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Elle fait quoi là

Chapitre 3

La ferme

Zoophilie
A la ferme

Quand je me réveille, c’est le matin et je ne suis plus sur le banc, j’ai été transportée jusqu’au grand lit dans lequel je me trouve. Mon corps est douloureux de la tête aux pieds, ma moule et mon cul palpitent encore de plaisir ainsi que de douleur. Comme je me souviens des événements des dernières heures, ma main glisse sous les couvertures et entre mes jambes en frottant ma vulve endolorie et je passe un doigt sur mon anus encore engorgé du sperme de mes amants.
Je tourne la tête de droite à gauche, quelque chose me gêne au cou. J’y mets ma main ? C’est un collier à chien ?Je me redresse sur le lit, pour me regarder dans le miroir de l’armoire qu’il y a en face du lit. C’est un collier de cuir rouge avec une plaque d’identification, il y a un nom gravé dessus ? J’arrive à lire : Anne. 
Ce collier me va parfaitement bien, suffisamment long et large, il est légèrement serré autour de mon cou sans m’étrangler. Je le tourne autour de mon cou pour le détacher, mais je vois qu’un petit cadenas m’empêche de l’ouvrir.Je suis là, nue sur un lit avec un collier de chien autour du cou, avec deux puits d’amour suintant encore de sperme.La porte de la chambre à coucher s’ouvre sur Marc. — Bonjour ma chienne, alors tu as aimé ?                                                                                                                                     
En guise de réponse, je lui souris et jette les couvertures pour qu’il puisse voir mon autre main posée sur ma vulve. — Je te considère maintenant comme ma chienne. Sache que je t’aime toujours autant. La salle de bain est là-bas, après tu viens dans la cuisine. 
Je me lève, j’entreprends de ramasser mes vêtements éparpillés, mais un écoulement poisseux sur mes cuisses me rappelle les folies d’hier après midi.Soupirant, je file dans la salle de bains défraîchie de la maison pour y prendre une bonne douche.J’ai triomphé de toutes mes inquiétudes, concernant mon infidélité. Effectivement, je me suis maintes fois posé cette question, après avoir constaté que j’éprouvais de plus en plus d’appétence pour le sexe avec mon chien, bien que mon mari soit doux, câlin, attentionné, au lit et que je l’aime toujours autant.                                                                                                                    
Depuis qu’il m’a vu jouir avec mon Charly, pour me faire pardonner, je lui ai promis de m’abandonner sexuellement à toutes ses volontés.Pendant le petit déjeuner, Marc me dit que nous allons passer deux jours chez son père, après être passé à la maison pour me changer. J’accepte avec plaisir.
Ce matin, nous passons à la maison, je mets une robe d’été légère avec un string noir. Mon mari me regarde. Il détache mes cheveux. Il baisse les bretelles de ma robe et m’enlève mon soutien-gorge, libérant mes seins. Puis, il remonte ma robe et enlève mon string.
— Tu n’auras pas besoin de tout ça ce week-end. Ta robe suffit.
Il regarde ma chatte épilée, visiblement excité. Je l’ai bien écouté. Je n’ai plus un poil autour de mes puits d’amour.
— Tu es vraiment ma chienne, maintenant ! J’ai prévenu mon père, que tu es une chienne en chaleur. Tu devras satisfaire tous les mâles que nous te présenterons ce week-end. - Oui mon chéri ! Je ferai tout ce que tu voudras.
Nous prenons la route. Il fait chaud. Je suis excitée à l’idée du week-end qui s’annonce. Une heure avant d’arriver, Marc relève ma robe, laissant ma vulve à l’air. Nous doublons des camions qui nous klaxonnent a la vue de ma vulve.— Caresse-toi ! M’ordonne mon chéri de mari.Je commence à me toucher du bout des doigts, juste assez pour être humide. Ce voyeurisme me plaît.
Nous arrivons dans la cour de la ferme. La maison est isolée au milieu des bois. Marc me conduit vers une grange. Quand mes yeux se sont habitués à la pénombre, je distingue son père Paul. Il nous salue en me reluquant. On voit mes tétons à travers le tissu de la robe. Après avoir échangé quelques banalités, Marc annonce
— Papa c’est ton cadeau, je l’initie à la soumission. Elle n’a pas été gentille, elle m’a cocufiée avec Charly notre chien, donc je l’ai prévenue que ce week-end, elle sera notre chienne. Elle devra satisfaire nos besoins. Elle doit se comporter comme notre chienne. Nous allons lui apprendre des choses.
