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Elodie, la meilleure amie

Chapitre 1

Erotique
Salut à tous ! Cela fait bien longtemps que je n’ai pas écrit ici et je m’en excuse (bien que je n’ai pas vraiment d’explication à donner puisque ma vie privée ne regarde que moi ^^enfin bref)
J’ai récemment - je l’avoue - rêvé que je couchais avec ma meilleure amie. Bien que je ne donnerai jamais de détails, ce n’est tout simplement pas possible. Mais j’ai donc décidé d’écrire ici comment se passe mon rêve. Comme d’habitude, j’écrirai à la troisième personne et en utilisant l’imparfait et le passé simple.
Pour le résumé, un jeune homme qui n’a jamais vraiment eu d’expérience avec les filles couche avec sa meilleure amie, parce que celle-ci a de la peine pour lui. Beaucoup pourraient dire que c’est de la pitié. Je ne le vois pas comme ça. Je le vois comme un acte de bienveillance et de sincère amitié. Elle veut simplement aider son amie, lui montrer comment faire avec une fille. Partant d’un simple jeu au cours d’une soirée entre amies, Elodie décidera de venir voir plus tard son ami et lui apprendre.
Voici donc le déroulement de cette histoire.
Bonne lecture ! Et n’hésitez pas à laisser un commentaire, j’accepte la critique avec plaisir, tant que c’est construit et justifié. Si c’est juste " c d’la merd t qu’1 puso ki s’astik le zgueg d’vant dé histoar de uq" évidemment je n’accepte pas ça.
Sur ce, kiffez !
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Tim est un jeune garçon en étude d’ingénieur aérospatial. Il a 23 ans, il est châtain clair, a des yeux noisette, fait 1m85 et 75 kilos. Il n’est pas très musclé, mais n’est pas rachitique non plus. Il est juste normal.
Il n’a jamais eu de relations sexuelles. Il a déjà eu une petite amie, mais la relation n’a duré que quelques mois, moins de 6, et il n’y a jamais eu de contact très charnel. Ni l’un ni l’autre n’était encore prêt. Le maximum en termes de sensualité qu’il a pu vivre avec son ex petite amie, c’est être dans le lit, habillé, à regarder un film ensemble. Il posait ses mains sur ses hanches, mais il n’a jamais vu plus que ce que l’on peut voir à la piscine, quand l’un est l’autre sont en maillot de bain. Tout comme les baisers qui n’étaient pas vraiment nombreux non plus. Bref, une relation début du lycée entre deux personnes timides et peu sûres d’elles. Rien d’anormal, le sexe n’a jamais été obligatoire dans une relation de couple. Si bien que ce que vivra Tim ce soir là sera sa véritable première expérience.
Alors qu’il était en train de travailler sur ses cours, et plus précisément la cinématique circulaire triviale, vu en mécanique, il reçut donc un message de sa meilleure amie, Elodie. De toute façon, il était dessus depuis maintenant une dizaine d’heures, et il avait besoin de faire une pause.
Il prit donc son téléphone et afficha le message.
[SMS, Elodie]< Salut Timmy ! comment tu vas ? Je ne te dérange pas ?
Si elle le dérangeait ? Non jamais ! C’était sa plus vieille amie, ils avaient toujours été particulièrement proches tous les deux et s’étaient l’un l’autre au moment de leur rupture respective. Il répondit donc :
[SMS, Elodie]< Salut Timmy ! comment tu vas ? Je te dérange pas ?> Non pas du tout ! J’étais sur des calculs complexes mais ça fait des heures que j’y suis et là j’avoue que j’en ai marre. Je me suis levé à 6h du mat il est 19h et j’en ai marre. Je vais bien et toi ? Tes études de droit ?
Il vit sur son écran de portable les trois points qui s’agitaient, signifiant qu’Elodie était en train d’écrire. En attendant, il rangea tous ses cours, épais comme des encyclopédies. Si ce n’est plus. Heureusement, elle écrivait vite et la réponse ne se fit pas attendre très longtemps.

