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Elisabeth s’éveille

Chapitre 12

Inceste
Maman était rentrée depuis deux semaines. Si nous n’avions pas vécu ce week-end mémorable et que ses conséquences n’avaient aucune répercussion sur notre vie, j’aurais cru qu’il n’avait jamais existé. L’été touchait à sa fin, Emma et moi préparions notre retour à la fac, papa travaillait beaucoup trop à notre goût et maman avait posé des vacances, son week-end avec sa sœur ne lui ayant apparemment pas suffi.
Je n’avais pas revu papi depuis qu’il m’avait attachée et soumise dans ma chambre et que nous avions baisé tous les quatre. Par contre, Emma lui avait rendu deux visites. La seconde s’était soldée par un orgasme retentissant et des bleus un peu partout sur son corps mince et frêle. D’après son récit détaillé de leur baise, papi s’impatientait très nettement face à son refus obstiné de le laisser déflorer son anus. Emma tenait bon, effrayée par la taille et la largeur de son pénis, et soutenue par papa. Celui-ci n’avait pourtant pas fait tant de cas face à mon dépucelage anal. Il en avait été surexcité quand je lui avais raconté.
A cause de la présence constante de notre mère, nous devions tous les trois ruser pour nous trouver des moments torrides. Emma et moi y parvenions assez aisément. Elle avait l’habitude d’emprunter, déjà avant nos ébats, la salle de bain attenante à ma chambre. Les deux pièces étaient devenues notre terrain de jeu et, ironiquement, notre mère s’enthousiasmait de nous voir si proches. Nous prenions notre douche ensemble, l’aînée câlinant la plus jeune. J’adorais faire mousser le savon sur sa peau douce et délicate, embrasser chaque recoin de son corps, faire glisser mes doigts sur son clitoris gonflé en la rinçant à l’eau brûlante. Emma était une amante passionnée et réclamait les orgasmes autant que moi. Le mieux était quand nous finissions allongées sur mon lit ou directement par terre, en 69, sa petite chatte posée sur mon visage, sa langue fouillant la mienne. Sa cyprine avait un goût sucré et j’adorais en avoir plein la bouche.
Par contre, il était difficile de trouver des moments avec papa. Emma y parvenait mieux que moi. N’ayant pas le permis, elle profitait de ses week-ends pour lui demander de l’emmener faire des emplettes et leurs sorties se terminaient forcément par une partie de jambes en l’air dans la voiture, à l’abri des regards. Je bouillais de rage quand je les voyais entrer, Emma décoiffée et rouge pivoine, papa, les traits détendus, pendant que maman ne me lâchait pas. Elle avait décidé de me préparer activement à la rentrée et s’était donnée pour mission de me faire entrer dans le droit chemin - plus d’alcool, de sorties, de mauvais garçons. Je crevais d’envie de lui balancer que son mari en était un et qu’il la trompait avec moi, mais je me retenais. Heureusement, papa ne lui faisait plus l’amour, je ne les avais plus jamais entendus.
Un soir, nous étions installés au salon, papa, maman et moi. Emma était sortie avec sa meilleure amie. L’été touchant à sa fin, les soirées se faisaient plus fraîches. J’étais installée contre papa, entre ses jambes, couverts tous deux par une fine couverture. Maman était assise sur le fauteuil, ne se doutant pas un seul instant qu’à quelques pas, papa caressait mes tétons sous mon débardeur. Mes deux petits boutons durcissaient sous ses doigts experts et, entre mes cuisses, ma petite chatte devenait humide. Papa faisait délicatement glisser ses doigts sur ma peau, brûlante et avide de ses mains. Quand ils s’approchèrent de mon short, je retins mon souffle. Sa main passa sous l’élastique pour se poser directement sur mon minou tout lisse - je ne portais pas de culotte. Il marqua un temps d’arrêt, sans doute surpris de ne pas avoir de sous-vêtement à toucher. Puis, un doigt glissa sur ma fente. Je me raclai la gorge et déglutis péniblement pour me donner une contenance.
