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Eloi,Garance et...

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Eloi et Garance DE BREVE sont mariés depuis quatre ans. Issus de deux familles bourgeoises de la région dans une ville de province (je vous laisse choisir la région, la ville, le quartier...) ils se sont unis devant Dieu et les hommes à l’âge de vingt ans. Leurs familles avaient décidé de leur union depuis leur plus jeune âge. Leur éducation très stricte les avait éloignés d’une vie d’adolescents normale. Les parents avaient acheté conjointement une maison de ville cossue pour le couple dans laquelle ils s’installèrent. Garance avait obtenu un poste de cadre administratif à la préfecture de la ville (vous avez une indication supplémentaire sur la ville : c’est un chef-lieu !). Eloi, après des études pour être notaire, travailla comme salarié dans une étude notariale. Eloi et Garance n’avaient pas d’amis et ne voyaient que la famille et les amis des parents. Cette éducation cadenassée les avait bridés dans la découverte de leur vie sexuelle.
Ils n’avaient de rapport que dans le but de procréer ! Eloi était un homme d’un mètre soixante-dix qui pesait cinquante-cinq kilos.
Autant dire qu’il était chétif. Garance était une belle femme blonde d’un mètre soixante-cinq pour cinquante-sept kilos. Elle avait des formes là où il faut. Leur éducation et leur pudeur n’avaient pas aidé à les mettre en valeur. Ils traversaient la vie de façon banale et complètement anonyme... Un jour, Eloi reçut un appel de son père :
— Bonjour Eloi !— Bonjour père ! Que me vaut ton appel ?— J’aimerais que Garance et toi veniez déjeuner à la maison dimanche. Hubert sera présent avec un ami notaire à lui. Son associé étant parti récemment à la retraite, Hubert aimerait te le présenter. C’est une bonne opportunité pour toi pour devenir associé et non plus salarié !— Effectivement, voilà qui pourrait relancer ma carrière ! Nous serons présents dimanche, père ! Merci pour ton appel !
Eloi en informa Garance plus qu’il ne lui demanda son avis ! Garance, de par son éducation, était en quelque sorte soumise à son époux.Le dimanche arriva... Eloi avait mis un costume passe-partout classique gris. Garance était vêtue d’un tailleur vert foncé strict qui la désexualisait au possible ! Garance et Eloi se rendirent chez les parents d’Eloi. Ils arrivèrent devant un grand portail, empruntèrent le chemin qui les mena devant une grande bâtisse bourgeoise. Ils entrèrent dans un grand salon où les parents étaient en grande discussion avec Hubert et un inconnu.
— Ah ! Garance et Eloi ! Venez que je vous présente Maître Roger TRAPPART, s’exclama Hubert.
Roger TRAPPART, la soixantaine passée, était un homme de grande taille, large, bedonnant. Il était chauve, avait le visage granuleux, avec de petits yeux perçants. On se sentait mal à l’aise en sa présence... Il ne dégageait aucune empathie. Il impressionnait ! D’une voix grave assurée et puissante, il dit :
— Bonjour ! Alors c’est toi Eloi qui voudrais intégrer mon étude ? — Bonjour Maître ! Oui, j’en serais honoré. TRAPPART demanda alors au père :— Cher ami, y a-t-il un endroit où je pourrais m’entretenir avec votre fils ? Vous pouvez venir très chère, dit-il à Garance !— Bien sûr ! Eloi, allez au petit salon ! Vous y serez tranquille pour discuter ! Ils entrèrent dans le salon.— Après toi, Garance (il avait tutoyé Garance...)— Merci Monsieur.

D’un coup, après avoir refermé la porte, il s’approcha d’elle et lui dit assez fermement.
— Maître ! Tu m’appelles Maître et pas Monsieur !
Son visage s’était durci d’un coup et Garance en fut impressionnée.
— Pardon Maître, dit-elle en baissant la tête.
Ils s’assirent, et TRAPPART posa des questions à Eloi sur le métier. A la fin de l’entretien, il fut visiblement satisfait des compétences d’Eloi (et de leur soumission).
— Tu comprendras (il le tutoyait également...) que je suis quelqu’un de sévère, mais juste. Avant de devenir mon associé, je veux être sûr de tes compétences et de ta loyauté envers moi. Il se tourna vers Garance :— Je compte sur ta loyauté aussi ! Je tiens à t’associer à la réussite de ton époux ! — Oui Maître, répondit-elle.
TRAPPART se leva, tourna autour d’eux, la déshabillant du regard ! Il trouvait décidément Garance à son goût. Sous ses vêtements, il devinait ses formes généreuses, son potentiel sexuel. Il s’excitait à l’idée que cette femme visiblement prude lui appartienne ! Il aimait dominer, intimider, puis disposer à sa guise de sa proie ! C’était un prédateur. Garance sentit l’insistance de son regard sur elle ! Elle ressentit une sorte de dégoût ainsi qu’un sentiment étrange... Elle n’avait pas l’habitude d’être regardée de la sorte ! Eloi n’était pas dupe, mais fit semblant de ne rien voir.
— Bien ! Allons rejoindre tes parents Eloi, et annonçons-leur la bonne nouvelle ! Tu commences ta période d’essai dès demain !
Après le repas, tous se saluèrent. Hubert monta dans la voiture de TRAPPART.
— Alors ? demanda Hubert, tu prends Eloi car tu le penses compétent pour le travail. Mais que penses-tu de Garance ? Tu la trouves visiblement à ton goût !— Tu avais raison et je t’en remercie. Elle est tout à fait à mon goût ! Elle semble avoir du potentiel et j’ai bien l’intention d’en profiter. Bien entendu, et comme convenu, je t’en ferai profiter quand elle sera à moi !— Je compte sur toi ! Tu n’imagines pas comme j’ai envie de la baiser ! Elle me fait fantasmer depuis longtemps. Tu ne l’as pas trop vue habillée comme ça, mais elle a un de ses culs et une de ces paires de seins bien lourds et qui semblent fermes... Humm ! Rien que d’y penser... Je t’avais dit que tu ferais d’une pierre deux coups. Un employé et en plus sa femme !— Un associé Hubert, pas un employé. Après la période d’essai ! Je m’y suis engagé ! Mais avant, il faudra qu’il mérite sa place...
Ils éclatèrent de rire. Eloi et Garance en chemin dans leur voiture...
— TRAPPART me fait peur. Tu as vu comment il me dévisageait ? Il me dégoûte ! Je crois que si tu n’avais pas été là, il m’aurait peut-être sauté dessus !— Ecoute, j’ai bien remarqué qu’il te regardait avec insistance. Mais tu imagines la chance que j’ai de devenir son associé à vingt-quatre ans ? Je compte sur toi pour me soutenir afin que je décroche ce job ! Quoi qu’il en coûte !
A suivre...
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