Je m’avance quand Paul sourit et tend un bras vers moi. Je lui rends son sourire et vient me presser contre lui. Il m’embrasse à pleine bouche ? Sa langue s’insère dans ma bouche, je m’abandonne à son baiser, nous nous roulons une pelle baveuse. Il fait tomber ma robe. Il m’écarte de lui. Lui aussi est excité par ma chatte épilée, lorsqu’il la découvre. Il ouvre sa combinaison de travail. Il est nu en dessous. Il se déshabille totalement et il m’embrasse à nouveau longuement, me malaxant les fesses. 
J’ai promis à Marc d’être sa chienne pour qu’il me garde avec lui, avec ce qu’il m’a fait découvrir hier, je crois que je n’aurai pas de regret d’être une vraie chienne soumise.Puis, Paul s’allonge sur une botte de paille, sort sa langue en la remuant en signe de léchage. Je comprends le message, alors je me positionne au-dessus de sa tête. J’écarte les lèvres de ma grotte humide et la caresse du bout des doigts. Il me regarde faire. Enfin, mon doigt glisse et s’enfonce dans ma chatte. Marc est nu derrière moi et nous regarde, laissant son père profiter de moi.
Paul m’attire vers sa bouche et commence à me manger la chatte. Je pousse des gémissements sans aucune retenue, profitant de l’isolement du bâtiment. Sa langue glisse sur ma vulve, rentrant parfois à l’entrée de mon puits d’amour. Il mordille mon clitoris, que je lui offre sans aucune retenue. Mon mari caresse lentement sa bite en me voyant. Son père me fait pivoter avec agilité, je me retrouve en tête bêche. La queue épaisse de mon beau-père est dure et je la fourre dans ma bouche avec appétit.
Je le suce avec application, jouant avec son gland, mordillant sa verge en suçant tout son membre tout à tour. Pendant, ce temps, il mange ma vulve en chaleur qui bave. La bouche humide, il me repousse, il m’allonge sur la botte de paille. Il m’ouvre les cuisses puis sans aucune hésitation, il me pénètre d’un coup. Je pousse des gémissements de plaisir.— Vas y, oui, c’est bon, fourre-moi encore ! Lui dis-je.
Parfois, il ralentit la cadence, il me pénètre avec plus de précision, plus lentement. Il me cale sur toute sa bite. Je tourne temps en temps la tête vers mon mari en gémissant. Je sais qu’il souhaiterait être à la place de son père. Il se branle un peu plus vite.
Paul s’allonge et je me mets à le chevaucher dos à lui, les jambes écartées de chaque côté de la botte de paille. Il me pénètre plus profondément. Accroché à mes hanches, je sens sa bite remplir ma grotte mouillée et excitée. Je me caresse un peu le clitoris, et me mets à gémir de plus en plus fort.
Marc s’approche. Il me tend sa queue que je prends en main tout en gardant la bite de son père entre mes cuisses. Je le branle vigoureusement. Paul m’inonde dans un râle et je jouis en hurlant en même temps. Mon Marc prend son membre en main et se branle vigoureusement en me caressant les seins. Son sperme blanc et épais s’étale sur mes seins.
Je me penche sur sa bite puis la lèche pour la nettoyer. Je lèche mes seins également. Paul me soulève et m’assoit sur la paille. Il me tend sa bite que j’entreprends aussi de nettoyer.
— Félicitations ! Me dit mon beau-père. Tu deviens une vraie chienne. Tu satisfais parfaitement les envies des mâles en chaleur. Mon fils a raison, tu es faite pour être baiser.
Je lui souris. À ce moment, un berger allemand apparaît et se met à nous tourner autour.— Tu avais promis d’être notre chienne en punition, pour ton infidélité, visiblement tu as encore un mâle à satisfaire ! Dit-il.— OH ! Non ! Pas encore. Dis-je attristé.— Regarde, il est aussi gentil que ton Charly, déclare Paul.
