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Elle fait quoi là

Chapitre 4

Toujours de plus en plus gros

Zoophilie
Arrive le grand soir, Marc m’emmène dans la chambre de Paul qui sort de la lingerie noire du placard. Ils me laissent l’enfiler en souriant. J’enfile une culotte en dentelle fendue, laissant voir ma grotte et mon anus. Je mets un bustier bien moulant, qui ne cache pas mes seins, cependant il les maintient bien en hauteur, une paire de bas. J’attache mes cheveux pour être libre de mes mouvements. J’enfile des escarpins sexy et j’enduis ma fente d’un peu de miel pour les surprendre avec ce goût sucré.
Lorsque j’entre dans le salon, ils sont nus sur le canapé. Ils me regardent rentrer, leur queue commence à durcir. Voir une queue durcir grâce à moi, ça m’excite beaucoup. J’ai tout de suite envie de les prendre en bouche.— Assis toi sur la table basse et caresse-toi ! m’ordonne mon beau-père.
Je m’installe langoureusement face à eux sur la table. J’ai toujours mon collier à chien noir autour du cou. Je caresse mes seins doucement en les regardant, puis je glisse mes deux doigts dans ma bouche en les suçant, en sortant la langue. Mes doigts glissent jusqu’à ma fente, laissant apparaître mon clito au-dessus de ma grotte. Je commence à devenir humide et impatiente de me faire sauter comme une chienne. Je caresse ma fente en gémissant, heureuse de les voir me mater.
Marc vient se mettre devant moi et me lèche la moule, passant son doigt dans mes lèvres intimes humides et chaudes. Il aime le goût du miel. Je l’encourage et il colle bien sa bouche jouant avec mon clitoris, un délice. Paul m’embrasse à pleine bouche forçant mes lèvres à s’ouvrir avec sa langue. Je me mets à le caresser du bout des doigts. Sa queue durcit vite et ses couilles sont de nouveaux pleines. Puis, Paul veut me lécher. Il m’installe à quatre pattes et Marc se met devant moi.
Il pose ses mains sur ma tête et me guide pour que je suce à la perfection sa bite. J’enroule ma langue autour du gland, je le suce, il impose le rythme. Paul lui lèche ma moule dégoulinante. Il insère parfois sa langue chaude dans ma grotte. Alors que je lèche avec soin la queue de mon Marc. Paul écarte mes fesses et se met à me lubrifier l’anus de sa langue. Je m’arrête et pousse un râle de surprise.— Continue de sucer ma chienne chérie ! ordonne mon Marc.
Je me remets à sucer Marc un peu déstabilisé. Pierre commence à me doigter avec du lubrifiant. Il va chercher des godes petits et gros, il me les enfonce un à un dans mon anus pour le dilater. Je gémis excitée et troublée. Marc s’assoit sur le canapé, je le suis. J’écarte les jambes au-dessus de sa bite dure. Avec mes doigts, j’écarte les lèvres de ma grotte d’amour et caresse mon clitoris avec son gland. Je suis tellement dégoulinante qu’il glisse parfaitement dessus.
N’ayant plus envie d’attendre, Marc s’insère brusquement, je pousse un râle de contentement. Ma moule mange sa queue. Paul se met derrière moi le sexe tendu d’excitation. - OH ? Mon Marc tu sais que je n’ai jamais fait ça !  - Il faut bien commencer un jour mon amour !                                                                                            
Alors Paul me pénètre l’anus. Je n’arrête pas de gémir. C’est délicieux cette double pénétration.— Vas-y, gémis cochonne ! J’aime, j’aime enculer ma belle-fille ! dit Paul.— Tu as vu maintenant, c’est une bonne chienne ! dit mon mari.
Je me mets à les encourager de plaisir. Paul écarte mon anus. Je le sens glisser profondément et Marc me remplit bien mon puits d’amour.Ils se retirent et me mettent à genoux. Je prends les deux en bouche. Jouant avec leur gland, ils gémissent. Je branle chaque bite, je lèche les couilles et parfois j’en prends une en bouche. Ils me caressent les seins. Ils finissent par me remettre à quatre pattes. Mon beau-père passe un bras sous mon ventre et remonte mon bassin. Mes fesses se trouvent ainsi bien écartées. Il me refourre sa bite dans le cul et pousse plus fort, plus vite en me claquant de temps en temps une fesse.

