Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 113 J'aime
  • 1 Commentaire

elle 20 ans, lui 70 ans...

Chapitre 5

Erotique
J’ouvre les yeux.  Je ne suis pas dans mon lit.  
Peu de temps avant, alors que je sortais doucement de mon sommeil, j’avais l’impression de quitter un doux rêve.
Les yeux ouverts, cette pièce m’est familière, mais ce n’est pas ma chambre… Non je n’ai pas rêvé.
L’odeur du café me rappelle un agréable souvenir.
La veille, Justine,  après le repas, nous avait fait un café.
Tout était ensuite allez si vite.
Je me souviens être parti assouvir un besoin naturel et en revenant dans la chambre, Justine qui dépliait le canapé lit.
Je l’ai regardé faire, sans même lui proposer de l’aider.
Elle s’est alors tournée vers moi en me souriant.
Sans un mot, je me suis mis nu. Je bandais fort.
Elle aussi restait silencieuse et quand le lit fut bien installé, elle s’approcha de moi pour m’embrasser. Sa main se posa sur mon sexe et accompagna son baiser d’une douce caresse sur ma verge déjà bien dressée.
Elle s’écarta ensuite de moi pour se mettre à son tour nue. Elle s’allongea sur le lit sans rien dire.
J’ai été la rejoindre pour glisser ma tête entre ses cuisses, mais, à peine avait-je commencé la caresse buccale, qu’elle prît ma tête entre ses mains pour l’amener vers sa bouche.
Notre baiser fut passionné.
Mes mains parcouraient son corps, mes mouvements frénétiques et désordonnées ne savaient trop où s’attarder. Mon sexe frottait ce corps nu sans vraiment chercher un lieu particulier et encore moins à s’introduire en elle.
Est-ce que je n’osais pas franchir cette étape ?
 Avais-je envie d’attendre encore un peu ?
Je n’en sais rien, mais pour l’instant, je profitais de ses baisers avec gourmandise et explorais son anatomie de mes mains avec la passion et la maladresse d’un puceau que je n’étais, pourtant, plus depuis longtemps.
Son bassin se frottait contre moi, je sentais le contact de sa toison humide sur ma peau nue. Elle se dandinait, voulant certainement attirer ma verge vers sa chatte. J’imitais ses mouvements, mais ne cherchais nullement à laisser converger nos deux sexes.
-    Prends-moi !
Finit-elle par me dire.
Son invitation était autant un ordre qu’une supplique. Comment pouvais-je ne pas y répondre favorablement.
Mon sexe se faufila entre ses cuisses et chercha l’entrée magique et offerte.
Elle était excitée et bien ouverte, mais j’avais quelques difficultés à me glisser en elle… j’ai dans un premier temps pris mon sexe dans ma main pour le diriger, mais j’ai finalement trouvé une autre solution. J’ai pris la main de Justine et je l’ai posé sur mon sexe.
-    Guide-le.
Elle s’exécuta avec brio et si bien guidée, ma verge rentra sans aucune difficulté.
Non, tout ceci n’était pas un rêve, j’étais là, dans le lit de Justine, j’avais dormi avec elle, mais pas seulement.
Je me souvenais encore de cette nuit, instant magique que je n’aurais jamais pensé vivre un jour… surtout à mon âge.
Nos corps s’étaient unis. Le combat fût intense et de ces premiers ébats, Justine fût la première à rendre les armes.
Mes coups de reins étaient de plus en plus rapides et profonds, son bassin accompagnait chacun de mes mouvements. Ses gémissements, petits sons agréables de son plaisir, se faisaient de plus en plus fréquents, sa respiration s’accélérait. Elle n’en pouvait plus et en redemandait pourtant. Elle ne pouvait plus taire son désir, elle abdiquait et m’offrait dans un râle de délivrance, un orgasme intense et bruyant.
Les conséquences de l’âge sur la sexualité masculine et surtout sur la faculté à donner du plaisir à la partenaire féminine ne sont que foutaises… elle avait jouit et cela n’était pas feint.Heureusement pour elle, heureusement pour moi aussi, avoir de l’âge veut aussi dire avoir une certaine  expérience, je savais qu’il me serait difficile de retrouver une « forme » convenable après avoir jouit, que je ne pourrais me libérer en elle, certainement, qu’une fois et je savais aussi comment faire pour ne pas partir trop vite, pour me retenir.
Mon excitation, était au zénith, mais j’essayais, avec un certain succès, de ne pas m’abandonner trop vite.  Un jeunot aurait certainement succombé au premier orgasme de Justine. Celui-ci était si intense qu’il n’aurait pu que se résoudre à l’accompagnait. Moi, je lui en ai offert 2 autres avant de me laisser emporter, à mon tour, et l’inonder de mon plaisir.