Je mourais de chaud à présent, mais je ne pouvais pas ôter la couverture, car maman était là. Le majeur de papa allait et venait sur mon clitoris turgescent. Enfin, il me pénétra aussi doucement que si j’étais vierge et je savourai l’entrée douce de son doigt en moi. L’érotisme de l’instant était magique : autant j’avais besoin de brutalité et de soumission, autant cette délicatesse me faisait mouiller et m’excitait comme jamais.
Papa ajouta un second doigt et entreprit un va-et-vient plus rapide. Je sentais la jouissance monter en moi, je me mordais la lèvre, j’avais l’impression que ma respiration haletante était audible et, qu’à chaque seconde, maman allait se lever, arracher la couverture et nous mettre face à notre inceste.
— Ce film est vraiment inintéressant, dit papa d’une voix forte.
Sa phrase intervint au moment de ma jouissance et j’en profitai pour fermer les yeux et me recentrer. La tête me tournait.
— Je crois que je vais aller me coucher, répondit maman. — Déjà mon amour ? — Comme tu l’as dit, c’est vraiment bof comme histoire, et il n’y a rien d’autre à la télévision... même Eli s’endort.
Elle tourna la tête vers moi. Mes yeux étaient effectivement fermés, mais pas pour la même raison.
— Tu devrais aussi aller dormir, me conseilla-t-elle. Tu reprends les cours dans peu de temps.
— Je fais juste un zapping, murmurai-je.
Maman soupira, se leva et embrassa papa. Celui-ci lui rendit son baiser et lui promit de ne pas tarder.
— Et puis laisse ton père tranquille, dit-elle, tu n’as plus l’âge des câlins devant la télé !
Elle quitta le salon, je tendis l’oreille et j’entendis la porte de leur chambre à coucher se fermer. Papa arracha la couverture et tourna mon visage vers lui pour m’embrasser passionnément.
— Eli, enfin, tu es à moi, soupira-t-il.
Je ne répondis pas, plongée dans notre baiser. Sa langue joua avec la mienne, la caressa, s’y noua. Il mordilla ma lèvre. Sa main me tenait fermement.
— Lève-toi mon ange, m’ordonna-t-il.
J’obéis et me postai devant lui. Mes longs cheveux noirs étaient ébouriffés, mon débardeur moulait mes seins opulents, mon minishort couvrait à peine mes fesses rebondies. Papa se déshabilla et je me délectai de ses bras musclés, de sa peau mate et de sa verge, dure et dressée, qui n’attendait que moi. Docilement, je me mis à genoux face à lui. Mes lèvres se posèrent sur son gland et je le léchai avec concentration. Papa laissa aller sa tête en arrière et soupira longuement.
— Ta bouche m’a manqué...
Je fis monter et descendre mes lèvres sur son chibre, le poussant au plus profond de ma gorge. De l’autre main, je malaxai ses couilles, avant de les mettre en bouche. Je les avalai goulûment, gourmande et affamée de lui. A la seconde gorge profonde, papa serra ma peau et se crispa.
— Eli, tu suces mieux que personne.
Je m’écartai de lui, lui souris, coquine, et me remis debout. Dos à lui, je fis délicatement glisser mon short au sol, me penchant pour lui montrer mes fesses et lui offrir une vue sur mes deux orifices humides et ouverts d’excitation. Papa m’assena une fessée retentissante et pinça ma peau. Je couinai, surprise, mais excitée par sa brutalité. Puis, j’enlevai mon débardeur et me cambrai, nue, offerte, mes cheveux chatouillant mes reins.
— Grimpe sur moi, grogna-t-il.
Je me reculai pour m’empaler, dos à lui, sur sa queue raide. Je me laissai brutalement tomber sur sa bite, elle s’enfonça dans ma chatte et je retins un cri.
— Vas-y, baisse-toi mon bébé.
Je m’empressai de satisfaire ses désirs. En appui, je sautillai sur sa queue, montant et descendant. Ses mains étaient fermement posées sur mes seins, titillant mes tétons. Il grognait doucement, je gémissais quasiment en silence, discrétion oblige. Affamée de sa bite, je me baisais de plus en plus violemment, transpirante et rouge d’effort et de plaisir.
