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Elle, la femme de ma vie

Chapitre 1

Inceste
(histoire en 2 parties)
« On s’est connu, on s’est reconnu, on s’est perdu de vue, on s’est r’perdu d’vue, on s’est retrouvé, on s’est réchauffé… ».
Cette ritournelle de Jeanne Moreau pourrait s’appliquer à cette histoire avec la personne la plus importante de ma vie. De nos premiers baisers enfantins échangés à 4 ans à aujourd’hui, 40 ans ont passés. Et comme dans la chanson, on s’est perdu de vue souvent, on s’est retrouvé souvent.
Jusqu’à nos 18 ans, nous sommes restés sages. Nous n’avons jamais franchi le pas, par peur de l’interdit, par peur de la famille.
Car cette personne, c’est la fille du frère de ma mère. Ma cousine.
Enfin, quand je dis « rien », c’est faux. Il y a bien eu quelque chose. C’était un dimanche à la campagne. Presque jumeaux (nous avions 15 jours d’écart), toute la famille avait attendu l’été pour fêter nos 18 ans respectifs, avec 4 mois de retard. Nous étions enfin majeurs. Après une soirée festive, le lendemain fut consacré au rangement. En début d’après-midi, j’ai proposé à ma cousine d’aller prendre un bain à la rivière, ce qu’elle accepta immédiatement.
L’attraction entre nous devenait plus compliquée à gérer alors que les hormones se déchaînaient. En descendant à la rivière dans le but de prendre un bain, je regardais son cul. Aujourd’hui, je le sais, c’était le plus beau de tous ceux que j’avais pu voir. À ce moment-là, c’était juste le premier à me faire un tel effet.
Comme d’habitude, je me mis à bander et avoir des pensées particulièrement salaces. Enfin, autant qu’elles puissent l’être à cet âge-là. À l’époque, Internet n’existait pas. Les films pornos, c’était soit le premier samedi du mois, si on avait de la chance, soit la location dans un vidéoclub. Et quand on n’a pas 18 ans, la tâche s’avérait complexe.
En descendant à la rivière, je matais donc le cul de ma cousine en me promettant d’y mettre encore les mains une fois arrivés à l’eau. Cinq minutes plus tard, nous y étions. C’est alors que j’ai proposé qu’on se baigne nu. Elle m’a regardé avec un drôle de sourire et, sans un mot, elle s’est dévêtue. Son corps, je le connaissais, je l’avais vu évoluer depuis notre premier baiser. Et ces derniers jours, à l’abri des regards, on se pelotait dès que possible.
À peine avait-elle enlevé son maillot que je n’ai pas résisté. Je me suis approché d’elle. Elle a levé la tête avec toujours son petit sourire. Je me suis penché et je l’ai embrassée tout en la serrant contre moi. Elle m’a enlacé et répondu à mon baiser. Nos langues se sont mêlées, ma bite s’est dressé toute droite entre nos deux corps. Ma cousine a arrêté de m’embrasser. Elle s’est reculée, a pris en main ma bite et a commencé à me masturber…
Sa main allait et venait sur mon membre alors que son regard était fixé dans le mien. Un moment magique qui ne nécessitait pas de paroles. Elle s’est agenouillée et a pris mon gland en bouche. Pour la première fois. J’ai mis mes mains sur sa tête pour accompagner son mouvement. Elle m’a englouti… avant de me recracher aussi vite, manquant de s’étouffer quand mon gland a heurté sa luette.
Malgré sa complète inexpérience, elle était gourmande. Elle m’a réembouché aussitôt pour recommencer à me sucer. Sa langue me léchait le gland, se collant contre ma bite quand celle-ci s’enfonçait dans sa bouche. Elle avait du talent. Les sensations étaient incroyables.
Ma cousine faisait de vraies merveilles avec sa bouche chaude comme un volcan. Par moments, mon gland était enroulé par sa langue brûlante. Par d’autres, c’était mon membre qui s’enfonçait au fond de sa bouche. Elle prenait de l’assurance, avalant ma queue de plus en plus. J’avais l’impression qu’elle descendait dans sa gorge et que mes couilles allaient aussi y passer.

