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elle & Elle ou la morsure des roses

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Elle détend un peu ses mains, Elle sait que ca va commencer, les cris, les pleurs, le bonheur de elle. Comme toujours ce sera un déchirement pour Elle, mais Elle se promet de ne pas arrêter jusqu’à ce que tout son projet arrive au bout. Elle aime elle et Elle veut faire plaisir à elle. elle sent de plus en plus la pression et l’excitation monter, mais que prépare Elle. elle veut que ca commence, mais il lui semble que Elle laisse volontairement trainer. elle se regarde sur l’écran, elle sent la chair de poule qui la recouvre jusqu’à son bouton de plaisir et ses lèvres vaginales gonflées, elle est enivrée par les odeurs et l’ambiance suave. Elle prend une première poignée de roses dans ses mains. Elle a achetée toutes ces roses avec une partie de Ses économies personnelles. Elle n’a jamais dépensée autant pour leurs plaisirs partagés. Elle espère ne pas décevoir elle. Elle s’approche d’elle. elle voit les roses puis Elle entrer dans l’écran à son arrière gauche. elle ressent le baiser doux des pétales sur ses fesses charnues et tendues. Un frisson parcoure tout le corps de elle. Les tétons de elle pointent, tout son corps pointe, son bouton se détend, la cyprine lui coule le long des jambes. La morsure différente des feuilles puis celle des ronces atteint les terminaisons nerveuses tellement sensibles des globes de elle. elle aime cette morsure. Elle se dit qu’elle va commencer doucement, Elle frotte tout en douceur les magnifiques fesses de elle. Elle aime frotter ces fesses de ses mains nues et ressentir les frissons de elle, mais ce soir les roses remplacent Ses mains. Toutes les roses vont y passer, elle en a plus de 1500 pour pouvoir faire durer le plaisir. Elle a voulu en acheter une pour chaque journée passée ensemble mais a vite abandonnée pour les acheter au poids chez un grossiste de la région. Elle caresse les fesses de elle de plus en plus fort, passe d’une fesse à l’autre, Elle s’assurer que le sillon de elle soit bien recouvert. Les premières traces blanches de griffures apparaissent. Des ronces commencent à se planter dans la chaire de elle. Elle appuie encore plus, elle commence a ressentir des griffures douces, sent les ronces se décrocher pour se planter dans sa chair, les pétales rester accrocher. Une feuille reste plantée juste entre les fesses avant de tomber quelques dixièmes de secondes plus tard. Des frissons lui envahissent le dos. Cette première petite poignée de fleurs est usée. Elle jette la tige restante aux pieds de elle. Les pétales commencent à recouvrir le sol. Elle saisit une deuxième poignée et descends sur les cuisses de elle. Elle frotte plus vigoureusement, les muscles de elle sont tendus. Les griffures se font plus profondes. elle commence à ressentir une douleur, douce, agréable, mais un présage pour la soirée. Elle jette les tiges, les pétales restent au sol. Elle a aperçu le petit trou resté dans l’entrejambe de elle et la cyprine qui coule abondamment. Elle saisit 2 roses, une blanche et une rouge. Elle transperce ce petit trou et fais des va et vient juste contre les grandes lèvres bien enflées et entre les cuisses de elle. Les 2 roses sont rapidement imprégnées par la cyprine de elle. Ces zones sensibles font sursauter elle sous la morsure des ronces qui sont poussées en avant et en arrière avec les allées et venues des fleurs par Elle. Ces ronces restent bien plantées et s’enfoncent. Elle y va très prudemment pour ne pas abimer les pétales, mais dès que ceux-ci sont passés, le piston prend un rythme plus rapide, digne d’un moteur au cheval cabré. Les premières larmes commencent à couler des yeux de elle. Elle ne les voit pas. Elle retire les roses et porte les pétales au visage de elle. elle sent l’odeur acre de sa cyprine qu’elle a si souvent eu l’occasion de renifler. elle préfère nettement le goût et l’odeur de Elle, mais remercie déjà Elle pour ce bref répit. elle prend les