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Elles toutes

Chapitre 3

Inceste
Dans la douche, je me remis en question. L’aspect sexuel du corps de ma mère commença à régresser. J’avais bien compris que j’étais sur une mauvaise pente et dans celle-ci, il y avait peu de choses auxquelles me raccrocher. Voyez-vous, à dire vrai, il y avait plus d’éléments qui me poussaient à fauter qu’à rester droit, genre... Dita.Dit comme ça, la liste était courte, mais Dita en vallait dix et d’ailleurs le comportement de Judith n’était pas clair non-plus.Donc ce qui arriva par la suite n’était pas de ma faute... enfin... je n’avais pas toutes les responsabilités.Nathan repensa à la caresse de Judith en s’habillant, il banda dur aussitôt. Il se demanda s’il ne devrait pas l’attacher. Il mit son pantalon large, laissant apparaître son énorme trique aux yeux de tous et dit :
— Et je m’en fous, maman n’est pas là pour voir ça.
Quand je suis fatigué, de temps en temps, j’admets volontiers que je ne suis pas de première sensibilité ni de gentillesse.Il descendit retrouver Judith. Il arriva dans le salon et dans le canapé, sa mère était bien là, mais il se douta que ce n’était plus Judith aux commandes. Elle portait un joli pantacourt vert clair, avec un chemisier blanc zébré de fines lignes anthracite dans le sens de la hauteur. Ses cheveux en arrière resserrés par un élastique au niveau des épaules lui donnaient l’attitude de dame patronnesse.
— Salut Nathan, dit sa mère.
Elle regarda son pantalon en secouant la tête.
— Donc le conseil de Judith n’a pas fonctionné.
Nathan regarda vers le bas et acquiesça.
— Je dois dire que le comportement de Judith n’a pas non plus été parfait, continua-t-elle. Elle m’a demandé de prendre sa place, car selon ses propres mots, "j’ai fait la leçon à Nathan pour ne pas tomber dans les vices de Dita et voilà que c’est moi qui faute", finit-elle en imitant parfaitement Judith.
Elle souffla en se levant du canapé. Elle claqua la bise à son fils.
— Enchantée ! Je suis Fannie.— Enchanté, Cristelle m’a dit que tu es la plus gentille du groupe.— La gentille, la naïve, répondit Fannie avec une voix fausse. Celle qui boirait de la lave en fusion si on lui disait que c’était bon pour la santé.

Ce sont exactement les mots utilisés par ma mère pour me la décrire, d’où ma réflexion suivante.
— Ah, tu l’as entendu quand elle t’a présentée.— Oui, et ça m’a ouvert les yeux, maintenant fini la naïve et la douce, je serais la réfléchie et la revêche.
Ils s’assirent côte à côte.
— C’est pour ça que je ne voulais pas aider Cristelle, expliqua-t-elle, et puis aucune envie de te rencontrer.
Elle croisa les bras et regarda de l’autre côté.Nathan pinça les lèvres et demanda pourquoi. Elle répondit sans le regarder.
— Parce que maintenant, je suis la méchante surtout au vu ce que tu as fait Judith dans ton lit et de ce qu’il s’est passé avec Rosie, même si je ne sais pas vraiment qui est le plus en tort, même si je disais qu’ils sont partagés, tu n’auras pas le droit à mes largesses.— C’est dommage, tu es la seule pour qui ma mère m’a dit du bien et vraiment du bien.— Et qu’est-ce qu’elle a dit ?— Tu as écouté, tu devrais le savoir ?— Une fois qu’elle a parlé de la lave, l’envie d’écouter m’a passée.— Non ! Elle a dit aussi que tu n’hésitais pas à rendre service, que tu étais douce et pas rancunière, que tu es d’une grande gentillesse et que parfois ça te jouait des tours.
Fannie sourit avec un petit air coupable, puis cogna doucement son épaule contre celle de Nathan.
— Allez dis-le, tu en rajoutes un peu, dit-elle gênée.— Pas du tout.
Fannie se tourna vers lui et vit le petit chapiteau qui lui servait d’entrejambe. Elle souffla avec morgue.
— Tu n’en as pas fini avec ça ?
Il regarda en bas et répondit avec désespoir :
— Mouais, ça ne veut pas du tout retomber et ça fait un peu mal d’ailleurs.
Fannie eut un air désolé.
— Tu pourrais te masturber ?
Vous remarquez que malgré ce que disait Judith, elles ne se considèrent pas toutes comme ma mère. Car déjà, qui arriverait devant sa mère avec la poutrelle apparente... et comment dans la conversation, qui suivrait cette hypothétique rencontre, viendrait le conseil d’aller se masturber ? Je pose la question. Cette pensée m’étant apparue, je commençais à fomenter un plan pour tester Fannie la naïve.
— Non, je n’aime pas ça et j’y arrive rarement.
Un pieux mensonge. Je suis un gars, comment pourrait-elle croire une connerie pareille ?
— Ah mince, dit Fannie, dépitée. Et ça te fait très mal ?
Ma mère ne m’avait pas menti, elle avalerait de la lave en fusion.
— Ça commence à vraiment devenir douloureux.
