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Elodie, piégée.

Chapitre 6

Trash
La sonnerie stridente du réveil la tira d’un sommeil agité. Elle avait mal au crâne et il était bien difficile pour elle d’émerger. La journée d’hier l’avait exténuée. Elle n’arrivait pas d’ailleurs à savoir si le cauchemar qu’elle avait vécu la veille était éveillé ou non.Elle se leva pour prendre la direction de la douche. Elle tira le rideau de douche et s’empara du pommeau. L’eau chaude lui permit peu à peu de retrouver le sens des réalités. Non, tout ce qu’elle avait vécu n’était pas un rêve. La rencontre avec Dominique et Joris, l’injection de ce produit qui la rendait esclave de ces hommes, le reportage avorté... Elle avait été contrainte de sucer ce savant fou et de lécher son sperme à même le sol... Sans compter qu’elle devra leur rendre visite tous les deux jours.Elle entendit, à travers le rideau, Guillaume pénétrer dans la salle de bain et faire couler l’eau du robinet. Sans doute allait-il se raser. "- Tu as bien dormi, mon ange ? Lui dit-il.— Oui, mon amour, je me suis bien reposée, ça va beaucoup mieux ! Et toi ?"Elle avait pris une voix claire, presque chantante, pour le rassurer. A son grand dam, elle se savait pas trop si elle faisait ça par amour, ou pour éviter les soupçons de son mari conformément aux ordres de Joris. "- J’ai bien dormi aussi, merci. Bon, il faut que je file, je suis déjà à la bourre !" Il tira légèrement le rideau pour trouver les lèvres de sa femme et l’embrassa passionnément en caressant ses seins savonneux. Malgré la situation, Elodie appréciait énormément la douceur et la sensualité de ce geste. Elle ne voulait pas qu’il parte. "- Passe une bonne journée, coquin !— Toi aussi, ma puce !"

Après avoir pris un thé au citron à la machine à café, Elodie s’enferma dans son bureau. Elle s’appliqua à détruire toutes les pièces en rapport avec les enlèvements. Elle effaça toutes les données informatiques qu’elle avait rentrées et, la mort dans l’âme, réunit le dossier complet afin de le mettre à la broyeuse. La machine déchiquetait les photos des femmes qu’elle avait recherché aussi sûrement que sa vie était déchirée.Il ne restait plus de trace de cette affaire. Il lui restait plus qu’à convaincre son rédacteur en chef, Monsieur Dugnat, de clore définitivement le sujet. Elle se rendit devant la porte de son bureau, et frappa."- Entrez !" Lui répondit-on."- Madame Maerte !" S’exclama, souriant, le rédacteur en chef en la voyant pénétrer dans son bureau. "Asseyez vous. Comment se déroule votre reportage ?""- Nous voilà déjà dans le vif du sujet." Se dit Elodie. Néanmoins, elle ne voyait pas du tout comment convaincre son supérieur d’abandonner entièrement cette affaire. Elle s’assit."- Je viens justement vous parler de cela, M.Dugnat. Je pense qu’il n’y a rien à tirer de ce sujet. Selon moi, s’obstiner sur ce sujet serait du temps perdu."Le sourire avait disparu du visage de l’homme, laissant place à une expression incrédule soulignée par un froncement de sourcils."- Comment êtes vous arrivée si rapidement à une telle conclusion ? Qu’avez appris ?"Elodie ne savait quoi répondre... Comment justifier une pareille déclaration alors que, l’avant-veille, elle s’était montrée si enthousiaste et motivée pour cette affaire ? Elle était parfaitement consciente que ses paroles n’avaient aucun sens pour M.Dugnat, et elle ne voyait pas quels arguments pourraient le convaincre. Elle ne pouvait cependant pas cogiter plus longtemps : l’homme soupçonneux attendait une réponse."- Eh bien, Madame Maerte ?— Je... Euh... J’ai passé la journée d’hier à tenter d’obtenir des renseignements, mentit-elle. Sans succès. Personne n’a vu ces femmes. Je doute qu’elles soient passées un jour par ce quartier."Elle ne sut rien trouver de plus convaincant à dire.
