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Elle fait quoi là

Chapitre 2

La partouze canine

Zoophilie
La partouze canine
Moi Anne.
Après cet épisode très troublant où j’ai découvert la face cachée de la personnalité de mon mari. Je suis encore perturbée, car je n’ai pu garder mon secret. Depuis quelques semaines, j’avais la certitude que Marc se doutait que Charly était mon amant. Mais hélas, Marc vient de me voir il y a à peine quelques heures en femelle soumise et prise par mon amant canin !Mon mari a bien compris que je me sens coupable de me faire saillir. Il a ainsi la possibilité de me faire du chantage, il a tout pouvoir sur mon devenir, je suis à sa merci et il l’a bien compris.
Alors que je prends ma douche matinale, Marc profite que je suis dans sa salle de bain pour confisquer à mon insu mes vêtements et mon téléphone.Il envoie depuis ce dernier un SMS à nos enfants, pour leur dire que j’ai besoin de repos suite à un surmenage, que je prends deux semaines de vacances à l’improviste, de ne pas s’inquiéter, que je leur donnerai des nouvelles régulièrement. Puis, il me dit de rester l’attendre dans la chambre.
Quand il revient au bout d’un moment, il me jette un sac avec le blouson cuir oublié par Jade, la copine de Julien. Nous avons deux enfants qui sont jumeaux, Julien et Michel, ils sont à l’université et depuis cette année, ils ne vivent plus à la maison, ils passent de temps en temps pour laver leurs linges et manger avec nous le week-end. Il y a aussi une minijupe et une guêpière juste à ma taille avec deux bas noirs, rien de plus.
— Tiens, enfile ça ma chérie, après manger, on va aller faire un tour et voir un vieil ami qui possède un chenil, c’est lui qui m’a vendu Charly.
Quand il a dit le mot chenil, bien que ce n’est que mon imagination, mais ce mot brûle dans mon cerveau.
— Tu penses à acheter un autre compagnon à Charly, n’est-ce pas ? lui demandé-je.
Je me sens faible d’un coup quand mon mari me répond :
— J’aimerais bien un deuxième, je pense même qu’il nous en faudrait un de bonne taille, pas un petit. Mon ami a une grande variété et si je ne sais pas lequel choisir, je suis sûr que tu pourras m’aider à choisir le meilleur.
Je ne cherche pas à négocier, je veux juste faire ce qu’il veut, ça ne durera pas indéfiniment de toute façon. Je lui demande simplement une culotte, car non sortons de la maison. Il refuse.Je ne sais si je digère mal le plat du midi ou si c’est le verre de rosé, mais je me sens un peu groggy, à me demander si Marc n’a pas mis un décontractant dans mon repas.
En début d’après-midi, nous partons avec sa voiture. Ma minijupe est vraiment très courte et laisse voir de manière indécente aux routiers que l’on dépasse, ma fente qu’il m’a fait épiler. Je suis encore rouge et sensible à cet endroit et cela contraste avec la jupe blanche.
— Il faudra que je te passe un peu de crème là-dessus, mais tu vas vite t’y habituer tu vas voir., dit Marc en passant doucement sa main sur ma vulve.

Cette allusion me fait frémir d’inquiétude alors que mon corps réagit différemment, je me sens mouiller de plus belle.
— Patience ma belle chienne, tu vas en avoir encore !— Je vais encore avoir de quoi ?— Tu vas avoir d’autres Charly ma chérie !— Mais non ! J’en désire pas d’autres ! Je ne veux que vous deux.
Les heures suivantes s’écoulent dans le flou tandis que Marc conduit la voiture sur la route principale avant de prendre des routes secondaires de plus en plus petites qui nous emmènent de plus en plus loin. La vue du panneau d’un chenil me fait écarquiller les yeux et d’horribles idées se mettent à fuser dans ma tête. D’instinct, je resserre les cuisses.On s’arrête à côté d’un grand portail de fer, Marc appuie sur la sonnette, quand la voix d’un homme répond.Marc dit simplement que c’est nous avant de regarder la caméra.
— On y est, me dit-il.
Les portes s’ouvrent et en remontant le chemin, j’entends des chiens aboyer au loin.Quand la voiture s’arrête, c’est un homme d’une bonne soixantaine d’années qui nous accueille.
— Alors voici la femme dont tu m’as parlé au téléphone ? Tu ne peux mieux tomber ! Oh ! Mais je manque de politesse, faisons les présentations et je te fais visiter les nouvelles installations, passez devant madame.
