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A Emilia

Chapitre unique

Hétéro
J’écris cette histoire juste pour sortir ce qui se passe dans ma tête avec cette fille, et dans ce texte je m’adresse à elle.
A toi Emilia :
Premièrement, sache que tout ce qui va découler de ce texte résulte d’une seule et même cause, mon grandissant amour pour toi, je t’aime. Une fois ces bases posées, je vais être franc et direct, je ne veux pas tourner autour du pot, chaque pensée de toi qui me vient est essentiellement érotique, charnelle, sexuelle. Je rêve de nos corps s’entrelaçant, se caressant, chauds et humides, se goûtant, se mordant, se griffant, se fouettant, se pénétrant et surtout se faisant jouir. Je rêve et je te l’avoue, jouir en toi, me sentir éjaculer en toi, sentir les parois de ton vagin autour de mon sexe se vidant en toi. Non pas que je veuille profiter de toi, non, ne va surtout pas croire ça, je veux t’aimer, je veux te donner, je veux que tu comprennes que c’est toi qui comptes vraiment et que c’est toi qui mérites toute mon énergie sexuelle en toi. Évidemment avant d’en arriver à là, j’ai déjà imaginé mille et une étapes alors... commençons :
D’abord le lieu, et je ne vais pas être très original, mais je te veux dans ma chambre, sur mon lit, deux bougies sur la commode et une sur la table de chevet. Il y fait sombre, mais il y a assez de lumière avec les bougies pour que l’on se voit, pour que l’on voit nos corps. On s’apprête à passer notre première nuit ensemble, nous sommes debout l’un en face de l’autre, à côté du lit. Je sors de la douche et je suis torse nu, j’ai juste mis un short court pour ne pas me présenter nu directement devant toi. Je suis plus timide que j’en ai l’air et moi aussi je suis nerveux. Toi tu es en nuisette et je t’imaginerais bien sans petite culotte, mais je sais que tu as peur toi aussi et que tu n’aurais pas osé restée nue en dessous. Mais ce n’est pas grave, je saurais l’enlever. Je m’approche de toi et te prends les mains, te regarde dans les yeux, marque une pause puis approche ma bouche de la tienne pour l’embrasser.
Je touche tes lèvres avec les miennes, les goûte avec ma langue, vais chercher la tienne. L’effet est immédiat et je sens déjà mon sexe se tendre. En réalité, je commençais déjà à bander dès que je suis entré dans la pièce, avant même de te toucher. Je n’ai pas osé te le dire même si je sais que ça t’aurait plu. Alors pour me rattraper, je dépose une de tes mains sur ma verge pour que tu sentes à travers mon bas la dureté de mon sexe, preuve de mon excitation pour toi. Nos salives se mélangent, ta main sert mon sexe de plus en plus fort et je sens l’excitation monter en toi. Je te soulève alors pour te poser sur mon lit. Je t’embrasse encore, prends tes mains pour les mettre au-dessus de ta tête, laisse poser mon sexe sur le tien pour que tu le sentes entre les lèvres de ton vagin et descends ma bouche sur ton cou. J’adore embrasser le cou et le tien sent tellement bon.
Je glisse le long de ta clavicule, fais descendre tes bretelles en même temps avec mes mains jusqu’à dévoiler tes seins. Ils sont tellement beaux, assez petits, mais tu sais, moi j’adore ça, ils sont fermes, bien proportionnés, avec de beaux tétons et en plus ils ont bon goût. J’adore les baiser avec ma bouche, je m’attarde sur eux en essayant de ne pas en rendre un jaloux et leur donne toute mon attention. Mes mains se baladent quant à elles, la main gauche sur ton corps, la main droite le long de ta cuisse gauche, que je caresse, puis remonte doucement. Je fais glisser ma main à son intérieur et remonte encore lentement jusqu’à ton entrejambe. Je dépose le bout de mes doigts, enfin, sur les lèvres de ton sexe. J’appuie un petit peu, puis relâche, puis je caresse, puis je réappuie un peu plus. Je sens l’humidité de ta culotte, je sens que tout ça t’a fait de l’effet et sentir ta cyprine au bout de mes doigts m’excite encore plus, je bande vraiment.
Je veux savoir quel goût elle a, je veux la connaître, je veux te connaître.
Après avoir remonté ta nuisette pour libérer la peau de ton corps, je descends ma bouche le long de ton corps, le long de tes côtes, le long de ton aine droite. J’arrive à ton pubis et dépose mes lèvres sur ton clitoris. Ta petite culotte est de trop maintenant et avec mes deux mains, je décide de te la retirer. Je marque un temps d’arrêt, car j’aime t’admirer face à moi, dans le plus simple appareil : les jambes relevées par mes mains, ouvertes, offertes à moi-même, n’attendant que la suite. Je pose mes lèvres sur ton sexe, et remonte sur ton clitoris ; je l’embrasse, je le lèche, je le suce. Je décide d’approcher ma main de ton vagin, et toujours en te baisant le clitoris avec ma bouche, je pénètre un doigt dans ton vagin. Je prends mon temps, je souhaite en découvrir chaque centimètre et ça y est, je suis entré en toi. Avec mon doigt, j’exerce quelques petites pressions, te fais quelques caresses, fais quelques va-et-vient.
