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L'émancipation d'Ambre

Chapitre 2

La soirée (Lina)

Lesbienne
— Je te jure que si tu ne finis pas par le virer, c’est moi qui vais le tuer !
Oui, c’est bien de cette façon dont je m’adresse à mon responsable une fois arrivée au restaurant où je travaille. Je sais, je devrais être plus polie, d’autant plus que ça ne fait que six mois que j’y suis, mais l’autre con m’a bien énervée ! Heureusement, Dylan, mon responsable, me connaît assez et a déjà subi mon caractère pour savoir quand est-ce que je suis vraiment en colère.
— Crois-moi Lina, j’aimerais bien. Mais à chaque absence, il a un motif valable. J’attends réellement qu’il fasse la moindre boulette, mais il est très fort ce con. Et comme Ambre a posé des congés pour la semaine...— On va donc devoir aller se chercher une pelle et un alibi pour l’autre tâche. Tu me fais un topo sur l’état de la salle ?
Comme il m’a appelée en urgence, je n’ai même pas pris le temps de me changer, je fais alors tout le service avec ma robe mauve. Ma tenue contraste fortement avec l’uniforme de Romain, un autre étudiant à mi-temps et camarade de fac, les clients s’en rendent évidemment compte, et certains en profitent même un peu pour me regarder quand je passe près d’eux. Au moins, ils ne me font pas chier et se tiennent à carreau, tant mieux parce que ce n’est pas la bonne soirée pour ça !
Tout se passe plutôt bien et les clients partent même assez tôt, un peu avant vingt-trois heures, mais c’est la remise en place qui nous prend un peu de temps. Nous avons cependant la chance d’avoir une cuisinière en or qui nous aide à terminer une fois la cuisine nettoyée, Aida. Cette femme, une magnifique métisse franco-sénégalaise aux yeux verts et aux cheveux bouclés, est d’une grande gentillesse avec presque tout le monde. Je dois bien l’avouer, elle ne me laisse pas indifférente malgré nos dix ans d’écart. Elle a vingt-neuf ans, et moi dix-neuf.
— Lina, serais-tu disponible demain soir ? me demande-t-elle dans le vestiaire à la fin du service.— Désolée, mais je ne travaille pas demain. Dylan m’a accordé ma journée pour compenser mon service de ce soir.— Ce n’est pas pour travailler, mais pour une soirée. J’invite quelques personnes chez moi demain, ça te dirait de venir ? Romain sera également présent.— Ah ! Là, c’est différent ! Si c’est pour une soirée, je réponds oui. Surtout si c’est une soirée en ta compagnie.
Oui, je passe à l’attaque, mais cela fait quelques semaines que je remarque de sa part des regards qui vont au-delà de la simple gentillesse. Je me dis alors que cela vaut le coup de tenter ma chance, après tout, je n’ai rien à perdre, et il faut croire que j’ai raison. Sans dire un mot, Aida ferme son casier et vient à ma hauteur, se rapproche très près de moi et me dépose un baiser appuyé sur la joue, et un autre plus subtil, mais tout aussi efficace, sur le cou.
— À demain alors, lâche-t-elle d’une voix plus sensuelle qu’en temps normal avant de s’en aller.
Oh cette femme ! Elle me plaît de plus en plus, je sens le désir monter en moi et mon entrejambe qui commence à s’humidifier en imaginant tout ce qu’elle pourrait me faire d’autre. Sur le chemin du retour, je laisse mon imagination partir loin... Très loin, au point que ma culotte est bonne à mettre au sale dès l’instant où je serais de retour à la maison. J’arrive sur les coups d’une heure du matin, le salon est rangé, mon père est couché, et je m’attends à ce qu’Ambre soit également déjà tombée dans les bras de Morphée. Parfait ! Je vais pouvoir calmer un peu mes pulsions dans la salle de bain ! Je vais donc pour poser mes affaires discrètement dans la chambre que nous partageons avec ma meilleure amie, mais je constate qu’elle ne dort toujours pas.
— Tu es déjà endormie comme une souche à cette heure-ci d’habitude, ça va ?— Oui...— OK, j’ai compris, laisse-moi trente secondes.