L’homme me prend par la taille et m’indique la direction poliment et fermement à la fois.
— Moi, c’est Norbert, No pour les intimes, alors comme ça, tu aimes particulièrement les chiens à ce que m’a dit mon ami ? Ici tu sais on en a de toutes les races. Dans ces enclos, là et là, et ce bâtiment, c’est là où on les soigne, on fait les toilettes et aussi les saillies.
Je sens mon jus mouiller l’intérieur de mes cuisses pendant que je le suis doucement en marchant bras dessus bras dessous dans un grand bâtiment en forme de grange. Des deux côtés, il y a des cages et dans chacune d’elles, un chien rôde en reniflant l’air et en aboyant pendant qu’il capture mon odeur.Au milieu de la pièce se trône un banc rembourré réglable en hauteur par une grosse manivelle, il a été bricolé et arrangé avec un certain confort pour la personne qui l’utilisera. Il y a une plate-forme perpendiculaire, qui s’étend au-delà de sa longueur, avec ce qui semble être des empreintes rembourrées pour les genoux et à l’extrémité des plates-formes, il y a des sangles en cuir bouclées. Il est entouré des trois quarts d’un cercle composé de chaises aussi rembourrées.
Norbert rit quand il me voit en train de regarder l’engin.
— C’est une table d’élevage, dit-il en riant. Au même moment, je sens un spray me pulvériser l’entrecuisse. Norbert a un aérosol dans la main et vient de m’asperger les cuisses.— Ça ? Ma petite dame, ce sont des phéromones de chienne en chaleur, pour exciter les mâles reproducteurs.
Maintenant pour les chiens, tu es une femelle qui a ses chaleurs, dit-il en me poussant à quatre pattes sur le meuble.
Je trouve que je peux me détendre et que l’engin me soutient pleinement. Il n’est pas assez court, mes seins sortis de la guêpière sont écrasés. Mes genoux touchent tout juste le sol. Norbert avec son pied, me fait écarter les genoux. L’ouverture de mes cuisses signifie que ma chatte et mon cul sont exposés aux éléments, je suis totalement vulnérable.
Je ferme les yeux pendant un moment en tremblant d’anticipation de ce qui va se passer, puis je sens un doigt sonder l’intérieur de ma chatte.
— La salope est trempée, il est temps que tu sois vraiment baisée !
Je réalise que c’est Norbert qui me doigte.
— Prépare-la pendant que j’accueille nos invités. 
Je veux m’enfuir, mais je crains la réaction de mon mari. Je désire crier en signe de protestation et de confusion lorsque le sondage d’une langue douce à l’intérieur de ma chatte arrête mes mots. Je me détends et je ferme les yeux pendant que mon mari me fouille et me lèche. Habile, Marc me pousse à bout lorsque mon premier orgasme éclate en moi.
— Elle est très prête ! dit-il en se léchant les lèvres.

C’est alors que j’entends la porte s’ouvrir et qu’un chien entre.En sentant mon excitation, le chien se déplace rapidement derrière moi et d’un bond, il me ceinture les hanches avec ses deux pattes avant et commence à me chevaucher.Heureusement que j’ai encore le blouson de cuir et ma guêpière pour éviter les coups de griffes. Ainsi positionnée, ma minijupe ne recouvre plus que le haut de mes fesses, au fur et à mesure qu’il me monte, je sais que le moment fatidique est arrivé. Le halètement du chien est fort dans mon oreille et là où les coups précédents ont manqué leur cible, le chien trouve finalement l’endroit qu’il cherche.
Avec une poussée puissante, il rentre sa bite chaude au fond de ma chatte et ensuite il commence à me baiser avec une férocité et une intensité que je n’ai jamais connues avec Charly. À ce moment, je sais que je deviens une accro à la bite de chien pour toujours et en jetant tous les derniers vestiges de ma honte, je crie haut et fort :
— Baise-moi comme la chienne que je suis !
Le chien ignore mes paroles et se contente de me marteler la croupe.
— Je vais chercher la caméra, dit Marc, tandis que Norbert fait un murmure d’approbation pendant qu’il regarde. En regardant vers le haut, je peux voir son excitation gravée dans son visage.
Prenant une profonde respiration, j’expire lentement, me relaxant suffisamment pour permettre au nœud de glisser à l’intérieur de ma chatte. La douleur initiale a rapidement été surmontée avec le sentiment le plus intense de la saillie, car le chien commence à moins pousser et son nœud gonfle encore plus. Sa grosseur repousse les parois de mon vagin ainsi que mes organes internes, je sens un énorme jet de semence chaude et brûlante envahir ma chatte.