Les yeux de Fannie se mirent à briller.
— Je peux faire quoi que ce soit pour t’aider ?
Avouez, ça parait trop facile, sur le coup, j’ai même failli débander. Je sentais comme un piège se refermer autour de moi. Mais j’ai eu du courage, ou de la perversion, et j’ai tenté le coup.
— Je pense que la seule solution c’est d’éjaculer, dit Nathan en forçant le désespoir dans sa voix. Si seulement il y avait quelqu’un pour me donner un coup de main.
Fannie inspira un grand coup.
— Je vais t’aider, ça va aller.
Elle se mit à ses genoux et tira sur son pantalon. La verge jaillit tel un lutin de sa boîte.
— Où là ! Tu m’étonnes que tu aies mal, elle est toute veineuse.
Elle l’a pris en main et commença un mouvement de poignet sur le gland.
— Ça va mieux.
Je n’arrivais plus à parler, alors j’ai juste hoché la tête.
— J’ai déjà vu Dita masturber et je suis très doué pour reproduire ce que font les autres, alors ça devrait être rapide.
Elle continua de masturber le gland, puis une fois sa paume imbibée de présperme et elle descendit rapidement sur la verge. De son autre main, elle dégagea les bourses.
— Elle fait comme ça, hein ?
Je pouvais encore moins parler, en plus lorsqu’elle est concentrée sur une activité, elle tire légèrement la langue. Je ne vous explique pas comment j’ai juté quand elle a ouvert grand la bouche avec l’expression un peu simple qu’ont les enfants totalement à leur tâche.Le premier jet de sperme lui zébra le visage du cuir chevelu jusqu’à la bouche. Fannie continua malgré la semence qui voltigeait autour d’elle. Après les trois premières grandes giclées, la source se tarit, seules quelques coulures s’échappèrent pour se glisser entre ses doigts.
— Merci Fannie, dit Nathan à bout de souffle, la tête en arrière et les yeux fermés. Et je peux te dire que tu n’as rien à concéder à Dita, ta technique est pour moi bien meilleure, cela n’a jamais été aussi rapide.
Fannie rougit et d’une voix gênée dit :
— Arrête, ce n’est pas vrai.
Elle se mordit les lèvres de plaisir face à ce compliment bien particulier. Elle continua de masturber doucement la verge, histoire de faire sortir le maximum de sperme.À ce moment-là, je n’ai pas encore vu le visage de Fannie. J’ai fermé les yeux dès que l’orgasme est arrivé. Si bien que lorsque je l’ai sentie en train de continuer la branlette, j’ai ouvert un œil.
— Mince, dit Fannie. J’ai l’impression que ça redevient dur.
Nathan fit face au visage de sa mère, zébré de son sperme et avec une expression de dépit qui ne lui appartient pas sur ses traits. Il regonfla aussi vite qu’il ne le faut pour le dire. Fannie ouvrit grand les yeux.
— Oooh, mais ce n’est pas possible ! Qu’est-ce qui se passe Nathan ? demanda-t-elle.
Là, j’étais dans un état second, je me suis transformé en bête. Vous savez, ces moments où vous ne vous rendez plus compte de rien, comme dans un moment de colère, où la fureur vous habite... et bah là c’est le coït.
— Je pense qu’il est temps de vérifier, si tu as copié d’autres techniques de Dita.
Nathan passa sa main gauche derrière la tête de Fannie, dont les yeux s’écarquillèrent lorsqu’elle se sentit pousser vers la verge. Elle regarda avec Nathan avec appréhension, puis comprit ce qu’elle avait à faire. Elle ouvrit grand la bouche et fit passer entre ses lèvres, cette barre chaude et gluante de sperme.Lorsqu’elle sentit le sexe lui chatouiller le fond de la gorge, elle remonta en aspirant le plus fort possible. Elle se retrouva avec une quantité non négligeable de sperme en bouche, elle avala.
— Ouh là Fannie... tu es plus que douée, la complimenta Nathan.
Elle reprit la verge en bouche, mais cette fois avec le sourire. Elle suça le gland en frottant le frein de sa langue. Elle mit sa tête de côté et fit glisser sa langue le long de la grosse veine, puis goba les testicules, eux aussi recouverts de sperme. Nathan était aux anges. Fannie joua avec les bourses dans sa bouche pour le plaisir de son fils.
— Tu es "the best".
Elle reprit sa fellation de manière plus classique. Elle envoya le sexe dans sa bouche au plus profond et en continu puis resta de nouveau sur le gland, en plus avec sa main elle masturba la verge. Nathan se pencha en avant et défit les boutons du chemisier de sa mère. Il l’écarta un peu pour s’offrir une jolie vue pendant cette fellation.Fannie le regarda faire et parut sceptique quant au besoin de la déshabiller.
— Je pense que tu commences à prendre un peu trop de liberté avec moi, dit-elle en continuant de la masturber.
Vous vous dites, "Elle dit ça après avoir reçu une faciale de sa part et d’avoir avalé son sperme"... mais j’ai tout de suite pensé qu’il y avait un argumentaire derrière tout ça, j’avais besoin d’aide donc elle m’aide, mais ce que je viens de faire ne rentre pas dans sa façon de m’aider.