Tant pis pour ma séance de plaisir solitaire, Ambre est beaucoup plus importante. Je me dépêche d’aller me changer dans la salle de bain, dépose mes vêtements dans la corbeille à linge, et enfile une chemise de nuit blanche qui arrive à peine à mes cuisses et laisse entrevoir la naissance de mes seins. Une fois de retour dans la chambre, je grimpe dans le lit d’Ambre et viens m’allonger face à elle.
— Tu veux bien m’expliquer ce qu’il y a ? Tu repenses à la robe de cette après-midi ?— C’est... C’est plus compliqué, mais il y a un lien.— Explique-moi.
Je ne la presse pas, c’est la pire des choses à faire. Avec elle, il faut prendre son temps, l’accompagner dans les démarches qu’elle entreprend, toujours l’encourager, mais jamais la pousser. Je prends sa main dans la mienne, caresse tendrement le bout de ses doigts, et attends patiemment qu’elle commence à parler en la regardant dans les yeux.
— J’aimerais bien trouver quelqu’un qui... Qui me fasse ressentir des frissons, si tu vois ce que je veux dire...— Des frissons ? Oh... Oh ! Je vois très bien, tu veux sauter le pas !
Eh oui, Ambre et moi sommes très différentes là-dessus. Avec son enfance difficile, Ambre n’a jamais eu de copain, trop intimidée par les hommes pour pouvoir construire une vraie relation, ou même pouvoir leur accorder sa confiance juste le coup d’un soir. Le complexe qu’elle ressent vis-à-vis de son corps est également un facteur important. À l’inverse, les relations charnelles sont un de mes passe-temps favoris, je ne l’ai jamais caché depuis que j’ai commencé peu après mes quinze ans. Et même si je suis maintenant tournée vers les femmes, je comprends qu’elle veuille connaître l’intimité charnelle avec un homme.
— Qu’est-ce qui t’a fait ressentir ce besoin ? C’est de t’avoir vue dans ces belles robes aujourd’hui ?— On... On va dire ça, oui, dit-elle en détournant le regard. Je me dis que si quelqu’un vient à accepter mon corps tel qu’il est, je finirai par aller mieux dans mon esprit.— C’est vrai que si tu as près de toi quelqu’un qui te fait te sentir belle et désirable, cela te donnera une autre vision de toi-même. Et ça tombe bien que tu me parles de ça.— Pourquoi ?— Aida fait une soirée chez elle demain, et Romain sera là.
Ambre n’a jamais vraiment été attirée par un garçon, mais j’ai bien remarqué durant les dernières semaines de cours que son regard s’attardait un peu sur lui, de temps en temps. C’est un mec pas désagréable à regarder, plutôt avenant et toujours poli avec tout le monde.
— Et tu veux qu’y aille avec toi ? demande-t-elle en rougissant en entendant le nom de Romain.— Si tu le veux bien sûr. Je vais quand même demander à Aida demain, mais je ne pense pas qu’elle dira non.— Je pense que tant que toi y va, tu peux ramener n’importe qui. Tu vas essayer de te rapprocher d’elle à cette soirée.— Ma belle, je vais essayer de faire plus que de me rapprocher.
Je viens me coller à Ambre pour appuyer cette déclaration : je passe une de mes jambes par-dessus les siennes, je viens coller nos poitrines l’une à l’autre, et nos nez entrent en contact tandis que ma main agrippe le dos de ma meilleure amie.
— Je compte bien la manger toute crue cette belle cuisinière.— Alors, j’espère que tu passeras une bonne dégustation.
Nous rigolons quelques instants, puis je lui fais un petit baiser rapide sur le front avant de rejoindre mon lit, il est tard et j’ai tout de même besoin de dormir. Juste avant de sombrer dans le sommeil, je la sens encore un peu tendue, et j’ai horreur de ça, j’aimerais tellement qu’elle se sente bien, qu’elle sente à quel point elle est déjà aimée...
— Ambre, tu trouveras quelqu’un qui te fera frissonner tous les jours. J’en suis certaine, tu le mérites.— Merci Lina, c’est gentil.