pétales en bouche. Elle détache les tiges et tirant dessus. La bouche de elle est magnifiquement parée par ces deux couleurs tellement symboliques, les cieux et l’enfer. C’est une métaphore des sentiments de elle tout au long de cette soirée extraordinaire. elle s’échinera à conserver ces pétales en bouche, mais n’y réussira pas longtemps. En effet Elle ne se repose pas longtemps, elle enchaine les poignées de roses et transforme les caresses en coups. Elle fouette le corps de elle. Elle ne néglige aucune parcelle du corps de elle. Les gouttes de sang commencent à perler des petites incisions dans l’épiderme lacté de elle. Elle varie les angles, la rapidité, la fréquence, la force, les zones. Elle passe de haut en bas d’avant en arrière. Elle ne néglige pas les bras de elle, mais évite les mains et le visage, qu’Elle ne veut pas marquer. elle ne peut se retenir de crier quand ses aisselles se font torturées. Ces tétons sont fortement marqués, le triangle recouvert d’un petit duvet il y a quelques minutes encore est lui aussi une cible privilégié. elle ne peut se retenir d’uriner, elle dégouline de partout et arrose l’oreiller ainsi que le sol l’entourant de tous ses liquides, urine, cyprine, larmes. elle exulte de plaisir alors que Elle souffre intérieurement. Pour réussir à poursuivre, Elle se défoule, deux coups et toutes les ronces sont figées, tous les pétales s’envolent. Elle y met toute sa force et réprime Ses larmes. elle est belle, marquée de partout, mais aucune des deux ne se repose pour le voir. Heureusement le film immortalise ces instants magiques. Bientôt des trous béants apparaissent dans la couverture de rose, le décor du salon réparait. elle tient magnifiquement ce premier rôle dans ce long métrage que Elle tourne pour leur album souvenir. elle vit pleinement chaque seconde, chaque coup. Après plus de 120 minutes de torture intense pour les deux déesses/diablesses il ne reste plus que quelques roses éparses. Elle voudrait s’arrêter mais se force de continuer, elle voudrait que ca continue à tout jamais, mais attend avec impatience l’étreinte d’Elle qui sonnera le glas de cette magnifique séance. Mais elle se trompe, la soirée, est-ce encore une simple soirée , n’est pas prête de finir. Elle l’a imaginée jusqu’au bout. Elle prend ces dernières fleurs et finit de caresser le corps tuméfié de elle. Elle n’a plus la force de frapper, mais la sensibilité plus qu’exacerbée de cette peau tellement marquée, permet à ces simples caresses d’extraire des hurlements de la bouche, d’habitude tellement plaisante, de elle. La dernière rose y est passée, le sol est jonché de tiges, de feuilles, de ronces et surtout de pétales.
Cette première phase est terminée, Elle détache elle qui s’écroule au sol, en essayant de se raccrocher à Elle. Elle s’est reculée et a laissée elle s’effondrer. Elle y avait réfléchie avant et c’était le plus gros déchirement de sa carrière de maitresse jusqu’à ce jour. Elle a dû se faire violence comme jamais pour laisser elle tomber sur le sol sale et dur sans la soutenir, sans l’aider. elle ne comprend pas, mais la soirée n’est pas encore terminée. Elle retient Ses larmes, prend la voix la plus autoritaire qui lui est possible et ordonne à elle de ranger le sol et de nettoyer ce merdier. elle la regarde de manière suppliante, elle veut sa récompense, son câlin tellement mérité. Elle le ressent, Elle sait, Elle veut aussi, mais Elle sait que elle va la remercier pour la suite. Elle précise que tous les pétales doivent être mises dans un panier prévu à cet effet et que le reste va être mis dans le fumier. elle pleure à chaudes larmes. elle s’interroge, elle ne veut pas que ca s’arrête, elle ne sait plus. Alors elle s’exécute, elle est une vraie soumise. Elle n’est pas une vraie maitresse, Elle doit sortir de la pièce et va s’enfermer à l’autre bout de la maison pour éclater en sanglots. Elle se ressaisit, Elle sait que le labeur de elle est long, mais qu’Elle doit préparer la suite. Elle s’essuie et efface toutes les traces de larmes.
