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Elodie, piégée.

Chapitre 12

Trash
Le réveil tira Elodie d’un sommeil profond et réparateur. Elle avait dormi comme un bébé.Elle s’étira, seule dans ses draps, comme une chatte. Son corps était tout engourdi. Elle pivota pour se mettre en position assise, au bord du lit. Elle faufila une main entre ses fesses, sentant son anus encore ouvert. Encore dans le brouillard, cette preuve de la baise sauvage dont elle avait été actrice la veille ne déclencha pas chez elle d’émotion particulière. La journaliste tendit la main vers sa table de chevet, et attrapa le tube de crème de soin anal. Elle mit en une noisette au bout de ses doigts, qu’elle pénétra facilement dans sa rondelle élastique. Joris lui avait dire de faire cela au coucher, et dès le réveil. Son premier geste du weekend fut donc de se préparer le plus naturellement du monde à se faire sodomiser.L’esprit vidé, elle se leva, enfila un peignoir, et se prépara un petit déjeuner.Devant son thé au citron, elle fit le point. Jusqu’ici, elle avait été victime d’une drogue qui faisait fit de sa morale et de ses convictions. Elle avait été contrainte d’agir comme un automate. D’obéir au doigt et à l’œil, qu’elle le veuille ou non.Mais ce qui s’était passé hier était totalement différent.Pour la première fois, Joris ne lui avait donné aucun ordre. Elle était libre d’agir selon sa propre volonté. Et c’est là où le bât blesse.Il avait suffit de quelques jours sans jouir, d’un spectacle lesbien et de deux bites à coté d’elle pour qu’Elodie se comporte comme la pire des trainées. Elle avait été facile à vaincre. Elle se revoyait encore se jeter sur la paire de queues et les sucer de toutes ses forces. Elle se revoyait prise en sandwich, et jouir de se sentir remplie comme jamais. Elle se voyait prise de toute part, remerciant secrètement les membres qui ont su calmer ses ardeurs de chienne en chaleur.Elle était brisée, se définissait comme une moins que rien. Elle se dégoutait. Une larme tomba dans le breuvage. Elle n’en eu cure et prit une nouvelle gorgée.
L’interphone sonna à ce moment là. Elle se précipita pour répondre :« - Oui ?— C’est Dominique. Ouvre-moi, je monte. — 4 ème étage. »Lorsqu’elle lui ouvrit la porte de l’appartement, Dominique y entra sans y être invité, et siffla en voyait la belle femme en robe de chambre.« - Assez agréable comme vision dès le matin ! Tu es à poil en dessous, je parie ? Montre moi ça. »Elodie écarta les pans de sa robe de chambre sans broncher, dévoilant à l’homme son sexe épilé et ses seins rebondis. Dominique sourit de façon perverse et lui ordonna de lui montrer sa chambre. La suivant, il s’amusa à lui pincer les fesses.Dominique ne se gêna pas pour vider la penderie de la belle journaliste, jetant les habits au sol. Finalement, il trouva son bonheur :« - Enfile moi ça. »Il lui lança une courte mini jupe style écossais dont Elodie avait oublié l’existence, ainsi qu’un tee shirt serré décolleté blanc à manches courtes, et lui ordonna de s’habiller avec. La journaliste se dirigea vers le tiroir à sous vêtements.« - Qu’est ce que tu fous ?! » Grogna Dominique. « Tu n’as pas besoin de ça, là où tu vas ! Tu laisses disponible ta chatte et tes nibards. Estime toi déjà heureuse que je te fasse pas sortir de chez toi à poil.— Bien Monsieur. »Elle s’exécuta et s’observa dans le miroir de la penderie. Elle comprenait pourquoi la mini jupe était tombée dans l’oubli : elle était tellement courte qu’il suffisait qu’elle se penche pour apercevoir son sexe. Le bas de ses fesses était presque visible. Le haut mettaient ses seins en valeur, mais était beaucoup plus correct, même si l’absence de soutien gorge laissait entr’apercevoir ses tétons.