Pour une fois, j’ai dormi assez tard, moi qui suis du genre à me lever tôt. Mais comme hier, nous avons pas mal de trucs à faire : il nous faut aider mon père à nettoyer le champ de bataille que nous avons fait dans la cuisine, terminer notre réinscription pour l’année prochaine, et nous tenir prêtes pour la soirée chez Aida ce soir. C’est donc avec un programme bien chargé que je réveille Ambre qui, contrairement à hier, a passé une bien meilleure nuit.
Elle a beaucoup de mal à émerger, ce qui me fait dire qu’elle a dû s’endormir bien après moi. Nous déjeunons et attaquons enfin notre longue journée, qui est finalement passée assez vite. Pour la soirée chez ma collègue, Ambre décide de remettre la même robe ; je préférerais qu’on aille lui en chercher une autre, pour varier sa garde-robe, mais c’est déjà exceptionnel de sa part d’aller en soirée vêtue autrement qu’avec ses jeans bleus et tee-shirts noirs habituels. Pour ma part, je suis moins subtile.
J’opte pour une robe échancrée vert émeraude, comme les yeux de notre hôte de la soirée, avec une ouverture sur la jambe gauche et un décolleté pas trop vulgaire, mais qui laisse entrevoir la naissance de ma poitrine. J’attache mes cheveux en queue-de-cheval pour bien dégager le tout, un peu d’eye-liner noir et de rouge à lèvres bordeaux, et nous voilà prêtes à partir sur les coups de dix-huit heures.
— Tu es aussi belle qu’hier Ambre, complimente mon père en la voyant. Et toi Lina, on dirait que tu as des projets très précis pour la soirée.
Sa phrase est suivie d’un clin d’œil complice auquel je réponds. Il est parfaitement au courant de ma sexualité débridée et est totalement d’accord avec ça. Tant que je fais attention et que je m’amuse, il me laisse complètement libre de mon corps et des relations que j’entretiens.
Aida n’habite qu’à quelques minutes de chez nous, dans une petite maison bien sympathique avec un jardin isolé et une petite piscine. Elle y vit seule, même si je sais que de nombreuses conquêtes passent par là régulièrement, et je compte bien être la suivante. Nous sommes accueillies sur le pas de la porte par ma ravissante collègue, qui a visiblement des intentions similaires aux miennes.
Une belle robe noire recouvre ce magnifique corps à la peau d’ébène, mais montrant un peu plus de poitrine que la mienne et ne laissant aucune place à l’imagination quant à la présence ou non de soutien-gorge. Ses yeux verts sont mis en valeur par un eye-liner couleur or, et ses dents d’un blanc immaculé lui donnent un sourire à tomber par terre. Très clairement, elle n’a pas fait cette fête juste pour boire des verres ce soir.
— Ambre, tu es magnifique, dit-elle, surprise de la voir comme ça. Ça te va vraiment bien !— Merci Aida, tu es très en beauté aussi ce soir.— Je me dois de me faire belle lorsque je reçois d’aussi belles invitées.
Elle ponctue sa phrase d’un clin d’œil qui m’est directement adressé, et auquel je réponds en me mordillant légèrement la lèvre inférieure. Elle nous invite à rentrer, et nous laisse quelques instants avec les autres invités, dont Romain, notre grand collègue châtain avec des petites taches de rousseur sur le visage. On dit bonsoir à tout le monde, mais moi, il me tarde seulement de me retrouver avec Aida.
— Tu n’es pas obligée de rester constamment avec moi, tu sais ? me dit Ambre qui a remarqué que mes yeux se sont transformés en radar.— Je ne veux pas avoir l’air de te dégager, je reste avec toi tant que tu le voudras.— Justement, je veux que tu profites, tu passes déjà bien assez de temps avec moi au détriment de tes envies ces derniers temps. Alors ce soir amuse-toi.— C’est gentil, mais toi que vas-tu faire ?— Je vais essayer de me rapprocher un peu de Romain. Qui sait, je vais peut-être prendre goût à la séduction ?
Il n’y a pas beaucoup de conviction dans la voix d’Ambre, elle veut surtout que moi, je profite de ma soirée. J’hésite quand même quelques instants, mais, pour une fois, ce sont mes pulsions qui prennent le dessus et je commence à rejoindre Aida dans sa cuisine.
— Au moindre souci, tu m’appelles d’accord ?— Je le ferai.
