-je. Ce qu’elle fit aussitôt. Face à mon penis encore à moitié dur, elle le prit en bouche et je gémis, perturbé par la sensation de ses lèvres pulpeuses autour de mon gland d’où perlait encore quelques gouttes de sperme. Les fesses écartées et offertes, j’y glissai un doigt. — Mais... Sans lui laisser le temps de réagir, j’insérai délicatement mon majeur dans son anus. Serré, j’y entrai difficilement. Un instant, l’image de ma queue dans son trou vierge me traversa l’esprit. Mais, avant cela, je devais le préparer. Je commençai à doigter doucement son trou du cul tandis qu’elle me pompait la bite. Était-elle vraiment en train de gémir ? — Ivan ! Nous sursautâmes. Sous la lumière du jardin, mon père apparut. *** Horrifiée, je faisais face à mon grand-père, Olivier. Quand mon père et moi avions entendu sa voix sortir des buissons, nous avions sursauté comme deux enfants pris sur le fait d’une énorme bêtise. A bien y réfléchir, c’était le cas. Papa avait rapidement rangé son sexe encore à moitié raide et boutonné son jean.

— Je... je peux... commença-t-il en regardant mon grand-père, les mains levées.

— Dégage de là ! rouspéta papi. Et je te conseille d’aller te passer de l’eau sur le visage ! Et de rejoindre vite le groupe !

Mon père me regarda à peine et partit.

Les larmes aux yeux, je fis la moue. J’allais me prendre une sacrée soufflante.

— Je suis désolée, chuchotai-je. Je peux tout t’expliquer...

— Je ne veux rien savoir.

Papi s’approcha doucement. Je l’observais, essayant de deviner ce qu’il allait pouvoir dire.

Avec papa, ils se ressemblaient beaucoup. Même teint halé, même sourire éclatant et carnassier, un charisme à revendre, un corps massif et taillé. Mon grand-père n’avait rien de vieux. Seuls ses quelques rides et cheveux blancs trahissaient son âge.

Ses yeux sombres détaillèrent mon visage. Sur le menton, une dernière goutte de sperme commençait à sécher. Mes cheveux noirs étaient en bataille. Puis, il détailla mon corps. J’étais toujours à moitié nue.

— Ton père a toujours eu un problème avec le sexe, commença-t-il calmement en s’approchant. Il est comme moi.

Un sourire bref et affamé retroussa ses lèvres.

— Je n’aurais jamais cru qu’il serait capable d’aller jusqu’à pervertir sa petite fille...

En disant ces mots, un doigt se balada sur mon sein gauche. Il en caressa le galbe avant de titiller mon téton. Très vite, il se mit à durcir.

— Je vois que tu n’es pas en reste, rit-il.

Je baissai les yeux, honteuse.

Mon grand-père caressait mes seins et cela me dégoûtait tout autant que la situation m’excitait.

Il passa dans mon dos et embrassa mes épaules. Puis, délicatement, il m’habilla : mes seins furent à nouveau dissimulés dans la robe, mes fesses couvertes du tissu rose pâle auparavant arraché avec brutalité.

— Retourne à table, ordonna-t-il, et sois sage. Nous devons parler, toi et moi, mais notre absence commence à être longue.

Le reste du dîner se déroula sans encombre mais je dus attendre lundi pour pouvoir me rendre chez papi. Je n’en informai pas mon père - depuis que nous avions été pris sur le fait, il rechignait encore davantage à me parler et à me regarder. Cela commençait à sérieusement m’agacer. S’il n’était pas capable d’assumer cette nouvelle forme d’amour, ce n’était pas la peine de continuer ! Son comportement m’attristait beaucoup.

Je profitai donc de l’absence de mes parents pour me rendre chez papi en plein après-midi. Je prétextai un service que je devais lui rendre à Emma afin d’être tranquille - sa flemme légendaire me sauva la mise et elle n’insista pas pour m’accompagner.

