Elle se baissa à hauteur de sa bite, puis l’engloutit tout en l’aspirant. Elle savait y faire, léchant, suçant, aspirant avec délice, tantôt lui massant les couilles, tantôt les lui gobant ! C’est le moment que choisit Maître TRAPPART pour entrer. Il était derrière la porte et attendait le bon moment ! Eloi le vit entrer et étant sur le point de jouir, ne réagit pas. TRAPPART en profita pour filmer la scène finale avec son téléphone ! Eloi se mit à crier, terrassé par une jouissance intense qu’il n’avait jamais ressentie ! Il cracha son sperme épais dans la bouche de Mylène qui fut surprise de recevoir une telle quantité de foutre ! En bonne salope, elle s’en délecta et avala progressivement cette crème ! Eloi, la jouissance passée, et réalisant ce qui se passait, se sentit très mal à l’aise face à TRAPPART en train de le filmer ! Il se rhabilla en hâte... — Ne t’inquiète pas Eloi, je t’ai filmé car je veux juste avoir un petit souvenir. Je pourrai t’en donner une copie si tu veux, dit-il d’une voix ferme ! Je n’ai pas l’intention de m’en servir contre toi. Avoue que tu as apprécié le petit traitement de Mylène ! Tu vas voir qu’elle va te faire découvrir des choses que tu ne soupçonnais même pas ! — Oui j’ai aimé ! Eloi comprit qu’il fallait dire la vérité. De toute manière, il était dans l’impossibilité de faire machine arrière. Et puis oui, il avait aimé. Il venait de ressentir un plaisir intense !— Ce matin, l’Etude est fermée au public. Nous allons passer un petit moment tous les trois ! TRAPPART fit un signe à Mylène qui comprenant le message s’approcha à nouveau d’Eloi, lui massa la queue quelques instants et le déshabilla de nouveau. Eloi se laissa faire, gêné. Elle commença à alterner suçage, branlette, ce qui eut pour effet de refaire bander le jeune homme ! Profitant de l’excitation du jeune homme, TRAPPART se mit à lui poser des questions sur Garance en lui parlant crûment... — Et avec ta femme, que faites-vous au lit ? Vous vous caressez ? Elle te touche la bite, tu la doigtes ? Tu lui pelotes les seins ? Elle te suce, tu la lèches ? Eloi resta bouche bée quelques secondes devant tant de vulgarité ! Puis il répondit : — Non. Nous sommes plus classiques pendant l’acte. Décris-la-moi. Comment est-elle ? A-t-elle des gros seins, un gros cul ? Se rase-t-elle la chatte ? Parler en ces termes de sa femme à Eloi excitait terriblement TRAPPART !Quelle horreur pensa Eloi ! Il parle de Garance de façon extrêmement vulgaire. Je crois qu’il a jeté son dévolu sur elle. Elle l’avait senti lors de notre première rencontre l Cela me choque et me plaît en même temps ! Que m’arrive-t-il ? Et qu’est-ce que c’est bon ce que me fait Mylène ! — Elle a de belles fesses bien pleines et de gros seins bien lourds et bien fermes, se surprit-il à dire. Son sexe... sa chatte n’est pas rasée et sa toison est bien fournie ! lâcha-t-il. Il lui semblait qu’en décrivant ainsi Garance, il la découvrait ! TRAPPART buvait ses paroles. Cet homme qui d’habitude était tout en contrôle baissa son pantalon, son caleçon et extirpa sa grosse queue qu’il commença à branler tout doucement, pour faire durer le plaisir. Il régnait une ambiance électrique, une tension sexuelle intense ! TRAPPART continua ses questions sur Garance.— Et la toison de sa chatte est blonde comme ses cheveux ? Il devinait la réponse à cette question, mais il voulait l’entendre de la bouche d’Eloi.