[SMS, Elodie]< Salut Timmy ! comment tu vas ? Je te dérange pas ?> Non pas du tout ! J’étais sur des calculs complexes mais ça fait des heures que j’y suis et là j’avoue que j’en ai marre. Je me suis levé à 6h du mat il est 19h et j’en ai marre. Je vais bien et toi ? Tes études de droit ?<Ça se passe bien. :) Ecoute je voulais te proposer d’aller à une soirée chez une copine ce soir. Y aura quelques personnes en plus, des mecs et des filles ;) ça te dirait ? Avec nos études de nos côtés, on déjeune ensemble une fois par semaine, mais on s’est pas fait de soirée depuis quelque temps.
Il réfléchit une minute. C’est vrai qu’ils n’avaient pas fait de fête depuis plusieurs mois. Depuis l’été en fait. Ce n’était pas non plus de gros fêtard à se bourrer la gueule et finir en morceau tous les matins. Ça arrivait simplement de temps à autre. Pour ce qui est de sa remarque sur les filles... elle le poussait toujours à aller vers la gent féminine, il n’osait jamais rien faire et pourtant avait tout pour lui, intelligence, beauté, en tout cas selon Elodie elle-même. Quoi qu’il en soit, il avait besoin de détente, et par-dessus tout, revoir sa meilleure amie. Il prit alors son portable et dit:
[SMS, Elodie]< Salut Timmy ! comment tu vas ? Je te dérange pas ?> Non pas du tout ! J’étais sur des calculs complexes mais ça fait des heures que j’y suis et là j’avoue que j’en ai marre. Je me suis levé à 6h du mat il est 19h et j’en ai marre. Je vais bien et toi ? Tes études de droit ?<Ça se passe bien. :) Écoute, je voulais te proposer d’aller à une soirée chez une copine ce soir. Y aura quelques personnes en plus, des mecs et des filles ;) ça te dirait ? Avec nos études de nos côtés, on déjeune ensemble une fois par semaine, mais on s’est pas fait de soirée depuis quelque temps.>Tu sais quoi ? Avec plaisir ! On se retrouve où ?
Ils échangèrent donc encore un moment pour convenir d’un lieu de rendez-vous. Il retrouva donc Elodie chez elle puis elle l’emmena dans sa voiture. La fête avait lieu chez une des filles dont elle lui avait parlé. Amy, une grande brune aux yeux bleus et légèrement typée Latino. Il y avait aussi Sarah, une rousse aux yeux d’un noir profond, une femme blanche avec beaucoup de taches de rousseur. Un garçon noir aux cheveux bruns, Alex, et une autre fille, une Maghrébine nommée Sofia. 4 femmes pour 2 hommes. Peu importe. De toute façon, il n’y aura pas de partouze.Désolé !
Enfin bref. La soirée avait bien commencé. L’alcool aidant, la proposition du jeu qui serait le tournant de la soirée, au minimum, et de la vie de Tim, au maximum, arriva: le Jeu de la bouteille. Dans l’ordre et dans le sens horaire: Tim, Amy, Sofia, Alex, Elodie et Sarah. Pour savoir qui commencera le premier, Sarah installa sur son portable une application qui permet de jeter des dés. Le résultat final ne changea pas beaucoup l’ordre déjà établi. Seuls Amy et Elodie changèrent de place, ce qui donna : Tim, Elodie, Sofia, Alex, Amy et Sarah. Tim commence donc.
La chance du débutant. Ou peut-être le contraire. Il fit donc tourner la bouteille, et elle finit sa rotation sur Sarah. La jolie rousse ne broncha pas. L’alcool aidant beaucoup durant toute la soirée, elle n’avait rien contre le fait d’embrasser le garçon. Lui non plus d’ailleurs. C’était une jolie fille, elle n’avait pas de formes généreuses ou quoi que ce soit, mais elle n’a rien à envier à d’autres filles qu’elle a pu rencontrer, y compris celles présentes dans cette pièce. Encouragés par les sifflements ou bruits des autres, ils s’approchèrent l’un de l’autre. Quand ils se retrouvèrent enfin l’un proche de l’autre, c’est elle qui prit l’initiative, lui qui était beaucoup trop intimidé par la situation et elle l’embrassa à pleine bouche. Comme on pouvait dire dans le jargon, elle lui roula un sacré patin. Quand ils s’écartèrent l’un de l’autre, elle fit une petite moue plutôt satisfaite, et dit:
— Pas mal, tu tournes juste ta langue bizarrement.
