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Elisabeth s’éveille

Chapitre 14

Inceste
La rentrée à la fac se déroula au mieux. Emma y retrouva ses amies du lycée, j’y retrouvai les miens. Chacune, de notre côté, avions eu droit aux mêmes questions : comment s’étaient déroulées les vacances, quelles sorties nous avions faites, et, surtout, avions-nous rencontré des mecs avec qui s’envoyer en l’air. Emma, tout comme moi, restâmes évasives. Les vacances avaient été bonnes, mais nous n’avions pas d’anecdotes croustillantes à raconter sur nos conquêtes alors que, dans nos têtes se déroulait le film brûlant de nos ébats incestueux. C’était là notre plus grand secret.
Maman était retournée travailler, papa continuait à enchaîner de longues journées de travail. Papi, quant à lui, avait eu un problème avec sa voiture qui tardait à être réparée : cela nous donnait des excuses toutes trouvées, à Emma et moi, quand nous avions envie d’une séance intense et brutale de baise. Parfois, papa arrivait à se libérer pour nous accompagner. Ainsi, Emma et moi avions nos deux hommes à disposition pour nous satisfaire. Quant à eux, ils étaient ravis de pouvoir limer nos petites chattes affamées, goûter à nos seins tendus, expulser leur jus chaud sur nos corps. Plus nous pratiquions, plus nous en avions envie. Déjà insatiable, je devenais accro au sexe, à l’orgasme, à leurs longues et larges queues dures et puissantes.
Pas un jour ne se déroulait sans que je finisse par jouir : seule dans ma chambre à l’aide de mes doigts ou de mes jouets, avec Emma sous ses coups de langue et ses doigts agiles, ou bien sautillant sur le sexe dressé de mon père ou de mon grand-père - les deux quand nous nous retrouvions tous les trois. Le rythme effréné de leurs coups de reins poussant leur verge au plus profond de mes orifices me faisait trembler de la tête aux pieds, parfois jusqu’à voir flou et ne plus être capable de réagir tant le plaisir était intense et violent.
Un mercredi soir, papa et Emma étaient partis chez papi. Le mercredi était le jour que nous avions choisi pour aller faire ses courses, à tour de rôle, dîner chez lui et finir dans son lit ou n’importe où dans la maison, nue et soumise à ses envies irrépressibles. Ce mercredi-là, c’était au tour de ma petite sœur. Papa l’accompagnait, chaud et tenté par un plan à trois. Je restais donc seule à la maison, avec maman.
Celle-ci vaquait à ses occupations : elle prépara le dîner, que nous mangeâmes dans un silence quasi complet, alla prendre une douche qui me parut bien longue, téléphona à sa sœur. J’étais confortablement installée au salon, plongée dans un livre pour la fac, quand elle m’appela de sa voix impétueuse et autoritaire.
— Oui ?! criai-je. — Viens me rejoindre. — Je suis occupée, maman ! Je t’ai dit que je travaillais ce soir. — Elisabeth, viens dans ma chambre.
Quand ma mère, ou quiconque, utilisait mon prénom complet, cela signifiait souvent que je n’avais guère le choix. C’était un ordre. J’abandonnai mon livre en soupirant et me dirigeai vers la chambre de mes parents. Dans la pénombre, car la nuit tombait de plus en plus tôt en ce mois de septembre, j’allai à petits pas rejoindre ma mère et, sans doute, une dispute. Maman m’attendait, assise sur leur lit, jambes croisées. Elle portait un peignoir en soie étroitement serré autour de sa taille de guêpe. Elle n’était pas maquillée, mais cela n’entachait en rien son physique - sa peau était toujours aussi lisse. Impeccablement coiffée, elle me toisait de ses yeux bleus et perçants et à côté d’elle... mes jouets. L’intégralité de mes sex-toys. Je restai muette, les yeux fixés sur la preuve irréfutable de ma vie sexuelle.
