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Elodie chérie

Chapitre 5

Inceste
Elodie 5
Ma fille Elodie vient de me sodomiser avec un gode ceinture et j’ai adoré ça ! Je n’avais pas conscience que l’on pouvait éprouver autant de plaisir de ce coté. Elle est montée à l’étage se changer tandis que je vais m’affaler sur le canapé. J’ai un peu mal au derrière, mais c’est normal vu la sauvagerie qu’elle a pu y mettre.
Quand elle redescend, elle n’est vêtue que d’un string noir transparent bordé d’un liseré rose. Ses seins magnifiques n’ont pas besoin d’être soutenus, tellement ils sont fermes. Je reste bouche bée devant elle en me redressant pour m’asseoir correctement.
Elle s’assied sur mes genoux, m’enlace le cou et se penche pour que nous échangions un baiser. Je ne peux m’empêcher de lui peloter la poitrine et elle apprécie beaucoup. Elle me dit :« Tu as adoré que je te prenne tout à l’heure, c’est ça ? »« Heu, oui, mais c’était nouveau pour moi ! »« Et une vraie bite d’homme ça ne tenterait pas ? »« Je ne sais pas … je ne suis pas homo »« Pourtant tu gloussais bien tout à l’heure ! On verra ça plus tard, pour le moment occupe toi de mon minou. »Elle s’assied près de moi, enlève sa culotte et écarte les jambes.
Je m’agenouille et entreprends de soigner les préparatifs en faisant durer le plaisir par de nombreuses caresses. Elle se tortille et me lance :« Putain, vas-y maintenant ! Bouffe moi la chatte !»
J’y vais, mais lentement, elle est totalement inondée de cyprine quand ma langue s’active.Elle met ses jambes sur mes épaules, se cambre et jette sa tête en arrière. Je la lèche de bon cœur et son odeur m’enivre. Elle se crispe, m’enserre la tête et jouit à tout va. Même si elle me bloque la tête par ses jambes croisées, je continue à lui donner des petits coups de langue qui lui procure de nombreux spasmes.
Maria, mon épouse choisit ce moment pour nous appeler et c’est Elodie qui répond, encore essoufflée. Quant à moi je suis toujours prisonnier entre ses cuisses.
‘ Oui, je fais le ménage et ça m’a essoufflé… Papa, oui il est très gentil (en me caressant les cheveux) … Il est sous la douche … Vous rentrez samedi ? D’accord, je lui dirai quand il aura fini … Et vous, ça se passe bien ? … Tant mieux …‘Le bla-bla continue un peu et elle raccroche.
Je suis surpris et lui demande :« Pourquoi tu ne me l’as pas passée ? »« Ce soir, c’est moi qui décide, alors tu obéis, compris ?! » Elle m’a relâché, mais me donne une gifle sur la joue. J’acquiesce d’un signe de tête. J’aime de plus en plus son comportement autoritaire, même si c’est ma fille. Elle se radoucit et le reste de la soirée se passe plus en amoureux. Dans le lit, elle me caresse mais j’ai le sexe en feu et ne peux la satisfaire. Elle n’insiste pas.
Le lendemain nous allons respectivement au travail et, en fin d’après midi, je suis pressé de rentrer mais quelques obligations m’obligent à rester plus longtemps. En arrivant à la maison, je remarque sa voiture et sais qu’elle est rentrée. Je me précipite pour la rejoindre. Stupeur ! Je la découvre tout autrement.
Elle porte une jupe à volant, un chemisier, des socquettes, des souliers à talons. Elle s’est fait des couettes avec des rubans blancs, peu de maquillage et est en train de lécher une sucette. Elle a autour du cou un collier comme on peut mettre à un chien, ce qui me surprend le plus.Je n’ai pas le temps d’ouvrir la bouche qu’elle s’approche de moi en me tendant une laisse.« Tenez monsieur, je suis à vous »
Je prends machinalement la laisse et l’enlace pour l’embrasser.« Oh, mais monsieur, je n’ai jamais fait ça ! »
Là, j’entre dans le jeu qu’elle m’a réservé : Elle veut jouer à l’ingénue qui découvre les plaisirs charnels avec un homme mûr.
Je l’attrape sous les fesses et la décolle du sol. Elle m’enserre la taille avec ses jambes et me fixe avec un regard craintif. Je lui dis :« Je vais poser mes lèvres sur les tiennes et tu ouvriras ta bouche légèrement, ma langue va toucher la tienne et tu feras comme moi »« Oui monsieur ! Bien monsieur !»
Notre baiser est brûlant et elle a vite appris, la coquine. La situation m’excite terriblement.Je la porte vers le canapé et nos bouches se détachent quand je la pose sur le dos et m’allonge sur elle en lui caressant sa jambe nue.
« J’ai bien aimé, monsieur, mais si mon papa sait ça, il va me gronder ! »« Ah bon et qu’est-ce qu’il va faire ? »« Il va me donner une fessée ou bien même, … le martinet »« Le martinet ?? »« Oui, comme celui là »
Et elle me désigne l’objet que je n’avais pas remarqué sur un meuble.Je me lève pour m’en saisir et manipule les lanières de cuir.
« Oh monsieur, ça fait très mal, mon papa me frappe fort, vous savez »J’ai, bien entendu, compris le message qu’elle me lance et profite de la situation pour apprécier cette nouvelle expérience que ma fille propose.