Le garçon éclata de rire:
— Ahahah ! T’as cru que tu lui faisais un cunni ou quoi ?
Les autres filles éclatèrent de rire, en dehors d’Elodie. Elle fit “bonne figure” devant les autres en souriant, mais elle fit comprendre à Tim en un seul regard qu’elle était de son côté. D’autres tours suivent. Alex et Amy, Amy et Elodie, Elodie et Sarah, Sarah et Sofia, Sofia et Tim. Cette fois tout se passa mieux. Mais il n’avait toujours pas dirigé la remarque et la moquerie de tout à l’heure. Quand l’ambiance commença doucement à se tourner vers autre chose, Tim en profita pour s’extirper et se faufila dans une chambre, il y en avait trois et il ne prit même pas le temps de vérifier à qui elle pouvait appartenir, au cas où le nom pouvait être indiqué sur la porte comme dans les maisons familiales parfois. Il s’assit sur le lit et jura:
— Quel fils de pute ! C’est quoi cette remarque débile ? On a pas tous le même niveau, quel que soit le domaine de compétence ! Je n’embrasse peut-être pas bien, tu le fais peut-être mieux que moi, mais on fait une partie, je suis certain que tu ne seras pas capable de gagner le moindre point.
L’air-hockey. Appelée aussi Hockey sur table. Frapper un palet surélevé pas l’air expulsé par une multitude de trous minuscules avec des poignées, que l’on peut attraper à pleine main ou simplement avec les doigts par le bord, chacun sa technique. Quoi qu’il en soit, le ratio de victoires défaire de Tim était de 75 victoires pour 13 défaites. Le hockey sur table demandait des qualités particulières dont la force ne faisait pas particulièrement partie. Trop de force dans les coups pourrait faire sauter le palet de la table ou encore, la poignée pourrait échapper au joueur et atterrir par exemple dans la tête de l’adversaire. Ce jeu demandait en revanche une adresse et des réflexes de folie, presque digne du ping-pong. La vitesse pouvait être vraiment élevée sur la table, parfois jusqu’à plus de 130 kilomètres/h ! Le temps de se calmer, il respira enfin plus lentement. Quelqu’un frappa à la porte. Il ne dit rien.
On frappa encore, il se leva du lit et ouvrit brusquement la porte, enragé, mais c’était Elodie, et son visage s’adoucit instantanément.
— Oh C’est toi... Désolé qu’on vienne me déranger a légèrement ravivé ma colère. — Je te dérange ? Excuse-moi, je te laisse tranquille.
Elle voulut faire demi-tour quand il l’attrapa par le bras, manquant presque de lui faire mal.
— Non !
Quand il vit sa crispation sur son visage, il retira sa main.
— Excuse-moi, je ne voulais pas te faire mal. Reste, tu ne me déranges pas. Tu es la seule personne dans cette maison qui me respecte un tant soit peu.
Elle lui sourit alors et entra dans la chambre. Elle referma la porte qu’elle verrouilla.
— Tu vas bien ? demanda-t-elle, sincèrement inquiète.
Il se demanda ce qu’elle faisait. Elle aurait pu attendre la fin de la soirée. Mais elle était venue à cet instant.
— Il m’a mis en rogne. C’était une remarque de merde. Mais je ne vais pas argumenter, je sais que tu es de mon côté, on en a parlé des dizaines de fois.
Elle hocha la tête tout en souriant.
— Oui, j’ai rien à ajouter là dessus.
Elle s’asseya sur le lit et il la rejoignit. Elle le regarda et lui demanda:
— Du coup cet aprèm, tu avais pas répondu à ma question par texto, mais j’imagine que ce qu’il s’est passé tout à l’heure y répond. — Tu imagines très bien. Je n’ai pas trouvé de copine depuis ma dernière rupture, même une petite histoire d’un mois qui aurait fini pour une raison ou une autre.
Un silence s’installa. Puis elle se lança. Elle avait l’idée en tête depuis plus longtemps que ça, mais l’événement de ce soir l’avait convaincue de le faire.
