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Elles toutes

Chapitre 2

Inceste
Nathan arriva dans la cuisine, tout était immaculé. Judith préparait le repas avec entrain. Elle se tourna vers lui avec un sourire pincé.
— Je suis désolé Judith, je ne sais pas ce qu’il m’a pris, je ne...
Il fut coupé par la main de Judith qui lui fit signe de s’arrêter.
— Nous avons discuté les autres et moi. Nous ne parlerons de rien à Cristelle, mais il ne faudra plus tomber dans le piège du vice avec Dita.
Il eut un soulagement et des larmes coulèrent sur ses joues.
— Nous avons failli à notre devoir, Dita sera punie pour cela.
Il hocha la tête, mais elle prit une grande inspiration pour lui faire un sermon.
— Nathan, mon fils. Si tu penses ne pas avoir eu de relations sexuelles avec ta mère parce que Dita et non Cristelle était aux commandes, tu fais une grande erreur, nous sommes toutes ta mère. Nous étions là à ta naissance et à chaque moment de ta vie.
Elle vit le désespoir de Nathan et ajouta :
— Tu vas devoir vivre ces prochains jours avec nous, tes autres mamans. Dita... elle a de trop fortes envies et ne peut qu’y succomber, mais le fait que tu y aies succombé aussi est grave. Ce que tu m’as fait ne doit jamais arriver de nouveau.
Elle reprit sa respiration.
— Les autres, pas toutes, veulent te rencontrer. Alors pour éviter de m’épuiser, je vais laisser ma place et comme ça lorsque Dita se réveillera, je la bloquerai.
La conversation qui suivit fut des plus normales, elle me fit à manger et débarrassa. Une chose gâcha un peu la paix, quand elle se rendit compte que du sperme lui coulait le long de la jambe. Elle me conseilla de boire beaucoup et de me reposer au vu de la quantité de sperme que j’avais éjaculée en elles aujourd’hui. Ce jour-là, je n’ai pas répondu au téléphone et ne fit rien. Tout à fait normal après de tels évènements, mais ce fut-là ma deuxième erreur ou troisième, peut-être quatrième, allez savoir. Tout ça pour dire que j’en ai fait une de plus, car voyez-vous, j’ai eu le plaisir, que dis-je le privilège de rencontrer Rosie.

Le samedi matin, Nathan répondit à ses amis qu’il allait rester chez lui pour s’occuper de sa mère. Il se leva et s’attendit à une bonne odeur de pain grillé et de café, préparé par Judith, mais rien ne lui vint au nez. Il descendit et ne vit personne au rez-de-chaussée.
— Eh oh ! Y a quelqu’un !
Il attendit et rien. Il se précipita dans la chambre de sa mère et la trouva endormie dans son lit.
— Ouf ! souffla-t-il, rassuré, il s’approcha.
Elle était nue, donc ce n’était ni Judith, ni Dita. Elle se réveilla, il s’écarta et dit :
— Bonjour, je ne crois pas que nous ayons été présentés.
Elle le regarda d’un air mauvais.
— Qu’est-ce que c’est qu’ce putain d’ton ampoulé ? C’est trop tôt pour moi ta façon de parler parigo, et surtout pas avant ma première clope.
Elle chercha un paquet sur la table de nuit.
— Ma mér... Cristelle ne fume... pas.— Fais chier ! Toi, file-m’en une ! lui ordonna-t-elle.— Désolé, je ne fume pas non plus.— J’ne suis pas ta putain mère, ne m’raconte pas de salade et file-moi une putain de clope.— Non ! Je vous assure, je lui ai promis de ne pas fumer et je n’ai qu’une parole.
Elle se gratta le sexe puis renifla.Je dois dire que l’aspect érotique de voir de nouveau ce corps nu a rapidement disparu.
— Dommage que t’as pas fait la même pour n’pas baiser sa chatte.
Nathan eut du mal à déglutir.
— Je suis désolé pour ça, je vous...
Elle se leva brusquement, ses seins se balancèrent, hypnotisant le regard de Nathan.
— Putain, arrête de me dire vous, bordel ! Tu n’l’fais pas à Judith alors pas avec moi.
Elle le poussa pour ouvrir l’armoire.
— Pour la baise, pas besoin de t’excuser, j’étais aux premières loges, mais non participant.
Elle rit un bon coup avant de continuer.
— Puis te voir troncher la grenouille de bénitier m’a bien fait marrer. Et quand elle a juté et s’est mise à chialer. Oh bordel ! J’en pouvais plus.— Elle a chialé quand elle a quoi !— Bah quand elle a pris son pied, qu’elle a vu le loup, que la fontaine a giclé, quoi !— Judith a eu un orgasme ?
Je pense que je suis naturellement doué.
— T’es bouché, elle a pris un pied d’enf...
Elle se figea, les yeux, derrière leurs paupières, bougeaient dans tous les sens.
— Tu me soules, t’as pris ton pied, t’as pris ton pied !
Nathan resta silencieux le temps que la dispute se passe.
— Tu veux lui mentir ?
Elle ouvrit les yeux, fit comme-ci de rien n’était.