— Je n’ai pas pu résister, tu es vraiment trop canon comme ça.
Elle prit un mouchoir dans sa poche de sa main gauche pour s’essuyer le visage. Elle continua de la masturber de la droite.
— T’es vraiment une canaille, dit-elle avec le sourire.
Elle reprit sa fellation en mettent bien sa poitrine en avant. Nathan devint silencieux, appréciant le spectacle dans ses moindres détails. À deux reprises déjà, il avait failli éjaculer. Ce que fit ensuite Fannie le poussa dans ses retranchements. À genoux, elle tendit son buste, mettant le sillon entre ses seins dans l’alignement de sa verge. Elle suça fort le bout du gland puis effleura la verge avec la peau de ses seins.
— Je crois que je n’ai jamais autant été excité de ma vie.
Fannie relâcha la verge et dit gênée :
— Arrête tes mensonges sacripant !
Le sexe laissé à l’abandon se posa sur le sillon.
— Oh regarde, reprit Fannie. On dirait qu’elle est bien calée.
De ses mains, elle écarta ses seins, laissant venir plus loin le phallus. Pas pratique avec son soutien-gorge, elle le défit et cette fois, la verge de Nathan fut dans l’étau des seins.
— Oh mon Dieu ! s’exclama-t-il.
Fannie ne fit que deux montées descentes qu’une gerbe de sperme jaillit. Elle continua tout de même jusqu’au moment où elle ne sentit plus que le membre mou de son fils. Nathan, au bout de ses forces parvint à remercier Fannie pour cette dernière action.
— Tu n’as plus mal ? demanda-t-elle en se relevant.— Plus du tout, répondit-il l’esprit un peu dans la lune.
Il se leva à son tour et regarda le liquide clair et poisseux qui s’écoulait entre les seins de sa mère. Il souleva les seins avec douceur et les écarta.
— Je suis désolé pour ça, je pense que la douche va être obligatoire.
Elle repoussa ses mains, à son grand désespoir, et dit :
— Ce n’est pas grave, si tu te sens mieux, c’est le principal.
Il se pencha et l’embrassa sur la bouche pour la remercier. Elle sauta en arrière, une main sur ses lèvres et répliqua au travers :
— Qu’est-ce que tu me fais ? T’es pas bien ? On n’embrasse pas sa mère sur la bouche.
Elle prit ses vêtements avec colère et ajouta :
— Je ne suis pas contente de toi, maintenant va te redoucher et t’habiller correctement.
Eh oui, de tout ce que je lui ai fait ou fait faire, c’est celui de l’embrasser qui l’a mise en colère. Comme je vous ai dit, il y a une certaine logique là-dessous !Après ma nouvelle et rapide douche, parce qu’à ce train-là, la facture d’eau risquait d’être salée, je suis descendu tout de suite pour essayer de voir Fannie une dernière fois avant qu’elle ne laisse les commandes, pour m’excuser de mon baiser.
— Fannie, tu es là ? cria Nathan, en descendant l’escalier.— Oui oui, répondit-elle de la cuisine.— Fannie, je suis désolé de t’avoir embrassée, je voulais juste te remercier.
Elle fit une moue comique et dit :
— Ç’a l’air de t’avoir secoué alors je te pardonne.— Merci.
Il se mit en face d’elle à la table de la cuisine, ils discutèrent de plein de choses, sa vie à la fac ses amis et enfin les autres personnalités de sa mère.
— Elles ne t’ont rien sur la manière dont tu m’as aidée ?
Fannie dit plein de mépris :
— Elle n’observe jamais quand je suis ici, je les énerve trop. Ça les agace alors maintenant elle ne regarde plus.
Nathan eut un "ouf" mental.
— Mais tu sais ce qu’elles font maintenant.— Elles discutent.— Et de quoi ?— Je n’écoute pas sinon je ne peux pas discuter avec toi, mais je crois qu’elles ont un peu parlé de toi et maintenant elle parle de l’autre.— De l’autre ? demanda-t-il.
Elle ouvrit la bouche et eut une curieuse expression
— Euh... oui d’Annette.
Nathan leva un sourcil sceptique, mais n’y prêta pas plus d’attention.
— C’est la dernière, je ne l’ai pas encore croisée.
Fannie hocha vivement la tête.
— Elle ne veut pas te voir, tu lui as fait peur avec ta bagarre en compagnie de Rosie.
Nathan souffla et continua :
— J’espérais vous rencontrer toutes avant que Maman ne revienne à elle, mais il semble que ce soit râpé.— Tu ne loupes rien, on dirait une adulte avec un comportement d’enfant.— Ce n’est pas plutôt une enfant dans le corps d’un adulte.— C’est bien une adulte et elle le sait, mais ses réactions sont celles d’une enfant.— Ah ! OK... elle m’a l’air particulière.
Fannie opina du chef et changea de conversation.
— Je te fais à manger ce soir, tu peux mettre la table.— Oui bien sûr.
Pendant le repas, Fannie raconta tout ce qu’elle savait sur ses sœurs au grand plaisir de son fils.
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