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Elle a l'âge de ma mère, et pourtant...

Chapitre 1

Que j'aime la canicule !

Erotique
Un cri.Un autre. Un cri de femme, tout près, sûrement sur le parking. Des pochetrons réglant leurs comptes s’y disputent parfois. Ça arrive. Toujours dans les limbes, je ne parviens pas à comprendre. Instinctivement, je regarde l’heure sur mon tél. : 1 h 07. Il fait trop chaud dans cette chambre, même avec la fenêtre ouverte, je suis en nage. À tâtons et à poil, je rejoins le balcon. Les bruits deviennent plus précis, ils arrivent de l’immeuble d’en face, de l’autre côté du square, à cinquante mètres environ.Je ne vois rien, le feuillage dense d’un magnolia masque ma vue. Mon attention se concentre sur des sons amplifiés depuis le troisième étage par l’effet porte-voix de la place des deux bâtiments.Je perçois d’abord un claquement cadencé, je l’imagine bien en « cuisses contre cuisses » ou en « cuisses contre fesses ». Disons qu’il s’agit de la rythmique du concert. C’est un moment surréaliste. Les vocalises de la dame ne cachent rien de sa quête. Elle semble attentive au va-et-vient de son amant et y goûte crescendo, à chaque poussée.Il n’est pas facile ici, de décrire et d’écrire, ce qui la réjouit.ELLE:— Oh... ooooooo... Oh ! Oh ! Chéri.... oooooo Ah! Oh ! oui ! OUI ! OUI OUUUUIIIIII ! ah ah ah AH OH ooooooo ah ah !LUI :— Einnn ! Einn ! Einn ! Einn ! Einn ! Einn ! Einn !Je comprends vite. Le contrat est clair entre ces deux partenaires : pilonne-moi sans arrêt, si je ne te dis pas d’arrêter.Reproduire, dans sa durée exacte ce spectacle, n’aurait pas de sens. Toujours est-il que ça m’excite drôlement. J’ai maintenant une belle gaule, tendue à l’équerre. Laissant glisser ma main, j’apprécie la taille du problème. De retour à mes sensations auditives, un autre bruit, jusqu’alors ignoré, attire mon attention depuis un balcon proche de ma chambre.Je perçois le souffle d’une personne qui tenterait de gravir un coteau escarpé, entrecoupé du cliquetis d’une gourde à moitié vide :— fu fu fu fu fu FUUUUUUU, fu fu fu fu FUUUUUUUU, fufufufu FUUUUUU, fu FU, fu FU, FUUUUUUU...Curieux, je m’approche de la claustra à claire-voie séparant les deux balcons. Je tente un œil entre les lames distendues. Là, allongée sur son transat en tenue d’Ève, ma plus proche voisine profite à sa manière des éructations des deux comparses d’en face. Mathilde est une amie de mes parents, endormis, eux, dans l’autre aile de l’appartement, sans se soucier d’ailleurs des tourments nocturnes de leur petit dernier.Mathilde, proche de la cinquantaine, est un peu forte, je lui trouve cependant deux qualités majeures, d’abord son sourire de Madone tendre et gourmande, ensuite son parfum subtil dont je ne me lasse pas de snifer les fragrances, depuis l’ascenseur jusqu’au parking souterrain. Un peu bloqué dans ma vingtième année, je n’ai jamais osé lui faire partager mes impressions. "Une Goutte de Nuage", par Issey Miyake, je le sais par un ami employé en parfumerie. Ce flacon est devenu introuvable, les personnes le possédant encore en ont sûrement fait une provision. Thé, lotus, rose, musc et notes boisées, tout pour me rendre dingue.Mathilde se masturbe du plat de sa main gauche. Elle prend son temps. Je réalise, en associant tous les bruits, qu’elle fait l’amour avec le couple d’en face. Elle se caresse en rythme. Je l’observe. Son abondante lubrification lève le mystère de l’effet de légers clapotis.Elle est orientée vers l’autre fenêtre, je pense qu’elle les voit. Moi, je la mate, je bande encore plus fort. Sous le rayon de lune, sa poitrine me semble plus imposante qu’en plein jour. Deux énormes seins laiteux, dont elle pince tour à tour les tétons pointant d’une belle aréole brune, m’appellent à la tétée. Je suis chamboulé. Hier soir, en m’endormant, souffrant d’une légère migraine, je pensais COVID et non sexe-tape. Cette histoire est dingue !Le ventre de Mathilde, plutôt plat, confirme les bienfaits des séances de gym qu’elle s’impose chaque semaine. Ses cuisses et ses fesses sont charnues. Mathilde est une femme plantureuse. "Plantureux", pour moi, est synonyme de généreux, fertile et prospère. Pour tout dire, rien ne m’empêche de bander pour cette sublime femelle.Un éternuement irrépressible me monte au nez sans prévenir. Je retiens à peu près la première salve, mais la seconde me démasque. Je recule vite fait de ma position de voyeur, rien ne bouge sur le balcon voisin.— Rémy, je sais que vous êtes là, ne craignez rien, j’adore être observée, lance Mathilde à mots couverts. Vous aussi, vous participez au spectacle ?— Participer, c’est beaucoup dire ! Je ne vois rien, je me contente de suivre à l’oreille. C’est troublant, n’est-ce pas ?— Troublant ? Le mot est faible. Terriblement excitant ! Je me retiens de jouir depuis bientôt dix minutes, depuis que je sais que vous êtes près de moi. Je mouille comme une folle. Je mouille, je rêve, et j’espère...