— Je vais jouir papa, chuchotai-je.— Jouis petite pute, jouis sur papa.
Je me mordis les lèvres et m’empalai une dernière fois sur son pénis, mes jambes flageolant sous l’effort et l’orgasme.
— C’était bon mon amour ? chuchota-t-il à mon oreille.— Oui papa... encore... baise-moi encore...
Je me levai et me mis à quatre pattes par terre, les fesses cambrées, le visage collé au sol. De mes mains, j’écartai mes deux globes fermes :
— Prends le trou que tu veux, le suppliai-je. Je veux encore jouir.— Tu es une vraie salope, je vais te déchirer, accroche-toi.
J’attendis avec impatience et les deux secondes qu’il prit pour enfoncer son pénis au fond de ma chatte me parurent durer une éternité. Il y entra violemment et je me retins de hurler, il m’avait fait mal. Papa grognait et gémissait, se défoulait dans mon trou en s’agrippant fermement à mes hanches. Ses coups de reins me firent tomber et je me retrouvai allongée sur le ventre, mon père défonçant à grands coups la chatte de sa fille.
— Ton trou m’avait manqué, tu mouilles tellement, tu encaisses bien hein...— Oui... je... papa... vas-y... oh putain...
Il posa une main puissante et ferme sur ma gorge.
— Tu prends ton pied sur ma queue, hein ? Tu es une vraie traînée, je l’ai toujours su...
Ses insultes et sa main sur mon cou me firent à nouveau jouir. Je fermai les yeux, perdant à moitié connaissance. La peau de papa collait à la mienne et ses grognements s’amplifiaient. Il allait jouir.
— Tu vas avaler mon jus ?
Il se retira, me retourna et se vida sur mon visage. Son sperme chaud et épais m’éclaboussa. Je fermai les yeux, souillée du jus de mon propre père.
— Récupère-le avec tes doigts, ne le gâche pas.
J’obéis et raclai ma peau. Je suçai mes doigts en le fixant effrontément. Il me sourit et m’attira contre lui.
— Je t’emmène au lit ?
Je hochai la tête et nous allâmes dans ma chambre. Sur mon lit étaient posées deux boîtes.
— Qu’est-ce que c’est ? demandai-je quand il ferma la porte.— Un plug et un gode ceinture.
Je l’interrogeai du regard en nettoyant mon visage.
— Il est temps qu’Emma offre son anus et je veux que tu la prépares avec le plug. — Pourquoi moi ?— C’est vers toi qu’elle s’est tournée la première fois. — Je croyais que papi devait la dépuceler.— Elle ne supportera pas. — Tu ne t’es pas tant posé de questions pour moi.
Je m’assis sur le lit et fis la moue, comme une petite fille.
— Mon ange serait-il jaloux ? rit papa en s’asseyant à côté de moi. — Tu lui fais plus l’amour qu’à moi. — Ta mère ne te lâche pas d’une semelle !
Il avait raison.
— Et le gode ceinture ?— Je suis sûr que tu as envie de la prendre. Tu aimes être dominée par papi et moi, mais tu aimes pervertir ta petite sœur.
Je souris, encore une fois, il avait raison.
— Je vais faire en sorte d’emmener ta mère quelque part pour que tu aies le temps de baiser notre petite Emma. D’accord ?
Je hochai la tête.Papa se leva, se dirigea vers la porte puis revint vers moi. Il me prit dans ses bras et m’embrassa passionnément.
— Je t’aime comme un fou, Eli. Tu me fais revivre. — Et Emma ? — Je l’aime aussi, je l’aime comme un père aime sa fille. Mais toi, je t’aime comme je ne devrais pas t’aimer.
Mon cœur se serra et je me rendis compte que je partageais ses sentiments. Tout avait commencé par du sexe, je raffolais d’être pénétrée et abusée par papi, mais j’aimais papa comme une fille ne devrait jamais aimer son père. Nous nous embrassâmes et il sortit de la chambre.
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