— Ai-je droit à une explication ?
Je secouai la tête. Maman savait que j’avais une vie sexuelle, mais, comme tous sujets sensibles avec les parents, ne pas la voir étalée sous leurs yeux était bien mieux pour la paix du foyer. Et pour ma paix intérieure.
— Qu’est-ce que c’est ?
Je ne sus que répondre à cette question rhétorique.
— Elisabeth, j’attends une réponse. — Je... dis-je doucement en me raclant la gorge.
Maman désigna les premiers jouets : trois sex-toys, dont deux qui vibraient et titillaient admirablement bien mon clitoris en même temps que je les enfonçais en moi.
— Ceux-là, je les connais. Je les avais déjà vus.— Comment ça ? — Tu crois que je ne surveille pas tes petites affaires ? Que je ne t’entends pas quand tu te masturbes ?
Je baissai la tête comme une petite fille prise sur le fait d’une énorme bêtise.
— Mais ça ? cracha-t-elle en désignant les deux autres jouets.
Elle montrait le plug anal d’Emma et le gode-ceinture.
— Je n’aurais jamais cru que ma fille puisse finir par pratiquer ce genre d’actes.
Elle se leva, le gode-ceinture dans la main :
— Et ça ? Tu es lesbienne ?
Je pouffai, tant par moquerie que de stress.
— Ça te fait rire ? — Utiliser un gode-ceinture ne fait pas de moi une lesbienne, tu devrais avoir l’esprit un peu plus ouvert.
Elle se précipita sur moi et sa main s’abattit sur ma joue. Ses yeux lançaient des éclairs.
— Ouvert au point d’accepter que tu baises avec ton père ?
J’ouvris la bouche, sous le choc.
— Tu crois que je ne vois rien ? J’avais déjà des soupçons avant de partir en week-end avec ta tante, mais ça s’est confirmé quand je suis rentrée. Toujours collée à ses Basques, à réclamer des câlins, des attentions. Il te défend toujours. Et sa manière de te regarder...
Elle me jaugea de la tête aux pieds, ses yeux s’attardant sur mes seins.
— Il te regarde comme une petite pute qu’il voudrait baiser dans l’instant. — Tu es... tu es complètement folle. Je l’ai toujours su.
Ma voix tremblait.
— Ne me prends pas pour une imbécile, cria-t-elle. Avec qui utilises-tu cette chose ? Tes copines ? Les garces avec qui tu sors te saouler avant de coucher avec le premier venu ?
J’évitai son regard, mais elle attrapa mon menton pour me forcer à la regarder.
— Je... non... pas avec elles... — Qui ?! — Ne me frappe pas..., suppliai-je. — Je fais ce que je veux, rit-elle, je suis ta mère.
Ma voix restait coincée dans ma gorge. Je voulais éviter son regard, m’extirper de cette situation, mais je n’y parvenais pas.
— C’est avec... avec... Emma...
Maman me lâcha, me fixa, ébahie, posa le gode sur le lit. Ses yeux brillaient d’un éclat que je ne lui connaissais pas. Elle s’approcha à nouveau de moi pour me tourner autour.
— Tu pervertis ta petite sœur ? chuchota-t-elle à mon oreille en passant la main dans mes cheveux. — C’est elle qui...
Une claque retentissante atterrit sur mes fesses. Je poussai un cri, prête à tout expliquer, mais elle reprit :
— A force de voir sa grande sœur à l’œuvre, alors que tu devrais être son modèle, tu lui as donné des idées...
La main qui m’avait frappée était restée posée sur mes fesses et les malaxait doucement. Maman était toujours pressée contre moi, ses lèvres près de mon oreille.
— Qui se fait baiser de vous deux ? demanda-t-elle. Qui baise l’autre avec le gode ? — M... moi... — Pourtant, tu m’as l’air d’aimer être soumise, hein, Eli ? ajouta-t-elle en remontant brutalement le tee-shirt qui couvrait mes seins.
