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Elisabeth s’éveille

Chapitre 11

Inceste
Assise à califourchon sur papi, j’embrassais mon amant incestueux à pleine bouche. Sa langue se mélangeait à la mienne, ses mains viriles étaient fermement posées sur mes fesses qu’il malaxait et écartait. De mes orifices élargis par ses incessants coups de bite, son sperme coulait lentement. Il bandait encore, son gland frottait mon clitoris. — Tu as encore envie ? lui demandai-je en léchant son cou. — Je ne peux pas me passer de tes trous ma puce. Je le serrai contre moi et m’enfonçai délicatement sur sa queue. Il soupira et je me mordis les lèvres. Ma chatte avala sa bite sans peine. — Il y a quelqu’un ? La voix de mon père retentit dans le couloir. Papi et moi échangeâmes un regard. S’il nous trouvait en train de baiser comme des fous, il se joindrait à nous. L’idée nous tentait. — Emma ?! Je sursautai, me levai et me couvris pudiquement d’un vêtement qui traînait par là. Précaution inutile et ridicule car la scène qui s’offrait sous les yeux ébahis et effrayés de ma petite sœur n’avait d’autre explication que la vérité crue et froide : j’étais en train de baiser avec notre grand-père. — On va... commença papi, mais papa leva la main. — Emma et moi avons fait l’amour cet après-midi, expliqua papa. Emma baissa les yeux, les joues rouges, incapable de nous regarder, papi et moi. — Notre petite Emma a aussi des besoins et elle s’est tournée vers son père pour les satisfaire... Vers moi, plutôt ! pensai-je en la sondant du regard en espérant croiser ses yeux bleus. Elle était décoiffée, ses vêtements étaient froissés. Depuis quand avait-elle envie de notre père ? Était-ce parce qu’elle avait compris que nous entretenions des relations charnelles ? Parce qu’il lui plaisait ? Après notre première fois dans le salon, Emma et moi avions partagé d’autres moments. Le lendemain matin, à peine remise de sa demande et de l’orgasme qu’elle m’avait offert avec sa petite langue agile, Emma était venue me rejoindre au lit et s’était assise sur mon visage. J’avais léché avec application et excitation sa petite fente trempée, tandis que la mienne s’humidifiait tout autant que la sienne. Nous avions partagé notre douche, sous laquelle elle m’avait doigtée. J’avais du jouir en silence pour éviter que papa nous entende, pensant qu’elle avait peur de sa réaction, comme elle me l’avait fait croire la veille. Mais cette petite salope était aussi tordue que nous !! — J’ai décidé qu’il était temps de lui avouer la vérité, dit papa. Je le regardai, puis papi. Ce dernier détaillait Emma, de ses petits seins en passant par son ventre plat et ses cuisses fines. Il bandait toujours. — Je baise avec papa et papi, dis-je simplement. Viens ici. Papi se leva, toujours nu, et s’éloigna du lit. Je m’y assis, nue également, et posai une main sur la cuisse d’Emma qui s’installa à côté de moi. Je la regardai attentivement : elle me fixait, ses yeux si bleus se dirigeaient vers mes seins tendus, mon corps marqué à certains endroits par les coups prodigués par papi quelques instants plus tôt. Je caressai ses cheveux blonds, tendrement. Elle était à peine plus jeune que moi mais elle ressemblait à une ado, j’avais envie de l’initier à nos jeux. Je me sentais terriblement perverse. — Et si on leur montrait ce qu’on aime se faire entre nous ? lui demandai-je en me penchant vers elle. — Entre vous ? fit papi. Papa resta silencieux. Alors, je pris ma sœur par le menton et me penchai pour l’embrasser. Ses lèvres étaient douces, parfumées et elles m’enflammèrent instantanément. Emma se laissa aller à mon baiser et me le rendit avec plus d’intensité. Sa langue se mêla à la mienne avec force. Je me mis à genoux face à elle, relevai sa jupe et ôtai son débardeur. Ma langue titilla ses tétons, j’adorais ses petits seins à peine formés. Elle gémit. Puis, ma bouche se dirigea entre ses jambes pour se poser sur sa chatte. Son clitoris était gorgé de désir et je pris plaisir à le caresser de ma langue. — Oh putain, soupira Emma en passant la main dans mes longs cheveux. — Regarde les, lui ordonnai-je. Regarde nos deux pervers pendant que je bouffe ta chatte petite sœur. Elle s’exécuta et j’accélérai les mouvements de ma langue sur son clitoris et le long de sa fente. J’aspirai sa cyprine et m’en délectai, elle avait un goût divin. Puis je fourrai ma langue dans son petit trou étroit et fis des vas et viens. Emma gémissait et haletait. Je baisais ma petite sœur avec ma langue face à notre père et grand-père, et j’adorais ça.