Je m’évanouis de plaisir pendant un moment, lorsque je me réveille, je sens une secousse lorsque le chien se retire, faisant couler lentement le sperme dans une flaque sous mes jambes. J’entends la voix de Norbert.
— C’est bien Loulou, une autre dame de baisée par toi. 
Je lève les yeux et je vois mon mari sourire en levant un doigt puis en levant un autre en silence, en signifiant deux. Je n’ai pas enregistré le geste au début, jusqu’à ce que je sente un nez froid et humide pressé contre mon cul, ensuite je sens comme une langue rugueuse qui s’enroule dans d’énormes lèchements, m’envoyant des mini-orgasmes à travers mon corps.
Le deuxième chien qui me monte semble plus mince que le premier, mais est certainement plus long. Je peux sentir la longue bite chaude s’introduire profondément et atteindre des points profonds à l’intérieur de ma chatte. Le nœud du deuxième chien se glisse avec une facilité bienvenue. L’entrée est favorisée par le sperme qui s’écoule de mon vagin et je m’excite à la pensée que mon amant glisse sa verge dans le sperme de l’autre, en moi les spermes vont se mêler.
Je sens mon orgasme monter doucement en même temps que je sens la bite du chien buter au plus profond de moi. Je sens la décharge du chien venir et je hurle de plus en plus fort d’être une salope de chienne prise sur ce banc, être juste là pour la saillie.
— Regarde-moi ça comme elle en réclame la chienne ! Elle va se régaler toute l’après-midi.
Je suis en train de m’épuiser pendant que le sperme chaud m’éclabousse à l’intérieur. Je lève les yeux et je vois le visage souriant de mon mari alors que, cette fois, les deux doigts qu’il tient levés sont rejoints par un troisième.
Je gémis quand le deuxième chien me libère, il est remplacé par un troisième. Ce chien est plus gros que les deux précédents, je ferme les yeux et je râle de plaisir bruyamment, quand il enfonce sa bite dans ma chatte trempée, déjà remplie de deux lots de sperme canin.Je sens le ventre chaud du chien sur mon dos, car il me prend de la seule façon qu’il connaît, sauvagement et complètement. Je commence à bouger la tête, mais le chien serre ses dents sur mon cou, pas assez pour faire mal, mais assez pour me dire que je suis sa chienne maintenant.
Je regarde les visages qui me regardent, sans me soucier du fait que je jouis avec un chien comme la salope que j’ai envie d’être.
— OH ! OUIII ! Prends-moi, je suis ta chienne, fertilise-moi, remplis-moi de ton jus, de ta semence, je suis ta femelle, ta chienne !
Je crie haut et fort en tirant des cris d’approbation de mon mari et de Norbert.
— Fais de moi une putain de chienne pour tous les chiens !
Le dernier mot est dans un hurlement comme je jouis sur la bite du chien et presque comme s’il comprenait, il enfonce son nœud dans ma chatte qui se ferme autour de lui. La sensation familière du sperme chaud qui tapisse les parois de mon vagin me remplit de joie et de plaisir et je hurle mon orgasme comme la chienne en chaleur que je suis devenue.
Marc me regarde dans les yeux quand le chien se désaccouple de moi. Il sourit alors qu’un troisième doigt est rejoint par un avant-dernier.
— Je pense que tu es prête pour Roy maintenant ? me dit-il en riant. Il hausse les épaules et se tourne vers Norbert et lui demande :— Combien de chiens as-tu ?
Sa réponse me fait frissonner, mais je ne sais pas si c’est par désir ou par peur.
— Trente ! dit Norbert en riant. Je n’entends pas les mots suivants quand le quatrième chien, Roy me monte et avec facilité, il trouve ma vulve béante qui coule. Cet animal a le plus gros membre que j’ai reçu dans ma chatte jusqu’à présent. Il me saillit d’un puissant coup de reins qui me donne l’impression que sa bite va sortir par le haut de ma tête.
Cet animal est clairement plus expérimenté que les autres d’échauffement qui l’ont précédé, car ses poussées sont plus lentes, mais encore plus rapides que celles d’un homme. Je sens la puissance de cet énorme géniteur et je me rends compte, que c’est un Danois noir. C’est une fourrure douce qui me frotte sur le dos, pendant le va-et-vient de mon baiseur, elle me chauffe les reins. C’est dans ses moments là que l’on apprécie d’être une chienne. En entrant et en sortant de mon vagin il laisse un vide qui me fait gémir pour qu’il me remplisse à nouveau.
