Tous les soucis d’une mère a de son fils, est de trouver la femme de sa vie, personne ne semble jamais assez bon. Alors, quand, après une série à court terme qui ne se matérialisent pas en une vraie relation, mon fils, Claude a décidé de s’installer avec Jennifer, je craignais au début. Mais quand il la ramena chez nous pour la présenter à mon mari et moi, je savais qu’il avait fait le bon choix. Jennifer était très jolie, intelligente et drôle, essentiellement la femme idéale. Je crois qu’on pourrait presque dire que j’ai vue le rôle d’une maman en elle. J’irais même jusqu’à dire que j’aurais été très en colère avec Claude si il rompait avec elle. Toutefois, ça ne semble pas particulièrement probable, il était complètement hébété et il était clair pour tout observateur que Jennifer était certainement celle qui tient le pouvoir dans leur relation, tandis que Claude faisait ce qu’elle voulait. Cela ne me dérangeait pas du tout, elle avait réussie d’ obtenir de mon fils, à faire des choses que je n’avais jamais réussi au cours des années comme mère. Comme vous l’avez deviné, Jennifer et moi nous sommes devenus des amies rapidement. En dépit de l’écart d’âge de plus de vingt ans, nous étions comme des amies à traîner ensemble, même quand Claude n’était pas là. Nous allions dans les bars ou clubs ou ensemble au cinéma, laissant nos hommes, Claude et son père, à la maison pour prendre soin d’eux mêmes. Inévitablement, quand vous devenez amies et avec des cocktails, la conversation tourne invariablement au sexe et, même en dépit de notre relation en tant que future belle-mère légalement et la belle-fille, ce fut le cas chez nous. "Bien sûr, tu dois avoir un vibromasseur, chaque fille devrait en avoir un, disait Jennifer ",’’Ce n’est pas que Claude ne me satisfait pas, mais seulement une jeune fille sait vraiment comment se faire plaisir, et parfois c’est exactement ce dont j’ai besoin." «Exactement, je ris, je ne pourrais pas être plus d’accord, parfois Jean,au lit ne me satisfait pas vraiment assez pour moi et j’ai dû me résoudre à utiliser un gode à la place pour jouir, " Ne sous-estimez pas la valeur gode! " "Mmm, ouais," Jennifer a convenu, "C’est toujours bon pour une fille à avoir des jouets. Même un beau gode-ceinture c’est très pratique aussi. «Hein? Demandai je, un peu surprise et confuse. je savais qu’elle était dans une relation monogame avec mon fils et par conséquent, ne pense pas qu’un gode ceinture était quelque chose qu’elle avait vraiment besoin. "Oh ouais,"dit Jennifer et ça a commencé à dégénérer en une crise de fous rires, les cocktails que nous buvions commencent clairement à monter au cerveau, "Claude est ’’ma femme ’’dans notre chambre à coucher! Il n’aime rien plus que de se mettre à quatre pattes sur le lit et me présenter son joli cul pour que je le prenne avec mon gode ceinture! "dit elle en riant"Désolé, je ne devrais pas dire des choses comme ça à sa mère, vraiment, je ne devrais pas?" "Euh ..." J’ai du mal à trouver quelque chose à dire, j’ai été tellement surprise par Jennifer laissant tomber cette révélation dans le milieu de notre conversation, mais je dois avouer que j’ai été intriguée et excitée à l’entendre. Je me suis sentie assez bizarre par cette révélation sur la vie sexuelle de mon fils, mais je ne pouvais m’empêcher de ressentir un certain frémissement à la pensée de mon fils sur ses genoux virils, avec sa copine le prenant par derrière. "Euh, c’est un peu inhabituel n’est-ce pas?’’ «Oh, Aline, vous devriez essayer!» dit Jennifer avec enthousiaste: "comme c’est bon d’être le dominant, étant celle qui prend le contrôle sur le sexe ’’fort’’. En prenant votre homme et le baiser. Et, croyez-moi, c’est assez bon pour lui aussi. Vous devriez voir l’expression sur le visage de Claude quand il se fait empaler par mon gode-ceinture! votre fils a un réel plaisir. " "Je dois dire Jennifer, que vous ne donnez l’impression d’être une très bonne enculeuse, j’ai souri et ri, l’alcool évidemment me monte au cerveau aussi".
