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Elles avaient un tempérament de folie.

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
(En feuilletant le cahier sur lequel je note des idées de récits, je suis tombé sur les quelques bribes que j’avais notées afin de ne pas oublier cette soirée... qui fut effectivement mémorable... Près de 15 ans ont passé et à l’époque, j’étais encore parisien ! Les dialogues ont été reconstitués aussi fidèlement que possible.)

Que dire de plus... Quand nous nous sommes quittés au milieu de la nuit, j’étais lessivé... Ces deux nanas m’avaient littéralement asséché les couilles...

Ce vendredi soir, je n’avais pas spécialement envie de me faire à manger et finalement vers 20 heures, je me suis décidé à aller dîner dans un petit restaurant où j’ai mes habitudes...Veuf depuis pas mal d’années, je m’y étais rendu à plusieurs reprises et finalement, j’avais sympathisé avec le couple de patrons.Lorsque je suis arrivé, Caroline m’a dit que j’aurais dû téléphoner... elle ne pouvait m’offrir qu’une table qui n’allait pas tarder à se libérer, car les convives venaient de demander l’addition... Je n’étais pas spécialement pressé et j’ai commencé par prendre l’apéritif au bar avec Henri, le mari de Caroline, lequel supervisait les opérations en salle tout en encaissant les factures...Je m’en voulais un peu d’occuper seul une table pour quatre personnes, mais je n’ai pas été seul longtemps... Caroline est arrivée près de la table, suivie de deux femmes à qui je donnai une trentaine d’années.
— Gilles, acceptes-tu d’avoir de la compagnie pour dîner ? Nous n’avons plus de place disponible !
En riant d’un air complice, je lui ai répondu :— Si tu n’amènes des compagnes de table comme ces deux jeunes femmes, je ne t’en voudrai pas !— OK... ça marche... installez-vous... je reviens prendre les commandes !
A ce moment-là, je n’imaginais pas que la soirée serait particulièrement mouvementée...Nous avons fait connaissance tout en dégustant notre apéritif et en mangeant... Caroline faisait le service à notre table et les plats se sont succédé assez rapidement...
Les deux filles se sont présentées...Carmela ( ? ) avait effectivement 30 ans, célibataire et sans attache, elle était montée à Paris après avoir achevé ses études et avait été embauchée au siège d’une importante compagnie d’assurance. Comme elle parlait couramment trois langues étrangères, elle s’occupait, avec sa copine Angela, de traiter les demandes de secours des touristes en panne à l’autre bout du monde.
Angela ( ? ) était plus jeune de deux ans et le fait qu’elles soient toutes les deux d’origine italienne les avait rapprochées.En fait, elles étaient assez semblables au point qu’on aurait pu les croire sœurs... Des cheveux noirs coupés en carré tombant sur les épaules encadraient un visage ovale aux yeux noirs ourlés de longs cils. Le nez droit et la bouche gourmande aux lèvres peintes complétaient le portrait. Lorsqu’elles s’étaient approchées de la table, je les avais regardées discrètement... sous des vêtements chics, la poitrine était plutôt menue et les hanches pleines s’évasaient sous une taille ceinte d’une large ceinture en cuir qui faisait ressortir la finesse de la taille et l’ampleur des hanches...

Je les complimentai sur leur allure, mais tout de suite, j’ajoutai que cela était sincère, que ce n’était pas de la flatterie ! En riant, je complétai mon propos en leur disant que j’étais un vieux Monsieur, que leurs âges ajoutés étaient encore loin du mien...
Mais parlons un peu de moi... Je suis un jeune retraité, dynamique, si je ne pratique aucun sport, j’entretiens ma forme en faisant de longues randonnées dans les forêts qui entourent Paris et un peu de natation dès que l’hiver me contraint à réduire mes activités extérieures. De haute stature, mon visage est encadré par une courte barbe « poivre et sel » qui aux dires d’amies, me fait une tête de pirate ! Je dois ajouter qu’un léger embonpoint arrondit (ou alourdit suivant mon humeur) un peu ma silhouette ! Pour l’instant, je n’ai aucune attache sentimentale...