— Baise-moi ! Beau papa, vas-y encule-moi !  Il va plus vite. Je sens son sperme jaillir et couler lorsqu’il jouit bruyamment. Mon Marc vient aussi m’enfiler son membre dur dans l’anus et y jouit rapidement. Je me retrouve vite pleine de sperme frais et chaud. Je prends soin de nettoyer chaque bite avec ma langue. Ils ne m’ont pas laissée le temps de jouir.Paul va chercher une laisse et l’attache à mon collier en cuir.— Toi ! Reste à quatre pattes !
Je m’exécute et il m’emmène voir les deux chiens dans un coin. Ils n’ont rien loupé de nos ébats, ils ont senti l’odeur de la femelle en chaleur. Ils ont déjà la queue raide. Il faut que je les soulage. Paul me positionne à quatre pattes face à la truffe d’un chien. Je sens la truffe fraîche me sentir et passer un coup de langue sur ma moule gonflée. J’aime cette sensation et je lui tends un peu plus ma grotte. J’écarte les jambes. Je suis vraiment une chienne en chaleur et je suis prête à être saillie
Pendant, que Max me lèche en gémissant l’autre chien, Maestro, me tourne autour. Je mets ma main sur sa queue et je le caresse sous l’œil des deux hommes, qui me regardent avec lubricité. Mon Marc aime me regarder me faire prendre. Maestro se couche devant moi et je me penche. Je prends sa bite en bouche en regardant mon mari. Je la lèche, le goût fort envahit ma bouche cependant je la trouve douce et excitante. En me penchant, mes fesses remontent et Max en profite pour essayer de me grimper. Je sens sa queue dure, taper contre ma vulve gonflée.
D’une main, je plaque la bite contre ma vulve et je me la caresse avec sa bite. C’est bon, j’ouvre un peu plus mes cuisses et appuis la queue de mon amant contre mon clitoris. Je sens des élancements de plaisir, Max me laisse faire. Je continue de sucer Maestro, heureux de se laisser faire. Il commence à faire sortir du sperme au bout de sa bite, j’avale le tout.Tout à coup, Max m’échappe et avant que je puisse réagir il me monte et s’enfonce dans mon anus entrouvert et suintant du sperme de mes deux hommes. Dans son élan, il rentre facilement son nœud dans mon rectum humide de sperme humain. Sa queue grossit encore et je me retrouve bloquée, obligée de le satisfaire.
Je gémis fort, de plaisir. Max halète dans mon dos. Il me donne des coups de mâles, il me défonce mon petit cul. Maestro a profité de ma surprise pour se redresser. Il veut me monter. Max grogne pour qu’il recule et montre ses crocs. Je suis sa femelle. Il a le droit de me saillir en priorité. Maestro revient devant moi et me monte par devant. J’ai ses deux pattes avant sur mes épaules. Max ne dit rien ? Je me retrouve avec sa queue au niveau de ma bouche. Mon Marc attrape la laisse et me dit d’ouvrir la bouche, ce que je fais.
Mes deux hommes m’encouragent en me tenant. Je commence à sentir monter la jouissance. Avoir une bite à sucer et une qui me sodomise, quel délice. Maestro pousse sa bite dans ma bouche, je sens la base de sa queue grossir effrontément. Je lèche avec application. Mais, Max m’excite encore plus. Être prise comme une chienne, ça me plaira toujours.Je sens monter l’orgasme. Ne pouvant parler, je gémis de plus en plus fort, relevant mes fesses bien lubrifiées, je jouis en même temps que Max. Sa bite est dure et longue. Il éjacule longuement et mélange son sperme avec celui de mes deux hommes. Maestro en profite aussi, il pousse sa verge au fond de ma gorge. Son nœud me coince la mâchoire grande ouverte. Il éjacule au fond de ma gorge et j’avale peu à peu son sperme au goût sauvage.
Après la tempête orgasmique, mes deux amants me libèrent rapidement. Mon beau-père et Marc me caressent l’anus, recueille le sperme qui en sort sur leurs doigts. Ils me font lécher le sperme de mes trois amants à plusieurs reprises. Les deux chiens s’allongent dans un coin épuisé.Une demi-heure plus tard, remise de mes émotions et toujours nue, j’accompagne mes deux hommes dans une petite écurie derrière la grange. Nous débouchons dans une grande pièce où sont stockées des bottes de pailles, ça sent bon le foin, la paille et le cheval.
Il y a là dans le seul box un superbe cheval noir.— Tu as un nouveau cheval papa ? demand emon mari.— Comme tu vois Marc et il est en pleine forme. Nous allons lui offrir un plaisir pour lui changer les idées.Ensuite, il rajoute.— Tiens ? Apporte-nous une botte de paille et cette couverture-là. Ta femme a envie de s’allonger un peu !
Marc a compris de quoi il retourne et il prend et pose la botte de paille en plein milieu du box, plie la couverture en deux et la pose délicatement dessus. Se tournant vers moi Paul me dit.— Allonge-toi là-dessus, écarte bien les cuisses ton dernier mâle de la journée arrive.

