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Elle et Lui.

Chapitre 1

Divers
Bonjour tout le monde, je vous propose un fantasme qui m’a été inspiré à la suite d’une discussion avec une femme. Bonne lecture.
Le feu était rouge pour les automobilistes, il traversa la route, s’arrêta au milieu du passage piéton, et, toujours en regardant droit devant, sortit une arme et tira sur le conducteur à sa droite. La tête de celui-ci s’effondra sur le volant et le bruit du klaxon résonna dans toute la rue. Maïra descendit du bus apeurée en criant que l’on venait de tirer sur cet homme, homme qui était son père. Elle attendit l’arrivée de la police qui lui confirma la mort de son père, seulement il n’y avait aucune blessure par balles et on lui annonça qu’il était décédé suite à une crise cardiaque. Elle regarda plus attentivement le pare-brise. Le vent s’était levé, installant une atmosphère régulant l’étouffante chaleur qui régnait. Il n’y avait aucune trace d’un quelconque impact.Conseillée par l’officier de police, elle rentra chez elle. Elle se dirigea jusqu’à son lit et s’y glissa directement afin de dormir un peu. La nuit était calme, froide et passait sans un bruit. Seule la faible lumière de la bougie prodiguait lumière et chaleur. Quelque chose finit par changer. La lumière se faisait faible à mesure que le temps s’écoulait. Elle se recouvrit avec sa couette. Il était là, appuyé contre la porte à l’extérieur de sa chambre. Elle ne le savait pas. La température de son corps montait jusqu’à devenir insoutenable. Les yeux toujours fermés, c’était désormais fait. Elle ressentit alors la même chaleur que cette après-midi. Elle la sentait parcourir son corps, ses mains caressaient ses cuisses et son ventre, l’une d’elle faisait maintenant l’aller-retour entre ses seins. Seuls les légers soupirs qu’elle prononçait rompaient le silence de cette nuit. Il était toujours dehors, il souriait les yeux fermés. Son autre main finit par se diriger sur ses lèvres intimes, son majeur passait entre celles-ci au même rythme que celle qui se faufilait entre ses seins. Ses soupirs étaient toujours de la même intensité mais réguliers. Son corps ne lui appartenait plus. Elle le savait. Son doigt fit une ultime remontée à son clitoris. Elle le posa délicatement dessus et entamait un mouvement circulaire. Sous la force du vent la fenêtre s’ouvrit, un puissant courant d’air traversa la pièce. La flamme était plus forte et brillait de mille feux. Son doigt la pénétra d’un coup sec et commença une pénétration régulière. Sa main agrippa son sein et fit rouler son téton tandis qu’elle malaxait son sein. Elle criait désormais. Sa main quitta son sein et se plaça sur son autre main qui entamait maintenant un rythme plus rapide. Son corps vibrait sous l’assaut, la sueur coulait sur son visage, sa tête tournais dans tous les sens comme pour échapper à un plaisir imminent, elle y était presque, elle le sentait en elle cette vague qui transcendait son corps entier pour finalement s’arrêter sur un point.Elle cria plus fort qu’avant. La fenêtre se referma, il ouvrit les yeux, souriant toujours dehors. La porte de sa chambre s’ouvrit à la fermeture de la fenêtre et elle se réveilla un peu à la façon d’une personne qu’on venait de sauver de la noyade. Elle jeta un coup d’œil rapide vers la porte, il n’y avait personne, hormis le plaisir qui se rediffusait dans tout son corps... La bougie était éteinte.Elle se crut folle, dans un soupir de soulagement et de joie pour ce plaisir improvisé qu’elle venait de subir. Seulement pourquoi était-elle soulagée ? Elle n’avait pas le droit. Elle se rallongea alors qu’elle ouvrait les yeux et elle se posa la question. Là, elle le vit, son sang ne fit qu’un tour mais elle n’était pas surprise et cela l’intriguait. Elle courut cependant jusqu’à la cuisine, attrapa un couteau et le pointa vers cet homme qui venait d’apparaitre en lui posant 2 questions : qui était-il et pourquoi avait-il tué son père. Il souriait de nouveau, à la vue d’elle collée contre le réfrigérateur à pointer ce couteau. Puis cette chaleur l’envahit de nouveau et, sans qu’elle ne puisse rien y faire, elle retourna le couteau contre elle. Le plat de la lame froide était maintenant en contact avec son cou, descendait ensuite entre ses seins et elle finit par se masturber avec le manche du couteau en se laissant aller à de nouveaux cris devant cet homme, un inconnu ? Elle pensait le connaitre mais ne l’avait jamais vu. Après un dernier orgasme, elle laissa tomber le couteau et son corps traduisit de nouveau ce sentiment de plénitude qu’elle avait éprouvé dans son lit. Il s’accroupit, posa sa main sur sa joue et ce simple mouvement suffît à lui déclencher un orgasme plus fort que les précédents. Sa chatte était en feu. Il répondit à ses questions :
— Moi ? Je suis beaucoup de choses, mais pour résumer je suis ce que tu désires. Pour ta seconde question, la réponse y est.