Je remarque que ça te fait de l’effet, je ne sais pas si c’est ma bouche ou mon doigt, mais dans le doute, je te glisse un second doigt. J’exerce alors plus de pressions, je vais de bas en haut et je suce ton clitoris en même temps. Tout ceci te fait mouiller, je goûte ta cyprine, j’en ai dans la bouche, je l’aime et ça m’excite beaucoup. Tu t’excites toi aussi, tu respires de plus en plus fort et ton rythme cardiaque s’accélère. Désormais tu n’as plus peur, désormais la seule chose que tu désires c’est que l’on fasse l’amour, c’est que je te pénètre, c’est que je te baise.
La tension est à son comble, mais tu ne m’as toujours pas vu nu. Je me redresse, monte sur le lit, à genoux je m’approche de toi. Mon regard te rassure et tu te redresses un peu. Je te fais comprendre que je veux que tu descendes mon short. Ce que tu fais en utilisant tes deux mains. Tu découvres alors mon sexe bandé, ferme, tendu, et prêt à te pénétrer. Mais avant cela, je veux que tu apprennes à le connaître, c’est vrai, c’est important. Je veux que tu connaisses son odeur, sa chaleur et son goût. Après avoir mis une main derrière ta tête, je m’approche de ta bouche et dépose mon sexe sur ses lèvres. Je veux que tu comprennes qu’elle est à toi, qu’elle est là pour toi et ton plaisir, je vois que tu l’aimes. Je t’imagine alors ouvrir la bouche et commencer à y faire pénétrer ma verge dure. Tu ressens alors au fur et à mesure qu’elle s’enfonce, toutes ses saveurs, toute sa chaleur. Sa grosseur qui t’encombre jusqu’à la gorge.
Nos regards s’échangent alors et étrangement pour toi et malgré cette position délicate, une confiance encore plus profonde s’installe. Tu y prends goût et admets à toi même que me sucer t’excite encore plus. Et justement, c’est le moment pour toi et moi de vraiment se connaître, de s’unir réellement, de partager complètement nos énergies.
Je me redresse et te tire avec tes jambes sur le bord du lit. Je les plaque sur mon torse, me penche jusqu’à toi, te regarde dans les yeux, nos lèvres s’effleurent, nos souffles se mélangent, nos mains s’entremêlent, nos odeurs s’unissent...
Mon sexe s’approche de ton vagin. Mon gland se dépose sur tes lèvres. J’exerce une pression, légère dans un premier, un peu moins dans un second. Puis finalement je m’enfonce, la pression oblige ma verge à pénétrer l’entrée de vagin. Tu sens la chaleur de mon sexe en toi, tu la sens t’envahir. Bientôt toute la tête de mon sexe est en toi puis s’enfonce, les parois de ton vagin s’élargissent au fur et mesure que je progresse. Je suis en toi, je m’enfonce encore jusqu’au fond de ton jardin secret. Je marque une pause, car nous l’un dans l’autre, unis. Je t’embrasse, puis recule. Mon sexe se retire petit à petit de ton vagin, mais alors qu’il est presque sorti, il se renfonce vigoureusement, te laissant échapper un petit cri de surprise. Puis de nouveau, je me retire, puis te pénètre, puis me retire, puis te pénètre encore plus fort, encore plus intensément.
Chaque coup de reins fait augmenter ton plaisir, et à mesure que mon rythme augmente, ton souffle s’accélère, des cris s’échappent puis tu les laisses aller, tu te laisses aller. Tu commences à sentir ton vagin se resserrer, tu commences à avoir des spams, tu sens mon sexe te marteler et tu adores ça, tu en demandes encore, tu m’agrippes, tu me griffes, tu te mords les lèvres. Je te plaque sur le dos en te prenant le cou par la main. Je me redresse pour me mettre à l’aise et j’accélère, puis ralentis, puis je te pénètre avec encore plus de vigueur, me retire lentement puis me renfonce encore d’un coup sec. Tu as des spams, tu pousses des cris, tu n’arrives plus à contrôler tes jambes, ni même le reste. Tu es en train de jouir et cette image me rend fou, je sens que je viens, mon gland me fait un bien fou, je suis au bord de l’éjaculation, je prends ton bassin pour m’aider et m’enfonce jusqu’au fond de toi.
Je prends ta tête par les cheveux, je veux t’embrasser, mais moi aussi je ne me contrôle plus et mon sexe se contracte d’un coup pour cracher tout son sperme en toi, une première fois puis une deuxième, et encore une troisième. Je jouis en toi, je suis à bout...
Nos corps sont l’un dans l’autre, jouissant l’un pour l’autre. Le calme revient. Je t’embrasse et te dis : « je t’aime ».
Je crois que c’est ça, l’amour Emilia.
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