« - C’est pas mal, commenta Dominique. Mais je vais faire une petite modification. Va tout de suite me chercher des ciseaux.— A vos ordres, monsieur. »Elle alla dans la cuisine lui ramener ce qu’il désirait. Ensuite, il lui intima l’ordre de lui donner le tee shirt. Il découpa dans le vêtement des grandes bandes de tissu qui tombèrent au sol. Lorsque la femme le remit, elle considéra avec regret la découpe grossière qui avait été faite jusqu’à l’auréole de sa poitrine. Dominique n’avait pas fait de détail. Elodie avait vraiment l’air vulgaire.« - Parfait ! » Se réjouit Dominique. « Mets-toi à quatre pattes. — Oui, maître. »Elle prit position à même le sol, sachant que ses vêtements ne cachaient aucunement ses orifices. Cela lui rappela qu’elle avait offert ses trous sans vergogne à l’homme qui la dominait corps et âmes. Elle n’arrivait pas à assumer les évènements d’hier et se sentait affreusement coupable. Elle mit la tête au sol, s’attendant à se faire baiser, voire sodomisée à sec, de bon matin, dans la chambre conjugale.Elle sentit quelque chose pousser contre son anus, mais devina à la froideur de l’objet qu’il ne s’agissait pas d’un pénis. L’engin glacé la fit se contracter.« - Un conseil, détends-toi : c’est plus gros que ce que tu t’es pris hier. »Automatiquement, Elodie se décontracta. L’homme força à nouveau la rondelle, sans prendre en compte les plaintes douloureuses de la femme. Elodie n’avait jamais pris aussi gros dans son cul. Une larme coula sur ses joues. Enfin, elle perçu une butée contre ses fesses. L’objet était gros, mais assez court. Elle se sentait élargie.Dominique acheva l’intromission en donnant un petit coup de pied qui fit bouger l’objet en Elodie et lui arracha un cri. Elle avait mal, aussi bien à l’anus qu’à sa fierté. Il lui dit de se relever.Elodie se tortilla pour voir ce qui la remplissait. Elle constata que l’homme lui avait introduit un plug. Tout à fait transparent, le jouet permettait ainsi de voir l’intérieur de son cul élargie. Son oeillet était devenu un rond visible et parfait de 5 centimètres de diamètre.« - Mets tes talons et prends tes clés. On s’en va. »
Lorsqu’elle ferma la porte de son appartement, elle dût affronter le regard choqué d’une résidence quadragénaire. Elles s’étaient déjà croisées et saluées à plusieurs reprises, et Elodie espérait que l’expression outrée de la femme n’était due qu’à sa tenue provocante, et qu’elle n’avait pas remarqué l’absence de sous vêtements ainsi que la présence du plug. Rouge d’embarras, Elodie baissa les yeux en murmurant un faible « bonjour ». Une fois la personne partie, Dominique ricana, appuyant fortement un doigt entre ses fesses, et lui ordonna de sortir. La même voiture attendait devant l’entrée. N’assumant pas sa tenue, et ayant peur qu’une nouvelle connaissance ne la croise, Elodie n’attendit aucune indication pour se précipiter à l’intérieur du véhicule. Elle se glissa à l’arrière, où Joris était installé. Elle s’assit, provocant une sensible pression sur le jouet, tandis que l’homme la salua :« - Bonjour Madame Maerte ! Vous vous êtes bien remise de votre baise d’hier ? En tout cas, je vous en remercie : c’était un délicieux moment pour moi ! Dominique a dit beaucoup de compliments à votre propos, avec ses propres mots, vous l’imaginez bien. »Il scruta de haut en bas la femme qui serrait la mâchoire de colère. Pendant ce temps, Dominique s’installa derrière le volant.« - Je suppose qu’il vous a aidé à choisir votre tenue. Vous faites fille de mauvais genre, mais ça sera parfait pour vos loisirs du weekend. Regardez moi dans les yeux et ne mentez pas : avez-vous aimé être prise par nous deux ?— Oui. » Prononça Elodie, se haïssant pour cette réponse.— C’était assez évident, mais entendre votre avis m’importe beaucoup. »Dominique, après avoir allumé la radio, démarra le moteur. La voiture éloigna Elodie de son foyer. Joris reprit la parole :« - Nous allons rouler une bonne heure et demi, environ. Vous allez vous occuper, pendant ce temps. Je veux que vous vous masturbiez très lentement, assez lentement pour être sûre de ne pas jouir jusqu’à la fin du trajet, mais en vous appliquant tout de même à vous procurer du plaisir. Soyez attentive à bien écouter la radio. A chaque pub, vous enlèverez votre plug, le lubrifierez avec votre bouche, et le remettrez en place. Et ce jusqu’à la fin du spot. Vous pouvez commencez. »Elodie descendit un doigt sous le tissu de sa jupe, et effleura son intimité. Elle n’était pas excitée le moins du monde, cependant elle se concentra pour se faire mouiller le plus vite possible. Elle flatta son clito, fermant les yeux. Elle déposa un peu de salive sur son majeur et l’étala