Quelque part derrière ma tête, j’entends les deux hommes et en ouvrant les yeux, je vois que mon mari s’est approché de nous avec sa caméra pour mieux filmer la bite massive de mon amant aspirée par ma vulve avide. Les mains de Norbert me tordent les mamelons, à un moment donné, il pousse sa bite dans ma bouche ouverte. Qu’il remplit bien rapidement, aussitôt vidé aussitôt avalée.
Soudain, je me rends compte que le chien n’a pas encore renté son nœud dans mon vagin. Je le sens qu’il s’y emploie, j’ai l’impression qu’une grosse orange essaye d’être poussée à l’intérieur de mon vagin. Ça ressemble à un accouchement à l’envers, mais je pense que finalement, ma vulve s’est suffisamment ouverte pour permettre au nœud massif de passer à l’intérieur.
Mais ? Il y a un autre chien qui se frotte contre moi, attendant peut-être son tour, j’ai son sexe qui vient frotter contre mes joues. En tournant la tête, je vois que je peux le prendre dans ma bouche, machinalement, je glisse ma langue et lèche sa bite, puis je la prends en bouche complètement. En aspirant par saccades, son pénis s’allonge de manière impressionnante et je le sens au fond de ma gorge, il ne tarde pas à se déverser complètement et j’avale sa chaude semence.Je marmonne, les mots tombent de ma bouche dans un torrent de convoitise et de saleté.
— Vas-y ! Baise-moi... Baise-moi... Entre tout dans ta chienne ! J’adore les grosses bites de chien.
Je m’évanouis à nouveau lorsque le nœud passe le seuil de mon vagin.Quand je reviens à moi, la bite de Roy est encore à l’intérieur de mon ventre et je me sens coincée et Norbert est à côté de moi, il me masse le ventre et la partie inférieure du pubis.Mon mari et Norbert se murmurent quelque chose et j’entends le mot "vierge" ?
— Pour l’instant, détends-toi juste pour que Roy puisse se désaccoupler sans te blesser.
Tandis qu’il parle, le chien tire brusquement et me fait gémir alors que son nœud sort de ma chatte ravagée. Cette fois, sa semence ne coule pas, mais jaillit en larges éclaboussures lorsqu’elle touche le sol. Norbert me rassure doucement en me caressant les cheveux :
— Ne t’inquiète pas, on va laisser reposer ta chatte pour l’instant.
Je regarde mon mari et lui souris en guise de remerciement. Mais surprise ? Je sens la sensation froide du gel appliqué sur mon étoile anale. Un doigt ferme commence à sonder l’intérieur de mon rectum, ce qui me fait me tortiller des fesses.Norbert me murmure à l’oreille :
— Ton mari n’a jamais baisé ton petit cul ?
Je secoue la tête en signe de négation, et quand il me demande si quelqu’un d’autre m’a baisé le cul. Je secoue de nouveau la tête, pour dire non.
— Vaut mieux se détendre pour la première fois, dit-il en m’enfonçant un doigt plus profondément. À ma grande surprise, je me sens bien avec son doigt dans mon cul et quand je sens que le premier doigt est rejoint par un second, je me détends.
Norbert se lève et retire ses doigts avant de dire :
— Je pense que pour la première fois, celle de Prince sera assez grosse pour son cul.
J’essaye de donner un sens à ses paroles quand il se tourne vers mon mari.
— Tu m’as dit qu’elle est une vraie vierge anale, mais pas pour longtemps.
Malgré le fait que Norbert me prépare, je suis encore nerveuse, car Prince s’est approché vers moi, sa bite déjà pendante semble énorme, mais peut-être qu’elle l’est juste en comparaison de son corps en fil de fer. Je sens la main de Norbert s’agripper à ma chatte pendant qu’il me caresse le cul avec son autre main.
— Je ne veux pas qu’il se trompe de trou, dit-il en m’envoyant des picotements dans la moule.
Je sens Prince comme une plume après Roy, alors qu’il saute sur mon dos en me tapotant de sa bite à la recherche d’un refuge. L’autre main de Norbert saisit fermement le nouveau chien et place la pointe de sa bite à l’entrée de mon anus. Mon petit cul frémit au rythme de ses poussées, mais je suis trop étroite, encore vierge de ce côté, et lui trop pressé, trop maladroit.Il se cale parfois contre moi, poussant de toutes ses forces, laisse s’échapper quelques jets de liquide chaud qui me font frémir.