Papi m’accueillit comme il le faisait toujours : avec un grand sourire, un câlin, du thé et des biscuits. Nous nous installâmes au fond de son jardin, à côté du bar où mon père et moi avions baisé le week-end précédent, et nous discutâmes de tout et de rien. J’avais presque l’impression que rien ne s’était passé. Jusqu’à ce que papi me propose d’essayer son jacuzzi.

— Je n’ai pas de maillot de bain, répondis-je.

— Pas de ça avec moi ! Tes sous-vêtements feront l’affaire.

Il avait sans doute raison. J’ôtai ma robe et me retrouvai en soutien-gorge et culotte blancs face à lui. Il ne portait qu’un short de bain également.

Doucement, j’entrai dans le jacuzzi et poussai un gémissement de plaisir - l’eau bouillante était un délice pour détendre le corps. Nous étions assis l’un et l’autre de chaque côté du bassin.

Finalement, papi me demande de lui expliquer comment papa et moi étions arrivés au spectacle que nous lui avions offert deux jours avant. Suffisamment à l’aise et détendue, je lui racontai tout en détails. Mon grand-père semblait davantage en colère contre mon père contre moi : je pouvais me confier. Tout au long de mon récit, il s’était peu à peu approché et je remarquai qu’il avait posé une main sur ma cuisse.

— Il ne t’a pas forcé, j’espère ? demanda-t-il, l’air soucieux.

— Non. J’en avais envie depuis longtemps..., avouai-je en baissant la tête. Je suis désolée de te décevoir.

Il prit mon menton entre son pouce et son index et releva mon visage.

— Tu ne me déçois pas. Tu es une jeune femme, c’est normal que tu aies des envies, des désirs, des besoins...

Se faisant, sa main remontait sur ma cuisse. J’étais heureuse que les bulles du jacuzzi cachent mon corps car je sentais, à nouveau, mes tétons durcir à ce contact.

— J’aurais aimé que ton père ose m’avouer la vérité, chuchota-t-il à mon oreille.

— Quoi ?!?

Je le regardai sans comprendre.

Papi s’approcha et frotta son nez au mien. Ses lèvres n’étaient qu’à quelques millimètres des miennes.

— Je savais qu’il avait envie de toi, j’avais deviné, tu sais. Je voyais bien comment il te regardait...

— Ah bon ?

— Je te regarde pareil.

Je frémis. Que se passait-il ?!

— Tu n’as jamais remarqué ?

Papi énonça alors tous les moments où, selon lui, j’aurais pu deviner qu’il me regardait avec désir. Nos après-midi ensemble, mes moments de bronzage dans son jardin, et même samedi soir, au cours du dîner.

— J’aurais aimé être le premier de la famille à te montrer le sexe avec un homme, le sexe comme tu le mérites.

Sa main se posa sur ma culotte. J’avais instinctivement écarté les cuisses. Même si nous étions dans l’eau, il ne tarderait pas à se rendre compte que je mouillais abondamment.

Ses doigts déplacèrent mon slip sur le côté et son majeur caressa mon clitoris. Je gémis sous le regard noir et excité de mon grand-père.

— J’ai toujours su que tu étais une vicieuse, chuchota-t-il. Ta manière de sourire, de parler, tes vêtements...

Je hochai la tête en me mordant les lèvres. Inconsciemment, j’avais non seulement allumé mon père mais aussi mon grand-père !! Ils m’avaient tous les deux chérie puis désirée ardemment.

Son majeur faisait de petits cercles sur mon clitoris dur et gorgé de désir. Soudain, il l’enfonça en moi.

— Ta petite chatte est trempée, salope.

Un deuxième puis un troisième doigt vinrent se joindre à son majeur. Il les enfonçait et les retirait rapidement, en un va-et-viens rapide et délicieux. Je gémissais de plus en plus fort à mesure que papi me baisait avec ses doigts. Quand j’atteignis l’orgasme, il me fit lécher ses doigts. Je passai ma langue dessus, goulûment et consciencieusement, en le regardant dans les yeux.