Ses bras passèrent autour de mon corps et ses mains se posèrent sur ma poitrine. Ses doigts attrapèrent mes tétons et les triturèrent. Elle les fit rouler, lentement, me faisant trembler.
— C’est papa qui te soumet, alors ? Il soumet aussi Emma ? — O... oui maman.
Ma mère lâcha mes tétons pour faire glisser mon pyjama à mes pieds. Comme d’habitude, je ne portais pas de culotte. Je me retrouvai donc quasiment nue, dans la chambre de mes parents, ma mère s’amusant à un jeu que je n’avais pas prévu.
— Qui d’autre ? — Personne...— Qui ?!
Maman me pencha un peu en avant et je me retrouvai légèrement cambrée face à elle. Une claque vint rougir mes fesses. Je me retins de gémir. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait, je n’arrivais pas à comprendre comment ma mère était arrivée à toutes ces conclusions et, pire encore, pourquoi elle avait choisi de me mettre au pied du mur de cette manière. Toute mère normale aurait pleuré, hurlé, demandé à son mari et aux filles pécheresses de quitter la maison. Aucune n’aurait fessé sa fille, caressé ses seins... et quoi encore ?
— Pa... papi.
Maman rit légèrement et se mit à genoux derrière moi.
— Quel pervers celui-là... ça ne lui a pas suffi de baiser sa belle-fille, apparemment. — Quoi ?! criai-je en me relevant.
Maman assena une énième fessée sur mon cul dont la peau commençait à brûler. Je me remis en position, sagement, mon cerveau fonctionnant à plein régime.
— J’ai longuement profité de la magnifique queue de ton grand-père, expliqua-t-elle en caressant mes fesses et en les écartant. Et puis, nous avons arrêté. Il préfère la chair fraîche maintenant et... je le comprends.
Maman s’approcha et je sentis le bout de son nez frotter à peine mes parties intimes.
— Tu es toute mouillée petite pute.
Elle s’approcha encore et je sentis le bout de sa langue se poser sur ma fente que je sentais humide et que je savais luisante. Notre conversation et son comportement m’avaient excitée au plus haut point. L’idée ne m’avait jamais effleuré, comme avec Emma, même si je devais bien reconnaître que ma mère était une belle femme. Mais nos relations compliquées ne m’avaient bien évidemment jamais aidée à imaginer ce genre de rapports.
— Maman... tu ne peux pas... gémis-je en me penchant pourtant davantage. — Toute la famille te baise et te passe dessus et moi, ta propre mère, je n’aurais pas le droit de m’amuser avec toi et de t’utiliser ?
Et, sans attendre de réponse, elle plongea sa tête entre mes cuisses pour lécher mes chairs intimes. Des gémissements me parvenaient, ma propre mère était excitée en mangeant ma petite chatte ! C’était du délire.
— Tiens tes fesses bien écartées, m’ordonna-t-elle.
Je m’exécutai, toujours cambrée et offerte à cette perversité nouvelle. Maman dévorait littéralement ma chatte, s’abreuvait de mon jus, je coulais littéralement dans sa bouche et sur son visage. Quand sa langue passa de mon clitoris à l’intérieur de mon petit trou brûlant, je hurlai mon plaisir. Elle me pénétrait avec sa langue experte et chaude, c’était délicieux.
— A quatre pattes, dit-elle.
J’obéis, les jambes flageolantes, car proche de l’orgasme. Maman s’allongea et me poussa vers elle. Je me retrouvai assise sur son visage, mes hanches se balançant d’avant en arrière pour mieux sentir sa langue en moi. Je transpirais, mon souffle devenait de plus en plus court.
— Joue avec tes seins !