Max, le chien, vient poser sa truffe sur ma jambe en gémissant. Je le caresse entre les oreilles, il avance sa tête entre mes cuisses. Je les serre, réticentes à les écarter comme quelques minutes auparavant.— Tu avais promis ! Gronde mon mari.
Il se penche vers moi et doucement m’entrouvre les cuisses encore chaudes, souillées du sperme de Paul. Le chien avance sa tête. Du bout de la langue, il me lèche la vulve, part puis revient à plusieurs reprises. Je dois avouer que ça me plaît. Sa langue est chaude et râpeuse. J’ouvre un peu plus les cuisses. Il commence à bander. Je me penche, le caresse du bout des doigts. Il me lèche plus vigoureusement, j’aime ça. Je bouge mon bassin. Je prends sa tête et l’oriente, je veux que sa langue lèche ma chatte en profondeur. Mon mari et son père sourient et me laissent faire.— Vas y chauffe-le, il doit désirer te monter comme une chienne en chaleur. Excite-le, m’encouragent-ils.
Je reprends la bite longue et rose de Max. Un peu de foutre en sort. Marc passe sa main sous mon collier, il m’attire vers le sol. Je me retrouve à quatre pattes pour me faire saillir. Max s’approche tout excité. J’attrape et caresse son membre, je le porte à ma bouche pour le lécher du bout de la langue. Il sent fort. Paul appelle le chien derrière moi, il lui montre ma vulve. Sans hésiter, le berger allemand me monte. Sa bite cherche fébrilement l’entrée de ma vulve. Paul l’oriente.
Max me pénètre d’un coup sec et frénétique. Il me baise à merveille, j’aime être remplie par sa bite. D’un coup il rentre son nœud qui grossit rapidement, je me retrouve piégée, obligée de lui donner du plaisir. Je gémis de plus en plus fort, tellement ça me plaît d’être prise comme une chienne. Les couilles de mon amant, pleines de sperme frais, viennent cogner contre mon clito. Je gémis encore sans aucune retenue pendant que mon amant me défonce la chatte. Il halète, il a des coups brusques. Je jouis violemment.
Max déverse en moi un flot de sperme liquide et chaud. Durant que nous sommesliés ensemble, il me lèche les épaules et la nuque, je jouis encore plusieurs fois. Une fois désunis, fatigué, Max vient s’allonger devant moi. Je me penche, je lui nettoie doucement sa verge du bout de la langue.
Comme je suis toujours en position de saillie ; Paul se dirige vers moi avec une tasse. Il la place sous ma fente. Je laisse couler le sperme de mon amant dedans. Il me tend la tasse avec un sourire aux lèvres. Je prends la tasse, je le regarde avec un air de défi et je bois le tout.Je suis heureuse de cette nouvelle expérience. Max m’a procuré de nouvelles sensations que j’aime. Je viens de passer une étape supplémentaire dans ma soumission sexuelle.
J’ai pris plaisir à me faire saillir par Max. Mon beau-père et Marc sont, eux aussi, ravis que je me sois pliée aussi facilement à leur fantasme. Après m’avoir baisée dans la grange, ils m’entraînent nue à travers la cour de la ferme. Nous entrons dans la maison où il y a un deuxième chien. Couverte de sperme, ils m’encouragent à aller me doucher, ce que je fais.— Reviens juste nue ! Lance Paul.
Lorsque je suis propre, je les rejoins dans la cuisine et m’installe pour manger. Mon beau-père m’installe à côté de lui. Les hommes parlent entre eux. De temps en temps, un chien passe sous la table. D’instinct, je ferme mes cuisses. Paul passe une main pour me les écarter.— Garde-les ouvertes, tu es une chienne, c’est normal qu’ils te reniflent, dit-il.
Mon mari sourit, excité que je me transforme en chienne. À la fin du repas, je me lève et sers le café à chacun. Ils me caressent au passage les seins et les fesses avec instance. J’ai toujours mon collier en cuir autour du cou. Je fais la vaisselle et Paul se place derrière moi. Il me pelote doucement les seins, il colle son membre flasque contre mes fesses. Il m’embrasse le cou et passe ses doigts sur ma vulve pour la masser. Je commence à nouveau à sentir le plaisir monter en moi.