Son interlocuteur entra dans une colère folle :"- Quoi ?! J’espère que vous vous foutez de moi ! Vous considérez ces futiles raisons comme suffisantes pour abandonner cette investigation ?!"Il se leva de sa chaise brutalement, la faisant se renverser au passage. S’il remarquât cette chute, il ne semblait en avoir cure. Il fit les cent pas dans son bureau. Elodie se faisait toute petite dans son siège, n’osant prendre la parole. Après quelques aller-retour, il semblait avoir trouvé un semblant de self-control. Il remit le siège à sa place et se rassit. Il posa ses coudes sur le bureau, joignit des mains pour y reposer son menton, scrutant la penaude rédactrice. Elodie était on ne peut plus mal à l’aise."- Je vous avoue que je suis extrêmement déçu. Je ne m’attendais absolument pas à cela de votre part. Je suis surpris que vous baissiez les bras si facilement ! Il est normal de stagner, d’avoir du mal à faire évoluer une enquête, mais il est absolument intolérable de renoncer aussi précipitamment. "Il se tut un instant, puis enchaîna :"- Demain, vous retournerez sur les lieux, et vous continuerez votre travail.— Je ne peux pas... Balbutia Elodie.— Dois-je comprendre que vous refusez de poursuivre l’enquête ?"A son grand malheur, aucune autre réponse ne put sortir de la bouche de la journaliste désespérée :"- Oui...— Sortez immédiatement de mon bureau. Je ne veux plus vous voir avant nouvel ordre. Je vais confier le sujet à quelqu’un d’autre, et d’ici là, j’aurais songé à votre cas."Elodie était complètement perdue. Elle était contrainte de, coûte que coûte, persuader M.Dugnat de prendre une autre décision. Elle savait que des arguments plus puissants seraient nécessaire à cette tâche. Elle avait beau réfléchir, elle ne voyait qu’une ultime solution.Elle se leva et, feignant emprunter la sortie, ferma la porte à clé. Elle allait devoir jouer la femme fatale.Elle se retourna et, fixant son supérieur d’un air aguicheur, lui dit :"- Voyons Monsieur Dugnat, inutile de nous emporter comme cela. Je suis sûre de pouvoir faire en sorte de vous dérider un peu.— Je ne veux plus vous entendre, Madame Maerte. Je vous ai demandé de sortir de mon bureau et je ne le répèterai pas.— j’insiste, monsieur le rédacteur en chef, rétorqua Elodie en s’avançant sensuellement en direction que son supérieur. Je ne veux pas que ce malentendu vous donne de moi l’image d’une incompétente."Elle fit le tour du bureau, se mit derrière M.Dugnat qui était toujours en position assise, et posa ses mains douces sur ses épaules. Celui-ci, complètement dépassé par les évènements, n’esquissa aucun geste. Le comportement de la rédactrice tranchait considérablement avec celui qu’elle adoptait il y avait à peine une minute. Elodie, massant son supérieur, approcha sa bouche de son oreille et lui susurra :"- Je préfère vous exposer une image... bien différente.— Je... Je ne suis pas sûr de bien comprendre. Balbutia t-il.— Laissez moi vous expliquer autrement, murmura t-elle presque en desserrant le nœud de sa cravate. Je sais quelles relations vous entretenez avec Mademoiselle Meryll, votre secrétaire si dévouée. Je ne pense pas que ce genre de contact soit bien vu par le directeur du journal.— Co... Comment ?! Je vous préviens, si vous comptez me faire chanter, ça sera ma parole contre la votre !— Chut chut chut chut... Je n’ai jamais dit une chose pareille.— Qu’avez vous en tête ?"Elodie l’avait en son pouvoir. C’était lui qui appréhendait le discours qui lui était destiné, et non plus l’inverse. Elle ôta deux boutons de la chemise de son auditeur, et y glissa une main."