Elle ne m’oublie pas... Il y a quelques années, j’ai fait la connaissance sur la toile d’Amélie, une jeune quadra très coquine qui vient de m’envoyer un DVD. La lettre qui l’accompagnait disait que ce qu’il contenait devrait me plaire... Les années avaient passé et il semblait qu’elle n’avait pas oublié le coquin que je suis. C’est bien souvent que nous avions eu des conversations orientées ‘sexe’ mais ce n’est jamais allé plus loin ! Nous habitions trop loin l’un de l’autre et la différence d’âge n’aurait peut-être pas été propice à une aventure sexuelle...
Á l’époque où j’ai fait sa connaissance, elle remplaçait l’épouse d’un réalisateur de films pour adultes qui était enceinte. Elle procédait aux castings de femmes (et parfois d’hommes) qui voulaient tourner dans un petit film pour savoir si elles/ils étaient capables de s’exhiber devant une caméra et de faire l’amour avec un ou plusieurs partenaires. Parfois, ds couples coquins voulaient simplement avoir un souvenir...
Parfois aussi elle donnait aussi de sa personne et son mari participait assez souvent... Bref, un couple libertin comme il y en a pas mal dans cet univers libéré des contingences sexuelles... Elle m’avait d’ailleurs convié à assister à un tournage en Bretagne ! C’était bien chaud... Une magnifique blonde à la poitrine avantageuse s’était fait prendre en double par deux mecs bien montés ! Ce jour-là, après avoir réalisé le casting de la fille qui voulait avoir deux mecs pour la baiser, elle s’était mise en retrait et nous avions longuement bavardé : c’était quand même plus facile qu’une discussion par écrans interposés. C’est ainsi que je lui avais confié mes préférences en matière de femme, notamment des personnes un peu comme elle, avec une poitrine bien galbée et des fesses bien cambrées.
Je lui avais confié que j’avais rencontré une noire dans un des clubs coquins que je fréquentais dans la Capitale mais que je n’avais jamais eu la chance de croiser une asiatique... que ce serait d’être bon de goûter à une de ces fleurs exotiques...
Lorsqu’avec son mari, ils avaient déménagés pour s’installer sur l’ile de Guadeloupe, nous étions restés en contact et souvent nous échangions des photos... Sans entrer dans les détails, elle semblait s’être calmée du côté ‘sexe’ car elle n’en parlait plus jusqu’à ce que je reçoive ce DVD. avec la lettre l’accompagnant.
Elle avait été sollicitée par son amis Candice pour accueillir une équipe de tournage pour quelques séquences qui devaient être filmées dans l’ile. Les rendez-vous étaient pris, les acteurs locaux recrutés (ou volontaires) et deux ou trois filles pas farouches qui avaient envie d’être filmées étaient elles aussi prévenues. Un hôtel aménagé dans une ancienne ‘’habitation’’ (le nom donné à la maison d’un propriétaire de champs de canne à sucre) avait été réservé pour les tournages : l’équipe serait ainsi à pied d’œuvre.
Mais venons-en au contenu du DVD.
Après le traditionnel générique, deux filles entraient dans la pièce... Elles étaient très dissemblables... La première était visiblement une mulâtresse noire d’origine... Cela se voyait à son teint mat et aux traits négroïdes bien présents dans son visage : lèvres très pulpeuses, nez un peu aplati, etc. Ce que je remarquai aussitôt, ce sont ses lèvres lourdement fardées d’un rouge carmin et sa cambrure digne de la reine de Saba. La seconde était une asiatique, petite et menue comme peuvent être certaines filles de ce grand continent. Les seins à peine dessinés sous sa robe et la taille tout juste marquée par une ceinture dorée nouée sur sa robe, de longs cheveux noirs descendant au creux des reins et une voix haut perchée et un peu chantante...