Du coin de l’œil, je vois Paul mettre un filet sur le museau de mon futur amant.Tout en l’approchant de moi, il lui flatte le flanc.— Tout doux Black ! C’est bien ! Doucement la femelle t’attend !— Marc tu vas le tenir pendant que je le chauffe un peu.

Mon mari saisit fermement le licol. Paul s’empare d’un chiffon qu’il agite devant les naseaux de Black.— C’est un chiffon imbibé de l’urine d’une jument en chaleur. C’est parfait pour stimuler l’ardeur de Black !Mon amant se retrouve au-dessus de moi, c’est beaucoup plus impressionnant que le bourricot. Pour me rassurer Paul me dit.— N’aie crainte Anne, tout va bien se passer, son ancien propriétaire lui offrait souvent sa femme et cela s’est toujours bien passé.
Je sens maintenant comme un gourdin qui s’agite entre mes jambes. Je devine que Paul vient de se saisir du sexe de Black pour le guider. Une boule humide et froide se frotte contre ma grotte, cela me rappelle le gland du bourricot en plus gros.Pour bien me préparer à cet accouplement contre nature, Paul frotte le gland de Black contre ma fente afin de bien m’exciter. C’est le moment que choisit Marc pour s’approcher de moi. Il glisse son sexe dans ma bouche et sa main libre s’empare d’un de mes seins, il me dit :                                      - C’est bien ma pouliche. Décontracte-toi ?
Je le suce avec application tandis qu’il me pince l’extrémité du sein. La peur d’être éventrée par Black me quitte, je ne suis désormais qu’une salope qui ne pense qu’à son plaisir. Je ferme les yeux, me concentre sur cette bite qui gonfle dans ma bouche. Mon bas ventre se décontracte et lentement l’énorme bite me pénètre millimètre après millimètre. La main de Paul a quitté le sexe de Black et vient me branler le clitoris avec douceur. Toutes mes peurs s’envolent et mon corps n’est plus qu’une pouliche pour le plaisir de Black.
Ma moule se dilate, mes chairs s’ouvrent, étonnamment je ne ressens aucune douleur, seulement une excitation intense. Marc se répand dans ma bouche, j’avale, il se retire. Black mon amant est maintenant tout au fond de mon puits d’amour que son énorme braquemart a fini par dilater. Mon ventre s’est habitué à cet énorme appendice qui me possède, je commence à onduler de la croupe pour mieux en apprécier la dimension.
Mon amant doit sentir que sa pouliche est réceptive au mâle, car le voilà qui se met à me besogner avec entrain.— Ça y est ! Tout est rentré !dit Paul.— Ta Anne a l’air d’apprécier ! regarde comme elle y prend du plaisir ?
Ma moule est à présent bien distendue et la bite de mon amant coulisse maintenant dans mon antre comme un piston dans son cylindre bien huilé. Je n’ai jamais éprouvé une telle impression, la moindre partie de ma vulve (de l’entrée jusqu’au fond) réagit aux pénétrations répétées de ce gourdin de chair qui m’obligent à respirer la bouche grande ouverte, pour ne pas m’évanouir sous les ondes de plaisir qui irradient tout mon être.