Mais Jean pense trop à ses intérêts sexuels, notre vie sexuelle est assez régulière et platonique. Je n’ai jamais osé de lui faire expérimenter et d’évoluer avec des jouets", Jennifer semble envisager cette possibilité pendant une seconde avant de rire encore plus, cette fois avec une lueur qui brillait dans ses yeux, qui signifiait que ma jeune amie pensait à quelque chose de pas tout à fait catholique. « Aline », j’ai une idée vraiment savoureuse, dit-elle en souriant,« Vous avez un mari qui n’aura pas l’idée de l’amusement que vous voulez, mais nous savons toute les deux que quelqu’un d’autre pourrait faire l’affaire .. ». «Tu ne veux pas dire ....?" J’ai dit choquée par la direction que cette conversation a été prise. "Bien sûr, vous voulez essayer quelques sodomies dans un cul viril et doux, et vous avez un homme sous votre propre toit, qui aime se faire prendre comme ça. Il serait stupide de ne pas profiter de cette situation", dit ’elle en souriant. «Tu ne veux pas sérieusement que je le fasse avec mon propre fils, tu n’y pense quand même pas Jennifer? » "Pourquoi pas, je sais que je peux faire de lui tout ce que je veux, dit-elle en souriant »« Tous fils, fantasme secrètement de coucher avec sa mère de temps en temps ».Je viens de lui faire admettre.« Et je sais que même une mère pense parfois à leurs fils comme ça aussi. Ne me dites pas que vous n’êtes pas en train d’imaginer lui maintenant nu, à genoux, suppliant pour que vous le baisiez avec votre gode-ceinture! " Et c’est comme ça que je suis d’accord avec la fiancée de mon fils,que je vois Claude avec un gros gode-ceinture planter dans dans son cul. Je sais, c’est assez bizarre, mais j’étais ivre et excitée et que ce n’est jamais le bon moment pour se faire des films. D’ailleurs, j’étais curieuse. Je crois que j’ai toujours eu ce côté voyeuse que je n’avais jamais été en mesure de mettre en évidence grâce à l’attitude plutôt conventionnelle de Jean avec le sexe, alors quand Jennifer suggère de faire de moi une dominante, incestueuse à ses cotée, je suppose que je n’ai pas pu résister. Même après avoir été dégrisée le lendemain matin, je ne suis pas encore redescendu de mon fantasme. Je me suis convaincu de le vouloir et maintenant que cette volonté a été incorporée en moi. D’ailleurs, je doute que j’aurais été en mesure de revenir sur ma parole, même si j’avais voulu, car Jennifer c’était réellement emparée de l’idée et ne me laisserait pas l’oublier. Le lendemain, quand je l’ai vue, elle était très excitée et intrigante à propos justement de ce que nous pourrions faire pour convaincre son petit ami à fantasmer et non seulement donner des renseignements sur le vouloir de son cul, mais de le faire avec sa mère. En fait, il devint vite clair que nous ne jouons pas vraiment à une nouvelle fantaisie: de la mienne autant que l’un des siens. Jennifer avait décidé, une fois de plus, éventuellement en jouant sur ses propres fantasmes sexuelle,chaude dans sa tête, que la meilleure chose à faire pour que Claude ai la surprise de voir "accidentellement" sa fiancée et sa mère ensemble dans une relation de lesbienne. Elle m’a motivée à jouer une scène chaude qui serait la cause de mon fils, son petit ami, pour commencer à être régie davantage par sa bite et son désir que son esprit et donc faire plus pour le séduire que si l’on vient de lui en suggérer l’idée. Je n’avais jamais songé à faire l’amour avec une autre femme, mais la pensée de celle-ci ne ma pas gêner totalement, après tout, je n’avais jamais fait beaucoup d’expérience pour ce que nous avions l’intention de faire, il y avait une première fois pour tout. Bien que je n’avais jamais pensé surtout sexuellement à une autre femme, cela ne veut pas dire que je n’avais jamais trouvé cela attrayant. Certes, je serais une idiote de ne pas le faire avec Jennifer. Une raison pour laquelle j’ai été si heureuse pour Claude: qu’il avait lui-même trouver la femme de sa vie en Jennifer J’imagine que si j’avais un type de femmes, ça serait comme Jennifer. Elle était petite et parfaitement proportionné, avec une taille fine et les jambes galbées et un beau cul. Sa peau était pâle et ses cheveux étaient presque noires et descendaient jusque au bas de sont dos. Ses yeux bleus brillaient, dansaient et quand elle était excitée, qui, dans ce cas particulier, était très prononcée. Donc oui, si je doit coucher avec une autre femme, Jennifer aurait vraiment été mon premier choix. Même ainsi, j’ai été naturellement un peu nerveuse quand le jour qu’elle avait choisi arriva. Mon mari était parti jouer au golf toute la journée et j’avais invité Jennifer et Claude à passer la journée avec moi. Jennifer avait accepté de se déplacer dans la matinée et Claude de se joindre à nous pour le déjeuner, qui nous donnerait l’occasion de faire plus