— Oui, elle est blonde ! répondit-il à TRAPPART. Véritablement en rut, TRAPPART prit les choses en main ; — Mylène, déshabillez-vous ! Eloi, cale-toi contre le bureau. Mylène, penchez-vous et bouffez-lui la bite ! Mylène s’exécuta et se pencha sur la queue d’Eloi, rendant son cul bien en chair accessible à TRAPPART. Pendant qu’elle bouffait la queue d’Eloi, TRAPPART doigta Mylène. Il put constater son état d’excitation à l’humidité de sa chatte. Il approcha son engin et frotta son gros gland du bas des grandes lèvres jusqu’au clitoris de façon répétée, ce qui eut pour effet de faire gémir Mylène qui appréciait cette caresse. TRAPPART était un être odieux, mais il savait y faire. D’après lui, « pour mieux soumettre les femmes, il faut leur donner du plaisir ». Après ce délicieux traitement, il rentra d’un coup sec sa queue dans la chatte qui malgré la taille du gourdin, l’accueillît sans difficulté ! Eloi se faisait dévorer la bite. Il sentait les coups de boutoir de TRAPPART qui passaient par la bouche de Mylène. Ils étaient tous les trois soudés pour leur plus grand plaisir. TRAPPART ralentit le rythme et reprit ses questions, très directes ! .- Tu aimerais que ta femme soit un peu plus comme Mylène ? Qu’elle soit comment dire... Plus active sexuellement ?Eloi sous le coup de l’excitation, et de façon vicieuse (il apprenait vite le bougre...) et faussement naïve lui répondit : — Oh oui ! Mais comment faire ? — Il faudrait que tu la confies à quelqu’un d’expérimenté afin qu’il l’éduque ? (il reprend ses coups de boutoir).— Oui, mais je ne connais personne... A part vous peut-être ? Il repensa au dégoût que Garance ressentait à l’égard de TRAPPART, ce qui décupla sa propre excitation !— J’aimerais beaucoup m’en occuper ! Regarde, tu n’aimerais pas me voir la prendre en levrette comme ça ? Tu en retirerais tous les bénéfices ! Il s’empara des seins de Mylène et s’y accrocha pour la défoncer copieusement. Il sentait qu’il allait jouir et attendit la réponse d’Eloi. Eloi qui voyait TRAPPART en face de lui défoncer cette chatte en imagina la scène. Sentant sa jouissance également arriver, il lui répondit : — J’aimerais vous voir prendre mon épouse, en faire votre femelle afin de la posséder profondément jusqu’à la remplir de votre semence et... et... OOOOH !!! Je jouiiiis !!! Il explosa en une jouissance puissante dans la bouche de Mylène qui se mit à jouir également, manquant de s’étouffer. TRAPPART suivit, en enfonçant sa queue au fond de la chatte et en s’y vidant généreusement ! Devant l’intensité de la partie de baise, il leur fallut quelques minutes pour reprendre leurs esprits. Après s’être rhabillés, TRAPPART dit. — Eloi, nous allons étudier quelques dossiers. Mais avant Mylène, je veux que vous soyez à la disposition d’Eloi et ce, plusieurs fois par jour. Je crois qu’il aura besoin de vos compétences. Quant à toi Eloi et puisque j’ai ton accord, je vais prendre plaisir à m’occuper de ta femme pour l’éduquer. Je fais faire des travaux cette semaine dans mon appartement. Je devais m’installer à l’hôtel. Que dirais-tu de m’héberger quelque temps chez vous, en attendant de réintégrer mon domicile ? Si tu disposes d’une chambre d’ami bien entendu ! Eloi avait pris beaucoup de plaisir. Malgré une certaine appréhension, il aimait la tournure que prenaient les choses. Mylène lui plaisait beaucoup et il avait très envie d’explorer et révéler sa sexualité avec elle. Sous le coup de l’excitation, il s’était engagé auprès de Maître TRAPPART. Il reconnaissait intérieurement que d’imaginer TRAPPART baisant Garance l’avait non seulement excité, mais l’avait fait jouir ! Il n’aurait plus le même regard sur elle. Il connaissait bien Garance et il ferait tout pour la convaincre de céder aux désirs de TRAPPART. Il décida de la conduire là où TRAPPART le voulait : dans son lit ! Il était désormais son vassal ! Il serait loyal envers lui ! — Je ferai ce que vous voulez Maître ! J’en informerai mon épouse dès ce soir. Nous avons une chambre d’amis. Nous vous accueillerons dès que nous aurons pris toutes les dispositions. Eloi et sa petite vie tranquille et banale venaient de basculer dans le monde chaotique d’un dominant sexuel qui commençait son travail de soumission, d’appropriation...A suivre...
