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Elles toutes

Chapitre 4

Inceste
Le lendemain matin, Nathan se leva tôt et partit courir un peu, histoire de se libérer l’esprit. Son tour l’amena en pleine forêt où il se permit de crier haut et fort tout ce qui était arrivé en moins d’une semaine. Bien plus léger intérieurement, il se présenta à la porte de la maison, le temps qu’il trouve ses clés dans son sac, celle-ci s’ouvrit sur Judith.— Bien le bonjour Nathan.— Bien le bonjour Judith.— Une petite course de bon matin, rien de mieux pour se mettre en forme pour la journée.Ils se firent la bise et Nathan marcha vers la cuisine.— J’ai une faim de loup.— Je te prépare quelque chose tout de suite, mon chéri.— OK, alors je fais le café.Pendant qu’ils préparaient leur petit-déjeuner, Judith demanda un résumé de sa rencontre avec Fannie.Tout de suite, j’ai pensé qu’elle savait tout et qu’elle allait me sermonner. J’ai quand même demandé si elle avait parlé avec Fannie.— Tu n’as pas parlé avec Fannie ?— Ce n’est pas poli de répondre à une question par une autre question.Elle soupira en secouant la tête et continua :— Non, je n’ai pas eu le temps de discuter, elle m’a dit qu’elle était épuisée et qu’elle allait dormir.— OK... alors tout s’est bien passé, on a discuté pas mal de notre situation et elle est vraiment très gentille.Sachez que j’ai dit cela sans aucune ironie. Elle est vraiment très gentille... voire trop gentille, là cet ironique.Judith eut une moue méprisante et répondit :— Même un peu trop, mais je suis contente que cela se soit bien passé...ça change.— Ah ah ! fit Nathan, sarcastique.— Veuillez vous reprendre jeune homme, lança Judith en fronçant les sourcils. Vous pouvez éviter ce genre de commentaire à l’avenir.Il fut rassuré quand il se rendit compte qu’elle souriait.Après le petit-déjeuner, il prit une douchette et travailla. Il en profita aussi pour faire quelques recherches sur Internet et trouva un set de t-shirt Grateful-Dead, ainsi qu’une copie du même que celui de Rosie. Quand il vit le prix de la version originale, il comprit sa réaction.Je n’ai pas acheté le même, car je ne voulais pas remuer le couteau dans la plaie, mais j’en ai pris deux vraiment chouettes, ainsi qu’un CD Best of des années où Rosie est devenue fan du groupe information obtenue auprès de Fannie. J’ai pris une livraison en 24h, j’espère qu’il bosse le dimanche.La fin du week-end se passa de façon normale, rien ne vint la perturber. Excepté, les ruminements de Judith quand elle lava les affaires de Fannie.— Mais qu’a donc fait cette petite idiote pour se tacher ainsi... ça colle et ça sent mauvais en plus.