Voulant faire durer le plaisir, elle retira mon membre de sa bouche si pulpeuse. J’avais à peine eu le temps de commencer à râler qu’elle se mit à me branler tout en avalant mes couilles. Elle les fit rouler dans sa bouche, m’arrachant des gémissements de douleur. Mais si cela faisait un peu mal, le plaisir que j’en tirais compensait largement. J’avais l’impression de grossir encore.
Pendant deux ou trois minutes, elle alterna les pipes et l’astiquage manuel du manche. La pression montait et je n’allais plus tenir encore très longtemps. Je l’ai forcée à me reprendre dans sa merveilleuse bouche que je me suis mis à baiser comme si c’était son vagin. Ma première pipe, par mon amour de cousine, était grandiose. Quand j’ai senti que j’allais jouir, j’ai maintenu sa tête et j’ai déchargé au fond de sa gorge. Sans possibilité de reculer, elle a avalé mon foutre.
— Salaud.
Ce fut le seul mot qui sortit de sa bouche. Mais il était contredit par son sourire radieux.
Après avoir repris mon souffle, je l’ai soulevée et installée sur un rocher plus plat que les autres. J’ai écarté ses jambes. Devant moi, c’était l’Origine du monde, en vrai. J’ai approché ma bouche et, maladroitement, j’ai commencé à la lécher. Elle mouillait comme pas possible, et très vite mon visage fut humide. Je trouvai instinctivement les bons gestes. Son clitoris était saillant, bien dur. Je l’aspirais, le léchais. Ma langue faisait l’aller-retour entre les lèvres ouvertes de sa chatte vierge et ce petit bout si réceptif. J’enfonçais ma langue dans son sexe autant que je pouvais.
Elle aussi se mit à me plaquer la tête contre sa chatte. Excité comme jamais, je continuais à la fouiller, à la lécher du mieux que je pouvais. Combien de temps cela dura, je n’en sais rien ! Un long feulement et un surcroît de liquide dans ma bouche ne laissèrent guère de doute : j’avais réussi à la faire jouir, comme elle l’avait fait pour moi peu avant.
Je rebandais. J’avais envie d’entrer en elle avec ma bite comme je venais de le faire avec ma langue. Je me suis relevé et j’ai approché mon sexe du sien tout en la regardant dans les yeux. Elle a souri et pris ma queue dans sa main pour l’approcher de sa jolie petite chatte. Elle a frotté longuement mon gland contre son clitoris avant de le diriger vers l’entrée. Je me suis enfoncé, mais, très vite, j’ai buté contre sa membrane.
Ma cousine était aussi vierge que moi. Plus pour longtemps. D’un coup de reins, impatient, j’ai déchiré l’hymen. Elle a crié. J’ai voulu me retirer, mais elle m’en a empêché en m’encerclant avec ses jambes. Pris dans un délicieux piège, j’ai remué, trouvant instinctivement le bon rythme. Elle a joui et moi aussi, presque en même temps.
Alors que je m’abattais sur elle, épuisé, j’ai entendu un hurlement derrière nous. Sa mère venait de nous rejoindre. Avec ma bite encore dans le corps de ma cousine et les traces de sang sur le rocher, impossible de nier l’évidence.
Un conseil de famille fut rapidement tenu. Nous y passâmes un très mauvais moment. À son issue, il avait été décidé que nous partirions tous les deux en pension le temps de passer le bac. Le but était de cesser toute relation entre nous.
À partir de ce moment-là, tout alla de mal en pis. Au travers d’un stratagème assez odieux dont je n’ai eu connaissance que bien plus tard, ma cousine fut rapidement mariée à un fils de bons amis. En l’apprenant, j’ai cru mourir. Mon bac en poche, j’ai quitté la France, coupant les ponts avec ma famille. J’en voulais à mes parents d’avoir accepté le dictat de mon oncle. J’en voulais à ma cousine de s’être mariée avec un autre que moi.
Je suis parti loin, en Australie. Des études financées par de petits boulots et une bourse pour étudiants étrangers, puis travail. De nombreuses filles défilèrent, mais elle restait toujours tapie dans mon cœur, en secret.
(à suivre)
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