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elle 20 ans, lui 70 ans...

Chapitre 4

Erotique
J’étais plongée dans mes souvenirs, mais je restais quand même attentif à ce qui se passait dans le studio. Le bruit du sèche-cheveux m’indiquait que Justine en avait profité pour se faire un shampoing.
Étrange femme qui se lave les cheveux alors que son amant est dans l’autre pièce à l’attendre.
Étrange sensation aussi,  m’imaginer amant d’une fille qui a l’âge de ma petite fille.
M’imaginer son  amant est peut-être présomptueux. Pour l’instant, cela était plus proche du flirt que d’une relation sexe.
La porte de la salle de bain s’est ouverte, Justine est entrée dans la pièce complétement nue.
-    Désolée, mon linge est dans le placard…
Dit-elle en me le montrant du doigt.
    Elle avançait sans chercher à dissimuler quoi que ce soit. Je ne pouvais qu’admirer ce jeune corps parfait.
-    En as-tu besoin de suite ?-    Mais ne devions nous pas allez faire quelques courses ?
J’étais assis, elle s’était tournée vers moi pour me répondre et semblait ne pas vouloir se décider sur la direction à prendre : le placard ou le canapé ?
-    Vient !
Lui ai-je dit sur un ton qui ne permettait aucune contradiction.
    Elle a obéi sans hésiter et s’approcha du canapé. Elle était maintenant face à moi.
-    Écarte légèrement les jambes.
Assis dans le canapé, elle debout devant moi complétement nue, les jambes légèrement écarté. J’ai avancé ma main vers elle pour fouiller sa petite toison pubienne. Ses lèvres intimes étaient humides. Elle avait exécuté mon ordre sans rien dire et attendait patiemment que je lui dise ce qu’elle devait faire.
L’idée de me faire autoritaire n’était nullement préméditée. Elle m’est venue lorsqu’elle avait répondu à mon interrogation sur l’utilité de s’habiller de suite. Le ton qu’elle avait employé était celui d’une fille prise la main dans le pot de confiture. Elle avait pris une voix fluette et semblait par l’intonation s’excuser de n’avoir pas fait ce qu’il fallait. Je l’ai vu ensuite hésiter sur ce qu’elle devait faire et je me suis étonné par le ton que j’ai ensuite employé pour l’inviter à vernir me rejoindre. En fait, ma voix était ferme, cela ne ressemblait nullement à une invitation, mais à un ordre.
    J’étais d’autant plus surpris, qu’elle n’a pas réagi à cette situation, bien au contraire. Elle baissa les yeux et s’avança vers moi. Puis, proche de moi, elle s’arrêta comme pour attendre de nouvelles instructions. Elle se montrait docile pour ne pas dire soumise.
    Je m’amusais de la voir ainsi. Mes doigts agacèrent son clitoris, jouèrent avec ses grandes lèvres, taquinèrent les petites pour finalement explorer son orifice vaginal. L’inspection effectuée par cette main curieuse jouait à se faire aussi bien médicale par son côté méticuleux et précis qu’érotique par les fines caresses qui accompagnait le mouvement.
    Je m’étais montré sévère par mes ordres. J’avais habillé ma voix d’un  gant de fer, mais pour enfiler aussitôt un gant de velours aux doigts cajoleurs.
    Je me suis levé, ma main toujours entre ses cuisses, j’ai commencé à lui faire des baisers dans le cou, puis sur ses seins. Ma bouche léchait ses tétons, les suçait pour enfin les mordillait. Elle restait immobile et passive, mais n’étais nullement insensible à ce que je lui faisais. Mon érection n’avait jamais été aussi forte.
Je me suis un peu écarté d’elle, je me suis mis en tenue d’Adam. Elle me regarda sans rien dire. Ses yeux ont fixé mon sexe en s’y attardant assez longuement. Je me suis mis à genoux devant elle, ma tête est venue entre ses cuisses et ma langue commença l’exploration de cet endroit chaud et humide. Elle ne pouvait retenir des gémissements de plus en plus forts. Son corps frissonna puis elle se crispa et dans un petit cri s’abandonna à son plaisir.
-    Oh ouiii.
Elle se laissa ensuite tomber sur le canapé, repris un peu ses esprits avant de me tendre les bras.
-    Vient !
Dit-elle à son tour.
Le ton de sa voix n’était nullement autoritaire. Ce n’était pas un ordre, mais une supplique, elle voulait mes bras, elle voulait mon corps, elle voulait m’offrir ce que je venais de lui offrir.