le long de sa chatte. Le doigt glissa avec plus d’aisance, et c’est avec des gestes très doux que le plaisir commença à pointer le bout de son nez. Elle respirait profondément et avec lenteur.Le présentateur annonça une page de publicité. Elodie chercha péniblement une position confortable pour ôter l’objet. Finalement, elle choisit de mettre ses genoux sur la banquette, tournant le dos à la route et s’appuyant au dossier. Elle savait que dans cette position, Dominique ne se gênerait pas pour mater son trou du cul béant par le rétroviseur, mais c’était ce qu’elle avait trouvé de plus pratique. Elle tira doucement sur le plug, qui eu bien du mal à sortir de son trou du cul serré. Malgré la douleur, elle força, et libéra son anus avec un « plop » digne du bruit d’une bouteille de vin que l’on ouvre. Ce bruit lui fit grande honte. Néanmoins, elle mit l’engin odorant dans sa bouche, ne revenant pas de son diamètre, et saliva dessus. Le goût était fort, mais elle s’appliqua à faire ce que Joris lui avait demandé avant de remettre son anus à l’épreuve du jouet. Puis elle recommença, les pubs n’étant pas terminées. L’opération devint déjà un peu plus facile pour elle, même si elle fronçait les sourcils.La musique reprit. Elle se remit en position assise, et se caressa le minou. Elle vit dans le rétroviseur Dominique lui faire un clin d’œil accompagné d’un sourire salace. Elle lui répondit en levant son majeur rageusement. L’homme ricana.Malgré sa colère, son vagin devenait humide. Elle avait envie d’accélérer le mouvement de ses doigts, de se doigter, mais se fit violence pour faire monter le plaisir avec une infinie douceur. Elle récupéra de la cyprine à l’entrée de son sexe, et s’en badigeonna délicatement l’intérieur de ses grandes lèvres. C’était assez frustrant. Elle poussa un long soupir érotique. Alors qu’elle continuait à se masturber, Joris lui fit le topo :« - Vous savez, mes recherches, la production de mon sérum, ainsi que les innombrables frais d’une petite entreprise comme la notre nous coûtent très cher. Si je veux continuer à vous avoir en mon pouvoir _et il le vaut mieux pour vous, croyez moi_ je dois trouver des sources de financements. Mes généreux mécènes ne suffisent malheureusement pas, et comme votre arrivée engendre des dépenses inattendues, ainsi que du temps précieux, je trouve qu’il serait juste que vous nous donniez un petit coup de main. C’est bien naturel. »Elodie eu peur de comprendre. Terrorisée, elle demanda :« - Vous allez me prostituer ?!— Pas encore. Mais vous allez faire du cinéma.— Vous voulez dire…— Du cinéma porno. Juste pour ce weekend.— Oh non… » Gémit désespérément la journaliste en écartant les lèvres de sa chatte et en tournant son majeur autour de son petit bouton.— Je ne vois pas de quoi vous vous plaignez » Répliqua Joris. « Il s’agit simplement de tourner quelques scènes en faisant ce que vous savez faire de mieux. Votre jeu d’actrice aura peu d’importance et vous n’aurez pas, ou très peu, de texte. Je suis sûr que vous vous en sortirez à merveille. De plus, le sexe est quelque chose qui vous passionne. Il n’y a qu’à vous observer pour s’en rendre compte. »Effectivement, Elodie avait commencé à faire des mouvements de hanches accompagnant ceux de ses phalanges, traduisant une onde délicieuse pour elle. Mais derrière ce tableau lubrique, la femme s’efforçait à réfléchir à la façon de convaincre les hommes de changer leur plan. Hors de question pour elle de participer à des films de boules ! Cela n’était pas facile car, outre la masturbation, une partie d’elle restait concentrée sur la radio. Elle finit par prononcer entre deux halètements :« - Vous prenez de gros risques. Imaginez que quelque me reconnaisse dans une scène ! Mon mari sera vite mis au courant. Vous pourrez toujours me forcer à cacher la vérité, mais il y aura fort à parier que je serai moins libre de mes déplacements, et qu’il sera par conséquent plus difficile de me faire vos fameuses injections ! »Ce disant, elle enfonça un doigt dans son vagin, et le tournoya délicatement.« - Détrompez-vous, rétorqua Joris. Les probabilités pour que l’on reconnaisse sont proches du néant. Nous ne sommes pas stupides et avons pensé à tout. D’ailleurs, le moment me semble opportun pour vous expliquer votre première scène. Ecoutez moi bien, car je veux que vous reproduisiez tout ce que je vais vous dire dans les moindres détails. Nous mettrons les choses en place des notre arrivée, et vous commencerez le plus vite possible. »Lorsqu’il acheva cette phrase, un nouveau spot de publicité se fit entendre. C’est donc en se travaillant servilement l’anus qu’Elodie écouta soigneusement les instructions de l’homme.

