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Elle est devenue salope, chienne, soumise.

Chapitre 3

Trash
Février 2012
Nous étions toujours à la montagne. Vacances de ski. Cet épisode intervient le l’en demain de la nuit où s’est arrêté le chapitre précédant. Camille avait donc pris la décision de se mêler de la soumission de sa soeur cadette. Son rôle est très important puisque je ne vie pas 24/24 avec Lola. Enfin pas à l’époque en tout cas. Du coup, sa soeur allait être une alliée d’envergure. Seulement le problème était le suivant : il me restait moins d’une semaine pour voir si elle était capable et si elle n’allait pas craquer. Je pense que cela ne l’excitait pas trop, en tout cas pas au départ mais... elle le faisait pour se rendre elle-même excitante aux yeux de benjamin. Lui aussi avait donc un rôle important. Je devais l’utiliser comme témoin. Je sais que Camille ne pourra rien refuser de faire faire à sa soeur s’il est présent. Et puis je garde l’espoir fou qu’elle se mette à apprécier notre jeu...
A la fin de la journée, nous étions tous très heureux de pouvoir savourer un repas typiquement montagnard dans l’appartement. Nous étions un peu à l’étroit mais l’atmosphère rendait la soirée géniale. Nous avions mal aux pieds de la journée dans ces bottes étroites, les vêtements séchaient, il régnait une odeur d’humidité due aux vêtements en train de sécher, mêlée à celle de la crème solaire...
19h48 - Fin du repas de famille
Nous étions 6 à table. Trois couples. La mère et le beau père, la soeur et le beau frère, Lola et moi. Pendant toute la journée sur les pistes, Lola fut la cible de nos attaques conjointes. Les miennes tout d’abord : sur les télésièges, elle me suçait en se cachant comme elle le pouvait, en se faisant caresser les seins... mais aussi par sa soeur et même Benjamin amorça une tentative qui fut très vite réprimée par Camille. Elle a précisé accepter de dominer, accepter d’exciter mais Benjamin ne toucherait qu’à elle et aucune autre. Il peut regarder, c’est tout. Personnellement, cela ne me posait pas plus de problème que ça. Qu’il la touche ou non
Lola a eu l’ordre de ne porter qu’un énorme sweet à capuche que je lui avais prêté. Il était assez grand pour lui arriver sous les hanches, évidemment, elle ne portait rien en dessous. Ayant habitué sa famille à être assez peu pudique, ses parents supposaient qu’elle portait une culotte ou un boxer. Pendant tout le repas, nous nous amusions sa soeur et moi à lui caresser l’entre jambe. Je regrettais de ne pas lui avoir mis notre oeuf vibrant télécommandé mais... le bruit aurait sans doute alerté les parents.C’est au moment du dessert que Camille lança l’idée de la soirée :
— Et si on allait à ce bar auquel on allait chaque année ?
Les parents n’étaient pas trop vieux jeu, après tout, nous étions tous majeurs, ils nous demandèrent tout de même de quel bar il s’agissait, et si nous avions l’intention de rentrer tard ou pas. Ce à quoi nous avons répondu positivement, évidemment.
Après avoir débarrassé la table, chacun s’est préparé : Camille se maquillait et s’habillait d’une tunique au décolleté plongeant et d’un jeans. Rien de trop fou. En revanche, Lola dut suivre les instructions : un top bustier très moulant sans soutient gorge qui laissait voir le relief de ses tétons ainsi qu’une jupe à volant. Ayant pitié d’elle à cause du froid, elle eut la permission d’enfiler un legging (que je taillais comme il se doit d’une fente à l’entre jambe). J’avoue ne plus trop m’être soucé de comment Benjamin et moi étions habillés.
20h36
Une fois tous prêts, nous partons de l’appartement. Dans l’ascenseur, j’en profite pour donner à Lola son gage de la soirée :
— Tiens, tu vas te mettre ce gode. Il est légèrement incurvé, c’est un machin "spécial point G". Bref. Tu te l’enfiles et tu le gardes en toi toute la soirée. Si tu le fais tomber, tu devras remonter ta jupe, laisser ta chatte visible à la vue de tous et te l’enfiler à nouveau.
Benjamin ouvrait de grands yeux, et je crois qu’il devint d’un coup livide. l’excitation peut être. En tout cas, Camille n’aimait pas sa réaction et choisit de tenter une surenchère
— Attends ! Avant de te l’enfiler, tu vas le sucer un peu aussi. Mais pas n’importe comment, comme une bonne chienne. A quatre pattes !