- Je vous ai vu à l’œuvre, tous les deux. C’est une véritable petite salope, vous devez beaucoup vous amuser, avec elle. Voilà ce que je vous propose : renoncez à confier ce reportage à qui que ce soit, et je vous montrerai que je n’ai rien à envier à cette petite dévergondée."Oh mon Dieu, elle ne venait pas de dire cela, tout de même ?! Le concerné, en tout cas, n’avait pas l’air d’en revenir. Elodie se doutait bien que pour cet homme peu attirant, posséder le corps d’une femme à la beauté au moins comparable à celle de sa secrétaire."- Euh... Mais pourquoi est si important pour vous ?"Elodie s’assit sur le bureau, croisant et décroisant voluptueusement ses jambes. Elle enleva sa veste et entreprit de défaire les boutons de son chemisier."- Et pour vous, Monsieur Dugnat ? Il ne s’agit que d’un reportage parmi tant d’autres. Oubliez toute cette affaire, et je ferai en sorte de tenir ma langue vis-à-vis de vos supérieurs... ainsi que de libérer ma langue en votre faveur."A la fin de cette phrase, elle lui exhiba sa poitrine encore couvert par son soutien gorge en passant la langue sur ses lèvres, comme une actrice porno. Elle se saisit de la main de l’homme, happa son index avec sa bouche, mimant une fellation, avant de le libérer. "- Votre réponse, Monsieur Dugnat...?". Celui-ci transpirait à grosses gouttes.— C’est... C’est d’accord." Parvint-il à articuler. "- Je suis ravie que nous soyons tombés sur un accord. Restez confortablement assis, et profitez du spectacle."Elle se retourna sur le bureau en se mettant à genoux avant d’enlever son soutien gorge. Elle se mit debout sur le meuble, fit face à son spectateur qui avait les yeux exorbités, tout en cachant d’une façon faussement pudique ses seins. La jeune femme se retourna à nouveau, se pencha jambes tendues, et souleva progressivement sa jupe afin que son chef puisse voir son string. Elle s’accroupit, fit descendre le string, qu’elle lui jeta ensuite à la figure. Elle garda ses talons et la jupe. Puis Elodie s’allongea sur le dos, laissant une jambe pliée, et décida de laisser courir érotiquement ses mains le long de son corps. Elle s’efforçait de penser à des choses excitantes, à ses parties de plaisir avec son mari. Ses mains attrapèrent ses seins, qu’elle malaxa, pressa, caressa... avant que l’une d’elle ne s’échappe pour caresser son ventre, ses jambes... Elle provoquait M.Dugnat du regard, la bouche entrouverte. Ses doigts finirent par s’aventurer sous sa jupe et tripoter son sexe. Elle titilla son bouton, puis enfonça un doigt dans son canal qui commençait à être humide. De la façon dont elle était placée, l’homme ne voyait rien, mais pouvait deviner la main s’agiter grâce aux mouvements du tissu. Elle sortit son doigt luisant de cyprine et le suça en continuant à fixer M.Dugnat. Ce dernier avait sorti son sexe et se branlait.Elle prit un marqueur, le lécha sur toute sa longueur comme s’il s’agissait d’une queue, et le mit à l’entrée de sa chatte. Elle poussa doucement pour l’introduire en agaçant son clitoris. Son vagin finit par accepter l’objet, et elle lui fit faire des vas et viens, s’arquant et poussant des petits halètements de chienne. Elle se goda ainsi pendant deux minutes.Ensuite, Elodie se mut et se plaça sur le ventre, de telle façon à ce que ses fesses soient dirigées vers le rédacteur en chef. De cette façon, ses jambes étaient pendantes d’un coté tandis que sa tête dépassait de l’autre coté du bureau. Elle se cambra, faufila une main sous son ventre, et se masturba devant les yeux de l’homme qui pouvait deviner sa chatte mouillée."