Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 92 J'aime
  • 0 Commentaire

Elizabeth

Chapitre 1

Déflorée à Londres

Inceste
Elisabeth est une jeune étudiante en médecine de 21 ans. Enfant choyée d’une riche famille parisienne, elle a décidé il y a 3 ans de mener ses études à la faculté de Lyon. Elle a élu domicile dans l’appartement que ses parents lui ont acheté sur la presqu’île.
C’est une petite jeune femme blonde aux cheveux courts et bouclés, avec deux jolis yeux bleus en amandes et la peau laiteuse. C’est un petit bout de femme bien en chair avec un ventre rebondi, des cuisses charnues, une poitrine opulente et un gros cul bien rebondi. Elle a bon caractère, elle est joyeuse, un brin fofolle, dotée d’un humour graveleux.
Dévouée à sa famille et ses amis, très concentrée pour mener ses études de front, elle n’a jamais eu de petit copain ni de petite copine et elle est encore vierge. La seule expérience qu’elle a, c’est une masturbation mutuelle avec sa meilleure amie, le soir de ses 18 ans, complètement cuite. Elle y pensait, souvent très souvent à son dépucelage. Ses fantasmes étaient hard, sales, tordus, mais elle ne savait pas quel genre de partenaires lui serait idéal, consciente d’avoir une sexualité cérébrale trop mûre pour les jeunes, mais et ne sachant pas si elle aimait les hommes et les femmes mûres. Elle sait qu’elle est pansexuelle, qu’elle aime renifler ses culottes quand elle se masturbe, qu’elle aime jouer avec son pipi et s’infliger des petites tortures cérébrales. Ses longues soirées de célibataire lui ont permis de regarder moult pornos de tout genre, de parler sur des forums bdsm, fétichiste, candauliste, etc.
Elle est prête à explorer, avide d’apprendre, mais ne savait pas comment s’y prendre. Elle sait qu’elle sautera sur la moindre occasion à partir de maintenant.

***
Elle sort de son avion, pressée de rejoindre son papa en voyage d’affaires sur Londres. Il leur a réservé deux suites au Rosewood, un hôtel situé à 5 minutes d’Oxford Street. Elle trépigne d’impatience dans son taxi, 6 mois qu’elle n’a pas vu son papa à cause de son travail.
Elle regarde par la vitre le paysage qui défile, perdu dans ses pensées, elle repense à cette histoire de virginité. Elle a rencontré un couple de dominant sur un forum, mais n’ose pas les rencontrer à cause de son inexpérience qu’ils ignorent plus ou moins. Elle leur a dit vouloir apprendre la perversion et ne pas avoir beaucoup d’expériences, mais omit de préciser qu’elle n’en avait pas du tout.
Elle s’est mise en tête de trouver un one-shot pour lui déflorer la chatte et le cul vite fait. Elle se trouve horrible de penser comme ça quand elle a le souvenir des expériences de ses copines, totalement vanille. Elle ne se confie jamais et elle est au clair avec tout ça, les rencontres sur les forums lui permettent de savoir qu’elle n’est pas seule et anormale.

Son chauffeur la dépose devant l’établissement luxueux, les suites sont à des prix exorbitants. Elle y séjourne tous les ans, le temps d’un long week-end, en tête à tête avec son père. La journée, elle a pour habitude d’aller flâner dans Londres avec Mélanie son amie anglaise qu’elle a rencontrée dans l’internat suisse où elle a fait sa scolarité jusqu’au bac, puis elle passe ensuite ses soirées avec son père.
Elle monte dans sa suite, pose ses affaires, il lui reste une heure avant l’arrivée de son papa, elle doit se préparer. Il doit l’amener dans un super restaurant, tenue correcte exigée. Elle s’est habillée d’une robe moulante au col haut, d’une paire de bas noir et d’escarpins. Elle a les boucles lâchées, ses yeux polaires sont cernés de noirs et sa bouche peinte d’un rouge affirmé. Son papa va être bluffé, elle a un look plus femme fatale depuis quelques semaines, boostées par la rencontre virtuelle avec Monsieur Pierre et Madame Cornélia.