— Timmy, je voudrais te proposer quelque chose.— Vas-y je t’écoute. — Je sais que tu n’as pas beaucoup d’expérience avec les filles. Je sais aussi que parfois ça te pèse, notamment après ce genre de réflexion. Je voudrais essayer de t’aider.
Sa curiosité fut piquée.
— Comment tu peux bien m’aider ? Même avec tous les conseils du monde si je suis mauvais je suis mauvais. — Arrête dis pas ça. Je pourrai t’aider par exemple...
Elle hésita, puis se jeta à l’eau:
— T’aider à comment embrasser une fille par exemple, et d’autres trucs, si tu vois ce que je veux dire.
Il se leva, presque vexé. Il se trompait lourdement sur les intentions de son ami. Si tu fais ça par pitié pour moi, ce n’est pas la peine, c’est déjà assez humiliant comme ça. J’ai qu’à continuer à me branler sur des pornos, vu que d’après votre pote Alex, je pourrai faire que ça, je l’ai entendu, quand il est bourré, il parle vraiment trop fort, je l’ai entendu d’ici.
— Non ce n’est pas de la pitié, c’est de la compassion. Tu es mon ami, je tiens sincèrement à toi et je sais que tu aimerais trouver l’amour. J’ai sincèrement envie de t’aider et je suis sincèrement prête à faire ça pour toi.
Il la regarda, réfléchit un moment et répondit:
— Je ne sais pas quoi te dire. Je ne veux pas t’obliger à quoi que ce soit, que ce soit m’embrasser ou plus, et je ne fais que te citer.
Il se remit assis à côté d’elle.
— Je pense que ce qui pourrait le plus t’aider, c’est que l’on fasse comme un couple. Donc aux yeux des gens, nous serons un couple. — Vraiment ?
Elle remarqua son visage surpris.
— Je t’arrête, je sais que tu n’as pas de sentiment amoureux pour moi. Comme je sais que ça ne veut pas dire que tu ne m’aimes pas pour autant. Mais c’est la même chose pour moi. Je ne suis pas amoureuse de toi, mais tu es mon ami, mon meilleur ami. Les autres ne connaissent pas notre histoire.
Tim sourit, rassuré. Il se sentait presque comme un gamin rassuré par les adultes. Ça faisait vraiment bizarre. Elle le regarda et s’approcha de lui, puis l’embrassa sur la bouche. Il fut d’abord surpris puis lui rendit son baiser. Il n’y avait pas besoin de mots, elle lui montrait comment faire avec sa langue. Ce qu’aucun des deux n’avait prévu, c’est qu’ils se prendraient beaucoup plus au jeu que ce qu’ils pensaient. Ils s’allongèrent tous les deux sur le lit, les mains commençant à parcourir le corps l’un de l’autre. Ils s’écartèrent et elle enleva son pull. Elle n’était plus qu’en t-shirt, et sa poitrine déformait moyennement le tissu. Tim affichant encore un visage surpris, elle dit:
— Ne t’inquiète pas. Je te connais. Je sais comment tu agiras ou pas. J’ai confiance en toi. J’ai envie de faire ça pour toi. Livre-toi à moi, ouvre-toi. Je ferai tout pour que tu aimes ta première fois.
Donc c’était fait. Deux amis de longue date allaient faire l’amour ici et maintenant. Elodie voulait aider son ami et pour ça elle était prête à coucher avec lui.
Alors il se détendit et reprit le baiser en parcourant son corps de ses mains. Son dos, ses reins, ses hanches, ses fesses. Il ne fit que poser ses mains dessus. Et malgré ce qu’elle aurait pu prévoir, un frisson lui parcourut le corps et l’esprit au moment où sa main atteignit cet endroit. Aurait-elle au fond d’elle plus de sentiments pour qu’elle aurait pu l’avouer ? Possible. Elle voulut l’encourager. Sa main parcourut elle aussi le corps du garçon, mais devant cette fois,à travers le t-shirt. Le torse, le ventre. Elle descendit un peu plus et remarqua la bosse dans le pantalon. Elle posa la main dessus et sentit qu’il était en érection. Si elle devait être honnête, elle admettait qu’elle était plus excitée qu’elle l’aurait cru. Elle déboutonna le jean de Tim et lui de son côté commença à lui enlever son t-shirt. Une étape de plus franchie. Elle en soutien-gorge et en jean. Lui en t-shirt et en slip. Ou du moins, il avait sa braguette ouverte.
