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Elles s'appelaient toutes Marguerite

Chapitre 6

Avec plusieurs femmes
Chapitre 6, l’histoire de Julie :
Julie avait 22 ans, était blonde, une poitrine qui, je l’ai appris plus tard, était du 95G, Elle était, contrairement à ce que sa poitrine voudrait, assez mince, ce qui alourdissait encore son fardeau. En parlant de fardeau, Julie n’avait pas que ça. Elle commença à me raconter son histoire que j’écoutais attentivement.Julie n’avait pas de père, à sa naissance, l’homme qui avait à une époque battu sa mère était parti sans coups férir. Sa mère, alcoolique notoire, s’était très vite avérée ne pas convenir à son rôle. Solitude était le mot qui avait régi son enfance. Pour se consoler, Julie s’était tournée vers sa grande sœur, lesbienne également. Celle-ci, dont la terreur de devenir comme sa mère hantait, était aussi fort contente d’avoir sa petite sœur. 4 ans les séparaient, ce qui ne les a pas empêchées, très vite, de devenir plus intimes que leur statut familial ne l’aurait voulu. Tout commença le jour où Julie surprit sa sœur, Caroline, au lit avec un vibromasseur d’un diamètre assez conséquent. Dans l’entrebâillement de la porte, Julie avait découvert ce qu’était le sexe solitaire. Malgré son jeune âge (14 ans), elle avait été émoustillée et très troublée par cette découverte. Ce soir-là, elle avait surpris ses doigts descendre le long de son bas ventre, pour arriver sur son clitoris. Souvenirs de sa première masturbation, racontés avec une petite lueur au fond de ses pupilles. Cette première expérience l’ayant décidé à continuer, elle frappait le lendemain à la porte de sa grande sœur. Elle lui raconta tout, espérant un je ne sais quoi de sa part. En guise de réponse, elle lui dit de revenir quand leur mère serait au lit et la mit gentiment à la porte. Deux heures plus tard, Julie revenait dans la chambre de sa sœur, non sans une pointe d’appréhension. Celle-ci l’avait fait rentrer et l’avait couchée sur son lit. Elles avaient alors, contrairement à ce que je pensais, discuté toute la nuit de leur situation, de la sexualité de Caroline, des envies de Julie, bref, rien de charnel n’était arrivé. Une chose avait cependant changé, Caroline ne fermait plus jamais la porte de sa chambre à sa sœur. Une nuit d’orage où leur mère, encore une fois saoule, s’était effondré dans le salon, Julie prise de panique avait été trouvé sa sœur qui ne dormait pas non plus. Une grande angoisse avait envahi Julie et Caroline, pour la calmer, avait décidé de la garder tout contre elle pour la nuit. Caroline avait pris l’habitude de dormir nue, ce qui troubla encore un peu plus Julie. Cependant, le fait d’entendre les battements du cœur de Caroline la calma et la relaxa. A tel point qu’elle demanda à Caroline si elle pouvait également se mettre nue. Celle-ci accepta. Malgré ses 14 ans, Julie avait déjà les prémices de sa poitrine actuelle, oscillant à l’époque entre un grand C et un petit D. Caroline n’avait pas eu la même « chance » que Julie, et faisait, elle, du 95C. Julie sentait doucement la chaleur monter sous la couette. Sa sœur passa alors la main autour de sa taille, pour ceinturer la poitrine de Julie de son bras. Julie se laissa faire, de même qu’au moment où sa main remonta pour la caresser doucement.Julie regarda sa sœur et lui dit alors simplement « Je t’aime Caroline ».Caroline lui répondit et pris ça pour une acceptation de la situation. Sa main libre descendit alors le long de la goutière de son dos et vient lui caresser les fesses. Julie, totalement rassurée, somnolait, heureuse. Caroline suivit la ligne de ses fesses pour arriver à son sexe imberbe. Pour son plus grand plaisir, Julie mouillait. Elle risqua alors un doigt, qui fut vite aspiré. Son autre main agaçait les tétons de sa petite sœur. Elles n’auraient su dire combien de temps dura cette étreinte interdite mais pourtant tellement naturelle. Julie, sous les assauts des mains de Caroline, finit par jouir pour la première fois de sa triste vie. Après ses premiers spasmes, elle se tourna vers Caroline et l’embrassa tendrement. « Quentin ? Ce n’est pas ta gare ? » Elle venait de me tirer de ma rêverie une gare trop tôt à mon grand regret. « Non, je sors à la prochaine, Je n’ai pas envie de te laisser, ton histoire ainsi que… toi, m’intéressent fortement. Peut-on rester en contact ? »« J’allais te le demander, ça fait plaisir de parler de tout ça à quelqu’un, même si c’est un inconnu… »« Raconter ses secrets à un inconnu est la meilleur façon de ne pas les voir divulguer »« Tu as raison, voici mon numéro »« Merci Julie, voilà le mien, il faut qu’on se revoit. »« J’avoue, tiens moi au courant »Ma gare arrivant, je pris congé d’elle en lui promettant de la recontacter.Cette rencontre m’avait encore une fois troublé, une fille comme ça qui se confie à moi sans raisons, c’était fort beau.
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