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Elle s'offre aux autres, pour moi

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
2. Retour à la réalité :
Je me souviens que le soir-même, en rentrant chez nous, j’avais failli prendre Chloé devant la porte d’entrée, en pleine rue, pendant qu’elle cherchait ses clefs dans son sac. Une fois rentrés, elle avait jeté son sac et ses clefs par terre. Elle m’avait tiré vers elle, nos langues s’étaient entremêlées dans un baiser endiablé. J’avais pressé son cul entre mes mains avant de lui arracher sa culotte sous sa robe. Pressé, je n’avais pas eu le temps de la déshabiller entièrement, occupé que j’étais à desserrer ma ceinture en me repassant les images de la soirée dans ma tête. Chloé me regardait intensément, je sentais son corps bouillonner sous moi. Ses yeux animés d’un désir grimpant au rythme de sa respiration, son sein sorti de sa robe par inadvertance qu’elle pressait dans sa main... Je ne pouvais attendre plus longtemps, je n’avais jamais eu d’érection aussi forte et, une fois mon sexe sorti, je m’étais enfoncé en elle, sentant ses jambes se serrer autour de ma taille, m’imprégnant de la chaleur enivrante de son vagin qui m’aspirait au fond d’elle.
Je ne lui avais jamais fait l’amour comme durant cette nuit-là, avec une telle ardeur qui me montait à la tête en parcourant tout mon corps, tout mon être était troublé de ressentir autant de plaisir rien qu’en imaginant Chloé en proie aux mains habiles d’Antoine. Les yeux bleus de Chloé levés vers moi, j’arrivais à lire en elle comme elle arrivait à lire en moi, elle serrait davantage ses jambes pour mieux me sentir à chaque pénétration, elle gémissait et avait cambré le dos dans un orgasme, pendant que je lui suçais le cou, comme le faisait Antoine chez lui.
— Wolfgang, minauda-t-elle. Viens, je te veux.— Bordel.
Je venais en elle, le souffle court, en sueurs avant de m’écrouler de tout mon poids sur son corps brûlant.C’est alors que mon esprit avait commencé à être en proie aux questionnements et à la culpabilité. C’était dans ce silence qu’accompagnait notre baise, la tête appuyée sur la poitrine de Chloé, que je me tourmentais. Ce qui venait de se passer s’était-il vraiment passé ? Avais-je bien permis à Chloé d’offrir son corps aux mains d’un ami ? L’aimais-je vraiment ? Tant de questions inutiles et ridicules auxquelles je répondais intérieurement d’un oui flagrant. Je l’aimais et je lui avais permis de danser collée à Antoine, de se frotter à lui pendant qu’il lui arrachait des soupirs. Chloé me défiait du regard et je relevais ce défi, parce que plus elle allait loin dans ses initiatives, plus elle était vicieuse et plus je la trouvais belle.
— Wolfgang, dit-elle en mettant fin au silence.— Oui Chloé.— Prends-moi encore.
On avait baisé encore deux fois, sur notre lit, avant de sombrer dans un profond sommeil.Le lendemain, on se parlait avec plus de tendresse, comme si l’on ne voulait pas prendre le risque de se blesser, on avait pris la douche ensemble de bon matin et, empilés comme de vulgaires nouveaux amoureux dans le canapé, nous avions passé la journée à regarder des séries télé et à nous faire des gâteries.
— À quoi tu penses Wolfgang ? demande Chloé en me repêchant de mes pensées.
Je regarde autour de nous, et le bar dans lequel on se trouve est assez chic. Des tables sont éparpillées dans un désordre bien ordonné, avec des fauteuils en forme de C confortables et qui permettent aux personnes installées de mieux se rapprocher pour discuter ou faire du pied, ou les deux à la fois.
— J’adore ton rouge à lèvres.— Je sais, je l’ai fait exprès. Tu es sûr que c’est prudent ?