Au bout de dix minutes, il se détache de moi.— On va se laver et après on va faire une balade dans les bois avec toi. Dit Marc.Je patiente sagement assise dans la cuisine. Les chiens sont partis se coucher.Le père et le fils réapparaissent nus, mais propres. Ils me prennent par la main puis nous sortons. Paul a un petit sac avec lui ?
Il fait chaud. J’enfile des tongs et sort nue. Le soleil réchauffe mes seins. Entourée par mes deux hommes, nous pénétrons dans la forêt puis nous marchons dix minutes.Arrivés à l’entrée d’un champ, ils m’amènent contre un arbre. Paul sort un foulard du sac.— Laisse-toi faire, on va jouer ?
Avec de l’appréhension, je le laisse faire. Il m’attache les poignets à la branche au-dessus de moi. Mes seins vers l’avant, mes fesses arquées vers l’arrière, je suis à leur merci. Marc s’approche et laisse couler du miel sur mon corps. Il commence à bander. Marc commence à lécher le miel, il s’applique à bien passer sur mes tétons qu’il mordille. Paul ; lui se tient derrière moi, sa bite épaisse contre mes fesses. Il se frotte en soupirant.
Je découvre que j’aime être leur jouet, alors je gémis pour les exciter un peu plus. Paul laisse glisser son doigt vers ma fente qu’il entrouvre un peu plus. Il joue avec l’entrée de ma grotte et sans prévenir enfonce d’un coup un doigt. Je pousse un petit cri de surprise. Mon Marc se met à me lécher le clitoris avec appétit. Sa langue chaude me fait du bien. Il humidifie ma fente. Mes lèvres intimes gonflent.— Oh ! Oui ! Lèche-moi, je suis ta chienne, fais-moi du bien ! Que je lui clame.
Il aime entendre ces mots et ça m’excite. Il sort du sac un gode de taille moyenne. Il le pose sur mes lèvres.— Suce-le comme à la maison, mouille le bien, pour qu’il glisse bien dans ta grotte. Me dit-il.— Oui, montre-nous que tu aimes sucer et lécher, ma chienne de belle fille ! Déclare Paul.
Je dois leurs faire plaisir. Je me mets à sucer avec application l’objet.Paul s’en empare peu de temps après et toujours derrière moi, il me remonte les fesses. Rapidement, il m’insère la fausse bite dans ma chatte. Il l’a fait tourner, joue avec l’entrée de ma vulve d’amour, applique des mouvements doux puis des coups brusques qui m’arrachent des râles de plaisir.
Mon Marc recommence à me lécher le minou. Il attrape à nouveau le sac et en sort un gode plus large et long. Accrochée à la branche, je ne peux que me soumettre à eux. Ce gode écarte un peu plus ma chatte ruisselante. Je suis vraiment en chaleur prête à me faire baiser par n’importe quoi. J’ai envie de me mettre à quatre pattes pour donner ma croupe à tous les mâles de passage.
Ils me détachent. Paul attache une laisse à mon collier, il me dirige à quatre pattes vers un tronc d’arbre à terre. Ils m’installent sur le dos. Chacun est bien dur avec le gland lubrifié. J’ai envie de m’occuper d’eux et leur donner du plaisir. D’un commun accord, c’est d’abord mon mari qui se positionne au-dessus de ma tête. Son père me tient les mains. Marc entrouvre mes lèvres et enfonce son gland dans ma bouche. Il grogne. Je m’applique à lécher sa queue pour qu’il soit satisfait. Puis, son père prend sa place.— Vas y ma petite chienne, fais ton travail avec papy Paul. Fais-moi plaisir.
Ils ne jouissent pas dans ma bouche, j’avale leurs sperme avec plaisir. Ils me relèvent et ouvre la barrière du pré, ils me dirigent vers un âne noir. Je comprends d’instinct ce qu’ils attendent de moi. Effrayée, je veux m’enfuir, mais ils me retiennent.— Tu avais promis d’être notre chienne tout le week-end. On est ici, car tu t’es fait saillir par Charly. Tu es punie ! Me rappelle mon mari.