ample connaissance et nous «découvrir» dans un compromis, que suscite la situation. Lorsque Jennifer est arrivée, que j’ai ouvert la porte, je tremblais de tout mes nerfs, tandis que Jennifer avais son charme habituel. Assez tôt, elle m’avait mis à l’aise et a présenté les détails du plan pour ce grand jour. Elle portait un sac avec elle et elle l’ouvrit pour révéler deux gode-ceintures plus gros que la bite de mon mari, avec un aspect veiné réaliste. L’un était une couleur rose vif et l’autre était de couleur chair plus naturelle. Elle me tendit le modèle de couleur chair le plus réaliste, et l’autre pour elle. Elle a ensuite expliquée qu’elle avait décidée que nous devrions porter ces godes sous nos jupes pour les faire sortir juste au bon moment quand mon fils aurais l’idée de faire un trio avec nous. Puis nous sommes allées jusqu’à la chambre à coucher et nous avons choisi une tenue sexy pour moi, et m’a assurée qu’elle saurait conduire mon fils à un état sauvage. J’ai sortie un soutien-gorge balconnet en dentelle pourpre qui fait monter encore un peu mes seins, de taille impressionnante. Il y avait aussi la culotte assortie et le porte-jarretelle. J’avais acheté ce modèle espérant une occasion spéciale, pour impressionner mon mari, mais il ne semblait particulièrement pas excité à l’idée de me voir avec. Maintenant, cependant, Jennifer me dit que je serais très belle dans cette ensemble. "Vraiment? Pourtant,ce n’ai pas l’avis de Jean?" "Ouais, ce sont certainement pas les plus récentes",me répondit-elle«Tu sais Claude m’a acheté un ensemble à peu près pareil, mais ça ne me convenait pas et je me suis finalement demandé pourquoi il avait pensé à ce modèle et, après quelques câlins, il me dit qu’il t’ avait vu dans cet ensemble, et tu avais l’air très sexy. C’était la première fois que j’ai pensé qu’il pouvait avoir ce complexe mère et fils. " "Wow, dis-je, véritablement surprise, je n’avais jamais remarqué quoi que ce soit en lui." «Non, une mère ne voit pas son fils comme ça», elle sourit: «elles pensent simplement que c’est normal,que c’est le comportement d’un fils à une mère." Il y a des moments comme ça, qui me font croire que ce plan de fou pourrait en fait me travailler autant, que mon fils pourrait en fait se soumettre à être défoncée par sa propre mère. Sans la confiance de Jennifer et l’excitation de l’idée, je n’aurais jamais vécu quelque chose comme cela. Cependant, sous la direction de Jennifer, je me suis trouvée à faire tout ce que je n’aurais jamais cru en moi. Quoi qu’il en soit, dès que Jennifer avait décider de me faire changer d’habits, je me suis dépouillé de mes vêtements de tous les jours et fixer le gode-ceinture autour de ma taille. Je n’avais jamais porté rien d’équivalent,ça me faisait bizarre d’avoir une bite entre les jambes et je n’ai pas pu m’empêcher d’admirer mon reflet dans le miroir. Mon corps me semblait très décent pour une femme dans la quarantaine. Je n’étais plus aussi mince que je n’avais été, mais j’avais gardé ma silhouette assez bien et mes gros seins sont enviés par beaucoup de femmes plus jeunes, mes cheveux avec mes boucles blondes, sans même un soupçon de gris. Toutefois, ce qui a vraiment attiré mon attention était la protubérance inhabituelle entre mes jambes. Pendant une seconde, il semblait presque comme un bite réel ce balançant entre mes cuisses féminine, un spectacle étrange mais fascinant. Après avoir passé beaucoup de temps a regarder mon corps, j’ai enfilé ma culotte pourpre, me donnant un renflement évident, presque comme si j’étais un homme qui portent une culotte de femme. J’ai mis le soutien-gorge et accrocher au porte-jarretelle une paire de bas noir tendu le long de mes jambes . Ma fausse bite bombée dans ma jolie culotte était couvert par une jupe à la longueur des genoux et mes seins contenue par un corsage serré. "Wow, tu est superbe Aline," me dit Jennifer, en la rejoignant dans le salon. Elle était aussi vêtue d’une jupe courte et un chandail serré et s’est joint à moi pour couvrir ses mains sur mon cul dans ma petite jupe serrée. Elle se saisit de ma bite en caoutchouc et souriait à le sentir à travers ma jupe et culotte. Diriger les yeux sur son joli corps, elle a remonter sa mini-jupe pour révéler sa fausse bite de couleur rose vif qui pendait entre ses jambes. «Ton fils ne sera pas en mesure de résister à deux femmes chaudes comme nous, dit-elle en riant.