Son sexe déformait le tissu du caleçon tant son érection était forte et dure. Elle caressa le membre doucement et de son autre main, discrètement, étant sûre qu’il ne l’avait pas vue, elle glissa une main dans sa culotte et commença à se masturber. Dans un sens, c’était pour deux raisons. D’abord, la situation l’excitait clairement et il était évident qu’elle ne le faisait plus uniquement pour lui. Mais la situation était aussi un peu délicate, elle ne pouvait s’ôter de la tête que c’était son meilleur ami et elle n’avait jamais eu de pensée comme ça pour lui avant. Donc, comme pour s’encourager, parce qu’il n’en est pas moins qu’elle le voulait, elle se masturbait, elle voulait se chauffer. Elle approcha la bouche du pénis de son ami et désormais amant, à travers le tissu, et y déposa des baisers timides et tendres. Il appréciait vraiment, mais n’ayant jamais eu de relations sexuelles, il avait peur de, comme on dit dans le jargon, lâcher la sauce trop tôt.
Il lui caressa la joue, lui faisant comprendre qu’il ne voulait pas d’une fellation tout de suite. Elle le regarda, lui sourit et remonta vers lui de façon sexy. Ils s’embrassèrent encore et, lui prenant doucement la main, elle la posa sur sa poitrine, lui montrant qu’il pouvait y aller s’il le voulait. Il continua donc, glissa même une main dans le dos de la jeune femme et lui dégrafa son soutien-gorge. Quand il commença à lui toucher les seins directement, une peau à peau sans tissu entre les deux, son expression changea, un sourire de plaisir s’affichant et elle soupira doucement, ce qui voulait dire qu’elle appréciait. Elle s’allongea à côté de lui et lui dit:
— Ne t’inquiète pas. Tu ne me fais pas mal.
Ce n’est pas ce qui l’inquiétait dans l’absolu. L’alcool étant mêlé à la situation, il redoutait qu’elle puisse lui reprocher les évènements, avoir abusé d’elle.
— J’espère vraiment qu’aucun de nous deux ne regrettera ce qu’il va se passer, demain matin.
Elle le regarda, leva un sourcil et lui sourit. Elle se redressa en s’appuyant sur le mur derrière elle, leva ses fesses et enleva son jean et sa culotte. Elle était maintenant totalement nue. Elle se pencha ensuite vers lui, lui retira son t-shirt, puis lui retira son caleçon. Elle jeta le tout par terre, s’avança tout proche de visage de façon très sexy, et lui dit alors avant de l’embrasser:
— Et comme ça, je suis assez consentante pour toi ?
Elle le tira ensuite par le bras jusqu’à elle, se retrouvant maintenant de nouveau tous les deux allongés l’un sur l’autre. Il suivit son mouvement et se cala entre ses jambes, en position du missionnaire, prêt à la pénétrer. Elle prit le sexe entre les mains et l’approcha de son entrejambe. Il baissa la tête, fit attention à ce qu’il faisait et commença à l’embrasser dans le cou, prenant finalement enfin l’initiative. Elle lui répondit par une sorte de ronronnement.
— Mhh vas-y continue, j’adore ce que tu me fais.
Encouragé par ses mots, il l’embrassait toujours dans le cou, il descendit un peu et posa ses lèvres sur ses seins. Elle réagit immédiatement à la limite du gémissement de l’orgasme. Elle lui caressa les cheveux, lui intimant l’ordre de continuer par une simple pression contre elle. Embrassant un sein, il lui tripota l’autre, les deux tenant parfaitement dans sa main. Il n’avait jamais fait attention à elle comme ça, mais il se rendit compte qu’elle avait un corps magnifique. Il finit donc de l’exciter ainsi, remonte un peu, et présente finalement son sexe devant celui de son amie. Il ne savait pas s’il devait la désigner comme meilleure amie, sexfriend, petite amie. Peu importe, au moment où il pensa à ça, il allait avoir sa première relation sexuelle grâce à elle, et il ne la remercierait jamais assez pour ça. Il s’enfonça en elle d’un coup, mais sans violence, et tous les deux lâchèrent un soupir de plaisir, chacun entourant l’autre de ses mains pour s’accrocher.