J’attrapai mes deux mamelles dures et tendues et fis tourner mes tétons. Je criai, la suppliai d’aller plus vite... jusqu’à ce qu’un cri déchirant perce la quiétude de la maison. Mes jambes tremblèrent et, pantelante, je m’assis à même le sol. Un courant d’air frais rafraîchit mon entrejambe brûlant et je sentais la cyprine m’inonder. Maman se leva et me regarda, satisfaite, comme si elle venait d’achever une belle proie. Elle s’assit sur le lit, dénoua la ceinture de son peignoir et écarta les cuisses.
— Maintenant, lèche-moi. — Je ne sais pas...— Bien sûr que si ! Tu lèches ta sœur, tu sais faire jouir une femme. Et je meurs d’envie de souiller ta petite bouche de pute.
Elle m’attrapa par les cheveux et approcha mon visage de son minou. Une fine bande de poils ornait son pubis à la peau blanche. Sa chatte ressemblait à celle d’Emma - petite, elle avait l’air serrée.
— Maman, je ne veux...— Fais-le !
A contrecoeur, je m’approchai encore plus et sortis timidement ma langue pour la poser sur son clitoris gonflé et apparent. Maman poussa un soupir d’aise et lâcha mes cheveux. Elle s’appuya sur ses coudes et me contempla longuement : que pensait-elle tandis qu’elle voyait sa fille, son aînée, qu’elle avait chérie dès sa naissance, à genoux face à sa chatte qui ne réclamait que jouissance ? Que se dit-elle quand elle me vit lui enfoncer deux doigts tout en faisant des mouvements circulaires avec ma langue sur son clitoris ? Réfléchit-elle aux conséquences quand, excitée et passionnée par mon ouvrage, j’écartai ses lèvres pour enfoncer plus profondément ma langue dans son antre humide et chaude ?
Je ne sais pas, mais elle se répandait sur mes lèvres, mon visage et criait son plaisir encore plus fort que quand je l’avais vue se faire prendre par papa. Ses yeux bleus brillaient de victoire en constatant la dépravation dans laquelle sa fille se confondait, sous ses yeux, à cause d’elle. Comme une preuve qu’elle avait toujours eu raison.
Je la fis jouir et elle se pencha pour m’embrasser. Elle gémit en goûtant son jus sur mes lèvres puis me fit mettre sur le lit, en levrette.
— Que fais-tu ? lui demandai-je en la voyant enfiler le gode-ceinture.— Je vais tester ce petit objet, bécasse ! — Non !! protestai-je, en criant cette fois.
Une seconde gifle s’abattit sur ma joue et les larmes me montèrent.
— Tourne-toi et écarte tes fesses. — Maman... tu vas trop loin... — Pas toi en couchant avec ton père ? Ton grand-père ? Ta sœur ? Ne fais pas la vierge effarouchée. Tu as tout d’une catin.
Muette face à tant d’agressivité et de vérité, j’obéis, me plaçai à quatre pattes et écartai mes lobes. Maman monta sur le lit et fourra sa langue dans mon anus jusque-là délaissé.
— Quel bon petit cul..., ton grand-père doit adorer... et ton père aussi, lui que je n’ai jamais laissé m’enculer. Il a trouvé la pute pour ça.
Maman cracha sur ma rondelle et, doucement, enfonça le gode dans mes entrailles. Je hurlai sous l’intrusion dont l’effet était bien différent d’un vrai sexe.
— Tais-toi ! Tu as l’habitude, ça rentre tout seul ! — Maman... j’ai mal...— Ça va passer.
Maman posa fermement ses mains sur mes hanches et colla son corps au mien, me perforant avec le gode ceinture. Des larmes roulèrent sur mes joues, moi qui adorais pourtant me faire sodomiser. Je me sentais souillée et utilisée comme cela n’avait jamais été le cas. Elle accéléra ses mouvements et une main se posa sur mon sexe pour caresser, en même temps, mon clitoris. Je fis de mon mieux pour me détendre et apprécier son doigt sur mon bouton.