Soudain Black émet un long hennissement.— C’est bon ! Il va l’ensemencer de tout son sperme !En effet, de longs jets d’un liquide bouillant se déversent dans mon puits d’amour et ça me déclenche un monstrueux orgasme de plaisir.Lorsque mon amant se retire, je reste allongée sur la botte de paille comme une poupée désarticulée. Le sperme de Black s’écoule de ma grotte en longs filets visqueux.
Paul et Marc se rapprochent de moi et Marc me dit :— Quelle jouissance ma chérie ! Tu verrais ta grotte, elle reste grande ouverte.— Oui ! Elle a vraiment joui comme une pouliche en chaleur. Sa vulve ne se refermera que d’ici deux à trois jours. répond Paul.Je m’en fous, j’ai eu une jouissance étourdissante !
Je reste ainsi un bon quart d’heure avant que mon Marc m’aide à me redresser. J’ai un peu de mal à marcher tellement mon entrejambe a fait des efforts pour s’adapter à cette saillie. C’est toujours nus que nous regagnons la maison. Après une petite collation.Les deux hommes heureux m’entraînent dans la chambre.

Je fais mon examen de conscience avant de m’endormir.Aujourd’hui ça été l’apothéose, cette séance devant mon mari dans la ferme. Je n’ai pas arrêté d’être assaillie par les orgasmes, alors que mon mari me regarde faire l’amour avec ces divers amants, me faire saillir sous les yeux de son mari par black. Le plaisir sexuel s’est doublé d’une jouissance intellectuelle presque artistique ! Sucer mon mari pendant que je me fais baiser par un amant chevalin ou canin a été un plaisir raffiné et addictif.
Désormais, je sais que je ne pourrais plus revenir en arrière. Je ne comprends pas pourquoi mon mari me garde encore comme femme. Mais je sens bien qu’il prend du plaisir à cette situation. Seulement voilà, moi je ne le quitterai jamais, même qu’il envisage de me prêter à un club canin très fermé, où je serai saillie par tous leurs chiens, que je serai la prostituée dans immense chenil. En un sens, j’ai hâte d’y être et de goûter à d’autres plaisirs interdits.

Moi, la femme distinguée, la petite bourgeoise tirée à quatre épingles, je suis devenue une chienne à la disposition de mon mari, toujours nue dans toutes les circonstances, laissant mon vagin, mon rectum, ainsi que ma bouche à son entière disposition.                                                                               Je porte en permanence le collier de chien et la laisse, qui pour être plus discrète, pend dans mon dos toute la journée sous mes vêtements, bien sûr je suis aussi désormais et depuis quelque temps maintenant entièrement lisse du con au cul et constamment sans aucun sous-vêtement pour être le plus souvent accessible et disponible. Je suis devenue l’esclave, le jouet sexuel de mon homme. Je n’ai pas envie que cela s’arrête ?                                                                                                                   J’aurais dû réagir au début. Maintenant, c’est trop tard !
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