— Maintenant tu vas sortir de là et on va aller dans la maison.

J’obéis sans sourciller. J’étais à la fois terrorisée et excitée de ce qui était en train de se passer. Allais-je vraiment commettre, encore une fois, le péché d’inceste ? Celui que je pensais réservé uniquement à mon père ?

Je suivis mon grand-père jusqu’à sa chambre à coucher, au premier étage, au bout du long couleur que j’avais souvent parcouru avec ma sœur en étant petite. Nous adorions jouer à cache-cache dans cette grande maison de famille que nous adorions.

— Mets-toi à quatre pattes sur le lit.

Je portais toujours mes sous-vêtements trempés, ce qui atténua un peu ma gêne. Dos à lui, je ne voyais pas ce qu’il faisait. M’admirait-il ?

Soudain, une violente claque sur les fesses me fit sursauter et crier. Je sentis ma peau rougir.

— Aïe !! Tu es fou ou quoi ?!

— Tais-toi !

Une deuxième claque, puis une troisième pleuvèrent sur mes fesses rebondies. Papi les caressait puis les frappait en gémissant. Ma peau brûlait et je m’éloignai de lui à chaque coup.

Il m’attrapa fermement par les hanches et ses doigts firent glisser ma culotte jusqu’à mes chevilles. Ses mains écartèrent mes fesses pour laisser apparaître ma fente et mon trou du cul.

— Mmmm... quelle belle petite chatte...

Il y enfonça un doigt, puis deux. Ils y pénétrèrent facilement, tant j’étais inondée de cyprine.

— Tu couines pour quelques fessées mais tu mouilles comme une petite chienne, se moqua-t-il.

Ses doigts faisaient des allers et retours dans mon trou mouillé et ouvert à ses caresses. Mon bas-ventre s’échauffait, l’excitation croissait et je tendis mes fesses vers lui en bougeant mes hanches. En me cambrant ainsi, les bouts durs de mes tétons frottaient contre le lit, ce qui me fit très vite gémir.

— J’ai toujours su que tu étais une perverse, dit-il d’une voix lubrique. Retourne-toi petite garce.

J’obéis pour me retrouver nez à nez avec son pénis. Celui de papa était conséquent, celui de papi était monstrueux. Son sexe se dressait fièrement, veineux et palpitant, une véritable colonne de chair au gros gland. Ses couilles, grosses, me semblaient pleines.

Sans me faire prier, j’ouvris la bouche pour la dévorer et mon aplomb me surprit. Sa queue était délicieuse, longue et épaisse, incomparable avec celles des garçons que je mangeais habituellement.

— Tu suces bien putain... tu as du t’entraîner avec tes copains hein...

Je m’appliquais comme une petite fille idéale à ses devoirs.

Mes lèvres faisaient des vas et viens sur son épieux et, d’une main, je malaxais ses bourses.

— Je vais te baiser la bouche, ton père doit bien t’avoir appris ça ?

— Oui papi, dis-je en le regardant.

Sans le quitter des yeux, je le laissai prendre fermement ma tête. Il s’enfonça plus au fond de la gorge et je faillis m’étouffer. Sa queue coulissait entre mes lèvres pulpeuses qui l’enserraient, et chaque coup dans ma bouche était plus profond. Bientôt, j’eus le nez au bout de sa bite et les larmes ruisselaient sur mes joues.

Quand il se retira, j’inspirai une grande bouffée d’air en lui souriant.

— T’as l’air de prendre ton pied, en plus !! Mets-toi par terre.

Je glissai au pied du lit et me mise à quatre pattes.

Son gland frotta contre ma chatte et je gémis en imaginant le plaisir d’être pénétrée par une telle bite... mais ce n’est pas ce qu’il avait prévu.

— Déplace-toi devant le miroir.

Je fis quelques pas, toujours à quatre pattes, pour me positionner face au miroir en pied de sa chambre. Derrière moi, je voyais mon grand-père, les yeux vicieux, en train de doigter ma chatte de jeune fille.