-    Non, mangeons d’abord.
Ce n’était plus vraiment un ordre que je lui donnais, mais sa réponse marqua autant sa déception que sa résignation.
-    Si tu veux…
Elle se leva et pris la direction de la salle de bain.
-    Tu n’oublies rien ?-    Euh…
Elle me regarda un peu étonnée.
-    Tes vêtements.
Je lui montrais en même temps son placard.
-    Euh, j’allais me rafraichir un peu avant…
Commença-t-elle timidement. Je ne lui laissais pas terminer sa phrase.
-    Pas la peine. Habille-toi tout de suite… et devant moi !
J’avais bien entendu compris qu’elle voulait faire une petite toilette intime. Elle ne chercha pas à me contredire et se dirigea vers le placard.
-    Tu ne vas pas mettre une culotte propre alors que tu es encore souillée de ton plaisir ?Lui dis-je en prenant un air dubitatif.
-    Il me faut alors aller chercher  celle que j’avais dans le linge sale.
Me dit-elle sans bouger, attendant certainement que je lui donne la permission de retourner dans la salle de bain.
-    Quoi ? Tu ne vas quand même pas remettre une culotte sale ?
 Elle sursauta à ma réponse.
-    Mais…
Elle était perdue. Je lui interdisais de mettre une culotte propre et je lui interdisais aussi de remettre son autre culotte.  Que devait-elle faire ?
Elle laissa sa conjonction en suspens et me regardais perplexe.
J’avançais vers son placard, il était séparé en 2, d’un côté des étagères de l’autre une petite penderie. J’ai pris la robe en jean qui y était accrochée, et je lui ai donné.
-    Tiens, elle fera parfaitement l’affaire.
Vite prête, car elle n’était finalement vêtue que de cette robe et d’une paire d’escarpin à petit talon, je lui ai tendu l’imper qui était accroché au porte-manteau.
    La robe lui arrivait mi-cuisse, le manteau n’était guère plus long. Boutonné, il ne laissait plus voir la robe.  Je la regardais et je n’ai  pas pu m’empêcher  de l’imaginer habiller de cet unique manteau. Un petit sourire coquin se dessina sur mon visage, mais je n’ai pas osé lui dire que finalement elle serait encore plus belle sans sa robe.
    Nue sous son manteau, aurait-elle accepté le défi ? Aurait-elle osé le faire ?
    Mais je dois avouer que j’ai eu peur d’aller trop loin. Peur qu’elle me prenne pour un obséder ou je ne sais quoi… nous sommes donc sortis sans que je ne lui dise quoi que ce soit sur l’idée qui avait traversé mon esprit.
    Nous étions maintenant dans la rue, à défaut d’être nue sous son imper, elle l’était sous sa robe. J’ai toujours été cérébrale, j’aime les situations cocasses et les jeux coquins.  Nul ne pouvait le savoir, mais cela m’excitait de l’exhiber ainsi dans la rue. L’exhibition était certes toute relative, mais Justine semblait, elle aussi, troublée par la situation.
    Nous avons finalement choisie d’acheter des salades toutes prêtes à l’épicier du coin.
    Le commerçant nous salua, Justine répondit d’un seul sourire. J’engageais quant à moi la conversation en lui parlant de la douceur de la température. Nous n’avons discuté que quelques minutes et Justine attendait sagement à quelques pas de moi.
    Je voyais bien le commerçant jeter de temps en temps un petit coup d’œil en direction de Justine, S’attardant le plus souvent sur ses jambes. Elle n’était pas dupe et me regardait d’un petit air gêné. Etait-ce ce seul regard ? Ou le fait qu’elle ne portait aucun sous-vêtement ? Je n’en sais rien, mais je faisais durer le plaisir, l’air de rien.
    L’homme était assez jeune, plus vieux qu’elle, mais pas plus de 35 ans à mon avis. Il pensait certainement que j’étais son père ou son grand-père. Il était sympathique et n’avait pas sa langue dans sa poche et avait son franc parlé. Je suis certain que s’il avait deviné le style de relation que nous avions, Justine et moi, il m’aurait lancé une boutade ou je ne sais quel sous-entendu.
    Il nous indiqua ensuite le rayon où nous trouverions notre bonheur.  
    Après avoir choisi notre salade préparée, je l’emmenais vers le rayon des alcools. J’avais pris sa main, elle ne chercha pas à fuir le contact et nous nous sommes donc dirigés vers notre nouvelle destination main dans la main.