Il partit rapidement le lundi. Personne ne se leva avec lui, Judith devait avoir lâché les rênes à quelqu’un d’autre. Lorsqu’il arriva à l’école, ses amis l’attendaient.— Alors comment vas-tu ? demanda Siam, le meilleur ami garçon de Nathan.— C’était un dur dur week-end, répondit-il.Là, j’avoue... c’est ironique et en même temps très vrai.— Et cette marque dans le cou, qu’est-ce que c’est ? demanda Mathilde.— Disons seulement que j’ai eu une petite altercation avec ma mère.Ses amis se regardèrent avec anxiété. Ils passèrent leur journée à harceler de questions Nathan, si bien que celui-ci fut heureux lorsque le temps de rentrer vint.— Tu nous appelles dès que tu en as envie, lui dit Siam.Mathilde continua, mais avec moins de tact :— Oui, et arrête de retenir tout ça en toi, quand on a des problèmes, t’es le premier à nous bassiner pour tout savoir, alors accouche,Nathan fit une moue pleine d’inimitié.— Je vous en parlerai peut-être plus tard quand...— Accouche, le coupa Mathilde.— Ah, mais dis donc, je vous en parlerais quand je vous en parlerais.Je suis parti sur cette tautologie et énervé de cette journée, surtout parce que je suis en faute et que ce que j’ai fait, je n’en suis pas fier. Mais mon avantage, tout cela est arrivé chez moi et que personne ne le saura, car il faudrait Judith ou autre sorte de la maison et rencontre quelqu’un qui me connaît et que l’une d’entre elles lui raconte... autant dire impossible.Enfin impossible... et si, je dis ça comme ça, quelqu’un décidait de venir à la maison, que se passerait-il ? Et pire, si je n’étais pas présent... que se passerait-il ?Nathan arriva chez lui avec une colère contenue. Une fois devant la porte, celle-ci s’ouvrit sur Judith, il entra et fit la bise à Judith. Celle-ci se colla un peu plus que la bienséance le voudrait. Il s’aperçut tout de suite que ses tétons ressortaient comme deux tétines.— Est-ce que ça va, Judith, tu sembles euh...Elle hocha la tête nerveusement et répondit sans attendre la fin de la question.— Excitée Nathan, tout simplement.— OK, dit-il en retirant sa veste et l’accrochant à un pater. Et à quoi est dû cet émoi ?— Dita s’est réveillée et a passé la journée à nous expliquer comment ton... sexe nous a fait prendre un pied comme jamais.Elle soupira puis se rendit compte de ce qu’elle avait dit.— Euh je veux dire, comment ton sexe lui a fait...Nathan la regarda avec un sourire gourmand. Judith rougit et continua comme si de rien n’était.— Les détails qu’elle fournit sont très explicites et causent un certain trouble chez nous toutes.Il entra dans la salle à manger et fronça du nez.— J’entends que ta voix légèrement enrouée et avec cette odeur, j’imagine que Rosie a fait une petite sortie.Elle toussa et fit signe que oui.— C’est assez désagréable, comme habitude, dit-il en enlevant sa veste.— Oui c’est sûr, et encore tu ne subis que l’odeur, expliqua Judith en s’asseyant sur le canapé où elle avait préparé une collation. Pour nos poumons, il n’y a rien d’agréable non plus.Il s’assit et changea de sujet.— Alors Dita est réveillée ?— Oh oui, elle est bien réveillée.— Va-t-elle sortir ?— Demandes-tu avec envie ou appréhension ?Il réfléchit et décida de dire la vérité.— Un peu des deux, disons qu’elle a éveillé mes sens.Judith contracta ses jambes et ouvrit la bouche en soupirant doucement.— Elle est heureuse et me fait dire que si elle sort, tu auras droit à tout, même à ce que personne n’a pu avoir avant.J’ai décidé de rester silencieux à cette promesse, mais venant d’elle, j’ai eu du mal à imaginer ce que personne n’a pu avoir avant.— Tu as reçu un colis cet après-midi, je l’ai mis sur la table basse devant l’escalier.— Ce n’est pas vrai ! Comment ils ont fait pour que cela arrive si vite ?Il prit le colis, se mit à côté de Judith, il allait ouvrir le carton quand il attendit un petit peu.— Est-ce que Rosie veut bien discuter avec moi ?Judith ferma les yeux et dit que non.— Ah ! Elle est sûre ? J’ai quelque chose pour elle.— Elle ne veut pas te parler, car elle ne parle pas aux cons, ça les instruit".Judith s’excusa en silence de lui avoir dit ça.Il ouvrit le carton et sortit le premier t-shirt, l’étala sur la table basse. Judith eut un grand sourire, elle lui caressa la jambe et ne retira pas sa main. Il sortit le second puis le CD.— Demain, je lui laisserai un poste pour qu’elle puisse l’écouter.Judith lui serra la jambe et remonta sa main vers son entrejambe.— C’est d’une très grande gentillesse.Elle ferma les yeux pendant une bonne minute.— Rosie est très touchée, voire un peu trop pour sortir.Judith était maintenant collée à lui et sa main siégeait presque sur son paquet.— Judith, je crois que ta main se perd un peu.Elle descendit son regard et vit sur quoi venaient de se fermer ses doigts, la verge de Nathan qui avait rapidement pris place.— Oh seigneur ! s’exclama-t-elle. Je ne me contrôle plus.Sa mère tomba en arrière, complètement inanimée.— Judith, tu vas bien ?Il se mit au-dessus d’elle et vit que les yeux papillonnaient dans tous les sens. La bataille de la possession du corps faisant rage.— Eh oh, tout va bien ?Les yeux s’ouvrirent doucement, les mains de sa mère passèrent derrière sa tête et la bouche se posa contre la sienne. Le baiser ne fut doux qu’une dizaine de secondes. L’action prit rapidement une tournure torride. Il sentit les mains quitter sa tête pour récupérer sa ceinture et la défaire. Une main défit sa braguette et sortit son sexe en érection. L’index de la main partit de la base de la verge jusqu’au gland.Là, j’ai compris mon erreur. J’ai tout de suite pensé que c’était Dita, mais ce geste, je l’avais déjà subi.Nathan se releva et se retrouva à genoux sur le canapé avec sa verge et ses testicules hors de son pantalon. Sa mère se releva aussi et le masturba doucement en se mordillant les lèvres, avec une moue coupable.— Judith, tu ne me disais pas qu’il ne fallait pas que cela recommence.— On ne reprend pas sa mère, lui dit-elle en faisant frotter le sexe contre son visage. Tu me dois un orgasme pour l’abus que tu as perpétré sur ma personne.Elle lécha le gland puis le fit rentrer dans sa bouche. Elle joua avec son prépuce. Chose qu’aucune des deux premières à lui avoir prodigué une gratification orale ne lui a faite.Judith a eu beau faire la sainte-nitouche, elle a une sacrée technique, ce qui me fait penser qu’elle n’était peut-être pas si "vierge" que ça. Cette situation est pour moi, parfaitement... parfaitement... géniale, j’ai l’impression d’être le roi du monde et là, la porte sonne.Ding ! Dong !Judith ressortit le sexe aussi sec de sa bouche. Elle se leva avec une fusée dans le derrière.— Mais qui cela peut-il être ? Est-ce qu’ils nous ont vus ? Qu’allons-nous faire ?Nathan attrapa les seins de Judith à pleines mains.— Judith, je vais voir qui c’est et on reprend.Elle se libéra, et dit :— Non c’est un avertissement, c’est fini.Il reprit les seins et pinça les tétons tout doucement. Elle eut un petit cri de plaisir.— Ouh, Nathan, vous êtes incorrigibles.Elle le repoussa.— Non, c’est non, remettez-moi tout ça dans votre pantalon et allez voir qui sonne à cette heure.Il se rhabilla et lorsqu’il ouvrit la porte, se retrouva nez à nez avec Mathilde.
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