C’est à quatre pattes, et dandinant exagérément du cul qu’Elodie se déplaça, s’éloignant de la caméra que tenait Joris. Celui-ci filmait la femme qui se dirigeait vers un tabouret au milieu duquel était solidement fixé un gode, aussi large que le plug qu’elle avait toujours entre ses fesses, et assurément bien plus long. Le phallus artificiel devait faire au moins vingt centimètres de long.Sa tenue avait changée. Dominique lui avait donné ce qu’elle portait en ce moment, à savoir une tenue fétichiste en cuir. Le déguisement la recouvrait entièrement. Les seules ouvertures se situaient au niveau des seins, de son sexe, et de ses fesses entre lesquelles était exposé le plug transparent. Elle portait une cagoule, qui laissait seulement ses yeux et sa bouche visible. Ses talons étaient toujours à ses pieds. La journaliste savait que sa chatte était mouillée et que la caméra capturait la preuve de son excitation. Ce n’était la perspective de ce qu’elle allait devoir qui la mettait dans cet état, mais les stimulations quasi ininterrompus durant toute la durée du trajet. Le corps d’Elodie la força à attraper délicatement le gode en plastique, toujours juchée sur ses genoux, et à simuler une douce masturbation. Elle prit la verge factice à deux mains, et massa l’objet. Elle se souvenait des ordres de Joris, qui lui avait dit d’être en adoration pour le gode, que rien d’autre ne devait avoir d’importance pour elle que de s’en occuper comme d’un fabuleux amant, tout en prenant son temps pour faire durer le plaisir.Elle avait la bouche entrouverte devant cet objet qu’elle branlait, la langue légèrement pendue. Dans son regard, on pouvait voir qu’elle avait faim. Elle salivait d’admiration. La journaliste tira fortement la langue, et s’y tapota le gode à plusieurs reprises ; se biflant du même coup. Elle y frotta son visage, gémissant comme une chienne à son contact, avant d’appuyer sa langue de la base jusqu’au gland. Un filet de bave la relia entre sa bouche et le bout, et elle en profita pour récupérer sa salive et l’étaler sur le jouet. Elle y laissa courir ses mains, et s’occupa du gland en le léchant. Elle idolâtrait ce morceau de plastique. Elodie remuait du bassin pour satisfaire les instructions de Joris, et laisser croire que la grosse salope n’attendait qu’à être remplie. Elle emboucha difficilement l’engin, mais, loin de l’arrêter, elle se força à faire descendre ses lèvres distendues le plus bas possible. Elle gardait les yeux fermés et poussait un « mmmmh » salace. Lorsqu’elle ressortit le gode, ce dernier était couvert de bave. Malgré sa mâchoire douloureuse, Elodie reproduisit le geste, s’imaginant sucer un apollon. Elle continua cette parodie de fellation jusqu’à ce que Joris, tout en filmant sous tous les angles, lui fit un petit signe de la main. C’était le signal pour elle de passer à la suite du programme. Elle attendit que le caméraman se poste à nouveau derrière ses fesses pour que ses mains lâchent la fausse bite. Sa bouche s’affairait toujours à monter et descendre, et on pouvait assister aux coulissements amples et lents de la tête de la salope fétichiste. Elle retira le plug, exhibant à la caméra son trou du cul béant. Les exercices dans la voiture lui permirent de faire ce geste avec une facilité déconcertante. Elle écarta ses fesses, exposant sordidement l’intérieur de ses intestins. Conformément aux attentes de Joris, elle entra facilement deux doigts de chaque main, et tira de parts et d’autres, écartant son œillet souple. Enfin, elle se leva, et se retourna face caméra.Elle s’accroupit au dessus du gode, écarta ses fesses, et mit son anus en contact avec le gland épais. Elle se laissa doucement tomber dans le but de s’enculer. Le passage du gland dans la rondelle se fit sans grande difficulté, mais chaque centimètre enfoncé devint plus douloureux que le précédent. Le cul d’Elodie était sollicité comme jamais depuis trois jours, repoussant ses limites en termes d’épaisseur et de profondeur d’insertion, et il n’était pas encore habitué à ce calibre. La journaliste avait envie de pleurer, mais son maître le lui ayant interdit, elle se contenta de fermer les yeux et d’ouvrir la bouche en un cri muet, cette attitude se laissant facilement traduire par un état de béatitude. Malgré le supplice, elle ne freina jamais sa course, jusqu’à ce que ses fesses se posent sur le tabouret. Elle se sentait déchirée. Loin de