— Au fait, moi c’est Rosie !— Je m’en doutais un peu.— Avec moi pas de soucis de ménage ou de bienséance, mais n’espère pas de câlin et coté baise, t’es pas vraiment mon type, allez viens, on va se prendre une bière.
Rosie est des plus sympathiques et si elle a décidé de prendre le contrôle, c’est que mon apathie l’a plutôt énervée. Enfin, elle parle d’elle-même au masculin. Nous avons passé la matinée à discuter de chose et d’autre, enfin surtout de Mathilde ma meilleure amie.
— Putain elle est trop bandante, je ne sais pas comment tu te retiens de lui mettre un bon coup de gourdin.— Parce qu’elle est une amie.— Amie ou pas, j’y mettrais bien un doigt.
Rosie est le reflet de l’élégance. Oui, son reflet déformé et boueux.
— Allez ! On va faire un tour, faut te sortir un peu et que j’achète des clopes.— Tu veux peut-être prendre une douche avant de sortir.
Elle le regarda bizarrement et dit :
— Dis-moi que je pus, enfoiré.— Euh ! Désolé, mais c’est juste que...— La ferme ! C’est vrai que je sens la moule pas fraîche avec ton foutre qui y reste.
Beurk !
— Si je lève une petite, vaut mieux que je sois nickel !
Lever une petite ? Vraiment ? On aurait dit une brute dans un film de voyous des années 80.Ils prirent leur douche et se retrouvèrent à la porte. Rosie était vêtue d’un vieux jean et d’un t-shirt GrateFul Dead. Nathan conduisit jusqu’au centre commercial, Judith avait laissé une liste de courses.
Vous vous dites, il a bu avec Rosie et pourtant il prend la route ? Dans les faits, Rosie s’est enfilé trois bières au petit-déjeuner et moi une demi-bouteille, pour faire genre. Trois bières, ce n’est pas beaucoup, mais le matin, ça peut chauffer quand même un peu.
Lorsque l’on est arrivé sur le parking de centre commercial et que Rosie a commencé à siffler les nanas qui passaient devant la voiture. Je me suis dit que j’avais eu du flair de prendre le centre le plus éloigné de chez nous, celui auquel on ne va jamais.
Ils en profitèrent pour se balader dans la galerie commerciale puis ils déjeunèrent en terrasse extérieure, permettant à Rosie de fumer son content de cigarette.
— Alors c’était ta première fois, quand tu l’as fait avec la chienne ?— La chienne ?— Bah ouais la petite Dita, elle se l’est mise profond ton colosse.— Je ne sais pas si l’on peut dire que c’est un colosse.— On s’en fout, dis-moi juste si elle t’a fait sauter l’opercule.
Il leva les yeux au ciel.
— Oui, elle m’a pris ma virginité... et pourquoi tu l’appelles la petite Dita ?
Elle prit une longue bouffée de sa cigarette et commença une histoire que Nathan ne connaissait pas :
— Comme tu sais, Cristelle n’a pas vraiment eu une enfance joyeuse...
Elle souffla la fumée vers lui, il toussa.
—... Face à la... dureté de son enfance, elle a eu un gros avantage, elle avait moi et Judith. On n’sait pas qui est arrivé en premier, c’est comme l’œuf et la poule.— Pourquoi êtes-vous arrivé en premier lieu ? Quels évènements ont conduit ma mère à se créer ces personnalités ?— Ah ça mon con ! Ce n’est pas à moi de te le dire, faudra demander à ta daronne.
Il n’insista pas, il décida plutôt de parler des personnalités plus jeunes.
— Et qui est arrivé ensuite ?— Annette, mais on sait pas vraiment quand ni pourquoi elle est arrivée.— Comment ça se peut ?— Tout ce que je peux te dire, c’est qu’à un moment, on l’a entendu demander pour sortir et uniquement quand Cristelle était seule et enfermée dans une pièce.— Et qu’est-ce qu’elle a fait ?— Pleurée... elle ne fait que pleurer, et ça, à chaque fois qu’on l’a fait sortir.— J’imagine que c’est Fannie qui est apparue après Annette.
Elle secoua la tête.
— Dita... mais Fannie est arrivée juste après.
Là, je me suis dit que je ne savais rien de la vie de ma mère. Rosie ne voulut m’en dire plus, nous sommes donc rentrés après avoir fait les quelques courses que me demandait Judith.Au retour, Rosie voulait que l’emmène au bar le plus proche, et c’est là que les choses ont commencé à se corser.
— Comment ça, non ? demanda-t-elle avec une moue énervée.— Cristelle m’a fait jurer de ne jamais te laisser dans un bar, je n’ai pas bien compris pourquoi, mais il me semble plus avisé de rester ici et pourquoi ne pas reprendre notre conversation en buvant un coup ?
Rosie attrapa Nathan par le col de sa chemise.
— C’est à Rosie que tu causes, va falloir la jouer tout doux avec moi sinon je te colle une raclée.