L’âne continue de manger son herbe. Paul caresse sa croupe.— Caresse son sexe, m’ordonne Paul. Il aime ça. Vas-y doucement il gicle vite !Résignée, je m’agenouille au niveau du membre, le me mets à caresser lentement son sexe qui se met à grossir de manière démesurée, en une longue tige dont le bout triangulaire est percé d’un trou. Je continue en massant parfois le bout puis toute la bite. La queue devient énorme et dure. Ça m’excite. Je l’imagine entre mes cuisses dégoulinantes de mouille. Je suis hypnotisée par cette bite d’étalon. J’ai envie de me faire saillir comme avec les chiens.
Marc, passe sa main sur ma nuque qu’il caresse, ensuite il pousse ma tête vers la bite. Elle s’approche alors de ma bouche pulpeuse pour me l’introduire. D’instinct, mes lèvres se mettent en cercle et la pointe de velours bute sur l’arrondi. Je me laisse faire en ouvre grand la bouche. Mes mâchoires sont forcées, je réussis à introduire tout le gland dans ma cavité buccal. Dans ma bouche, la tête du membre grossit encore entre mes mâchoires distendues. Ma langue tourne autour de cette chair étrangère, ralentie par une poussée en direction de sa gorge. C’est chaud, envahissant, étouffant et bon à la fois. L’âne se met à user de ma bouche comme d’un sexe.
Ma salive déborde, le membre glisse de plus en plus facilement, progresse, heurte l’intérieur de ma gorge, il cogne sur une joue à plusieurs reprises, mes lèvres sont à la limite de la rupture. Cela dure cinq minutes, le temps que le membre soit dure pour la saillie. Il a arrêté de brouter, il me laisse faire. Marc et son père me relèvent et m’installent sur une botte de paille. Sur le dos, les cuisses grandes ouvertes, je me laisse faire.
Paul amène l’âne devant moi, il lui pose les pattes sur la botte de paille. Je sens, le gland qui se frotte sur les lèvres de ma chatte comme pour l’apprivoiser, d’une pression, ma chatte s’ouvre pour accueillir la chose.Heureusement il va doucement. Le gland est entré, déjà je me sens remplie, il s’avance, tout doucement il s’introduit, mes chairs sont écartées comme jamais elles ne l’ont été par une bite, il en reste encore dehors, je sens toujours pas ses couilles sur ses fesses. Je me laisse envahir sans protester. 
À force de persévérance, il met le feu à mes sens. Je veux le satisfaire. Les deux hommes se branlent à côté de moi en fixant mon accouplement. J’aurais souhaité les accueillir tous les trois en même temps. Ils me laissent m’accoupler bestialement avec l’âne. Je me sens écrasé par un corps qui pèse sur moi. Je pousse des feulements de chienne qui se fait saillir, car c’est ça dont il s’agit, c’est une saillie.
Mais que c’est bon, à présent, c’est moi qui aspire le monstre de chair. Je le veux en entier dans mon ventre, de moi-même j’accélère la cadence. Je n’y tiens plus. Je sens enfin, les couilles taper sur mes fesses, plus un millimètre n’est disponible dans mon vagin.Il me semble qu’il touche mon nombril.Je suis écartelée par ce morceau de viande dur et chaud. Les pointes de ses seins sont brûlantes par le frottement de son poitrail. Dans mon ventre, je sens le mouvement rapide de sa bite géante.
L’âne ahane sur moi, sa gueule, c’est refermé sur mon crâne, sa bave et sa chaude haleine, me font un bien fou. En tournant les yeux, j’aperçois les hommes qui regardent mon baiseur en plein effort. Le va-et-vient, distend les parois de mon vagin, il va cogner brutalement tout au fond contre l’entrée de mon utérus qu’il force, ensuite ressort presque entièrement, puis se renfonce dans ma chatte d’amour, mon humidité d’amour facilite l’intromission dans ma cavité, son gland en forme de gros œuf frotte à l’intérieur de mes muqueuses meurtries.
À mes premiers gémissements de plaisir, l’âne multiplie les sorties complètes, suivies de pénétrations puissantes, violentes, il force l’allure, il s’impose une cadence infernale. Je crois qu’il me perce le ventre, à coup de croupe puissante, le bout du sexe de l’âne a ouvert, le col de mon utérus, ce qui augmente la profondeur de mon vagin d’amour.