Il commença alors les va-et-vient. Elle aimait vraiment ce qu’il lui faisait et elle voulait le lui dire:
— Mhh c’est bon, vas-y continue, c’est trop bon.
Elle ne simulait pas. Elle n’exagérait pas non plus. Il n’avait pas un gros sexe, mais son vagin à elle n’était pas très profond non plus. Ainsi les deux amis étaient presque parfaitement compatibles et ressentaient beaucoup de plaisir en faisant l’amour. Il continua ainsi pendant quelques minutes puis il changea de position. Il vint se placer derrière elle, dans la position de la cuillère, sur le côté et la pénétra ainsi, lui caressant la poitrine en même temps et lui embrassant le cou. Sans n’avoir porté aucun jugement sur lui avant, elle était surprise d’avoir autant de plaisir avec lui. Pour une première fois, même s’il avait quelques maladresses, il était tout sauf nul et elle avait de réels orgasmes. Tandis qu’elle avait déjà joui 2 fois, lui arrivait au point d’explosion. Il lui dit et elle répondit alors:
— Vas-y jouis en moi, jouis en moi, de toute façon, je suis stérile.
C’est vrai, il avait totalement oublié. Elle était stérile. Elle a 25 ans, et ce n’est pas la ménopause précoce. En fait, il se trouve qu’elle a essayé durant des mois d’avoir un enfant avec son ex petit copain, lorsqu’elle avait 20 ou 21 ans. Après un manque de succès évident, elle a fait un test avec son gynécologue et il s’est avéré qu’elle ne produisait pas du tout d’ovules. La gynécologue lui avait indiqué que c’est ce qui expliquait les cycles menstruels très irréguliers, en fait, elle n’en avait pas tous les mois. Quoi qu’il en soit, en dehors bien sûr de se protéger pour les MST et IST, elle n’avait pas besoin de protection contre les grossesses non désirées. Il continua alors sa cadence moyenne et quand il ne pouvait plus tenir, il la tira vers elle au maximum, émettant des sons indiquant qu’il éjaculait. Elle avait joui en même temps que lui. Alors qu’ils reprenaient leurs esprits, la poignée de la porte bougea. Quelqu’un essayait d’entrer.
Il fallait espérer que ce n’était pas Amy, fille du propriétaire des lieux. Ils s’immobilisèrent un instant, s’efforçant de respirer le plus silencieusement possible, bien qu’essouflés, et après une dizaine de secondes, tout redevint calme et la porte ne bougeait plus, ni même la poignée. Il se leva, regarda sous la porte et quand il vit les pieds disparaître dans les escaliers menant au rez-de-chaussée, il dit à Elodie:
— On ferait mieux de pas traîner.
Il ramassa ses affaires, donna à Elodie ce qui lui appartenait, et, juste après l’avoir embrassée, lui dit:
— Merci pour ça. Pour ce soir. Pour ce que tu as fait pour moi. — Merci à toi. J’ai adoré. Tellement que j’ai envie de le refaire.
Elle répond à son baiser, se rhabille en vitesse.
— Je sors la première. Tu attends une minute ou deux puis tu redescends.
Il hoche la tête et la laisse sortir. Être à la porte de la chambre à ce moment-là aurait été dangereux. Si quelqu’un les avait vus ensemble, il aurait tout de suite deviné ce qu’il se passait. Après un moment, il vérifia que personne n’était dans le coin et redescendit. Les deux amants firent comme si de rien n’était, et à la fin de la soirée, Elodie le raccompagna chez lui, et avant de le laisser sortir, elle l’attira à elle sans réfléchir et l’embrassa sur la bouche. Il était maintenant clair qu’elle avait de forts sentiments pour lui. Déstabilisé, il sortit alors et regagna son appartement, heureux et surpris de cette soirée incroyable.
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