    Je dois avouer qu’il y avait une certaine préméditation dans mon geste. Certes, je voulais acheter une bouteille de vin pour accompagner notre repas, mais j’avais surtout remarqué que ce rayon n’était pas dans le champ de vision de la caisse où se tenait le commerçant.    Alors que je lui demandais de choisir le vin, ma main passa sous sa robe. Elle tourna la tête vers moi en souriant.
-    Coquin !
Glissa-t-elle à voix basse, mais sans chercher à écarter ma main.
Je caressais ses fesses. Le mouvement avait eu pour conséquence de faire remonter et sa robe et son imper. Si un client était arrivé, il n’aurait rien loupé de la beauté callipyge de Justine.
Il n’y avait personne.
Par contre, ce que je n’avais pas vu, c’est que si le rayon était hors du champ de vision de la caisse, un miroir en hauteur permettait au commerçant de surveiller cette partie du magasin tout en restant à sa caisse.
Après avoir repris ma carte bleue, je souhaitais une bonne soirée au propriétaire de la supérette et Justine le salua d’un petit sourire.
-    Bonne soirée à vous et bon amusement.
Répondit ce dernier en me faisant un petit clin d’œil complice.
    Avait-il vu ? Je n’en savais rien… mais son attitude me laissait à penser qu’il savait… 
A peine étions-nous dans son studio que j’attirais Justine pour l’embrasser. Ma main libre glissa une nouvelle fois sous sa robe. Elle écarta un peu ses jambes pour me faciliter le passage, mais ma caresse fut rapide.
-    Bon, si nous goutions ce délicieux repas gastronomique.
C’est elle qui avait insisté pour prendre ces salades toutes prêtes, mais elle ne s’offusqua pas de ma remarque quelque peu ironique.
    Lors du repas, nous avons discuté comme un grand-père peut le faire avec une jeune fille.  Nous avons parlé de ses études, de ce qu’elle aimerait faire comme métier. Puis je l’ai interrogé sur ces loisirs, ses goûts. Nous aurions pu tout aussi bien tenir cette conversation dans un restaurant où n’importe quel lieu public sans que cela choque qui que ce soit.
    Nous buvions en même temps le rosé qu’elle avait choisi. Il était à peine frais et pas de grande qualité, mais je ne lui en ai pas fait la remarque. La salade était elle-même mangeable, mais loin d’être délicieuse. Mais ce repas était agréable.
    Bien entendu, petit à petit, j’ai commencé à lui poser des questions un peu plus indiscrètes.
-    Tu n’as pas de petit copain ?
J’avais pris un petit air complice et comploteur.
-    Tout dépend ce que tu veux dire ?-    Tu comprends très bien coquine.-    Alors, c’est à toi de me le dire…
Elle éclata de rire en voyant mon air perplexe et surtout cette grimace que j’avais volontairement exagérée.
-    Comment ça ?-    Si nous ne parlons pas de toi, alors la réponse est « non ».
Je n’avais pas vu les choses comme cela, j’étais flatté qu’elle me considère finalement comme son petit copain, moi qui pourrais être son grand-père.
Elle m’expliqua avoir bien entendu déjà eu pas mal de flirt, mais que cela n’avait jamais été sérieux ?
-    Tu es vierge ?
Comme elle m’avait parlé de flirt, j’avais compris qu’elle ne s’était jamais donné entièrement à un homme. Cela m’étonnait : l’époque, son âge et la manière dont elle se comportait avec moi, m’a laissé imaginer qu’elle avait déjà un peu d’expérience.
-    On ne peut pas vraiment dire cela.
Me répondit-elle d’un ton un peu triste.
-    Que veux-tu dire ?
Elle m’expliqua que son dernier petit copain l’avait plaqué il y a 6 mois maintenant. Ils sont restés ensemble pendant une bonne année. Au départ, elle flirtait comme elle l’avait fait avec les autres. Il la caressait intimement, elle le masturbait. Ce fut avec lui qu’elle fit sa première fellation. Il avait été patient avec elle.
 Ils étaient à une fête chez des amis. Ils avaient un peu bu.
-    Enfin, nous n’étions pas complétement bourrés, mais bien en forme, si tu vois ce que je veux dire.
Les amis qui organisaient cette fête ont proposé aux invités qui avaient un peu trop abusé sur l’alcool de rester dormir chez eux.  Ils avaient mis quelques matelas gonflables dans le salon et avaient fourni des  draps à leurs convives.