— Tu t’ouvres de mieux en mieux, gémit-elle. Tu aimes ça, hein ?— O... oui... — Dis-le. — J’aime ça... — Qu’est-ce que tu aimes ? — Quand maman me baise...
Elle rit et accentua ses coups de queue, qui se firent plus profonds et violents.
— Je te saute enfin, jubila-t-elle, je peux enfin goûter à ma petite chienne comme ton père. — Maman..., criai-je, baise-moi, je t’en prie, défonce-moi !
A nouveau, comme sous les assauts de papi, je me transformais. La douleur mêlée au plaisir me rendait dingue. Je suppliais à présent ma propre mère de m’enculer et j’adorais ça. Maman s’en donnait à cœur joie, brutale et violente, comme si elle me punissait pour toutes les disputes que nous avions eues ces dernières années.
— Jouis ! ordonna-t-elle. Je veux que ton cul jouisse sur ma queue ! — Oui ! Oui plus loin, baise-moi, baise la pute que tu as faite !
Maman donna quelques derniers coups qui furent fatals puis me laissa, chancelante, comme anesthésiée, me remettre de mon orgasme. Je sentais mon anus ouvert et rougi, ma fente dégoulinante. Cette fois, j’étais devenue la pute de la famille. Plus aucun doute n’était permis.
Le même soir...
Serein et excité, j’attendais impatiemment Ivan, mon fils, et Emma, ma délicieuse et délicate petite-fille. Toutes les conditions étaient réunies pour que nous passions une bonne soirée, chaude et érotique.
Elisabeth était restée à la demeure familiale, fatiguée à cause de la reprise des cours. Je savais également qu’Anne, ma douce belle-fille, la plus cochonne des belles-filles qu’Ivan m’avait présentée, comptait lui révéler qu’elle savait tout des petits secrets de son aînée. Bien évidemment, je n’étais pas étranger à cette mise en scène.
Anne et moi avions, depuis quelques années, compris que nous nous plaisions mutuellement. Elle était petite, blonde, au corps parfaitement proportionné. Elle avait ce côté bourgeois qui m’excitait terriblement tant elle cachait bien son jeu. Or, mon expérience de la vie et des femmes m’avait appris qu’il fallait se méfier de l’eau qui dort. Ainsi, il ne m’avait pas fallu beaucoup de temps et de moyens pour réussir à enfoncer mon pénis tout au fond de sa vulve chaude et accueillante. Je ne peux pas dire qu’il s’agissait d’une relation suivie, car elle était largement satisfaite par mon fils et nous ne nous voyions que ponctuellement, quand l’occasion se présentait ou l’idée de se vautrer dans la débauche se faisait trop pressante.
Ma belle-fille était donc venue se plaindre, quelques jours plus tôt, que mon fils la délaissait et, tout d’un bloc, m’avait demandé si j’étais au courant d’une éventuelle infidélité. J’étais resté con et elle l’avait remarqué. Impossible de faire marche arrière. Je la vis donc se mettre à tergiverser, à conjecturer, à réfléchir : qui pouvait bien avoir mis le grappin sur son mari et, surtout, quand ? Il ne sortait jamais avec des amis ou suffisamment rarement et à des heures raisonnables pour ne rien soupçonner. Si elle s’interrogeait, c’était avant tout, car il ne la touchait plus ou très peu, ce qui ne lui ressemblait guère. Elle m’avait supplié de lui dire tout ce que je savais, au nom de notre proximité et des chaudes heures que nous avions connues dans les bras l’un de l’autre.
J’avais tout révélé - j’avais surpris Eli et Ivan au fond du jardin, plusieurs semaines plus tôt ; j’avais baisé Eli le lendemain ; nous formions un trio obsédé et débauché. Et, dernièrement, Eli avait même initié sa petite sœur à nos jeux érotiques.