Je laisse donc Ambre entre les mains de notre camarade, et j’arrive dans la cuisine où Aida a presque fini de servir ses verres. Je m’approche d’elle, fais glisser deux de mes doigts le long de son dos nu, et m’approche très près de son visage.
— Tu as besoin d’aide ?— Oui, j’aimerais que tu évites de me faire tomber ces verres avant qu’ils n’arrivent entre les mains de mes invités.— Pourquoi ? Je te déconcentre tant que ça ?
Et hop ! Un petit baiser au coin de ses lèvres pour la rendre aussi chaude que je ne commence à l’être.
— J’ai surtout envie que leur attention soit détournée de nous, pour que nous soyons plus tranquilles plus tard.— Alors pourquoi les as-tu tous invités ?— Quelle serait la vie si on ne prenait pas de risque ? Emmène les derniers verres s’il te plaît.
Je m’exécute et aide ma cheffe à servir les verres. La soirée se passe très bien, semble s’écouler plutôt lentement, mais nous jouons toutes les deux à un jeu, Aida et moi. À chaque fois que les verres sont vides, nous allons les remplir ensemble, et nous passons à chaque fois de plus en plus de temps dans la cuisine. D’abord pour des caresses furtives puis, à mesure que la soirée avance et que l’alcool coule dans le gosier des invités, des mains plus baladeuses et des lèvres avides de celle de l’autre.
Quand, pour la cinquième fois, nous nous isolons toutes les deux, je suis en feu ! Je ne peux plus attendre et je le fais savoir à Aida en lui roulant une belle et passant ma main sous son string noir !
— Je te veux ! Allons nous isoler dans ta chambre, maintenant !— Moi aussi, je n’en peux plus. Juste un petit instant.
Aida ramène un dernier plateau de verre bien rempli, puis lance sa sono et son ensemble de jeux de lumière dont elle est fière. Très vite, la maison se transforme en petite boîte de nuit privée. Elle me prend alors par le poignet et m’emmène à l’étage dans sa chambre. À l’instant où la porte se referme, je me retrouve complètement nue, déshabillée par la fougue et les désirs brûlants de mon hôte.
— Il est temps que j’aille m’abreuver d’un autre nectar, me dit-elle en me poussant sur son lit.— Avec grand plaisir, viens le chercher.
Nous nous embrassons comme des folles ! Nos langues s’entremêlent et nos mains se baladent sur le corps de l’autre. Putain ! Près de deux heures que je veux être seule avec elle, et enfin, c’est la bonne ! Je ne vais pas la laisser partir de sitôt !
Sa bouche quitte mes lèvres pour aller me lécher et me mordiller le cou... Non, elle fait même plus que me mordiller, elle est en train de me faire le plus gros suçon que l’on ne m’a fait ! Sa marque apposée sur mon corps, elle continue sa course vers mes tétons marron et bien dressés par l’excitation, auxquels elle procure un traitement quasi similaire : elle les mordille, les lèche et me malaxe fort de ses mains. Elle veut clairement me faire comprendre que je suis sa chose, et même si en temps normal, c’est plus moi qui fais ça, cela ne me pose, en cet instant, aucun problème.
Elle descend encore plus, s’aventurant entre mes cuisses en feu et découvrant ma fine toison rousse bien entretenue pour l’occasion. Sa langue aspire chaque goutte de mouille qui s’échappe de mon intimité, elle ne rigole pas en disant vouloir me boire.
— Han... Ce n’est pas juste, moi aussi, je voudrais te goûter, dis-je entre deux gémissements de plaisir.— Il fallait le demander tout de suite, ma belle.
Ni une ni deux, sa robe vole de l’autre côté de la pièce, et nous nous retrouvons toutes les deux et soixante-neuf, son entrejambe et ses fesses sur mon visage. Nous ne perdons pas une seconde et nous broutons mutuellement, et quel plaisir ! Je laisse glisser sans aucun effort ma langue sur cette belle chatte ébène et lisse ; l’ouvrant en grand pour y observer de plus près le rose entre ses lèvres. Enfin, je l’entends gémir ! Et à chacun de ses gémissements, ses trois doigts qu’elle n’a eu aucun mal à introduire en moi, accélère leur cadence.