— Je ne te ferai jamais courir de risque Chloé, dis-je en lui tenant la main. Tu le sais. Ce bar n’est pas mal, mais ce n’est pas la déco qui m’intéresse. Ce qui m’intéresse ce sont ses toilettes.— Tu m’excuses ?— J’ai remarqué que les toilettes étaient mixtes, et j’ai une super idée.
Chloé me tend l’oreille et je lui murmure ce qu’elle doit faire pour moi. Elle se retient de rire et me regarde en battant des cils. Son pull moulant vert olive offre une belle vue sur son décolleté vainement dissimulé par des fils entrecroisés. Ce dernier rentre dans son jeans bleu foncé qui lui va comme une deuxième peau, appuyant la forme de ses hanches et de ses jambes galbées qui finissent sur des sandales à talons noires. Elle sourit avec ses dents toutes blanches en remarquant qu’elle me plaît, assez pour que je glisse furtivement ma main de sa taille à son sein. Elle m’embrasse avant de se lever et de m’enjamber pour quitter la table, doucement pour que je ne rate rien de son corps parfait. Elle traverse les tables en se déhanchant légèrement, et plus d’une tête se retourne pour mater son cul bien ressorti par son jeans. D’où je suis assis, je peux voir tout ce qui se passe devant l’entrée des toilettes, ce qui n’est pas le cas de toutes les personnes attablées ou debout au comptoir, la plupart des personnes présentes sont plongées dans des débats animés ou dans leur verre.
Les chances qu’on voit Chloé sont minimes, mais le risque zéro n’existe pas et je pense que c’est ce qui nous excite.Dès qu’elle arrive à la porte des WC, un homme chauve et grand, qui semble avoir dans la quarantaine, lui barre la route et commence à lui parler. Chloé commence par tirer une mine gênée puis se laisse aller à la conversation, je la vois jouer avec ses longs cheveux noirs pendant qu’elle sourit à cet homme qui n’arrête pas de lui dire des choses que je devine aisément. Quelques secondes s’écoulent et je la vois entrer dans les WC, accompagnée du grand homme qui jette un coup d’œil autour de lui avant d’entrer.Cet homme n’est en réalité que son patron, Philippe. Chloé, qui est maintenant ma femme, n’a pas arrêté de me parler de lui dernièrement. Lui-même marié, Philippe s’est permis de flirter avec elle en toute courtoisie, au bureau, sans se montrer insistant ni déplacé, seulement quelques compliments par-ci par-là, et il est venu à l’esprit de Chloé de me le présenter.J’ai tout de suite voulu qu’il baise ma femme.
Quand il s’est tenu à côté d’elle, je les ai tout de suite imaginés ensemble, dans son bureau. Chloé agenouillée, la jupe relevée, en train de prendre sa queue dans sa bouche.Je lui ai alors demandé si elle pouvait lui parler pour savoir où il passe ses fins de semaine, et il l’a informée que c’est dans ce bar qu’il a l’habitude de venir, accompagné de sa femme. Il a fallu que Chloé insinue qu’il était « possible » qu’elle le rejoigne en fin de soirée, pour qu’on le retrouve ce soir dans ce bar, seul. Les hommes sont tellement prévisibles... je me rappelle du rire interminable de Chloé à cette évocation.Chloé sort la première des toilettes et s’avance vers moi, d’un pas plus rapide, frappant le sol de ses talons hauts.
— Il a sorti sa queue, dit-elle presque essoufflée en se collant à moi et en passant sa main sur mon érection qu’elle caresse lentement du bout des doigts. Il a sorti sa queue pendant que je pissais devant lui. Il s’est approché, je l’ai prise dans ma main et j’y ai déposé un baiser.— Il a vu ta chatte ? demandé-je en voyant Philippe sortir des WC et s’approcher de notre table.— Il a vu ma chatte, répond-elle en m’embrassant sur la joue.