- Monsieur Dugnat..." Gémit Elodie. "Ma bouche et ma chatte sont à votre disposition : vous n’avez qu’à faire le tour de votre bureau pour en profiter comme bon vous semble..."Elle l’entendit se lever de son siège. Il se plaça devant elle, la queue à hauteur de sa bouche. Elle redressa la tête et, dans son rôle de bonne salope, et ouvrit largement la bouche en tirant la langue, l’invitant à s’introduire. Celui-ci ne se fit pas prier.Dans cette position, elle n’avait guère de liberté de mouvements, d’autant que ses mains étaient occupées. Elle s’efforça malgré tout de lui prodiguer la meilleure pipe possible, aspirant son sexe et jouant de sa langue. Elle parvint à faire des petits mouvements de tête afin de le stimuler par des légers vas et viens. Elodie sentait l’excitation de l’homme, puisque déjà un peu de liquide séminal s’échappait. Elle tournoya sa langue autour du gland, le lubrifiant de sa salive.Bientôt, il s’échappa de ce trou accueillant, et se positionna derrière Elodie. Il souleva la jupe pour révéler les fesses de la journaliste et lui donna une puissante claque. Elodie émit un petit cri de surprise."- Eh bien !" Commenta t-il. "Si j’avais pu me douter que tu étais une telle chaudasse !"Elodie ne répondit rien. Que pouvait-il penser d’autre ? Au moins, elle était sûre que sa prestation était à la hauteur."- Et maintenant, poursuivit t-il. nous allons vérifier si ta chatte est aussi bonne que ta bouche."Et il s’introduisit sans plus de préliminaires. Il s’agita frénétiquement dans la chatte d’Elodie, qui eut mal sur le coup. Elle feignit cependant le plaisir afin de flatter l’orgueil de son supérieur :"- Oh oui Monsieur Dugnat ! Je sens bien votre sexe !— Si tu aimes la bite, petite chienne, je vais te contenter. Tu vas en avoir pour ton grade !"Il continua à la culbuter, pendant qu’Elodie tentait d’oublier sa douleur en frottant ses doigts sur son clito. Quelques minutes plus tard, il sortit de sa chatte meurtrie et se plaça à nouveau devant le visage d’Elodie. Celle-ci lui souriait à pleine dents, lui faisant croire qu’elle passait un excellent moment. Elle lui souffla :"- Vous avez encore envie que je vous suce ? Ca sera avec plaisir." Et elle se lécha les babines.Durant un quart d’heure, elle garda cette position servile et laissa se faire pénétrer ces deux orifices par son supérieur qui profitait pleinement de sa chance. Il alternait entre des séances de profondes culbutes, durant lesquelles il s’acharnait comme un animal en rut, et entre la bouche d’Elodie qui s’adonna à le satisfaire de son mieux. Il poussa même le vice à lui donner de temps à autre ses couilles à gober, ou à la bifler. L’homme faisait des puissants allers retours dans le vagin d’Elodie. Au bout d’un moment, alors que sa respiration était de plus en plus forte et saccadée, il ne put se retenir plus longtemps et éjacula tout au fond d’elle. Heureusement qu’elle prenait la pilule. Il se retira rapidement.Sans comprendre immédiatement pourquoi son corps lui commandait de faire ça, elle se mit accroupie sur le bureau. Puis elle se souvint des ordres de Joris !"- Oh non c’est pas possible !" Se dit-elle. Sa main fouilla son intimité. Elle pénétra deux doigts profondément afin de récupérer le plus de sperme possible, et le porta à sa bouche. Elle était horriblement honteuse mais elle donnait plutôt l’impression d’une gourmande qui savourait un met de choix. M.Dugnat, éberlué, la regarda faire. Alors qu’elle était en train de lécher les doigts qui sortait de sa chatte souillée et de farfouiller cette dernière avec son autre main, il la complimenta à sa façon :"- Tu ne m’as pas menti : tu es une salope de première !"Elodie en profita pour lui dire, entre deux nettoyages de doigts : "- Nous sommes donc bien d’accord pour oublier ce dossier ?— Oui, tu l’as bien mérité. Puisque tu es si accro au sperme, penche toi par ici."Elodie descendit gaiement à quatre pattes vers la verge qui n’avait pas encore débandée et tendit la langue. L’homme y appuya son gland comme s’il s’agissait d’un mouchoir, lui faisant don d’une dernière goutte de sperme qui tachait sa langue rose.
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