Certes, un jeunot aurait pu recommencer plusieurs fois… enfin, certains, mais je pense avoir réussi à pallier cet inconvénient… même si les deux autres fois, l’orgasme avait été moins intense pour elle, je l’avais quand même fait jouir 3 fois.
Et maintenant, le café passe à nouveau et je me surprends à bander de nouveau.
Justine sort de la salle de bain, je la regarde, elle est nue.
-    Bonjour, bien dormi ?
Me dit-elle en souriant.
-    Oui très bien et toi ?
2 bols, 2 verres et 2 morceaux de baguette était posait sur un plateau.
-    Noir ou avec du lait ?-    Noir !-    Combien de morceau de sucre ?-    Aucun…
La nuit avait été sublime, le réveil ne l’est pas moins.
Elle  s’approche de canapé lit, pose le plateau à même le sol juste à côté, prend un verre de jus de clémentine et me le temps. Elle s’allonge à côté de moi et prend l’autre verre.
-    A nous !
Dit-elle en cognant son verre contre le mien.
Elle ne m’avait pas demandé si je désirais boire un jus de fruit, mais l’intention était gentille.
Je sirotais doucement sa collation en la regardant.
-    Que tu es belle !
Dis-je en laissant mon regard inspecter la totalité de son corps.
-    J’adore ta poitrine.
Ma bouche est venue accompagner mes paroles d’un petit baiser sur son téton droit.
-    Ils sont un peu petits.
Me fit-elle remarquer.
-    Comme je les aime !
Un petit sourire ensoleilla son visage.
-    Et j’aime te voir sourire.
Je disais cela, mais mon regard fixait maintenant son mon de Vénus.
-    Tu le situes bien bas mon sourire.
Dit-elle en éclatant de rire.
-    Ta toison est appétissante…
Elle passa sa main sur sa fine crinière sans rien ajouter à mes propos. J’y posais, également un baiser.
-    Mais, comme la moustache couvre les lèvres d’un homme, elle cache bien trop les lèvres intimes d’une femme…
-    Tu n’aimes pas ?
-    Je n’ai jamais porté la moustache.
-    Je ne pense pas que cela t’irait.
Taquina-t-elle.
-    Moi, je serais curieux de te voir sans…-    Sans moustache ?-    Oui, enfin sans toison…
Elle ria.
-    Tu voudrais que je me rase…-    Épiler serait mieux.
Elle caressa une nouvelle fois ses poils pubiens sans répondre.
-    Tu ne l’as jamais fait ? -    Si l’été je fais ce que l’on appelle une épilation « brésilien »-    Je parlais d’épilation intégrale.-    Non, tu aimerais ?-    Oui, beaucoup.-    Tu n’aimes pas ainsi ?
Dit-elle en ouvrant ses cuisses pour m’offrir meilleure vue de son intimité. Elle accompagna son geste d’une petite caresse de son bouton magique.
-    Si beaucoup, mais j’aime aussi admirer de belles lèvres intimes… surtout quand elles sont excitées comme les tiennes en ce moment.
J’ai accompagné mes paroles d’une caresse entre ces cuisses. Mes doigts effleurèrent d’abord doucement ses poils pubiens, ils se dirigèrent ensuite vers son pubis pour me diriger enfin vers sa vulve.
Elle soupira et commençait vraiment à « mouiller » comme on dit vulgairement.
Un doigt se glissa en elle. Un 2eme commença à prendre le même chemin. Elle s’ouvrait de plus en plus.
Je les retirais ensuite un à un pour, dès qu’ils furent complétement délivrés de cette grotte humide et accueillantes, les conduire vers mes narines pour m’enivrer de l’odeur intime de Justine.
Je lui présentais ensuite chaque doigt pour qu’elle les suce et se régale de sa propre cyprine. 
-    Bon, ne laissons pas le petit-déjeuner refroidir…
Dis-je ensuite en posant un baiser sur les lèvres de Justine.
Elle posa sa main sur mon sexe.
-    Et lui, il saura attendre ? ne va-t-il pas perdre de sa splendeur ?
Dit-elle en prenant un petit air coquin.
-    Tu sauras lui redonner de sa superbe…
Elle continua la masturbation de ma verge sans répondre.
-    Et tu n’as pas de micro-onde à ce que je vois, donc le café sera plus difficile à réchauffer que mon ardeur.
Elle éclata de rire, retira sa main et pris mon bol sur le plateau pour me le donner.
Le petit-déjeuner terminé, elle déposa le contenu du plateau dans l’évier et nettoya celui-ci à l’aide d’une lavette. J’étais resté dans le lit et je la regardais faire cette petite vaisselle. Nous étions nus et j’admirais la jeunesse de son corps.
-    Qu’est-ce que t’es fichtrement belle !
Murmurais-je ravi d’être dans son lit.
-    Que dis-tu
J’éclatais de rire sans répondre et lui lançait un baiser à l’aide de ma main.
Elle l’attrapa au vol, ria à son tour, puis prenant un petit air coquin le déposa entre ses cuisses.
Diffuse en direct !
Regarder son live