Elle me prend le gode des mains et l’agite au dessus de la tête de Lola. La situation m’amuse un peu. Lola me regarde et s’exécute à contre coeur.
— Vas y, fais la belle !
Et Lola commence à replier les mains et à bomber le torse pour mériter le gode tendu par sa soeur qui lui enfonce elle même le gode profondément dans la bouche.
— Voila ! Comme ça il rentrera comme dans du beurre ! Tourne toi et lève ton cul !
Mais l’ascenseur arrivait au rez-de-chaussée. Dès que les portes s’ouvrent, j’avance d’un pas et pousse légèrement Lola avec les jambes pour lui faire comprendre qu’elle s’exécuterait dans le hall d’entrée de l’immeuble. Elle fait quelques mètres à quatre pattes, colle sa joue sur le sol et relève son cul au maximum pour permettre l’insertion faite par sa soeur, qui en profite pour faire quelques vas et viens. Lola est déjà mouillée, je pense qu’elle aura du mal à garder son jouet...
A peine, elle se relevait qu’elle le sentait déjà glisser. Elle tente de le retenir avec sa main avant d’entendre nos sifflements désapprobateurs. Elle tente quelques mètres d’un pas mal assuré jusqu’à la porte. Ca a l’air d’aller. On la rejoint et on commence à marcher jusqu’au bar. Il était tard, nous étions quatre ombres dans la nuit. Après quelques rues, ce qui devait arriver arriva : Lola se fige, elle tente de croiser les jambes, se tient au mur d’un immeuble. La rue n’est pas très passante à cette heure ci. Mais le gode glisse. On a tous le réflexe de regarder autours. Seulement un couple, à environ 10 mètres. Ils marchent vers nous en se tenant la main. En se retourne vers Lola pour l’admirer s’infliger la sentence.Elle parait hésitante au début... puis lentement s’accroupis pour prendre le gode. Elle tente de l’essuyer un peu sur le revers de sa robe puis rapidement, la lève, faisant prendre l’air à sa moule, écarte un peu les jambes et s’enfonce le gode d’un trait jusqu’au bout pour éviter qu’il ne retombe.Le couple nous regarde bizarrement, nous ne parvenons pas à distinguer leurs mots mais, la femme pointe Lola du doigt un moment. Ils nous on regardé longtemps et nous on contourné en prenant leur distances.
En guise de récompense, j’embrassais Lola en lui caressant un sen sous son bustier avant de repartir. Cela semblait aller mieux pour elle.
Nous arrivions devant le bar. Un bar comme on en voit souvent, rien de très particulier. Son seul attrait était qu’il était proche de l’appartement. Nous passons la porte, dedans, quelques jeunes en groupe, moyenne d’âge, 30 ans peut être. Nous décidons de nous installer à une petite table dans le fond, légèrement à l’écart pour ne pas être trop épiés.
— Bon ! Je propose que ce soir, notre serveuse soit Lola. Camille, Benji, vous votez pour ?
Aucune objection bien sûr. On commende donc chacun une bière que Lola s’empresse d’aller quérir au bar. Evidemment, elle savait ce que nous essayions de faire : provoquer une nouvelle chute du gode. Pour éviter cela, elle faisait de petits pas serrés en allant jusqu’au comptoir pour glisser quelques mots au barman. Elle attend que les peintes soient servies et nous nous amusons à commenter la scène en l’attendant. Le barman lui servit quatre bières et Lola se retrouva devant le problème : elle n’était pas assez douée pour en porter quatre à la fois et n’avait pas de plateau. Il va donc lui falloir faire deux allers-retours. LE premier se passe sans encombre. Bien qu’extrêmement lent.
— S’il te plait essaye de faire plus vite, pour les deux suivantes.
Elle y retourne d’un pas mal assuré, empoigne les deux autres verres et avance d’un pas. D’un coup, elle se fige, redresse la tête, semble me supplier du regard. Elle vient à peine de quitter le bar et elle sent doucement le gode glisser de sa chatte. Une seconde... une deuxième... et boom. Ca ne rate pas : le gode tombe.Les discutions sont animées, personne n’a encore remarqué. Elle se retourne, dépose les bières sur le comptoir, se baisse pour ramasser le gode, l’essuie et marque une pause en nous regardant. Nos regards étaient fixés sur elle et nous attendions sans rien dire. Elle se redresse, relève sa jupe. Attire la regard de la moitié des personnes présentes dans le bar. J’eus même un tiraillement dans le bas du ventre tant cela m’a fait de l’effet. Et elle s’enfonça le gode d’un coup, comme la première fois. Sans rien dire, elle rabaissa sa jupe, attrapa les peintes, se forçait à ne croiser le regard de personne et revient jusqu’à notre table. Très heureuse de pouvoir s’asseoir mais morte de honte de s’être ainsi exhibée devant tout le monde.