Je ne me laisse pas faire et, suivant mon intuition et la sublime odeur de son savon entre ses fesses, je commence à lui faire un anulingus en écartant bien ses fesses. L’effet est immédiat, elle gémit de plus en plus fort et ses mouvements ralentissent, elle ne doit pas trouver souvent des partenaires qui aiment faire ça. Sauf que pour moi, chaque orifice est exploitable et je compte bien lui montrer.
Je prends avec ma langue sa cyprine que je dépose sur son anus pour la dilater, encore et encore, jusqu’à ce que je puisse à mon tour introduire deux doigts en elle. Heureusement que la musique du rez-de-chaussée est plutôt forte, car nous ne retenons aucun de nos gémissements !
Mais, à ma grande surprise, Aida s’arrête soudainement, se lève et va prendre un beau gode ceinture qu’elle s’empresse de s’attacher.
— Tu as déjà été prise par un homme, je suppose ?— Évidemment.— Et par une femme ?
Comme seule réponse, je me positionne à quatre pattes sur le lit, le cul bien tendu vers elle et ma chatte grande ouverte.
— Il faut une première fois à tout non ?
Je mouille comme une folle, et elle n’a aucun mal à faire rentrer en moi l’imposant jouet en plastique. Et elle ne fait pas semblant ! Oh putain que non ! Son bassin claque bien fort contre mes fesses à chaque fois qu’elle pénètre tout au fond de ma chatte. Je ne peux m’empêcher de crier, je n’ai jamais été prise de manière si bestiale par une femme, et ça ne me déplaît pas le moins du monde !
— Han oui ! Baise-moi ! Baise-moi ! Que c’est bon !— Et tu n’as encore rien vu.
À ces mots, elle commence à me mettre des fessées de plus en plus fortes, je sens la marque de ses mains se former sur mes fesses alors qu’elle continue de me défoncer de l’intérieur. Que c’est excitant de découvrir ce côté-là de sa personne : elle qui a d’ordinaire un regard si doux, me regarde maintenant comme un jouet, comme sa propriété. Je mouille tellement ! Je sens mon liquide couler le long de mes cuisses pour aller s’étaler sur ses draps. En cet instant, je ne gémis plus, je hurle :
— Putain, je vais jouir ! Baise-moi, baise-moi, baise-moi !— Quelle petite cochonne, je vais te donner ce que tu veux.
Ces derniers coups sont très énergiques et très intenses, l’explosion de mon orgasme qui se répand tout mon corps ! Mes jambes ne tiennent plus, je m’écroule à plat ventre sur son lit et je cherche à reprendre ma respiration, tandis qu’Aida s’allonge près de moi. Nous nous regardons un moment, puis nous nous embrassons.
— Heureusement que j’ai pensé à mettre de la musique, me dit-elle. Sinon, tu aurais rameuté tout le monde.— C’est... C’est ta faute. Tu m’as complètement détruite.— Comment ça « complètement » ? Tu ne penses tout de même pas que nous avons terminé ?— Attends, quoi ?
Une heure, elle me refait le même traitement avec son gode ceinture pendant une heure ! Je me suis toujours vantée d’avoir une bonne endurance au lit, mais Aida me dépasse de très loin ! Elle a beaucoup plus d’expériences que moi, et ça se ressent ! Quand, enfin, elle a terminé, une grosse trace de mouille était visible en plein milieu de son lit, et je crois bien que ça lui plaît à en juger par le sourire qu’elle a sur le visage.
— Inutile de demander si tu as aimé, n’est-ce pas ? dit-elle d’une voix remplie de fierté.— Regarde mes jambes trembler et tu auras ta réponse.— La prochaine fois, ce sera à toi de me le mettre.— Avec plaisir, mais je n’ai pas ton adresse pour ça.— Cela viendra, ne t’en fais pas.
Nous entamons alors une longue séance de baisers bien plus doux et sensuels que tout ce que nous avons fait ce soir, et c’est très agréable. Je suis cependant tirée de mon étreinte par la petite lumière verte de mon téléphone, m’indiquant que j’ai reçu des notifications importantes. Je vois un appel manqué et un SMS de mon père, datant tous deux d’il y a presque deux heures. Le SMS a été envoyé juste après l’appel et dit :— Rentre dès que tu le peux s’il te plaît. Ambre est à la maison, et elle ne va pas bien.
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