Comme je l’ai déjà expliqué, le repas se déroule dans la bonne humeur et ces deux jeunes femmes ne manquent pas d’humour et rient de bon cœur lorsque nous commençons à échanger des propos à double sens... qui dérivent rapidement vers la coquinerie. D’ailleurs, j’ignore laquelle des deux me fait discrètement du pied sous la table, emprisonnant une de mes chevilles dans ses jambes... Aurai-je une chance avec l’une d’elles... mais comment faire pour les séparer, d’autant qu’elles m’ont confié vivre dans le même appartement...
C’est d’ailleurs à ce moment-là que notre conversation a quelque peu dérapé quand je leur ai demandé si elles avaient des mœurs particulières...Dans un grand éclat de rire, elles m’ont confié que pour l’instant, elles n’aimaient que les hommes !
Lorsque j’offris de payer l’intégralité de la note, Carmela s’y refusa, mais accepta que je leur offre l’apéritif et les boissons... sinon, elles auraient été vexées. Bref... ça se passa ainsi !Angela se tourna vers nous à la sortie du restaurant et dit :— Carmela, nous avons du champagne au frais et il est encore tôt... Si nous allions tous les trois à l’appartement pour finir la soirée... Demain, c’est samedi et on ne travaille pas... On n’est même pas d’astreinte avant dimanche !— C’est une excellente idée... Qu’en dis-tu Gilles ?— Je suis partant ! Pas de soucis... je n’ai pas de bébé qui pleure à la maison !
Nous avons éclaté de rire tous les trois et les filles m’encadrèrent et bien accompagné, nous avons gagnons leur appartement qui était à moins de cinq minutes...Ce ne fut pas l’ascenseur pour le 7ème ciel, mais lors de la montée pour le 3ème étage, les deux filles se collèrent littéralement à moi... Carmela me tendit ses lèvres pendant qu’Angela palpait mon entrejambe... ça augurait désormais une suite assez coquine !Dès l’entrée dans leur appartement, Carmela et Angela se sont littéralement jetées sur moi et en un rien de temps, je me trouvais nu face à elles, le sexe à moitié dressé.
— Regarde Carmela, je crois qu’on a tiré un bon numéro !— Oui... Pas mal du tout pour son âge ! (je vous rappelle qu’à l’époque, je frisais les 60 balais).— On ne va pas le laisser s’en tirer comme ça... Au fait, tu te sens capable de nous satisfaire toutes les deux ?— Si vous me laissez un peu de répit entre l’une et l’autre et si vous m’aidez un peu, ça le fera !
Pendant qu’Angela se déshabillait prestement, Carmela me guida vers l’immense sofa qui occupait un angle de la pièce où elle m’allongea et enfourna ma bite au plus profond de sa bouche ! Il ne lui fallut pas longtemps pour que mon sexe soit dur et dressé... Sa fellation et les caresses jointes étaient savantes... Quand mon sexe était au fond de sa bouche, elle faisait rouler mes couilles dans les bourses où elles frottaient l’une contre l’autre... Lorsque mon gland sorti sorti de sa bouche, elle titillait le méat avec le bout de sa langue... ou l’enroulait autour...
— Je pense qu’il est prêt... je le couvre et te cède la place...
Angela nous a rejoint sur le lit, où, allongée sur le dos, elle ouvrait ses jambes et étirait les lèvres de son sexe dans une invitation non équivoque... dont je profitai aussitôt. Je glissai mon sexe couvert d’un préservatif dans celui d’Angela, non sans avoir joué un peu entre ses lèvres vaginales et en frottant mon sexe sur son clitoris pour achever de l’exciter... Au travers du latex, je sentais la chaleur de son vagin dans lequel j’allais et venais de plus en plus vite... J’avais compris que c’était elle qui m’avait chauffé une partie de la soirée...Après l’avoir prise "à la missionnaire", j’ai relevé ses jambes et je les ai placées sur mes épaules... Je savais que dans cette position, j’irais au plus profond de sa chatte et que mes bourses battantes viendraient frapper son périnée.