Maintenant à chaque coup de reins, les couilles de l’âne s’écrasent sur mon cul, ça me provoque des orgasmes à répétition. Cela dure au moins vingt minutes quand l’âne accélère, puis il a plusieurs soubresauts quand il jouit en hennissant. Je me joins à lui, du genre. - Ah oui! Ah oui! C’est trop bon, arrose-moi, mon chéri! Je sens une rivière de liquide chaud gonfler mon ventre, cela n’en finit pas, je le sens couler le long de mes cuisses.
Je n’ai jamais ressenti cela, je continue à jouir sans discontinuer, je suis pleine de sa semence. Enfin l’âne se retire avec un bruit de ventouse, un flot ininterrompu de sperme s’échappe de ma vulve qui reste béante... Ensuite, il se passe quelque chose de magique ? Ma vulve se rétracte lentement, elle redevient presque normale! Paul passe ses doigts dans ma chatte et me fait goûter le sperme de mon amant que je lèche avec plaisir.
Marc pose un gobelet sous mes fesses, je me relève un peu, cela fait sortir une forte quantité de sperme. Il me tend le gobelet que je bois.— Va nettoyer la queue de ton amant, m’ordonne mon Marc.Je marche jusqu’à l’âne, je m’accroupis devant sa bite qui pend. J’écarte mes cuisses, pour laisser voir ma vulve baignée de sperme frais aux deux hommes. Puis je nettoie la bite avec ma langue, bien comme il faut.
Après, je reviens vers Marc et son père.— Mets-toi à genoux !  Ordonne Paul.Je m’exécute. Leur membre est prêt à exploser. Paul le premier met sa bite devant mon visage. Il se branle, du bout de la langue, je viens caresser le gland. Le sperme éclate sur mon visage et ruisselle. Je le nettoie proprement. Marc ne me laisse rien faire. Il n’en peut plus.— Tu as vraiment appris à être une bonne chienne, une salope ! Je te garde, je vais encore mieux t’éduquer.
Il éclate sur ma langue, m’obligeant à sucer son gland à la fin de sa jouissance.Heureux, il me relève et m’embrasse en remerciement pour avoir été une bonne chienne. Pendant, le chemin du retour, le foutre de l’âne continue de s’écouler le long de mes jambes. Je trouve ça délicieux, je me dis que c’est une expérience parfaite, à recommencer.
Après m’être fait baiser par mes deux hommes et un bourricot, ils me ramènent à la maison et m’amènent faire la sieste. Nous nous allongeons à trois dans un grand lit. Le sperme continue de couler de ma vulve. Je m’endors heureuse entre mes deux hommes. En nous réveillant, ils m’amènent à la douche. Nous sommes toujours nus. Du coup, nous ne mettons pas longtemps pour passer sous l’eau. La douche semble assez grande pour que nous puissions y tenir à trois. Ils me lavent soigneusement pour notre grande soirée.
Paul, le père de mon mari, n’a pas baisé depuis longtemps avant que j’arrive le matin. Il veut donc profiter de moi au maximum pour son anniversaire. Ils passent leurs mains entre mes cuisses pour me savonner. Ils me doigtent avec le savon pour s’assurer que je sois propre en profondeur. Je ne sais pas ce qu’ils ont prévu. À mon tour, je les nettoie, caressant leurs queues avec envie. Cependant, ils désirent réserver leur sperme pour plus tard. Une fois séchés, nous regardons la télévision. Je reste enroulée dans ma mini-serviette, qui arrive au bord de ma vulve propre.
Mon esprit fait le point sur ma situation ?Depuis, que je suis devenue la chienne soumise de mon mari, j’ai tout à coup retrouvé beaucoup de goût pour le sexe. Plus que je m’en serais jamais cru capable. Les nouvelles expériences sont ajoutées les unes aux autres, et je vois mon plaisir croître en conséquence!
Être l’objet de jeu de mon mari, devenir sa chienne, exhibée, baisée par des amants canins, ensuite être amenée dans cette ferme, pour être un véritable jouet sexuel, me remplit d’une satisfaction sexuelle incommensurable. J’en suis arrivée à un point où, pour me prouver des choses à moi-même, et faire plaisir à mon Marc ? Il a révélé en moi, une véritable femme animale et fatale, j’apprécie le fait de m’adonner à la zoophilie sous toutes ses formes.
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