Un cri m’échappa quand il enfonça son index dans mon anus. Seul papa y avait mis également un doigt. Personne d’autre n’avait osé s’y aventurer et j’avais toujours refusé.

— Pas ici... qu’est-ce que tu fais ? gémis-je.

— Ta chatte est à ton père et je veux son autorisation pour la baiser. Par contre, ton trou du cul a l’air vierge... tu es ma petite fille et il me revient.

— Non !! hurlai-je.

Mais son index pénétra, de plus en plus profondément, dans ce trou que personne n’avait visité. Ses autres doigts continuaient leur danse divine dans ma fente qui coulait comme une fontaine. Sans pouvoir me retenir, je gémissais de plus en plus.

— Tu vois que tu aimes...

— Oui, papi... continue...

Il ricana et son majeur rejoignit son index dans mon trou du cul. Des cris m’échappaient à mesure que je sentais ses doigts me fouiller.

— Goûte tes trous, salope !

Il fourra ses doigts dans ma bouche et je les léchai avec avidité.

— Tu mouilles tellement que je ne vais pas prendre de lubrifiant, décida-t-il.

— Quoi ?!

Mes yeux s’écarquillaient de terreur - comment une bite telle que la sienne pourrait rentrer mon cul vierge ?

Sa queue se posa sur ma rosette et, petit à petit, il entra dans mon anus. Je me crispai et des larmes coulèrent sur mes joues tant la douleur fut fulgurante. Sa bite me fendait en deux, j’avais l’impression d’être ouverte et dilatée comme je ne l’avais jamais été.

— Mmmm... j’aime les trous du cul vierges... gémit-il en s’enfonçant jusqu’à la garde. Ton père aurait du te baiser direct ton trou de balle.

Les vas et viens commencèrent, d’abord doucement, puis de plus en plus rapides. Mes cris de douleur cédèrent peu à peu la place au plaisir en même temps que papi caressait mon clitoris humide et gonflé. Ses râles de plaisir étaient bruyants et sa main libre pinçait mes fesses.

— C’est magnifique, souffla-t-il en se retirant et en observant mon derrière. Ton trou est béant.

Brutalement, il y enfonça à nouveau sa queue. A ce moment-là, il perdit le peu de contrôle qu’il possédait encore. Auparavant à genoux, il se leva pour s’asseoir presque sur moi tout en me baisant. Sa queue forait mon trou du cul et mes hurlements résonnaient.

— Regarde-toi, cria-t-il en attrapant mes longs cheveux noirs, regarde dans le miroir la pute que tu es !

Soumise, le visage rouge de pleurs, je me regardais en train de me faire baiser par mon grand-père. Je voyais sa bite entrer et sortir de mon cul, toujours plus violemment. Me chatte dégoulinait tant la honte de me voir ainsi m’excitait.

— Tu aimes te faire enculer, ma petite fille chérie ! Hein ! Dis-le !

— Oui j’aime ça ! Baise mon cul papi, baise-le !! Je veux être ton vide couilles !

Je devenais folle de plaisir, à la limite de l’inconscience tant ses coups de butoir limaient profondément mon anus encore vierge quelques instants plus tôt.

J’avais l’impression d’être une traînée et j’aimais ça.

— Je vais remplir ton cul de sperme pouffiasse ! Tu veux le sperme de papi ?

— Oui donne-moi ton jus !

Il gémit et je sentis son jus réchauffer l’intérieur de mon corps. Un dernier coup de rein conclut notre baise sauvage. Il se retira de mon cul et me tira vers lui.

— Embrasse-moi mon coeur.

Je m’éxécutai. Sa langue joua avec la mienne et je me laissai aller dans ses grandes mains chaudes et viriles. J’avais l’impression d’être minuscule dans ses bras.

— Ton trou du cul est à moi, chuchota-t-il, et il me tarde que ton père le découvre.
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