Tout en se triturant les pointes de ses jolis seins, elle participait activement à notre coït... Je sentais les muscles intimes de son sexe presser mon vit dans son vagin... et c’était bon ! Si bon que je n’ai pas pu me retenir très longtemps... Quand ma jouissance a déferlé au fond de la capote, Angela a joui presque en même temps, mêlant ses râles de plaisir aux miens. J’ai laissé retomber ses jambes entre mes cuisses et je suis resté ainsi quelques minutes avant de sortir de son sexe et de rouler sur le dos !Pour autant que je m’en souvienne, Carmela (qui entre temps s’était déshabillée) est venue ôter la capote et engloutir ma bite dans sa bouche non sans avoir dit à la cantonade :— Laissez-moi goûter ce sperme... je sens que c’est un VRAI bon coup !
Que dire sinon se laisser faire... J’avais déjà goûté à la bouche de Carmela qui m’avait mis en forme pendant qu’Angela se mettait nue... et c’était une bonne pipeuse ! Quelque temps après, c’était deux bouches voraces qui se partageaient mes attributs virils... Quand l’une avait mon sexe dans la bouche, l’autre triturait mes bourses ou les prenait dans sa bouche pour faire rouler les testicules... Le ballet était bien réglé, chacune avait son rôle qui s’inversait sans un mot, mais jamais leurs bouches ne se sont rencontrées !Nous avons batifolé quelque temps, puis Carmela s’est mise à quatre pattes sur le sofa en disant à son amie :— Couvre-le... j’ai envie qu’il me baise en levrette... Sa bite n’est pas très longue, comme ça, elle ira bien profond !
Je savais désormais ce que j’avais à faire !Lorsque je me suis placé derrière elle, j’avais la vue sur ses jolies fesses bien fermes et entièrement bronzées, sa taille étroite, ses cheveux répandus sur ses épaules... Son sphincter palpitait dans sa raie et son sexe bavait déjà d’une cyprine abondante... Je ne la fis pas languir... elle m’offrait une position que j’affectionne particulièrement... J’ai placé mes mains autour de sa taille et je me suis introduit doucement dans sa chatte.
— Plus fort ! Baise-moi fort ! J’ai envie !— Ah bon... je vais t’en donner !
Pendant ce temps, Angela nous regardait... la main droite entre les cuisses, elle semblait caresser son clitoris... mais j’avais autre chose à faire que d’approfondir les choses...Carmela voulait être prise avec vigueur... quitte à jeter toutes mes forces dans cette étreinte, j’allais lui donner ce qu’elle voulait !J’alternais des moments rapides et des moments plus lents en sortant de sa chatte pour y entrer à nouveau dans un mouvement bestial qui faisait claquer mon pubis contre ses fesses...Ma partenaire m’encourageait de la voix, me stimulait en me traitant de salaud, disant qu’à mon âge, ce devait être bon de sauter des jolies poulettes comme elle et sa copine !
— Mais oui... c’est bon... mais vous êtes deux belles coquines... et c’est bon de vous baiser !
J’avais à peine dit cela que ma partenaire commençait à jouir... Pour moi qui m’étais quelque peu retenu, c’était aussi le moment de lancer au fond de la capote quelques jets de sperme bien drus...
Pendant que nous récupérions de cette joute, Angela nous servait le champagne...Après quelques bavardages coquins, je pris congé des deux filles et c’est le cœur léger et les couilles vides que je regagnai mon domicile... Quinze minutes plus tard, j’étais sous la douche et le lit m’accueillit aussitôt !
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