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Elle voulait me surprendre

Chapitre 1

Hétéro
Carole est une belle plante de 30 ans aux formes généreuses, décide de surprendre son mari voyeur. Pour l’occasion, elle part à la recherche d’une proie. La journée est chaude, elle se vêt d’une jupe légère très courte, et d’un chemisier très échancré. Elle fait un peu de lèche-vitrines puis arrive à la terrasse d’un café. Avant de s’asseoir, elle regarde autour d’elle. Son regard croise celui d’un homme à la forte carrure. Il lui sourit, elle aussi, puis elle s’attable. Elle commande une boisson qu’elle sirote doucement. Par-dessus ses lunettes de soleil, elle cherche du regard l’homme qui lui a souri. Soudain, elle sursaute, l’homme se trouve juste en face d’elle. Il est souriant et dit :
— Je peux vous offrir un verre ?
Elle plante ses lunettes dans ses longs cheveux, regarde l’homme de bas en haut et répond :
— Pourquoi pas, asseyez-vous !
Ils parlent de choses et autres, rient de tout et de rien. Très vite, ils sympathisent, l’homme s’appelle Paul, il est artisan-plombier. L’heure tourne, Carole se lève, salue Paul et se dirige à la station de bus la plus proche. Paul la rattrape en quelques enjambées et lui dit :
— J’ai ma voiture garée à quelques pas d’ici, je vais vous raccompagner !
Carole n’en espérait pas moins, c’est en faisant un grand sourire qu’elle accepte. Pendant le voyage, la main de Paul frotte plusieurs fois contre la cuisse de Carole, le changement de vitesse à bon dos. Elle s’en amuse et appuie sa jambe plus fortement sur la main de passeur de vitesses. Le court voyage se termine, Paul s’arrête juste en face du domicile de Carole. Pour le remercier, elle l’invite à prendre un verre.
Carole présente son mari Michel à son accompagnateur et l’invite à s’asseoir au salon. Pendant que Michel sert les boissons, Carole s’assied en face de Paul. La coquine pour aguicher Paul, ne cesse de croiser et décroiser ses jambes, la courte jupe remonte davantage à chacun de ses mouvements. Les yeux de Paul se fixent sur l’entrejambe qui ne cesse de s’ouvrir comme un compas. Machiavéliquement pour prendre son verre sur la table basse, Carole se penche effrontément. Ses seins manquent de sortir par la large échancrure du chemisier. Paul ravale sa salive. Carole remarque le trouble qu’elle cause sur Paul, elle lui sourit et se redresse. Son piège se referme, en rajustant son chemisier, elle fait mine d’être maladroite et fait jaillir un sein. Paul écarquille les yeux.
Pour remettre à sa place le sein fugueur, Carole doit déboulonner entièrement son corsage. Les deux obus se dressent face à Paul, gêné, il devient rouge comme une pivoine. Il avale une bonne rasade de gin, et déglutit difficilement. Carole laisse le chemisier ouvert, et prend son verre, elle regarde Paul avec un sourire provocateur et porte le verre à ses lèvres. Elle le boit à petites gorgées, sa langue passe plusieurs fois sur ses lèvres charnues. Michel est aux anges, il remarque la bosse énorme qui déforme le pantalon de Paul, il pose sa main dessus. Paul sursaute et repousse la main de Michel qui lui dit en souriant :
— Elle a de beaux nichons ma femme, elle te fait envie hein ?
Paul reste coi, il ne sait que dire. Son regard reste bloqué sur l’entrejambe largement ouvert de Carole. Elle le fixe droit dans les yeux, et fait descendre sa main sur son bas-ventre. Ses doigts glissent sur la fente qui n’est protégée que par le fin tissu de la culotte. Ses doigts fins montent et descendent de nombreuses fois sur la fente qui s’humidifie rapidement. Une tache de plus en plus grande s’étend sur la culotte. Paul ne peut détacher ses yeux. Sa queue emprisonnée dans le carcan de ses vêtements lui fait terriblement mal. Michel a sorti son membre et la caresse doucement, ses yeux brillent de mille éclats. La culotte de Carole s’insère dans le sillon des grandes lèvres. Le tissu est de plus en plus mouillé. Carole agace sa perle d’amour, elle appuie dessus en soufflant comme un animal en rut. Paul n’en peut plus, il se lève, s’approche de Carole.
Il se met face à elle, pose ses mains sur les épaules de la provocatrice et fait tomber le corsage. Il s’agenouille, fait glisser le zip de la fermeture éclair de la jupe et la tire vers le bas. Il entraîne au passage la culotte trempée de cyprine. Maintenant, Carole est entièrement nue. La queue de Paul est douloureuse, il l’extirpe de sa prison de tissu, elle se dresse fièrement, il la branle doucement pour en apaiser la douleur. Il regarde Carole, la coquine ouvre les jambes. Paul lui écarte les lèvres vaginales et sort de son écrin la perle rare. Il la presse doucement entre son pouce et son index et la branle doucement. Rapidement, Carole geint. Elle ondule du bassin, son bouton enfle de plus en plus la pression monte dans son corps.
Michel qui ne rate rien du spectacle se branle énergiquement en serrant les dents. Sa main décalotte à chaque descente le gland violacé, il ressemble à un bolet tellement il est large et épais. Le bougre grimace, la tension monte atrocement, sa queue est impressionnante, les veines gorgées de sang la rendent monstrueuse. Paul plaque sa bouche sur la vulve noyée, il aspire tout le jus qui s’y échappe. Sa langue joue avec le bouton de chair un bon moment, avant de s’enfoncer dans la gaine brûlante. L’appendice râpeux fouille les moindres recoins du conduit en ébullition. Carole gémit comme une bête prise dans un piège, sa respiration s’accélère, son souffle est devenu court.
La bouche avide de Paul s’empare à nouveau de la perle, et la suce sauvagement. Carole se cabre, pousse un râle terrible et remplit la bouche du suceur avec son abondante cyprine. Michel souffle comme un bœuf il se raidit et envoie sur les sols plusieurs décharges de semence.
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