Elle va chercher l’alcool à 90° et les boites de coton tiges. Elle mélange l’alcool avec le colorant qui marquera bien le corps de elle. Elle étend le tissu sur la grande table de la salle à manger. Elle retourne dans le salon pour voir où en est elle. elle n’a pas encore fini mais assure sa tâche très précautionneusement. Elle va chercher un sceau d’eau dans la cuisine avec une grande louche. Elle revient dans le salon et appelle elle. elle vient aux pieds de Elle, son visage marqué par les larmes. Elle prend une louche d’eau et fait boire elle. elle ne s’était même pas rendu compte qu’elle est asséchée. elle boit. Elle la fait boire. Une fois que elle est rassasiée, Elle lui met de l’eau sur le visage. Elle intime à elle d’être présentable pour la suite. Cela aussi est une déchirure pour Elle. Pourquoi est-il tellement dur d’être dure se demande Elle. Mais Elle tient bon, elle aussi tient bon. elle veut que Elle soit fière d’elle. elle retourne à la tache, ses genoux la font hurler de douleur, elle ne peut plus rester à genoux, mais y met toute sa volonté. elle espère que Elle s’en rend compte, que Elle l’aime toujours autant et que Elle continuera ces jeux. elle finit enfin le nettoyage et le rangement. elle espère enfin avoir une étreinte, un baiser, un câlin, mais elle se trompe. Elle n’a pas encore finie. elle attend comme un petit chien battu à l’entrée du salon. Le sang sèche sur la peau de elle, elle a l’impression de sentir chaque millimètre-carré de son corps. elle voit ses seins, elle n’aime pas ces mamelles trop grosses, elle aime le dessin des griffes sur ses seins, elle regarde ses bras, ses cuisses, elle est belle avec toutes ces marques de douleur. elle aime ces marques pour ce qu’elles représentent. elle veut se caresser, elle n’ose pas se toucher. Elle aperçoit elle. Elle appelle elle. elle se lève et court vers Elle. Elle dit « Stop » et elle s’arrête, les yeux de nouveau embrumés. elle ne comprend pas, elle veut une récompense. Elle dit : « Tu ne crois quand même pas me toucher dans cet état. Allonge-toi sur le drap, je vais te nettoyer. » elle comprend. elle n’aime pas le désinfectant. Elle sait que l’alcool pur est très douloureux, Elle s’applique à ne négliger aucune coupure. Elle sort toutes les ronces. elle pleure, elle sursaute. Elle gifle elle quand elle sursaute. Elle use de patience, Elle utilise un nombre incroyable de cotons tiges. Ces brûlures sont pires que les coupures des ronces. elle reste allongée, elle se retourne quand Elle le lui demande. elle est fière de ne pas devoir se faire attacher et de supporter la douleur. elle est bientôt toute verte, couleur du colorant utilisé par Elle. Elle permet à elle de se relever, mais l’enjoint de ne pas souiller le sol avec le désinfectant. Elle refuse toujours l’étreinte. elle a peur que Elle ne l’aime plus. Mais Elle l’aime plus que tout.
Elle lui dit qu’Elle est fière d’elle.
Elle invite elle à monter dans la chambre mais lui rappelle qu’elle doit en permanence rester sur le drap. elle s’efforce à obéir, elle espère enfin pouvoir bénéficier de l’étreinte de Elle. Elle est dans chambre bien avant elle et se déshabille entièrement. Elle s’allonge sur le lit. elle a mal, que c’est dur de faire cette gymnastique, si peu artistique pour ne pas souiller le sol. elle n’est pas contorsionniste et manque plusieurs fois de chuter, mais elle arrive à la porte de la chambre. elle aperçoit Elle allongée les jambes écartées en train d’utiliser leur jouet favori. elle espère bientôt en bénéficier. Elle voit elle s’approcher du lit. Elle s’énerve, comment elle ose-t-elle la déranger ? elle est désarçonnée, les larmes réapparaissent sur les joues de elle. Elle intime à elle de rester dans le coin de la pièce, debout tout la nuit. elle ne s’en sent pas capable, et l’exprime. Elle lui ordonne le silence et d’une voix plus douce précise que la soirée n’est pas finie, qu’elle doit obéir à Elle. elle pleure, Elle se caresse. Elle se force de simuler du plaisir. Elle n’y arrive pas. Elle se retourne et essaie de s’endormir. Elle n’y arrive pas. elle sanglote. Elle sanglote. 90 minutes passent, Elle ne tient plus. Elle se lève et va à la salle de bain. Elle fait couler un bain tempéré. Elle appelle elle. elle a enfin droit à Son étreinte. elle va dans le bain. Elle la rejoint.
La suite ne nous regarde plus …
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