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Elliot et moi

Chapitre 1

Zoophilie
Depuis ma plus tendre enfance, je rêvais d’avoir un chien. Or, mon père était allergique aux poils de cet animal et puis entre-temps, j’avais rencontré mon petit ami Marc sur les bancs de l’école qui était devenu mon mari depuis. Avec le temps et la routine, mon envie s’était quelque peu dissipée.
On vivait ensemble dans un appartement qu’on louait depuis notre mariage. Le propriétaire ne nous interdisait pas d’avoir un chien du moment qu’il était bien élevé, de petite taille et qu’il ne dégradait pas la location. Cependant, Marc ne voulait en entendre parler. Celui-ci était tellement fatigué de son boulot de commercial chaque soir qu’il voulait juste passer son temps libre à se reposer. D’ailleurs, ce sujet était si tabou que ça créait entre nous des disputes, et puis je me voyais mal aussi l’emmener dans le salon de coiffure de ma patronne ou alors le laisser seul dans l’appartement toute la journée et enfin, il y avait les vacances...
Durant mes pauses déjeuner, j’adorais me rendre dans la jardinerie de la zone commerciale. Tout d’abord, ça me détendait et enfin la boutique avait un côté apaisant. Inutile de vous dire que là-bas, il avait toutes sortes d’animaux plus ou moins sauvages dont des chiots. Avec mon sandwich triangle et une canette à la main, je m’attardais souvent au rayon des bonzaïs et diverses plantes.
— Bonjour mademoiselle. Puis-je vous aider ? — Non, ça va... Je réfléchis.
Je connaissais visuellement ce jeune vendeur aux cheveux bruns courts et aux yeux bleus. On avait sympathisé, mais sans plus. Chacun restait courtois et à sa place vis-à-vis de l’autre. Néanmoins lorsqu’il me voyait et notre différence d’âge, je ne pouvais pas ignorer ses yeux se poser naturellement sur moi.
—(Discret sourire). Vous savez, on vend des livres aussi pour les entretenir. — J’ai vu ça. — Il y a même des kits. — Merci pour les infos...
Il s’éloigna de moi un peu vexé. Quant à moi, je continuai ma balade an finissant mon casse-croûte commercialisé et inévitablement, j’allai à l’animalerie. A vrai dire au fond de moi, ça me faisait de la peine de voir tous ces animaux en attendant la venue d’un nouveau propriétaire. De nouveau, je croisai un nouveau vendeur que je connaissais également de vue. Celui-ci était blond aux yeux verts, aux épaules carrées, mais tout aussi jeune que le premier. A le voir comme ça, on avait du mal à croire qu’il était vendeur tant il avait plus le look de surfeur.
— Bonjour, madame. — Bonjour.
Son regard se riva sur moi tel son collègue jusqu’à l’enclos des chiots. Dessus, il y avait un avertissement sur le fait de ne pas s’attarder devant. Les miaulements ainsi que les aboiements étaient omniprésents. Il y avait eu trois nouveaux bébés chiens, dont un labrador beige. Je fondis sur lui quasi immédiatement.
—(Même vendeur). Rebonjour madame, il ne faut pas rester là sauf si vous voulez acheter l’un d’eux. —...—(Fixant mes yeux). Alors ? Vous faites... —(Coupant la parole). Je vais en prendre un ! J’ai un coup de cœur (pointant de mon doigt) sur celui-là. — Très bien, mais un animal, ce n’est pas un meuble. — Je m’en doute bien. — Je vous dis ça, car ils sont très jeunes. Il y a de nombreux abandons une fois qu’ils sont adultes. (Matant discrètement mon alliance). —...— En plus, c’est une décision qui se prend à deux. —(Vendeur des végétaux en passant). Pierre, faut toujours que t’en fasses toujours trop.
Après avoir signé une décharge mettant en cause ma responsabilité et après avoir acheté le nécessaire pour le chiot sur lequel j’avais flashé, je signalai au second vendeur.
— Je peux venir le chercher vers 18 heures ?—(Songeur devant l’écran de son pc)... — Je vous explique, je ne peux pas avant, car je n’aurai pas fini mon boulot. — D’accord. (Pianotant sur le clavier). — Vous faites quoi ? — J’active sa puce tout simplement. Comme ça, si vous l’abandonnez, on le saura.
Vers dix-huit heures, j’installai le bébé chien sur la banquette arrière. Néanmoins derrière mon volant et sur la route, je ne trouvais pas de nom à lui attribuer. Derrière, le jeune animal était si nerveux que je craignais qu’il urine partout. Dans l’ascenseur, assis au bout de laisse, il fut assagi d’un coup. Je craignis la réaction de Marc et l’effet de surprise. A peine franchi le palier de l’appartement, Marc péta un plomb à la vue de mes achats du midi.
— On en avait déjà parlé pourtant ! Pas de chien ici ! ... Tu veux qu’on perde la caution ! — Mais il est petit. ... (En le prenant dans mes bras). Regarde, il est tout gentil. — C’est un labrador ! Et un labrador, ça grandit et pas qu’un peu ! —...— Tu fais ce que tu veux, mais jamais, je m’en occuperai ! T’as compris ?
Même pendant le repas, Marc continua à me bouder au mieux et vociférer au pire. L’animal trouvait quant à lui ses marques dans l’habitation. Je l’avais installé au fond de la cuisine.
Au fil des jours et des mois entre les tâches ménagères, mon travail et le dressage difficile d’Elliot, j’étais vite rincée par mes courtes journées. Du coup, je m’énervais plus facilement avec Marc qui n’acceptait toujours pas la venue du chien. Mon seul moment de détente dans la journée était sous la douche. Or même là encore, au bout d’un moment, Elliot trouva le moyen de me déranger.
—(Grattant à la porte tout en miaulant et moi sous ma douche). Ça suffit. Va à la niche !—(Miaulement)...— Elliot ! Obéis !
Cependant, il insista à geindre. Je lui ouvris alors la porte, il s’engouffra aussitôt.
—(Claquement de doigts). Reste assis, ici ! —(Obéissant)...—(Retournant à ma douche). Allonge-toi sur le tapis ! (Nouveau claquement). Illico !—(M’obéissant de nouveau)...
Je me remis à couler l’eau de la douche afin de finir de me laver. Or, Elliot ne me lâcha pas du regard et plus précisément celui-ci se situa au niveau de mon entrejambe... Ce qui me mit mal à l’aise, mais en même temps, il obtempérait qu’à moi. Des fois, il sortait le petit bout de son fourreau que je rangeais intensément. J’étais compréhensive, car ça restait avant tout un animal.
—(En essayant de le gronder). Ce n’est pas bien... (Ton gaga). T’es un méchant chien.—(Se dandinant sur le tapis tout cherchant mes yeux). ...
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