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L’élixir de Mathieu

Chapitre 1

Gay
Je m’appelle Mathieu j’ai 24 ans. Je suis, comme se plaisent à dire mes parents « un brillant étudiant en droit à Lyon. D’un physique passe partout, ni beau comme Ryan Gosling ni moche comme Franck Ribéry... je suis le genre de garçon passe partout,qui n’est pas l’objet des fantasmes des garçons qui, quand ils sont seuls dans leurs lits laissent libre cours à leurs fantasmes en se caressant en pensant à moi...
J’ai très vite compris que je ne pourrais pas miser sur mon physique de crevette (même si le meilleur dans la crevette reste la queue) pour réussir... du haut de mon mètre quatre vingt cinq et de mes soixante kilos, on ne peut pas dire que j’encombre les salles de muscu. Du coup j’ai misé sur le côté intellectuel pour m’en sortir. Toujours la tête dans un livre dès mon plus jeune âge, j’ai cultivé un côté asocial en me réfugiant dans les études. Tout ceci au détriment de ma vie amoureuse et sexuelle... Non non, oubliez le cliché du gars boutonneux un peu geek aux cheveux gras ! J’ai déjà expérimenté l’amour entre hommes et d’après mes quelques amants je suis plutôt doué pour la chose. Certes Dame Nature m’a oublié sur la commande de pectoraux et de biceps mais elle s’est rattrapée en me dotant d’un cul rebondi et ferme très apprécié par les actifs et d’un membre raisonnable de seize cm mais d’un bon diamètre que permet de satisfaire les passifs les plus demandeurs. Mais ce qui était le plus apprécié chez moi par ceux qui avaient eu l’envie de me ramener dans leurs draps, était mes éjaculations défiant toute concurrence ! J’avais en effet la capacité, après quelques jours d’abstinence, de balancer une purée très épaisse et d’un volume qui donnait du fil à retordre à n’importe quelle bouche gourmande qui s’était occupée de ma queue. Une fois l’effet de surprise passée et le visage couvert de la semence visqueuse qui retombait lourdement sur le sol, le suceur n’avait qu’une envie, retrouver sa dose de protéine et que je lui tapisse à nouveau la gorge de mon élixir.
L’année scolaire était terminée et j’avais brillamment réussi mes examens de fin d’année. Comme chaque été depuis plus de quinze ans, il était l’heure de mettre le cap sur la maison de vacances familiales située en Auvergne dans un petit village perdu. Pas d’internet, pas de tv pendant un mois. Être coupé du monde ne me dérangeait pas. Au contraire, j’aimais l’idée d’être loin de tout et de profiter du calme des lieux pour recharger les batteries. J’occupais mon temps entre lecture à l’ombre des arbres, plongeon dans les rivières fraîches et parties de pêches avec mes cousins.
Par contre autant vous dire que les rencontres intimes avec les locaux étaient plutôt rares et pas vraiment délurées. Je n’ai eu l’occasion qu’une seule fois de goûter aux produits locaux et l’expérience s’était révélée assez décevante au final. Il s’était présenté comme un actif viril tbm endurant et la seule chose vraie dans sa description était qu’il était effectivement actif... En deux coups de reins, l’affaire avait été expédiée. Mon petit lapin était reparti bredouillant quelques excuses et en jurant que jamais une telle mésaventure lui était arrivée, et me laissant donc plein de frustration et surtout les couilles bien pleines. J’avais enfourché mon vélo , le slip toujours tendu par une grosse érection pour retourner à la maison familiale. Je me glissai sans bruit dans ma chambre, j’enlevai mon t-shirt, mon short et fis glisser mon slip tâché par une grosse trace de mouille le long de mes jambes poilu. J’adorais dormir nu quelle que soit la saison. J’aimais sentir mon sexe frotter contre les draps et être libre de mes mouvements. En cette nuit moite de début août, le léger courant d’air dans la chambre était appréciable et je me glissai sous le drap avec mon sexe toujours gonflé de l’excitation passé. Très vite je repoussai le drap au fond du lit. La chaleur était insoutenable même la nuit et mon corps était couvert de sueur. Je m’étais retourné sur le ventre. Mon gland était très sensible et je sentis en moi le désir de décharger la tension accumulée par le plan foireux.