On se lève tous les deux, Philippe sourit, puis est un peu surpris en remarquant mon érection, avant de me serrer la main. On s’échange des banalités vite fait par politesse et je lui propose de terminer la soirée chez nous. Il accepte et sort avec nous du bar. Je serre la main de Chloé dans la mienne pendant que je cherche où on s’est garés et, une fois à quelques pas de la voiture, Chloé lâche ma main et marche à côté de Philippe. Ce dernier me regarde avec des yeux grands ouverts, je souris et ouvre automatiquement les portières de la voiture. Philippe ouvre la portière arrière et laisse entrer Chloé avant de la rejoindre. Je m’installe sur le siège conducteur et démarre aussitôt la voiture. Nous quittons le parking pour rouler sur une longue route en direction de chez nous.En chemin, je ne mets pas de musique, je laisse le poste radio éteint. Le silence s’installe peu à peu dans la voiture aux carrés fermés, j’arrive presque à entendre Chloé respirer. Je jette un coup d’œil au rétroviseur frontal et je vois Philippe assis, tentant de rester calme, à côté de Chloé qui lui tient la main pendant qu’elle regarde les paysages défiler par sa fenêtre. Seul le ronflement léger du moteur nous accompagne dans la légèreté de cette nuit d’automne. Je continue de rouler et, à un moment, j’entends des bruits de succion et de petits gémissements. Je regarde par le rétroviseur et je vois ma femme en train de rouler une pelle en passant sa jambe sur celle de son patron, ce dernier se serre davantage à elle en enlevant son manteau. Chloé passe sa main sur la chemise de Philippe, elle caresse son torse qui s’écrase sur sa poitrine pendant qu’il l’embrasse passionnément. Je fais attention à garder un œil sur la route, puis je sens quelqu’un bouger, je relance un regard à mon rétroviseur et je vois Chloé à califourchon, les jambes écartées de part et d’autre de Philippe.
Je regarde à nouveau devant moi et le bruit que font leurs baisers passionnés me transporte dans un torrent d’excitation grandissante.
— Oh Philippe..., souffle-t-elle.
Je fais vite pour voir ce qui se passe et j’aperçois ma femme, le haut de son pull descendu jusqu’aux lombaires, en train de se faire manger les seins. Philippe vient de dénuder ma femme des épaules à la taille. Mon amour de femme se laisse faire pendant que je conduis, et ma gaule n’en est que plus dure. Je replonge dans le spectacle offert par mon rétroviseur et mes yeux croisent ceux de Chloé qui jette sa tête en arrière pour se délecter de la langue chaude de son patron. Elle colle davantage la tête de Philippe contre sa poitrine et le pousse à ne pas s’arrêter. Les mains de Philippe pressent le cul de ma femme et le font bouger sur son érection.
— Chéri, lance Chloé. Si tu ne vas pas plus vite, il va finir par me déshabiller entièrement.
Cette idée ne me déplaît pas, mais il faut qu’on fasse ça chez nous pour éviter tout risque. Je sens encore quelqu’un bouger, et c’est toujours Chloé qui s’est reculée, en coinçant son cul entre mon siège et le siège passager. Je devine aisément la suite, mais j’ai foutrement envie de ne rien rater du cours des événements. Par mal chance, la circulation se fait moins fluide, alors je me montre plus vigilant et je n’ai droit qu’à des bribes, mais je sais à peu près ce qui se passe d’après les différents sons émis. Je jette alors des coups d’œil rapides au rétro. D’abord, j’ai vu Chloé sourire en cachant sa bouche avec sa petite main pendant que Philippe serrait sa queue à travers son pantalon. Ensuite, j’ai vu Chloé tirer sur son pantalon et son boxer, dévoilant ainsi à ses yeux la queue bandée de Philippe. Puis, j’ai entendu des baisers, des soupirs, des râles et le bruit que fait la salive de Chloé quand elle suce une queue. Je l’entends reprendre sa respiration, lancer un petit rire aguicheur et se remettre à pomper Philippe qui continue de râler comme un ogre.
J’arrive à voir les cheveux de Chloé monter et descendre entre les jambes de Philippe, je vois même son cul bouger à ma droite et je finis par le claquer en annonçant que nous sommes arrivés.Quand je finis de me garer et que je me retourne, Chloé glousse en remettant son pull en place pendant que Philippe ferme sa braguette.
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