Le reste de la semaine passe à une vitesse folle. Ce vendredi après-midi, je suis en route vers la maison de la famille d’Emeline. Je ne sais pas trop comment je vais me comporter avec ma jeune élève. A la fois il me faut y aller en douceur pour ne pas lui faire peur, mais j’ai quand même bien l’intention d’avancer vers plus d’intimité avec elle. Je vais faire confiance à mon improvisation.La séance débute tout à fait normalement. Le rythme de travail que je lui impose est assez élevé à l’approche de ses examens. Je sens Emeline particulièrement tendu aujourd’hui. Elle fait des erreurs assez inhabituelles de sa part, s’énerve parfois sur des choses qu’elle ne comprend pas et je sens dans certains de ses gestes brusques des montées de stress. - Quelque chose ne va pas aujourd’hui Emeline ?- Non tout va bien, Merci. - Je te sens agité et agacé.- C’est vrai un petit peu. - Ce sont les examens qui te perturbent ? - Oui… Je commence à stresser. - Je comprends on est tous passé par là. Mais fais toi confiance, tu as toujours réussi jusqu’à maintenant, il n’y a pas de raison que ça se passe mal. Regarde nos séances, tu travailles vite et bien. - Je sais… C’est juste que maman me met beaucoup de pression en ce moment pour que je réussisse mes études.- Tu vas y arriver Emeline, il faut juste réussir à te détendre. J’ai peut-être un remède pour ça… - Un remède ? Je pause délicatement mes mains sur les épaules d’Emeline- Veux-tu que je te fasse un petit massage, ça te détendra ?- Un massage ? Je… je ne sais pas. Enfin… Pourquoi pas. - Comme tu veux !? Juste quelques minutes, afin de déstresser et on se remet au travail.- Euh… d’accord je veux bien. Qu’est ce qui m’a pris de lui faire cette proposition… Je crains d’avoir été trop vite. Mais trop tard pour faire marche arrière, il me faut désormais continuer dans cette voix en essayant de ne pas avoir de pulsion trop osée pour ne pas brusquer les choses.- Mets-toi bien droite sur ta chaise
Les mains sur les épaules d’Emeline je commence à lui masser doucement les omoplates avec mes pouces. Je vais maintenant devoir m’improviser masseur alors que je n’ai aucune qualité dans ce domaine… Même par-dessus le chemisier de la jeune fille j’arrive à ressentir toute sa tension. Les muscles de ses épaules sont assez tendus et j’ai du mal à croire que cette tension est uniquement due à l’approche de ses examens. Vus l’effet que je lui ai fait rien qu’en l’effleurant, j’imagine que son bas ventre est en train de se liquéfier pendant que je lui procure ce petit massage. Cette pensée a le don de provoquer en moi un début d’érection, et je suis content d’avoir mis un boxer aujourd’hui. - Fermes les yeux, respire et profite sans penser aux examens, tu verras tu te sentiras mieux après. Je masse ma chère élève pendant plusieurs minutes en étant le plus doux possible et surtout en essayant de ne pas être trop entreprenant. Je me contente de ses épaules, du haut de son dos et de sa nuque sans jamais passer sous ses vêtements. Ce n’est pas l’idéal ni très pratique, et l’envie ne manque pas de glisser mes mains dans son chemisier pour partir à l’exploration de sa poitrine mais ne soyons pas trop gourmand pour cette première approche tactile. Petit à petit je sens les muscles d’Emeline se détendre, au contraire de ma queue qui elle fait tout l’inverse… Je continue encore quelques instants jusqu’à ce que je sente Emeline totalement déstressée. - Voilà, comment te sens tu maintenant ?- Euh… bien merci ! C’est vrai que ça détend.- Bon tant mieux si ça t’a fait du bien. On va pouvoir se remettre au travail dans de meilleurs conditions maintenant.