Amélie menait la conversation, posant à chacune des filles les questions voulues pour connaître un maximum de choses et commencer à faire ‘’baver’’ les coquins qui regarderaient la vidéo : Etaient-elles bi ? Combien d’hommes avaient-elles connus, quelles étaient leurs pratiques préférées... etc. Elles se livraient assez facilement et pour voir jusqu’où elles pouvaient aller, Amélie les a invitées à se déshabiller mutuellement tout en se caressant. Bientôt la mulâtre dont je n’avais pas retenu le prénom s’agenouillait entre les cuisses de l’asiatique pour entamer un cunnilingus des plus excitants d’autant qu’elle offrait généreusement la vision de ses fesses fendues avec des orifices roses... C’était bandant ! Elle avait placé les cuisses menues de l’asiatique au-dessus de ses épaules et même si on ne voyait rien de ce qu’elle faisait, elle devait brouter le minou de sa complice !
Peu de temps après, deux colosses noirs, au crâne rasé de près et avec des muscles de culturistes sont entrés dans la pièce. On aurait dit des jumeaux ! Amélie leur a dit : — Elle est prête... Sa chatte bave d’envier et son cul est ouvert lui aussi... Mais allez-y doucement... N’allez pas la briser !
L’un des deux a ajouté : — OK ! On va d’abord se faire sucer pour être bien en forme...
Interpellant la mulâtre, il dit : — Viens avec moi et mon pote va s’occuper de la ‘brindille’ !
Les deux mecs ne faisaient pas mentir la réputation des noirs qui veut qu’ils soient bien montés... J’en ai eu une nouvelle fois la preuve lorsque les filles ont fait glisser leurs slips ! Ils arboraient un véritable gourdin au moins 20 centimètres de long et noueux ! Le gland violacé était déjà bien décalotté et semblait vouloir se détacher de la hampe...
Les deux mecs se sont placés entre les cuisses de filles qui n’ont pas tardé à montrer des signes d’une jouissance qui montait... jusqu’à éclater dans des cris de satisfaction. Pendant ce temps-là, les sexes mâles s’étaient dressés, prêts à défoncer les deux filles... mais en fait, c’est la jeune asiatique (certainement un thaïlandaise) qui a semblé les intéresser. L’un des deux hommes a attrapé la ’brindille’ et lui mettant les mains sous les aisselles, il a laissé la fille glisser le long de son corps jusqu’à ce qu’elle s’empale littéralement sur son sexe... Au passage, il avait brièvement sucé les tétons très proéminents de la fille. Pour maintenir son équilibre, elle avait noué ses mains derrière le cou du mec et elle montait et descendait alternativement sur le pieu qui fouillait sa chatte... Comment une fille aussi menue pouvait-elle absorber un tel pieu ? Il devait lui remonter les ovaires dans l’estomac ! Mais cela avait l’air de lui plaire... Mais ce n’était pas terminé... Le second mec s’est approché du couple puis il a saisi les fesses de l’asiatique dans ses larges mains, il les a écartées et il a commencé à entrer à sec un puis deux doigts dans le sphincter étroit de la fille. Ensuite, après avoir enduit sa bite couverte par un préservatif d’un corps gras, il est entré entre les fesses de l’asiatique.
Là, la pénétration a semblé plus difficile par rapport à la première intromission... mais l’adresse du mec et sa patience ont fait que bientôt, sa bite surdimensionnée était au fond du cul de la miss qui s’est écriée : — Oh... oui... Baisez-moi bien à fond... Défoncez-moi !
Il n’en fallait pas plus pour que les deux mecs se déchaînent et secouent la fille, leurs sexes plantés au plus profond de ses orifices. Ils secouaient la fille en rythme mais jamais ils ne sortaient des entrailles de la belle dont le visage reflétait une certaine extase... qui bientôt s’est transformée en jouissance... Les deux mecs s’étaient arrêtés et quand la ‘brindille’ a cessé de jouir, ils sont sortis de ses orifices. La fille s’est agenouillée devant eux et ouvrant grand sa bouche elle les a invités à bien se vider les couilles ! Et elle a été servie... Plusieurs jets se sont engouffrés dans sa bouche alors que d’autres s’écrasaient sur son buste et ses seins minuscules mais au téton largement développé !
La séquence s’arrêtait là ! La demie heure avait été intense... et Amélie avait su me faire plaisir ! Mais je ne goûte pas aux fruits verts... Je préfère les femmes d’expérience... un peu comme elle !
