7h55. Nicolas se réveillait encore un lundi... Tout ce qu’il voulait, c’était arrêter le lycée, en terminale scientifique, il devait avoir une heure de philo et une autre d’Anglais, la poisse de devoir supporter ces matières inutiles, puisqu’il souhaitait devenir ingénieur. Nicolas était donc confortablement installé dans son lit quand sa mère, comme tous les matins, monta pour le réveiller — On se réveille là-dedans !! — grmmph. Après quelques secondes, pour la forme, il sortit de son lit et descendit d’un pas lourd les escaliers qui mènent à la salle à manger. En s’installant à table devant la télé, il se servit un bol de céréales et sa mère, Hélène, comme tous les matins, le pressait. — Dépêche-toi, tu vas être en retard au lycée.— C’est bon, il est 8h ...— Eh bah oui, justement, tu devrais être en cours !— Mais non... je commence à 9h, il haussa les épaules, depuis la rentrée, c’était tous les lundis la même histoire. Il termina de manger son petit-déjeuner et remonta se préparer pour partir. Un quart d’heure plus tard, il était en route pour le lycée, il monta dans le bus, son casque sur les oreilles. Il y avait peu près une demi-heure de bus pour arriver au lycée, cette année c’est vraiment dur au lycée, surtout que Nicolas et sa famille, c’est-à-dire son père, sa mère et lui, venaient d’emménager à Metz il y a un mois de ça pour la rentrée, les gens de sa classe avaient l’air sympa, mais de nature assez timide, il n’osait pas encore trop s’approcher. A son arrêt, le bus s’arrêtait et il devait encore marcher pour arriver à son lycée : quelle idée de l’avoir mis dans un lycée Privé, même pas desservi par un bus ! Il descendit donc et s’engagea dans la ruelle menant à son lycée, là, il aperçut une fille de dos, étrange, d’ordinaire, il était le seul à emprunter ce passage-là, elle avait de longs cheveux blonds qui descendaient jusqu’à ses hanches, une silhouette fine qui laissait deviner une adolescente d’à peu près son âge et un fessier de sportive, bien comme il les aimait, bien que timide avec les filles, Nicolas aimait beaucoup les mater même s’il se sentait toujours un peu honteux après coup, mais bon, comme tout ado de son âge, les hormones le travaillaient et là, cette silhouette avait de quoi pour attirer son regard. Tout à coup, elle s’arrêta, il s’arrêta donc aussi, toujours derrière elle, intrigué, « qui s’arrête en plein milieu d’une telle ruelle ? Peut-être qu’elle a senti que je la matais... peut-être qu’elle va se retourner et je vais enfin pouvoir voir si elle est aussi bonne de devant que de dos... » pensa-t-il. Soudain, il vit un cercle d’environ deux mètres de diamètre apparaître devant la fille qui s’engouffra dedans avant de disparaître. Nicolas resta un instant hébété devant cette scène digne d’un Marvel, il avait vu Doctor Strange quelques jours avant, c’est pour dire... Voyant que le cercle commençait à se refermer il s’engouffra dedans, et se sentit chuter pendant quelques secondes avant d’atterrir à plat ventre sur le sol. Petit problème, il n’était plus à Metz, en tout cas, pas dans la ville... Il tenta de se relever, un peu sonné, mais sentit un truc froid et coupant sur son coup. — Qui es-tu ? Qu’est-ce que tu fais là ? C’était la fille de tout à l’heure, il réussit à lever un peu la tête pour la voir, elle était aussi belle de face que de dos, ses grands yeux bleus étaient mis en valeur par ses cheveux blonds, et il ne put s’empêcher de remarquer qu’elle avait une poitrine comme il les aimait, pas trop grosse, pas trop petite, mais bien ferme. Après quelques instants d’hébétement, il finit par répondre :
— J’étais derrière toi dans la rue, je t’ai vue disparaître dans une espèce de cercle, je t’ai suivi et... mais où est-ce qu’on est ? Elle s’écarte et me regarde bizarrement. — Comment ça se fait ? Tu n’aurais pas dû pouvoir passer ! Seuls les élus le peuvent, et les élus n’existent pas sur terre !— Attends, tu veux dire qu’on est plus sur terre ? Elle ne répondit pas et commença à faire les cent pas, réfléchissant furieusement. — Je dois vérifier quelque chose, mais pas ici, suis moi ! Elle se dirigea vers une cabane juste à côté, Nicolas se leva et le suivit docilement jusqu’à la petite cabane en bois, dedans, il y avait un petit lit pour une personne, un arc était accroché au mur, en fait, ça ne ressemblait pas mal à la cabane de chasse de son papi mais avec des outils du Moyen-Age... — Assieds-toi sur le lit. Il s’exécuta docilement et quelle ne fut pas sa surprise quand elle s’agenouilla devant lui en lui écartant les jambes — qu’est-ce que tu... ?— Chut, laisse-moi faire, elle lui ouvrit la ceinture et fit glisser son pantalon avant d’attraper sa bite qui commençait déjà à durcir dans son caleçon. Elle commença par le branler doucement, Nicolas gémit en fermant les yeux, il n’y croyait pas, c’était la première fois qu’une femme le touchait. Elle sourit en le regardant dans les yeux et lui lécha son phallus de haut en bas, comme une glace. Il rouvrit les yeux, regardant cette étrange inconnue en train de lui lécher la queue avec des yeux écarquillés, il tenta de poser sa main sur sa tête pour lui caresser les cheveux mais elle écarta sa tête, arrêtant en même temps sa douce caresse buccale...— Ne me touche pas ! Tu n’es pas initié ! Il retira donc sa main, penaud, il ne faudrait surtout pas qu’elle s’arrête ! Mais elle sourit et se rapprocha à nouveau de sa bite mais cette fois, prit dans sa bouche la queue bien tendue, faisant d’abord lentement glisser le membre dans sa bouche, puis de plus en plus rapidement et allant toujours plus profond dans sa gorge. Nicolas poussait des gémissements de plaisir pendant que la belle inconnue s’acharnait sur sa jeune queue, il n’avait que 18 ans, mais était déjà bien monté ! Soudain, ne tenant plus, il cria : — Je vais jouir ! Cela ne l’arrêta pas, au contraire, elle prit la bite entièrement dans sa bouche et resta dans cette position, attendant que Nicolas se décharge dans sa bouche, ce qui ne manqua pas d’arriver. Quelques secondes plus tard, il délivrait dans un gémissement de gros jets de sperme au fond de sa gorge, — ARGHHH, et elle avalait tout. Quand il eut fini de déverser tout son foutre dans la bouche de la belle blonde, il se retira et se laissa tomber en arrière sur le lit. Après quelques instants, pour se remettre de cet orgasme, il se rassit et regarda la belle blonde dans les yeux, ceux-ci semblaient briller plus fort qu’avant... — Pourquoi ?? Elle se leva et se mit à faire les cent pas,— Bon très bien, je vais t’expliquer...