Son papa frappe à la porte alors qu’elle finit tout juste de se peindre les lèvres, elle court lui ouvrir la porte et lui saute dans les bras en poussant un cri de joie. Elle a le sourire jusqu’aux oreilles. Elle le serre fort en lui collant de grosses taches de bisous rouges à lèvres sur les joues puis elle se recule pour le laisser entrer. Il remarque tout de suite le changement, ses yeux brillent de fierté en la regardant. Il la revoit enfant, mais pour la première fois, il la regarde en tant qu’adulte.
— Tu es splendide ma fille !— Merci Papou ! Je suis trop contente de te voir, tu m’as tellement manqué!— Toi aussi Babeth ! Tu es prête ? Le taxi nous attend en bas.— Oui ! Oui !
Elle attrape son sac et suit son père. Durant tout le trajet, elle lui raconte son dernier stage et ses partiels où elle a encore excellé. Entre eux, la communication a toujours été fluide, depuis petite, elle entretient avec son père une relation fusionnelle. Pas un jour ne passe sans qu’elle lui envoie un texto. Elle s’entend très bien avec sa mère malgré quelques querelles générationnelles mère/fille basiques, et son frère est son meilleur ami. Depuis un an, il fait son internat à Montréal et ils s’appellent en visio chaque semaine, elle a même été le voir à deux reprises, mais son papa, c’est l’amour ultime de sa vie.Ils mangent leurs plats en sirotant beaucoup de vin, ils rient aux éclats tout au long du dîner, l’ivresse faisant, ils commencent à parler amour.
— Tu n’as pas de petit copain en ce moment ?— Non... Et puis qui te dit que je ne préfère pas les filles ?— Je ne sais pas, tu as raison... Tu aimes les femmes ?— Je crois que j’aime les deux...— Comment ça, je crois ?— Ben... Je n’ai jamais...— Tu n’as jamais... Ha... Fais l’amour ?— Oui...
Tout le reste du repas et le trajet en taxi tournent sur ce sujet, ils profitent de leurs désinhibitions pour aborder la chose sans pudeur. Elle confie ses doutes, il lui répond en rapport avec ses expériences et l’ouverture d’esprit de son papa ne lui échappe pas. Arrivés à leur étage, ils décidèrent de poursuivre dans la chambre de Babeth autour d’un dernier verre. L’ambiance plus intime la pousse à poser une question:
— Papou... C’est quoi ton expérience la plus folle... Ne sois pas soft, j’ai besoin de savoir pour ma propre réflexion.— Hmm... hmmm... Heu... Ben... Ta mère et tes deux oncles m’ont dominé le temps d’une soirée...— Ha... OUI !
Son enthousiasme n’échappe pas à son père, par souci d’honnêteté, elle lui raconte avoir rencontré un couple de dominant qu’elle aimerait rencontrer en vrai, mais que son inexpérience la bloque. Elle lui raconte qu’elle cherche juste un mec pour la pénétrer une première fois avant de sauter le pas. Il comprend, mais lui dit aussi que si elle se sent en confiance, elle ne doit pas avoir peur de foncer. Les verres s’enchaînent, la discussion est plus profonde et osée, elle finit par faire une demande particulière à son papa.
— Papa s’il te plaît, dépucelle-moi...— Hmm... Heu...— Tu as baisé avec maman et tes frères, pourquoi pas avec moi ? Je suis consentante et ce sera notre secret... S’il te plaît... Au moins, je ne prends pas le premier venu pour accéder à mon fantasme.— Je ne sais pas...— S’il te plaît...
***
Jean-Edouard attrape le cou de sa fille et pose ses lèvres sur les siennes, ils se mangent tout deux la bouche. Ils sont excités, enflammés par les vapeurs d’alcool. Elizabeth se sent plus inondée que lors de ses meilleures masturbations. Papa l’excite, il fait glisser sur ses lèvres, sa nuque, il descend jusqu’à ses seins encore vêtus. Il attrape le bas de sa robe et lui enlève d’un geste sec et impatient. Il attrape un de ses seins en glissant sa main dans son soutif et suçote sa tétine qui se rétracte dès le premier contact avec ses lèvres. Il glisse son autre main dans la culotte de sa fille, elle ronronne de plaisir.
— Hmmmm... Papou... Hmmmm...
Il masse la cerise tout enflée et inondée de sa fille. Ça glisse comme dans du beurre dans son petit abricot poilu, il bande comme un âne. Il enfonce deux doigts au fond de son trou et les laisse bloqués quelques instants en continuant à se nourrir des mamelles de sa gamine qui sont, à présent, toutes les deux sorties de leurs bonnets.
— Papou, est-ce que je mouille autant que maman ?— Hmmmmmouiiii...— Papou est-ce que ma chatte est aussi bonne que celle de maman ?— Oui ma fille... Oui !