Je commence à en oublier Marc qui filme, qui doit sûrement se bander en me regardant Norbert guider la queue du chien vers mon orifice anal.Je n’ose pas le regarder, j’ai trop honte. Enfin, je sens mes chairs céder doucement, d’un coup de reins plus violent, il entre en moi, par mon rectum, m’arrachant un cri de douleur. Norbert libère la tige de mon baiseur, permettant ainsi à sa bite de s’enfoncer jusqu’à la garde dans mes reins. Un grincement s’échappe de mes lèvres au départ, un peu de rauque puis ce « Han » qui sort du fond de mon larynx : mi-douleur, mi-excitation.
La douleur initiale est incroyable et mon cul me brûle lorsque le chien commence à pomper à l’intérieur de mes entrailles. Il ne se soucie pas du trou qu’il remplit quand je gémis :
— S’il vous plaît arrêtez, s’il te plaît Marc, ça fait si mal !
Peut-être que si c’était un homme, mes cris pourraient l’influencer, mais c’est un animal qui n’a qu’une seule pensée dans son cerveau. À chaque poussée, il s’enfonce davantage, mais en bonne femelle, je m’ouvre doucement et la sensation de brûlure disparaît.Mes gémissements deviennent les gémissements d’un plaisir étrange qui prend le dessus.
Je sens la main de Marc dans mes cheveux qui soulève mon visage et il peut voir la luxure danser dans mes yeux.
— La bite d’un chien dans ton cul, tu l’aimes, alors que tu ne voulais pas la mienne, n’est-ce pas, salope ? — OUI ! C’est bon, oh oui comme c’est bon !
Mon baiseur relâche son étreinte, posant ses deux pattes sur mes reins, pesant de tout son poids, me faisant me cambrer à la limite de l’insoutenable et je sens qu’il s’enfonce encore, coulissant facilement, bien que son sexe soit devenu énorme. De plus en plus fort, de plus en plus profond, il lâche en permanence ce liquide lubrifiant jusqu’à passer le nœud qui va me verrouiller.
Norbert pose doucement une question simple à mon mari :
— Marc, on laisse entrer le nœud dans le cul de ta chienne ?— Oui ! Laisse son nœud entrer dans le cul de ma salope.
Oh non ! Pas ça ! Je ne veux pas être verrouillée par l’anus, je suis trop étroite à cet endroit, il va me déchirer. Puis, il y a une explosion de lumière quand le nœud de la taille d’une balle de tennis me rentre dans le cul. Je le sens grossir à l’extrême, je suis prise, je suis encore une fois la femelle soumise.
Contre toute attente, je commence à aimer ça ! Oh ? Putain j’adore ça en fait !La jouissance me secoue. Je ne peux pas m’arrêter de jouir encore et encore alors que la semence chaude de mon chien jaillit profondément dans mon boyau.Attachée à mon amant, qui ne cesse de se décharger en moi, je sens le foutre chaud me remplir les entrailles. Je contemple mon état, impuissante, honteuse pendant de longues minutes, attendant qu’il ne se dégonfle.
Je ne me reconnais plus, j’ai envie, encore, mais je n’ose pas supplier. Les doigts de Norbert sont en train de sonder l’intérieur de ma chatte en trayant la bite de mon baiseur en moi alors qu’elle me remplit de sperme tout en caressant mon clitoris glissant. Dans ce qui ressemble à un mouvement synchronisé, le nœud sort de mon cul, maintenant beaucoup plus élargi, je ne peux le resserrer complètement, le sperme chaud du chien mêlé à mon odeur intime anale commence à sortir en un bon flot le long de mes cuisses.
Norbert pousse ses doigts en avant dans ma chatte ouverte béante, c’est un moment plus tard que je sens sa main entière entrer dans mon vagin, elle est beaucoup plus large que la puissante bite de Roy. Le plaisir est intense à travers la douleur, car il semble que le poing de Norbert se déplace de plus en plus profondément, la quantité de sperme canin encore en moi rend le passage plus facile. De l’autre main, il frotte mon clito, envoyant vague après vague de la jouissance dans mon corps. Finalement, mes multiples orgasmes cessent quand sa main se retire, je sens un vide à l’intérieur de moi, et repue, épuisée, je glisse dans un sommeil presque comateux.
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