— Je ne vous cache pas que tout ça me met en bonnes dispositions. Je serais désolé de ne pas partager ce désir avec une belle personne. J’en vois une, tout près de moi, à une enjambée, j’ai très envie d’elle.— Une enjambée ? Vous n’allez pas passer par les balcons, ma porte vous est ouverte, venez Rémy, venez, je vous en supplie.J’enfile mon short de pyjama, bien qu’à cette heure tardive, une rencontre dans le couloir soit assez improbable. Sa porte est ouverte. J’avance jusqu’à la petite terrasse. Les yeux clos, Mathilde me laisse l’initiative. J’aperçois dans la chambre d’en face une jeune femme blonde prise en levrette par l’avant-centre guinéen de notre club de foot local. Le rythme est constant, les vocalises s’élèvent dans la nuit d’été.
Mathilde, je veux ta chatte. Je contourne le transat et me retrouve entre les cuisses entrouvertes de la belle, face à un sexe non épilé. Cette précision pour manifester ma joie. Je suis tellement désenchanté de l’infantilisation des femmes par la tonte de leur tendre blason.M’accrocher en pleine nuit aux hanches de Mathilde, humer de plus près son délicieux parfum, enfourner ma langue avide dans ses profondeurs torrides, dégoulinantes d’envie. C’était inespéré, juste en rêve dans mes séances de branlette. Mathilde, tu es une friandise, une délicatesse... Une femme.Mathilde, enfin, je te lèche, je te suce, j’engloutis tes grandes lèvres, effleure ton clitoris échauffé par tes caresses de tantôt. Je voudrais aussi dévorer un à un tes seins majestueux, mais tu appuies sur ma tête, tu guides mes coups de langue, ton souffle devient rauque. Tu ne respires plus soudain... Enfin, tu reprends ton souffle d’une grande aspiration en criant, la bouche grande ouverte, ta jouissance.Dans mon dos, venant de l’autre appartement, j’entends :— Yes ! 1 à 0 ! Mec !Entendre Mathilde exploser de plaisir met le feu aux poudres du côté de deux exhibitionnistes en chaleur. Moussa Sekou change de tempo et monte au filet. La drôlesse ne s’en laisse pas compter, elle hurle de plus en plus dans les aigus.Mathilde s’est accoudée au garde-corps, elle a posé son pied sur le transat, ouvrant ainsi son entrecuisse :— Viens, Rémy, viens...Les mains posées sur ses épaules, le nez dans son cou, je me régale à nouveau de son parfum. Ma queue durcie traîne dans le bas de son dos. Elle passe sa main entre ses jambes pour s’en saisir. Que j’aime le désir féminin lorsqu’il s’exprime aussi franchement. D’un geste, elle m’introduit dans sa grotte humide et boute mes hanches d’un sévère coup de rein.La comparse de Moussa Sekou s’est tue. Elle est désormais immobile, affalée telle une méduse sur la plage. De profil, je peux contempler la verge d’ébène de son amant. Ce dernier tourne le regard vers notre emplacement et, éclatant de sourire, il proclame le score :— Hey mec, 2 à 1 ! Si tu veux aller aux tirs au but, réveille-toi !Mathilde se prend au jeu, elle me susurre :— Pour que je parte au quart de tour, il y a une solution...— Ah oui, et laquelle ?— Prends-moi comme un homme, sans ménagement...— Anal ???— Anal !Mathilde a décidé de me rendre fou. J’attrape mon chibre à pleine main, de l’autre, j’enduis son anus de sécrétions, elle lève haut sa jambe droite, je la pénètre d’un coup. J’adore ce moment particulier.— Au fond, au fond du but, Rémy, pousse bien, bouscule-moi, envoie tout ce que tu peux !Je n’en demandais pas tant. Les mains posées à l’intérieur, sur le devant des cuisses de Mathilde, je la prends en étau contre mes jambes, mes couilles fracassent sa vulve, je la lime en forcené. Elle a passé ses nénés au-dessus du gros tube d’acier pour éviter de se les écraser. Moussa Sekou peut se rincer l’œil. La sodomie décuple mon instinct sauvage. Ma partenaire semble emballée de mon envolée :— Continue. Continue. Là. C’est bon, là. Oui, le petit bord aussi. Oh, ce coup profond ! Continue, je vais venir, Rémy. Tu peux décharger. J’explose. Jouis. Décharge. Jute. Remplis-moi. Ahhhh !Je n’ai pas mémoire d’avoir brassé une amoureuse à ce point, elle est tellement détendue, tellement offerte... Je le sens, je n’irai pas plus loin dans la chevauchée. Les deux mains agrippées à la balustrade, je presse Mathilde d’un ultime coup de rein. J’envoie tout mon foutre dans le ventre de ma voisine... Très estimée de mes parents, par ailleurs.Nous reprenons notre souffle, Moussa Sekou est planté dans l’encadrement de la baie vitrée de sa chambre, à poil, une bière à la main. Je lui lance à tue-tête :— L’arbitre vient de siffler la fin du match, score final 3 à 2 ? On est OK, Sekou ? Tu es KO !En guise de réponse, il lève son pouce en Like, sans se départir de son immense sourire.À ce moment, depuis l’étage du dessous, une salve d’applaudissements retentit, quelques malins risquent même en chœur : « Une autre, une autre, une autre ». Bravo pour la discrétion !
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