Elle est à genoux sur le lit, il fait sortir son énorme sexe et la fait basculer au-dessus de son gland. Ils se regardent pleins d’ardeurs en gardant en tête, malgré le désir ardent, qu’ils étaient père/fille. Jean Edouard pose ses mains sur les épaules de Babeth et l’enfonce sur sa queue. Il impose un rythme lent et continu, elle a mal, mais la lenteur lui laisse encaisser la douleur millimètre par millimètre. Elle grogne de plaisir, ses cuisses sont gluantes de jus de chatte. Il arrive enfin à la garde de sa grosse bite épaisse, il fait quelques minutes de pause pour se calmer, reprendre ses esprits et ne pas jouir trop vite.
— Quand j’ai baisé ta mère pour sa première fois, je n’ai pas pu entrer en entier, tu es plus douée... Tu vas être une grosse cochonne et je vais devoir veiller sur toi !
Il attrape sa fille par les hanches et la fait sauter à toute vitesse pendant quelques minutes pour assouplir ses parois, elle hurle de plaisir, incapable d’articuler un mot, et jouit en un rien de temps à gorge déployée. Il prend le temps de sentir son minou contracter autour de sa bite tout en glissant sa main entre eux pour se glisser jusqu’à son clito et lui masser la cerise. Il attend qu’elle se calme de son premier orgasme, que son souffle s’apaise.
— Maman n’a pas réussi à dompter la douleur et à jouir la première fois ma fille, tu sais ?— Je suis une meilleure chienne que maman ?— Oui ma chérie, je n’ai jamais pris autant de plaisir à regarder une femme jouir... C’est si beau d’offrir un orgasme à une femme qui se découvre.
Il la relève, décale son bassin et pose son sexe toujours dur et enflammé sur les bords de sa rondelle. Il encule sa fille avec la même cadence que pour sa chatte, tout doucement jusqu’à la garde, pause puis triple galops jusqu’à l’orgasme. Cette fois-ci, les deux se laissent aller. Le cul de Babeth est en feu. Elle adore cette sensation douloureuse et brulante qui lui tire l’intérieur, qui lui éclate les parois jumelées au frottement de sa bite contre sa muqueuse. Ses yeux commencent à se révulser, son corps est secoué de forts tremblements, presque des convulsions, son orgasme anal arrive. Son papa prend un plaisir fou à la mater. Dès qu’il entend au son de sa voix l’amorce du coït, il se détend, se laisse aller et crache de gros jets de foutre au fond de son cul. Elle pousse des cris encore plus fort que pour sa minette. A nouveau, il laisse son colon convulser autour de son chibre avant de se retirer. Jean Edouard met Elizabeth au lit, l’embrasse sur le front et sort de la chambre.
Le séjour se termine sans qu’ils n’échangent un mot, ils ne ressentent aucun malaise ni aucune honte, ils ont adoré. Leur relation de parents complices continue comme si rien ne s’était passé.
Diffuse en direct !
Regarder son live