Anne était restée silencieuse tout d’abord et avait baissé la tête. Je m’attendais à des cris, des pleurs, tout ce que j’aurais difficilement pu soulager, mais que j’aurais compris. Il n’en fut rien. Un rictus pervers et vengeur s’était formé sur ses lèvres pulpeuses et roses. A partir de là, nous avions manigancé. Elle m’offrait Emma ce soir-là et, surtout, sa virginité anale, tandis qu’elle s’occuperait d’Eli. Plus notre plan se dessinait dans mon esprit, plus j’avais le sentiment qu’Anne, Ivan et moi resserrions notre emprise sur ces deux jeunes filles tout aussi perverses et affamées de jouissances que nous.
Bref, j’en étais là quand Ivan et Emma sonnèrent à la porte. Je les fis entrer - j’avais prévu un petit dîner simple agrémenté d’une bonne bouteille de blanc. Emma entra la première et s’installa sur une chaise de la longue salle à manger. Elle portait une robe moulante, noire, des collants et une paire de bottines à talons. Ses longs cheveux blonds étaient parfaitement lisses et glissaient dans son dos. Ivan et moi échangeâmes une accolade et un clin d’œil puis nous la rejoignîmes à table.
Je débouchai la bouteille, nous servis de généreux verres et le dîner.
— J’ai quelque chose à vous annoncer, dis-je. — Quoi donc ? s’interrogea mon fils en dévorant son repas.— Anne est au courant.
Emma en fit tomber sa fourchette, qui se fracassa sur l’assiette. Elle mangeait peu en temps normal or, là, elle ne reprit même pas son dîner. Elle avait blêmi.
— Quoi ? coassa-t-elle. — Elle soupçonnait quelque chose, expliquai-je. Tu ne la touches plus, précisai-je à mon fils.
Emma rougit et je trouvai cela mignon - nous baisions tous ensemble comme des bêtes et, pourtant, elle était gênée d’entendre des détails sur la vie sexuelle de ses parents.
— Elle exagère ! répondit Ivan. Je la touche moins. Il faut dire que...
Son regard se perdit sur le corps d’Emma.
— Bref, elle a compris. Je lui ai tout avoué.— Mais pourquoi ?! cria ma petite-fille.— Parce que ça ne sert à rien de mentir, répondit papa. De toute manière, nous aurions fini par ne plus être assez discrets... — Mais... — Elle ne te dira rien, la rassurai-je. Ce soir, elle va...
Je laissai ma phrase en suspens, priant pour qu’ils comprennent d’eux-mêmes.
— Avec Eli ? chuchota Emma.
Je hochai la tête, souriant. Ivan se racla la gorge, posa sa fourchette et sa main se posa sur son pantalon. Le pervers !
— Je lui ai aussi dit la vraie raison de votre visite, ajoutai-je.
Emma mit la tête dans ses mains et gémit qu’elle allait se faire disputer. Je ris de bon cœur :
— Mon bébé, ta mère est sans doute en train de jouir sous la langue de ta sœur, tu peux te laisser aller au plaisir aussi ce soir.
Emma me regarda puis jeta un œil à son père. Elle avait l’air de penser qu’elle avait atterri dans une maison de fous, se demandant sans doute comment elle en était arrivée là.
— Tu veux un dessert ? lui demandai-je en me levant pour débarrasser la table.
Elle hocha la tête. Je partis à la cuisine, posai tout sur un plan de travail et revins pour m’asseoir à la place que je venais de quitter.
— Moi, j’ai très envie d’un dessert, déclarai-je en la fixant. Viens t’asseoir ici.
Je tapotai la table face à moi. Emma soupira, se leva et s’assit sur la table. J’inspirai, dominé par son petit corps qui n’attendait que mes caresses. Enfin, elle était à moi.
— Ecarte tes jambes, ordonnai-je.
Elle obéit, me fixant toujours, se mordant les lèvres. Ses cuisses s’ouvrirent, révélant un collant fendu sur sa petite fente rose et lisse.
— C’est un nouvel achat, couina-t-elle.— Papi aime beaucoup, grognai-je.