Je fis une courte pause pour me retourner : papa avait descendu son pantalon et se branlait, papi faisait de même en fixant Emma avec l’air d’un fauve prêt à bondir sur une charmante et frêle gazelle. — Continue, râla Emma. Je souris et me remis à l’œuvre. Emma s’allongea et écarta plus largement les cuisses. J’avais une vue imprenable sur sa belle petite chatte glabre. Elle mouillait abondamment. Soudain, je me mis à mouiller encore plus. Deux doigts s’étaient engouffrés dans ma chatte. Mes gémissements étaient étouffés mais je ne pouvais pas les retenir. Du coin de l’œil, je vis papi s’approcher et tendre sa queue : — Tu veux bien sucer papi, Emma ? — Elle est énorme, je ne sais pas si je vais réussir...— Tu apprendras. Emma ouvrit la bouche et inséra avec difficulté l’énorme gland de notre grand-père. Celui-ci lâcha un soupir et caressa ses cheveux et ses seins. — Essaie d’aller plus loin... Les lèvres de ma sœur glissèrent sur le chibre de papi mais elle les retira rapidement. Il est vrai que sa queue était longue et épaisse. Moi-même, je ne parvenais à la mettre bien en bouche qu’en forçant et avec son insistance. Ce qu’il ne se gêna pas de faire en appuyant doucement sur sa tête. — Eli, je veux te baiser, dit papa, qui fourrait aussi bien ses doigts dans ma chatte que dans mon cul. — Baise-moi, je suis trempée, chuchotai-je. Papa caressa ma chatte avec sa queue mais choisit de s’engouffrer dans mon anus. Je lâchai un cri de surprise avant de gémir comme une chienne. Bien dilaté après la baise anale avec papi, mon père s’y enfonça facilement. À genoux derrière moi, il ne tarda pas à faire comme son père plus tôt dans l’après-midi : il s’assit quasiment sur mon cul et plongea avec force sa queue dans mes entrailles. Je hurlai sous les coups de butoir, incapable de me concentrer sur la chatte de ma sœur. Celle-ci suçait toujours notre grand-père, des larmes roulaient sur ses joues a cause de la gorge profonde que lui infligeait papi. — Lèche encore ta sœur petite chienne, m’ordonna papa. Je veux voir ta langue sur sa chatte pendant que je t’encule. Je m’exécutai avec difficulté tant papa bourrait mon anus. Papi nous regardait avec émerveillement tandis qu’Emma continuait de le pomper en gémissant sous mes coups de langue. — Emma, tu veux que papi te baise ? — Mmmm oui... baise-moi... mais doucement... Pauvre chérie, si elle savait ! Papa m’attrapa par les cheveux et les tira en arrière alors que papi se plaçait entre les jambes d’Emma. Il la retourna sur le ventre et la plaça face à moi. — Quelle belle chatte de jeune fille, grogna papi en dirigeant sa queue vers elle. Délicatement, pour une fois, il s’enfonça en elle. Emma poussa un cri en sentant papi s’insérer en elle. Ses yeux bleus ne lâchaient pas le corps de papa collé au mien, ma bouche entrouverte. — Que tu es serré petite salope... grogna-t-il. Emma hurla quand papi s’enfonça d’un coup sec en elle et ses cris se transformèrent quand il se mit à la baiser profondément, avec passion, comme il le faisait avec moi. Papi accéléra ses mouvements de bassin et ses yeux brillèrent. Il prenait son pied comme le pervers qu’il était. — Ta bite est... trop grosse... tu me fais mal... — Mais non, ça va passer...Papa me détruisait littéralement le cul. Je ne sais pas si c’était le contexte, le fait d’avoir baisé Emma ou celui de voir son père pénétrer sa chatte, il ne m’avait jamais autant baisé. — Embrassez-vous petites chiennes, cria-t-il. Il poussa mon visage vers celui d’Emma et je lui roulais une pelle