Elle vacilla sous le plaisir et finit par s’évanouir. Elle se réveilla le lendemain et le chercha des yeux. Elle voulait des explications. Elle faisait sans doute semblant de ne pas comprendre, car seule elle pouvait comprendre. On sonna à la porte, elle ouvrit, c’était lui. Il la salua de la main, elle la saisit et la colla contre sa joue. Seulement rien cette fois. Il riait désormais.
— Déjà ? dit-il.
Il lui dit de ne pas s’inquiéter, qu’il répondrait à toutes ses questions. Elle allait lui poser la première quand il l’attrapa brusquement, traversa la pièce et la colla contre les vitres de l’appartement. Ses seins étaient collés à la vitre, il était derrière elle. Elle remuait le bassin et il la déshabilla. Elle était maintenant nue et remuait toujours le bassin. Il lécha son cou et ses lobes d’oreilles, puis passa sa langue le long de son dos jusqu’à ses fesses qu’il embrassa. Elle le priait de la lâcher, de la laisser. Il lui bouffa alors la chatte, suça son clitoris qui brulait en remontant ses mains dans son dos. Elle ne pouvait que crier en lui demandant de la laisser. Elle pointa son cul offert vers lui en lui disant encore de la laisser. Il embrassa son cou et elle retrouva cette chaleur qu’elle cherchait dans sa main. Il la pénétra rapidement mais doucement, continuant à caresser son dos. Des larmes perlaient sur son visage. Elle continuait de lui demander de la laisser. Elle avait les yeux fermés. Il commença à la baiser. Elle était cambrée, sa chatte offerte abritait une queue qu’elle trouva parfaite. Il planta ses doigts dans son dos et les faisait descendre jusqu’à son cul tandis qu’il la pénétrait. Elle criait maintenant, elle avait l’habitude. Les yeux toujours fermés réitéraient sa demande. Il la retourna, l’embrassa avec fougue. Elle crut mourir. C’était bon, peut-être trop.
— As tu des questions ? Lui demanda-t-il.— NON ! répondit-elle consciente que c’était la meilleure chose. Elle ne voulait pas provoquer l’arrêt de cette jouissance.
Il la souleva en continuant à l’embrasser et la prenait de nouveau dans un rythme crescendo. Elle était aux anges, ses lèvres quittèrent celles de son amant et elle l’enlaça le plus fort qu’elle le pouvait en criant les larmes aux yeux :
— Lâche-moi... Lâche-moi !!..... Oui, vas-y prends moi !!
Il stoppa net son mouvement sur ces mots. Au même moment où les yeux de sa partenaire s’ouvraient et que ses larmes éclataient devant la rapidité du mouvement, elle tomba sur le sol. Il avait disparu.Une voix lui dit alors :
1-2, 1-2-3-4. C’est cela que nous jouerons toi et moi.
A suivre si cela vous a plu.
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