Je me saisis de la laisse et l’accroche à son collier. Je tire sur le cuir et elle se lève. Je ne sais pas trop quoi faire. Aussi, je fais le tour de la pièce et elle me suit en trottinant.« C’est bien ma petite, tu obéis bien ! Mets toi à genou, maintenant» Dis-je, en ouvrant ma braguette.« Mais, monsieur, c’est sale ! Mon papa va me frapper encore plus fort ! »
Elle a vraiment envie d’une fessée et ça m’excite, même si je ne l’ai jamais fait à aucune de mes filles auparavant.Je m’assieds sur une chaise, la place en travers sur mes genoux. Je retrousse sa jupe et baisse sa culotte en coton. Deux globes magnifiques sont sous mes yeux. J’hésite un peu et me décide à la frapper sur chaque fesse à petites claques répétées. Elle glousse et émet des soupirs de plaisir à chaque coup. Lassé, je glisse ma main pour rejoindre sa vulve humide et elle me lance, presque désespérée.
« Oh monsieur, je suis encore vierge ! »« Tant mieux ! Et de là ? Tu es aussi pucelle ? »
Mon majeur est sur sa rosette, et trop tenté, j’y enfonce mon doigt. Ce qui me surprend, c’est qu’elle s’est parfaitement lubrifiée. Elle avait déjà quelque chose en tête et l’idée n’est pas pour me déplaire.
Je la sodomise à un, puis deux doigts, sans difficulté, lentement, profondément, et elle s’abandonne totalement en lançant de temps en temps des « oh, monsieur !», « Mon papa va être très fâché, il va me fouetter, c’est sûr ! »- Je crois que tu le mérites petite garce ! Lèves toi et prends appui sur la table, retrousse bien ta jupe. Comme ça, c’est bien ! 
Je vais chercher le martinet et abat le premier coup, puis me mets à lui cingler les fesses. « Monsieur, faites comme mon papa, tapez plus fort si vous voulez ! »
Je découvre un plaisir sadique à la flageller, mais elle, encore plus de plaisir à recevoir mes coups. A chaque claquement, elle soupire dans un mélange de douleur et d’extase.A la vue des zébrures rouges de son postérieur, je m’interromps et lui réajuste la culotte et la jupe.
Elle semble déçue de ne plus être martyrisée. Je tire sur la laisse pour qu’elle se redresse. Des larmes perlent dans ses yeux, je regrette un peu d’avoir tapé si fort. Elle prend ma main et la pose sur son sein et me dit :« Papa aime bien faire ça après m’avoir puni, mais des fois c’est ses amis ! »
Oh là là, elle est en plein délire ! En tout cas, je plonge dans ses phantasmes et me mets à la peloter et ma trique repart de plus belle. Je suis collé à son sillon fessier et lui mordille le cou. « Mon papa, aussi, il aime se mettre derrière moi ! »« Et qu’est ce qu’il fait après »« Il se met tout nu et met son zizi dans mon derrière »« Tu aimes ça ? Son zizi dans ton derrière ? »« Maintenant, j’aime bien quand il fait ça ! »
Une telle invitation ne se refuse pas, En quelques secondes je suis nu et pointe déjà mon dard entre ses jambes ouvertes. Elle prend à nouveau appui sur la table et m’attend. Je pointe sa corolle et pousse. Elle sursaute, se contracte, puis se détend. J’entame une lente progression dans ses profondeurs alors qu’elle se crispe à nouveau.« Oh monsieur, votre zizi est plus gros que celui de mon papa ! »
Trop appliqué à la tâche, je ne réponds pas. En effet, c’est la première fois que je pratique la sodomie. Mon épouse, Maria, s’y est toujours opposée. Et les rares expériences féminines que j’avais pu avoir auparavant, n’avaient pas eu plus de succès.
J’entame un long va et vient, tout en progressant de plus en plus profondément. Je lui saisis une hanche d’une main et de l’autre lui soutiens la poitrine avant de la décoller du sol d’un grand coup de rein. Je la supporte, mais elle est totalement empalée, les pieds ne touchant plus le sol. « Oh monsieur, comme vous allez loin dans mon ventre ! ».Je la porte péniblement jusqu’au canapé ou je m’assieds, sans jamais sortir d’elle qui me tourne le dos. Je reprends ma séance de pelotage et c’est elle qui monte et descend pour se sodomiser. « Tu fais ça avec ton papa ? »« Oui, et aussi avec ses amis, à tour de rôle »
Elle a vraiment envie d’une séance multiple, mais là, je ne suis pas prêt. Mais, ce n’est pas le moment d’en discuter. « Tu es une gentille fille avec ton papa ! »Je l’attire pour l’embrasser et c’est moi maintenant qui bat la cadence.
Elle me souffle à l’oreille :« Viole moi papa ! »
Ces mots me surprennent, mais je suis pris d’une pulsion animale. Je la bascule sur le coté et entreprends de la pilonner sauvagement. Nous roulons sur le canapé et je l’écrase de tout mon poids tout en la pistonnant terriblement. Elle fait semblant de se débattre et je lui bloque les poignets en activant la cadence. Elle émet une longue plainte qui se transforme en un cri de jouissance incroyable. Ses convulsions me provoquent une montée de plaisir et mes jets sont terriblement puissants en elle.
Quand nous reprenons nos esprits, elle me dit :« C’était génial papa, je t’aime ! Très sincèrement ! »« Moi aussi ma chérie, je t’aime ! »C’est vrai, je suis devenu amoureux de ma fille.
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