Je m’approchai d’elle et posai mes mains viriles et puissantes sur ses cuisses fines et musclées. Elle tressaillit à mon contact. Je caressai sa peau, fis glisser mes lèvres de ses jambes à son petit minou, y déposai une myriade de baisers. Emma lâcha un profond soupir en sentant mes lèvres s’approcher de sa partie la plus intime. Sans plus attendre, je m’y engouffrai férocement en posant ma langue sur son clitoris gonflé. Elle cria - déjà ? Je fis tournoyer ma langue sur son bouton, aspirai ses petites lèvres, la fourrai au fond de son trou étroit et humide. La petite coquine, quelques minutes plus tôt embarrassée par mes révélations, se délectait à présent de la langue de son papi entre ses cuisses fermes et largement ouvertes. Je me reculai pour admirer le spectacle :
— Regarde, ma chérie, ton papa apprécie.
Ivan avait déboutonné et descendu son pantalon de façon à libérer son sexe long et dressé. Sa main s’activait dessus en contemplant son propre père goûtant à sa progéniture. Je déchirai violemment les collants d’Emma et tirai sa robe pour libérer ses petits seins. Ses tétons dressés réclamaient ma langue, j’y mis mes dents et la petite cria de surprise. A demi-nue face à moi, elle était un appel au sexe.
Je sortis ma queue et la fourrai brutalement au fond de son antre. Emma grimaça en sentant mon sexe large et dur s’enfoncer tout au fond d’elle. J’entrepris des va-et-vient amples et profonds en savourant ses glapissements sous mes assauts de mâle affamé.
Ivan s’était levé et avait fourré sa queue dans la bouche d’Emma. Elle l’avala goulûment, regardant son père avec perversité et excitation. La voir sucer ardemment mon fils m’enflamma encore plus et, à l’inverse, Ivan ne quittait pas des yeux ma queue qui limait sa petite chatte de nymphette. Nos grognements se mêlaient à ses gémissements de petite pute en chaleur.
— C’est bon mon amour ? lui demanda Ivan.— Mmmmm... oui..., répondit-elle quand il ôta sa queue quelques secondes de sa bouche avant de la renfoncer brutalement.
Emma s’étouffa, des larmes perlèrent au coin de ses yeux et roulèrent sur ses joues plus son père s’enfonçait dans sa gorge.
— Prends-la sur le canapé, dis-je à mon fils. Sinon je vais jouir.
Ivan ne se fit pas prier deux fois, porta Emma jusqu’au canapé où elle se jucha sur sa bite. Elle se mit à sautiller dessus, transpirante et rouge, comme possédée par l’envie et le besoin irrépressible de jouir.
— Tu aimes te baiser, lui dis-je en claquant ses fesses.— Oh oui...— Oui qui, petite salope ? insistai-je en tirant ses cheveux vers ma queue.
Je lui mis dans la bouche, l’empêchant volontairement de répondre.
— Oui qui ? — Oui papi, répondit-elle, essoufflé, quand j’enlevai ma queue de ses lèvres.— Bien petite pute, maintenant je vais baiser ta bouche. Ouvre bien grand.
Obéissante comme je les aime, elle ouvrit la bouche et je lui limai comme j’aurais baisé sa chatte. Ivan s’activait sans aucun ménagement dans sa vulve, sa queue luisante de mouille.
— Je vais jouir, grogna-t-il, putain qu’elle est bonne...
Il gémit et expulsa tout son jus au fond de sa chatte. Emma hurla sous le dernier assaut, mais son cri fut étouffé par ma bite. J’adorais ça. Elle se laissa aller contre son père, sans doute épuisée, mais je n’en avais pas fini.
— J’en ai pas terminé avec toi catin, lui dis-je brutalement. A quatre pattes, vite.