baveuse. — Je vais te remplir le cul Eli, déclara papa en nous voyant nous embrasser. — Je vais te baiser ton cul, dit papi à Emma. — Non !! hurla-t-elle. Pas tout de suite ! — Papa, laisse-la déjà se remettre de ça, le tempéra notre père. Papi tira les cheveux d’Emma en arrière et lui chuchota qu’elle n’y couperait pas. C’est à ce moment-là que papa cracha sa semence au fond de mon cul en un cri retentissant. Je jouis en sentant son jus chaud me remplir et le laissai se vider complètement dans mon trou du cul. Essoufflée, je changeai de position pour m’asseoir. Mon anus me faisait mal, je sentais qu’il était écarlate, mais le plaisir que j’en tirais à me le faire détruire était incomparable. J’aimais être souillée.   Papa me prit dans ses bras et nous regardâmes Emma et papi. A l’entendre haleter, je me doutais qu’il était sur le point de se finir. Il ne tarda pas à gémir et les yeux d’Emma se fermèrent, sans doute pour savourer le sperme brûlant de notre grand-père dans sa chatte. Il se retira doucement, claqua ses fesses et m’appela : — Eli, tu veux goûter mon jus ? Je hochai la tête et rejoignis Emma sur le lit. — Mets toi à quatre pattes ma chérie, lui chuchotai-je. Encore sonnée, elle s’exécuta. Papa en profita pour fourrer sa queue, à moitié dure, dans sa bouche. Il y fit des vas et viens, je caressai son dos, embrassai ses fesses et m’allongeai sous elle. — Assieds toi sur mon visage, grognai-je avec empressement. Fais-moi bouffer ta chatte. — Avec le sperme de papi ? demanda Emma en abaissant sa fente luisante vers moi. Je sortis ma langue et attrapai la semence de notre grand-père. Des doigts fouillèrent ma chatte, je me doutais que c’était les siens. Il n’attendit pas pour enfoncer son chibre au fond de moi jusqu’à taper mon utérus. Je poussai un cri et posai mes jambes sur ses épaules pour sentir sa bite le plus au fond possible. — Je peux te baiser mon bébé ? demanda papa à Emma. — Oui papa, Eli m’excite trop à bouffer mon petit minou. Emma pivota sur elle-même, se mit debout et notre père enfourna sa queue dans son antre. Elle avait une vue plongeante sur papi et moi. Celui-ci avait posé une main sur mon cou et me baisait violemment en m’insultant de tous les noms. J’étais comme folle, je réclamais sa queue avec des mots crus et vulgaires. Je voulais qu’il répande son jus dans ma chatte, je voulais qu’il me baise comme une pute et ne s’occupe que de son propre plaisir. J’étais son sac à foutre et j’adorais ça.  J’entendais les couilles de papa frapper contre le cul d’Emma et ma petite sœur crier de plaisir. — Tu es aussi chienne que ta sœur, hein, salope ? — Oui... oui papa... — Regarde nos deux traînées, dit papi en me giflant, regarde comme elles réclament nos queues. — Leurs trous sont à notre disposition, grogna papa en tirant Emma par les cheveux. Elle et moi gémissions de concert jusqu’à ce que nos deux mâles se vident. Papi répandit son jus au fond de ma grotte, papa mit Emma à genoux, enfourna sa queue dans sa bouche et se vida dedans sans la prévenir. Elle hoqueta mais avala tout comme une petite fille modèle. Elle vint s’allonger à côté de moi et nous nous embrassâmes. Son corps était aussi collant que le mien et dans ses yeux brillait un nouvel éclat de perversité. — Nous allons nous doucher, dit papa. Ensuite, on vous cuisinera quelque chose. Reposez-vous. Emma et moi approuvâmes le programme et restâmes là à nous embrasser et nous caresser tendrement jusqu’à notre douche commune.
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