- Oui c’est vrai que je me sens mieux. Je passe juste aux toilettes avant. Passes aux toilettes ma belle, quelque chose me dit que ce n’est pas juste pour te soulager d’une envie pressante… Parfait juste le temps de faire mon petit enregistrement ! Ce petit moment m’a bien excité et je n’ai pas complètement débandé lorsque que nous nous remettons au travail sur des analyses de documents. J’ai bien envie de me détendre aussi, à ma façon, et j’ai une petite idée derrière la tête. Cinq minutes plus tard je vais à mon tour aux toilettes dans la salle de bain. Sans perdre de temps je fouille dans le panier à linge de la demoiselle et je tombe sur une petite culotte rouge posée sur le dessus. Je la prends en main, le tissu est humide, pas de doute c’est celle que portait Emeline. Ni une ni deux je sors ma queue et je commence à me masturber tout en frottant le sous vêtement d’Emeline autour de ma verge. Sentir sa mouille sur ma bite déclenche en moi une excitation foudroyante et je mets qu’une trentaine de seconde à gicler toute ma frustration dans les toilettes. Vite fait bien fait, ma petite affaire terminée je repose l’objet de mes désirs à sa place avant de tirer la chasse d’eau et de me laver les mains. La deuxième partie de séance se passe beaucoup mieux. Mon petit massage a eu l’effet escompté, Emeline est beaucoup plus productive et semble beaucoup moins stressée. De mon côté il me tarde de rentrer chez moi pour lire un nouveau chapitre du journal intime de ma jeune élève. En arrivant chez moi je me mets à l’aise avant d’allumer mon ordinateur. Complètement nu, assis à mon bureau j’ouvre le fichier d’Emeline toujours intitulé « Mon prof me fait mouiller ».4 juinJe ne sais pas si cela est le fruit de mon imagination mais j’ai l’impression qu’il se passe un rapprochement ces derniers temps avec Maël. Après sa main sur la mienne lundi dernier, mon professeur a posé ses mains sur mes épaules pendant quelques minutes le temps de lire un travail sur l’ordinateur. Etais-ce réfléchis ? Difficile à dire. Mais j’ai l’impression qu’il cherche les contacts depuis plusieurs séances. A-t-il ressenti l’effet que cela a pu me faire de sentir sa main sur la mienne la dernière fois ? A-t-il senti que j’avais envie de cela, de ses mains au contact de mon corps ? Va-t-il osé aller plus loin encore ? Lorsqu’il avait ses mains sur mes épaules, je me suis imaginé entrain de me faire masser le dos par ses grandes et belles mains viriles. J’ai commencé à avoir très chaud dans le bas du ventre comme à chacun de nos cours désormais. Je me suis senti couler entre les cuisses et j’ai dû aller aux toilettes juste après. Ma culotte était très humide, ma chatte très poisseuse… Je ne sais pas si c’est ça qu’on appelle un orgasme, mais parfois j’ai l’impression de jouir sans même me toucher. A la fin du cours j’ai regardé Maël partir par la fenêtre en écartant les rideaux. Il s’est retourné, a regardé dans ma direction. J’ai dû rougir mais je ne me suis pas détournée cette fois ci, et nul doute qu’il a remarqué que je l’observais…Je me suis allongée sur mon lit, glissé ma main entre mes cuisses pour glisser deux doigts en moi. Je les ai fais coulisser, doucement, en imaginant à nouveau les mains de Maël sur mon corps. Après quelques minutes de masturbation très humide je me suis endormi et j’ai été réveillé par maman une heure plus tard qui frappait à ma porte. Une chance qu’elle ne soit pas rentrée dans ma chambre, elle serait tombée sur sa fille totalement nue et les jambes écartées sur son lit. Et voilà que sans l’anticiper, j’ai réussi à réaliser aujourd’hui l’envie qu’Emeline avait que je lui fasse un massage. Cela m’encourage dans la voie que j’ai pris avec elle.Tout au long de ma lecture, sans vraiment m’en rendre compte j’ai commencé à me caresser le sexe. En arrière, vautré sur ma chaise, la bite entre les mains je finis gentiment ce que j’ai commencé. A peine deux heures après ma petite branlette dans les toilettes d’Emeline, me voilà à nouveau entrain de m’arroser le ventre en imaginant Emeline faire le travail à ma place…Ces étudiantes vont me rendre dingue. Entre Clémence qui demande toujours plus de sexe et Émeline qui commence sérieusement à me faire fantasmer j’ai l’impression que toutes mes pensées tournent autour du cul en ce moment. Heureusement Clémence ne peut pas venir ce soir ce qui va me permettre de me changer les idées en allant boire un verre avec des copains.