lui laisser le choix, son corps l’obligea à pousser sur ses cuisses pour ressortir une grande partie de la queue en plastique, avant de s’empaler à nouveau. Elle hurlait dans sa tête, mais le son que capturait Joris laissait imaginer une volupté profonde plus que de la souffrance. Elle effectua sans aucun répit des gestes assez rapides, étirant la pointe de ses seins que ne cachait pas sa tenue de masochiste. Elle gardait ses jambes largement écartées, montrant sa chatte sur laquelle la mouille n’avait pas encore séchée. Petit à petit, elle s’habitua à la présence de l’objet dans son anus.Trois minutes plus tard, son regard fut attiré, à droite et à gauche de sa tête, par deux pénis qui sortaient de trous qui étaient dans les murs. L’un était plus court, mais aussi large que le gode, et l’autre était d’une taille normale. Ils se trouvaient chacun à environ trente centimètres d’elle.Cela n’était pas une surprise pour la femme, briefée par Joris. Ce dernier lui avait en effet expliqué qu’il avait fait payer des hommes pour ses talents de suceuse. Il lui avait dit que ces personnes avaient dépensé une certaine somme, et qu’il faut qu’ils en aient pour leur argent. Il lui avait ordonné de s’appliquer à bien les sucer un à un, et à avaler leur sperme sans rien cacher à la caméra.Elle s’empara des deux queues en même temps qui réagirent à son contact, et se mit à les branler simultanément. Sans stopper sa propre sodomie, elle se pencha pour gober l’une des bites. Elle tournoya la langue autour du gland, portant beaucoup d’attention au plaisir de cet inconnu dont elle ne verrait probablement jamais le visage. Elle ne pouvait voir ni entendre les réactions de l’homme, et s’adonnait à lui faire le meilleur traitement possible, afin de ne pas porter atteinte à la crédibilité de Joris sur ses clients. Elle n’oublia pas l’autre pénis qui attendait, et se tourna pour lui offrir sa bouche. Joris se rapprocha pour la filmer en vue de dessus. Elle branla le vit avant de l’emboucher entièrement, puis de lui lécher la tige. Elle faisait part de toute sa palette de pompeuse.La sensation dans son cul devenait de moins en moins désagréable. Une douce chaleur commençait à pointer le bout de son nez. Elle avait envie de se caresser la chatte, mais cela l’aurait obligée à abandonner une des bites qu’elle devait choyer.Elle se réactiva sur l’autre queue, et lui fit une gorge profonde. Elle procéda à de légers mouvements de tête qui semblaient faire leur œuvre, puisqu’elle pressentait déjà les tressaillements du gland au fond de sa gorge. Elle se hâta de désencombrer sa bouche et de tirer la langue devant Joris qui zoomait, contre laquelle elle branla le membre. Elle y accueillit des flots de sperme chaud, qu’elle n’avala qu’au bout de quelques secondes pour être certaine que la caméra ait tout capturé. Elle nettoya ensuite la bite encore tremblante, qui finit par disparaître du trou, remplacée par une autre. Elle lui souhaita la bienvenue en serrant le gland avec ses lèvres, les faisant coulisser légèrement, tout en titillant le méat avec la pointe de sa langue. Elle ne savait pas combien il y en aurait encore.Figée par le gode, Elodie mit sa bouche au servie d’innombrables bites. Des grosses, des courtes, des noires, des arabes, des blancs… Elle ne se ménagea pas et offrit à chacun une pipe mémorable, léchant, aspirant, suçant, variant les techniques, passant de la succion de gland à la gorge profonde, et n’oubliant pas évidemment pas de tout avaler, feignant de se régaler comme une droguée au foutre. La caméra n’avait rien raté de sa langue couverte à chaque reprise de jus bien blanc, qui ensuite disparaissait complètement, englouti par la suceuse sodomite. A la fin de la scène, elle eut l’estomac bien remplit. Elle compta finalement treize éjaculations. Elle avait mal aux mâchoires aussi bien qu’au cul. Elle avait prit son temps pour toutes les fellations. Joris avait l’air satisfait.
La dernière queue asséchée, elle se souleva pour libérer son cul du gode, remit douloureusement en place le plug, et repartit à quatre pattes comme si de rien n’était.« - Coupez ! » Annonça Joris. « Vous avez été formidable, Madame Maerte ! La scène est parfaite ! Vous pouvez enlever votre cagoule, vous devez étouffer là dedans. Allez vous changer et prendre une douche. Je vous présenterai ensuite à votre maquilleuse.»
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