Nous venions de finir notre verre quand le barman annonça dans un micro qu’un quizz allait commencer. On nous apportait une petite feuille avec les numéros des questions. Chaque équipe devait avoir un nom. Cela ressemblait beaucoup aux quizz des bars irlandais, pourtant ce n’en était pas un, en tout cas il ne semblait pas l’être.
— Bon... un nom de team, quelqu’un a une idée ?
— Les Jack Lines !
— J’aime assez l’idée beni mais... plus pour un groupe de rock nan ?
— Boaf, je m’en fout, choisissez ce que vous voulez, toute façon j’suis une tarte pour ces trucs !
— Ok. Lola ? Une idée ?
— Euh nan pas spécialement...
— Faut qu’on mette un truc ! Pourquoi pas... OH ! JE SAIS !
Roulement de tambour...
— Les trois dresseurs et le vide-couille. Vous en dites quoi ?
Lola blêmit d’un coup. Camille guetta la réaction de benjamin... qui se contenta de sourire. Ce qui était suffisant pour Camille.
— Ouais ! Vas-y note le !
— C’est parti ! On va peut-être se faire jarter du bar, je vous préviens.
— Pas grave, ça aura valu le coup !
Le barman récupéra les noms et commença à les lire. Quand il arriva au notre il s’arrêta un instant pour nous regarder.
— Euh... bon euh... c’est assez spécial... va falloir assumer les jeunes ! Donc, groupe des trois dresseurs et du vide-couille. On les applaudis, faut oser. Je ne demanderai pas qui est le vide-couille, je crois qu’on a compris tout à l’heure.
A notre table, fou rire général, enfin presque général. Lola ne partageait pas notre enthousiasme. Pour tenter de pousser l’aventure encore plus lin, je me lève et vais jusqu’au barman pour chuchoter à son oreille. Il écarquille les yeux, regarde notre table et acquiesce. Je me met donc à écrire tout ce que j’avais en tête sur une liste et retourne à notre table.
— T’as fait quoi ?
— Ha ha ! Vous verrez.
Le barman prépare son questionnaire et reprend la parole :
— Ce soir, on a un questionnaire et un challenge très spécial. On vient de me proposer la chose suivante. Le questionnaire portera sur cette fille que vous avez sans doute du remarquer. Je vais poser les questions une à une. Vous aurez 30 secondes pour vous concerter et trouver une réponse. Je les récupère, Celui qui sera le plus prêt de la vérité aura le droit d’enlever un vêtement à la minette. Une fois qu’elle sera nue, le jeu continue en 5 questions : le gagnant de la première aura le droit de lui faire faire le tour du bar à quatre pattes en la tenant par les cheveux, le gagnant de la seconde aura le droit de lui enfoncer un objet de son choix dans l’orifice de son choix. L’équipe du gagnant de la troisième question aura le droit de cracher chacun une fois sur la fille. L’équipe du gagnant de la quatrième question aura le droit de se faire sucer ou lécher. L’équipe du vainqueur de la dernière question aura droit de la prendre par l’orifice désiré et aura le droit de se finir dessus. Ceci n’est qu’une proposition. ceux qui veulent partir le peuvent et si une majorité veut garder le quizz habituel, c’est possible aussi.
Quelques jeunes choqués restaient bouche bé. Tandis que de grands gaillards déjà alcoolisés manifestaient leur enthousiasme. La majorité voulait lui passer dessus évidemment.
— Bon dans ce cas je demande à la fille de prendre le micro et de nous assurer qu’elle est prête pour ce jeu. Aller, viens petite.
Lola nous regarde. Je lui chuchote à l’oreille :
— Embrasse ta nature. Ton devoir, ce pourquoi tu es faite. C’est en toi. Moi je serai fier de toi quand tu abandonneras toute résistance. Certains sont avocats, d’autres médecins, d’autres secrétaires, et toi, tu es chienne. Je t’aime comme ça. Et je suis fier de pouvoir dire que tu es la meilleure dans ton domaine.
— Merci maître. je t’aime...
Elle se lève, va jusque derrière le bar sous les acclamations de tous les hommes du bar et prend le micro.
— Bonsoir à tous. Je n’étais pas au courant de ce jeu mais je trouve que c’est une bonne idée. J’ai hâte de commencer et...
Elle soulève sa jupe, en retire le gode et le lève vers le plafond avant de reprendre.
— ... Que le meilleur gagne !
(A suivre)
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