Je commençai lentement à faire onduler mon bassin en soulevant mes fesses m’imaginant frotter ma verge contre un petit cul accueillant qui ne souhaitait qu’une chose : m’avoir dans ses entrailles.Ces mouvements, d’abord lents puis de plus en plus rapides avaient décalotté mon prépuce laissant ainsi apparaître mon gland gonflé et prêt à exploser. Je poussai des gémissements lascifs de plaisir heureusement étouffés par les oreillers. Ma verge tendue avait fait remonter mes testicules, j’avais le frein tellement sensible que je sentais la jouissance proche. Mais j’avais envie de faire durer le plaisir. Je me suis remis sur le dos. J’ai laissé mes mains, telles celle d’un amant imaginaire, parcourir mon corps et s’attarder plus longuement sur mes tétons, une partie de mon anatomie particulièrement sensible. Je les ai d’abord doucement caressés avant de les pincer entre deux doigts m’arrachant au passage un râle de plaisir. Je laissai alors ma main gauche descendre le long de la toison de poil ornant mon torse vers mon bas ventre. Je me saisis les couilles pour les tirer vers le bas afin de tendre encore un peu plus mon gland qui laissait échapper un long filet transparent gluant. Je savais déjà que la jouissance serait énorme.
Je sentis les gouttes de sueur se frayer un chemin le long de mes fesses et venir finir leur course sur mon trou encore palpitant de la rencontre avec mon plan cul. Celui-ci n’avait pas été à la hauteur mais il avait fait des merveilles avec sa langue. Je n’ai pas eu de mal à m’introduire un doigt dans mon intimité. Une vague de plaisir fît tressaillir mon corps provoquant une contraction de ma queue et rapprochant encore un peu plus la jouissance. Je faisais tourner mon doigt doucement en moi afin de détendre encore un peu plus ma rondelle. Après quelques instants je me sentis prêt à accueillir un autre doigt. Je portai donc à ma bouche mon majeur et mon index et goûtai à mon intimité. Une fois mes doigts bien baveux, je les remis en place en moi. Il n’y avait eu aucune résistance et le plaisir fut immense quand ils touchèrent ma prostate. Je me suis toujours demandé pourquoi les hétérosexuels n’aimaient avoir un doigt dans le cul... ils passent à côté d’un plaisir inégalé et ne savent pas ce qu’ils perdent ! Chaque va et vient de mes doigts en moi m’arrachaient des couinements et me faisaient perdre le contrôle. Je sentis mon corps se raidir sous l’effet de l’orgasme imminent. Ma verge palpitait à l’idée de décharger mon foutre. Ne tenant plus je décidai d’accélérer le mouvement de mes doigts. Je remontai mes genoux à hauteur de mon buste afin d’aller plus profondément en moi et de passer cette prostate durcie par mes assauts.
De ma main libre, j’attrapai ma queue tout en me travaillant le rectum. La libération fut rapide, j’explosai de plaisir et balançai mon premier jet de foutre directement sur mon menton en poussant un rugissement bestial que tout la maison avait certainement entendu. Mais peu importe, je me vidai littéralement expédiant de grosses giclées épaisses et blanche sur mon torse et mon ventre, remplissant ainsi mon nombril et collant les poils de mon pubis de ma semence, mon corps tremblant de plaisir.
L’orgasme passé, je retirai mes doigts de mon trou tout en continuant à me branler avec mon sperme comme lubrifiant. D’un coup de langue je ramassai le foutre collé sur mon menton satisfait d’avoir relâché la tension. Je contemplai le résultat : le drap housse était inondé de ma semence. J’attrapai le drap que j’avais repoussé au fond du lit pour m’essuyer et le roula en boule avec l’autre et les poussai sous le lit. Il faudra que je me débrouille pour les porter au linge à laver sans que l’on remarque les occupations nocturnes ...
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