Elle regarda son père, une légère peur traversant son regard bleu. Ivan hocha la tête, approuvant mon ordre. A quatre pattes sur le tapis, je lui ordonnai de se cambrer davantage et de tourner la tête vers moi. Une volée de fessées claqua sa peau tendre - mes mains et celles de son père s’en donnèrent à cœur joie sur son petit cul tendu qui ne méritait que d’être marqué de nos mains masculines et brutales. Emma gémissait, à la fois de douleur et de plaisir, et engouffra sa petite main entre ses cuisses. Quand ses gémissements se firent plus profonds, je la forçai à cesser :
— Tu ne te caresses pas le clito, salope, c’est moi qui vais te faire jouir. Ecarte ton cul.— Non !! cria-t-elle. — Arrête ton cinéma, intervint Ivan. Eli te prépare depuis des semaines. Il est temps que papi baise ton cul. — Mais papa... — Va sur la table de la salle à manger, ordonnai-je.
Elle se leva, chancelante, s’appuya contre la table et se cambra.
— Pour une qui ne veut pas se faire enculer, tu prends vite la bonne position...
Je claquai ses fesses. Je savais que mon fils, derrière nous, observait la scène en se branlant. Je me mis à genoux, écartai ses fesses et crachai sur son petit trou. J’y posai ma langue, l’humidifiant en gémissant, excité comme un fou à l’idée de bientôt posséder cet anus que personne n’avait jamais touché - aucun homme, en tout cas. J’enfonçai un doigt dedans, y ajoutai ma langue, y plongeai un autre doigt. Je voulais autant la préparer du mieux que je pouvais, que savourer son petit cul. Emma couinait doucement.
— Détends-toi, dis-je en me mettant debout. Écarte bien tes fesses que je vois ma queue rentrer.
Docile, ma petite fille tint ses fesses bien ouvertes. Je crachai une dernière fois sur son anus et, surpris, y entrai plutôt facilement. Eli avait correctement préparé cette petite pute. Emma cria et me demanda d’arrêter, ce que je ne fis pas, la cajolant et caressant son clitoris pour faire passer ma queue du mieux que je pouvais. Tout plutôt que de quitter ce cul.
— Ca va ? lui demanda son père.— Mmmm...
Je souris. Je pouvais y aller. Je m’enfonçai jusqu’à la garde dans son cul étroit et bouillant. Putain que c’était bon. Je sentais ma queue palpiter.
— Emma, ma bite est comprimée par ton cul, putain... — C’est bon papi ? — Putain oui...
J’entrepris des va-et-vient dans son anus, qui s’ouvrait et s’avérait de plus en plus accueillant. Bientôt, sous ses cris et gémissements, je ne pus me retenir. Je devins un enfoiré et pilonnai avec rage son trou du cul encore vierge quelques instants plus tôt.
— Je baise ton cul comme une traînée, hein salope ? — Ou... oui... oui... papi... tu es gros...— Je sais grosse pute, laisse papi t’enculer et détruire ton cul... prends tout, tu n’es bonne qu’à ça.
Avec rage, en grognant, j’attrapai fermement ses hanches et propulsai ma bite palpitante entre ses reins. La chienne beuglait et poussait de longs râles indescriptibles. La table bougeait sous mes assauts tant que je défonçais son trou du cul.
— Ivan, fourre ta queue dans sa bouche qu’elle la ferme.
Mon fils s’approcha et baisa férocement sa bouche tout autant que je martelais son cul. La chienne jouit, ce qui lui valut de copieuses insultes pour prendre du plaisir par le cul, elle qui ne voulait pas en entendre parler.
— Je vais remplir son cul mon fils.— Et moi sa bouche.
Nous nous activâmes dans ses orifices, réduits à de simples déversoirs pour notre sperme brûlant et incestueux. Quand je me fus vidé, j’observai avec satisfaction le spectacle - du jus dégoulinait de son cul, de sa chatte et, quand elle se retourna, angélique, une trace de sperme ornait son menton. La boucle était bouclée.
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