Justine et son petit copain avec hérité par tirage au sort du matelas pour 2 personnes. Elle n’avait enlevé ses chaussettes, son soutien-gorge et son pantalon pour se coucher. Elle était donc vêtue de sa petite culotte et de son tee-shirt dont la longueur arrivait au bas des fesses. Son copain s’est mis en caleçon. Les lumières éteintes, il avait commencé à  caresser Justine. Elle l’avait laissé faire mais n’était pas rassurée. Il y avait d’autres matelas dans le salon et on pouvait les entendre.
Justine était inquiète, mais aussi un peu excitée par la situation, m’avoua-t-elle. Elle n’entreprenait rien, mais accueillait les caresses de son copain avec un réel plaisir. Mais celui-ci ne se satisfaisait pas de sa passivité. Il guida la main de Justine vers son caleçon. Elle hésita un peu, puis commença  à le masturber comme il lui arrivait de le faire quand ils s’attardaient dans la voiture. Mais jusqu’à maintenant, ils n’étaient que2 dans la voiture quand elle faisait cela et le lieu était discret et à l’abri des regards. Là, ils n’étaient pas seuls dans la pièce.
Son copain de plus en plus excité essaya d’enlever la culotte de Justine, celle-ci retira sa main pour lui faire comprendre qu’elle ne voulait pas.
-    Oui je savais qu’il voulait me faire l’amour, j’en avais envie aussi, mais je ne voulais pas, j’avais trop peur qu’on nous surprenne…
Voyant qu’il ne pourrait pas obtenir ce qu’il voulait, il n’insista pas. Elle posa un petit baiser sur ses lèvres pour le remercier et s’excuser aussi un peu. Il a alors pris la tête de Justine et la dirigea vers son  torse qu’elle embrassa de petits bisous tendres. Il caressa ses cheveux et par de petites pressions, invita Justine à poursuivre ses baisers en descendant vers son nombril. Elle se laissa guider innocemment.
-    Sur l’instant, je n’ai pas vraiment réalisé ses intentions.
Mais quand elle fut à la hauteur de son bas ventre, elle s’est rendue compte que son copain avait baissé son caleçon pour laisser son sexe complétement libre. Elle posa un petit baiser sur son gland. Elle avait l’intention de ne pas en faire plus, mais il retenait maintenant sa tête. Son sexe cherchait à forcer le passage en butant contre ses lèvres. Elle résista un peu puis entrouvrit celles-ci  légèrement. Ce  fut suffisant pour achever  sa résistance : Il était en elle. Enfin pour être plus précis dans son palais.
    Elle commença à le sucer. Ses gestes étaient maladroits, mais suffisant pour satisfaire son ami.
Sans la prévenir il se libéra dans sa bouche.
Ayant peur de réveiller les autres, ou, pire encore en croiser un qui voudrait, elle n’osa pas cracher tout cela dans la salle de bain. Mais, qu’allait-elle faire de tout ce sperme qu’elle avait dans la bouche ? Une seule solution lui vint à l’esprit : l’avalait.
Elle m’avait raconté cette première fellation sans fausse pudeur. Bien entendu, j’avais dû relancer, demander quelques explications et m’étais aussi amusé à vouloir connaître plus de détails et elle s’était livrée sans rechigner et en répondant à toutes mes questions.
Elle l’avait sucé d’autres fois, par la suite, il lui avait même donné quelques conseils pour améliorer sa technique. Elle n’avait jamais rechigné à le faire…
-    Mais de là à dire que j’aime cela, Non, ce n’est pas vraiment ce que je préfère.Ce même soir, pour la remercier de sa fellation, son copain lui avait fait un cunnilingus. -    Ça, j’adore !
M’avoua-t-elle.
Notre salade est finie, elle débarrasse la table, ouvre son frigo.
-    Je n’ai que des yaourts aromatisés comme dessert à te proposer.-    Tu es certaine que tu n’as que ça à m’offrir ?
Bien entendu elle a compris l’allusion et ria de cette plaisanterie un peu facile, je l’avoue.
-    Pas de yaourt alors ?-    Non merci. Mais si tu as du café, je veux bien.-    Oui j’en ai, mais on risque de ne pas dormir cette nuit si nous en prenons à cette heure-ci ?-    Qui te parle de dormir.
Elle m’avait tendu la perche, je ne pouvais que la saisir.
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