Elle voulut le secouer, mais le résultat ne fut pas ce qu’elle espérait. Il lui prit la main de la manière la plus douce possible et l’écarta de son visage. Rosie le regarda et sentit qu’elle ne pouvait pas se défaire de la poigne d’acier.
— Pas de violence Rosie, s’il te plaît...
Elle devint toute rouge et lui sauta dessus et cria :
— Tu te croies fort parc’que t’es un mec !
Surpris, Nathan fut déséquilibré et se retrouva allongé au sol. Rosie lui bloqua les deux bras avec une clé vicieuse de son gauche, elle arma son droit.
— Merde ! lâcha-t-il.
Il s’arc-bouta violemment, Rosie faillit passer cul par-dessus tête. Nathan profita de sa surprise pour inverser les rôles. Il lui bloqua les mains au-dessus de la tête et passa son bassin entre les jambes de Rosie. Elle essaya de se dégager, mais elle ne réussit à rien.
— Enfoiré de mec, dit-elle tout bas.
Elle a sacré un problème avec les hommes.
— Rosie, s’il te plaît arrête !— Je vais t’en faire voir Pisse-froid.
Il fronça les sourcils.
— Ce n’est pas très gentil ça, dit-il.
Elle essaya de nouveau de se dégager, elle bougea son bassin de gauche à droite et mit des coups de reins, mais rien n’y fit. Nathan quant à lui, commença à se dire que cette position, dans une autre situation, était plus que suggestive. Rosie tenta le tout pour le tout et bougea dans tous les sens. Elle finit par sentir quelque chose de dur frotter son sexe. Elle s’immobilisa et reprit sa respiration, elle réfléchit à ce que cela pouvait être et fut informée en sentant la chose gonflée de plus en plus, elle dit rapidement avec une moue méprisante :
— Tu peux me lâcher.
Il obéit, mais surveilla Rosie, il remarqua qu’il était en nage. La bataille n’avait pas duré plus que quelques secondes, mais elle fut intense. Il se sentit, plus que serré à l’entrejambe et se dit que cette escarmouche fut aussi plus qu’intense dans son jean.
— Les mecs, vous êtes tous les mêmes, dit Rosie sur une note sinistre. Toujours à user de la force physique et à band...
En se relevant, elle vit que son T-shirt était déchiré. Elle changea de couleur.Aïe aïe aïe ! Hein ? Là, pour la calmer... il m’aurait fallu du tranquillisant pour bestiau.Elle releva la tête et dit :
— Là, putain ! Je vais te massacrer !
Elle s’avança vers lui et se figea.
— Bonjour Nathan, dit Judith en reprenant son souffle. Je vois que tu as rencontré Rosie et son... hum... sa douceur et joie de vivre.
Nathan ferma les yeux et relâcha la pression.
— Ouffff !
Il se mit à genoux la tête entre les mains. Judith le prit dans ses bras et lui caressa les cheveux.Je me suis mis dans cette position pas par tristesse ou autre, mais juste pour éviter de voir ce que le T-shirt éventré ne dissimulait plus. Et parce que je ne voulais pas vraiment que Judith voit ma gaule... mais j’admets que j’étais un peu triste quand même.
— Nathan, je pense que tu as le don de te mettre à dos tes autres mères.
Ils se relevèrent, Nathan lui rendit son accolade, mais sa main se prit dans le t-shirt déchiré. Il se retrouva avec le sein gauche de Judith dans sa main droite. J’avoue, je ne me souviens pas très bien de ce que je pensais, les hormones faisaient faire des bonds à mon cerveau... ce n’est pas vraiment une bonne excuse et d’ailleurs, je ne sais pas vraiment s’il y en a de bonnes dans ce cas précis
— Nathan, puis-je savoir ce que tu fais avec mon sein ?— Désolé pour ça, ce n’était pas fait exprès.
Quelques secondes passèrent.
— Alors peut-être serait-il temps de le relâcher, mon chéri ?— Oui, désolé.
Avant de la retirer, il pressa la chaire entre ses doigts. Judith lui tapa sur la main :
— Nathan, vous êtes un incorrigible.
Quand elle s’énerve, elle ne peut pas s’empêcher de me vouvoyer.Il mit ses mains derrière son dos, tel un enfant pris la main dans sac. Il fit un sourire contrit.
— Nathan, ces choses doivent s’arrê...
Un élément perturba le regard de Judith. Elle aperçut une déformation à l’entrejambe de son fils jusqu’à l’intérieur de sa poche.
— Mais qu’as-tu dans ta poche ? Cela va déformer ton jean.
Elle posa sa main droite au niveau de la poche de gauche d’où commençait la protubérance et comprit rapidement que c’était en fait là où elle se terminait. Elle rosit, puis descendit jusqu’à la source et rougit carrément.
— Nathan, il semble que cette rixe avec Rosie, t’es grandement perturbé, je te prierais de prendre une bonne douche bien froide pour te rafraichir les idées.— Il me semble que c’est une bonne idée.
Judith retira sa main, mais fit glisser son index le long de la verge jusqu’au gland. Nathan frissonna des pieds jusqu’à la tête.
— Allez, allez ! À la douche.
Il partit vers la salle de bain.
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