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Emilie, de jeune fille modèle à chienne exemplaire

Chapitre 4

Majestueuse Souillure

Avec plusieurs hommes
Précédemment dans Émilie... : La jeune vierge à peine majeure est devenue le jouet du jardinier de son prestigieux lycée ainsi que de certains de ses camarades.

Quelques jours plus tard :
Enveloppée dans un peignoir trop grand, Émilie gardait la tête baissée tandis qu’elle répondait aux questions du CPE. Comme elle en avait la consigne si elle se faisait surprendre, elle tenta d’assumer la pleine responsabilité de ce qui venait de se passer, dégageant du mieux qu’elle le put celle des garçons qui avaient été attrapés avec elle. Les yeux rivés au sol, parcourant les arabesques du tapis persan, elle répétait encore une fois une phrase apprise pour répondre à l’éventualité qui venait de se produire : « Je suis majeure et en pleine possession de mes moyens. Ce qui s’est passé était librement consenti et anticipé. J’ai exercé une pression psychologique sur les personnes présentes afin qu’elles cèdent à mon désir. Les garçons surpris avec moi sont donc victimes et moi coupable d’avoir abusé de leur faiblesse. Je suis prête à écrire et signer cela si vous le souhaitez et/ou à accepter toute autre forme d’accord que vous jugerez équitable. »
Jack, qui exerçait la charge de CPE depuis dix ans, ne s’était jamais trouvé face à pareille situation, mais avait souvent imaginé quelque chose de comparable dans le secret de ses fantasmes, parfois même en tenant entre ses bras une femme. La position d’autorité que lui conférait sa fonction, ainsi que son physique agréable, amenaient de nombreuses jeunes filles à flirter plus ou moins discrètement avec lui à l’occasion d’un recadrage par exemple, mais le bon sens lui interdisait de répondre à ces avances au-delà de sourires enjôleurs. Il manifestait une fermeté bienveillante et contenait l’ambivalence de ses attitudes à l’égard des lycéennes dans des limites ne menaçant pas sa réputation.Pour l’instant, il continuait donc prudemment à interroger la jeune fille tout en laissant en suspens l’espèce de contrat proposé à la fin de sa tirade.
Émilie, buste sur les genoux, se tordait sur son fauteuil, échouant à retenir en elle tous les fluides qui y avaient été déposés. Embarrassée à l’idée de tacher le cuir, elle serrait les fesses aussi fort qu’elle pouvait, mais ne pouvait tout garder et sentait le tissu du peignoir s’humidifier sous elle.
— Vous prétendez donc ne pas avoir fait cela pour l’argent, mais pour votre bon plaisir... — Oui monsieur, pour mon bon plaisir, uniquement.— Vous savez que notre établissement ne peut en aucun cas tolérer de tels agissements...— Oui monsieur, je le sais et je vous en demande pardon. Je suis consciente du mal que j’ai fait et voudrais pouvoir réparer. Je suis prête à tout pour cela. Je ferai tout ce que vous me demanderez.— Relevez la tête, je vous prie. J’apprécie de voir le visage des personnes à qui je m’adresse.
Émilie se redressa sans s’appuyer au dossier et d’un geste des deux mains cala sa chevelure blonde emmêlée et collante derrière ses oreilles, gardant les yeux au sol. Jack put ainsi constater que des inscriptions avaient également été réalisées sur ses paupières, au bic bleu. Le stylo avait sans doute été utilisé ultérieurement au marqueur sur les places laissées libres.
— En avez-vous... sur tout le corps ?— Oui monsieur. Voulez-vous que je vous montre ?
Jack délibéra un instant en lui-même avant de décider qu’il était de sa responsabilité de connaître tous les tenants et les aboutissants de cette affaire.
— Oui, je vous prie, montrez-moi.
Jack savait que par ces mots, il ouvrait peut-être une boîte de pandore, mais l’excitation l’emporta sur la prudence.
Émilie se leva, écarta les pans de son peignoir et le laissa choir à ses pieds.
A la grande surprise du CPE, la jeune fille au corps couvert de graffitis obscènes n’avait rien perdu de sa superbe. Même habillée d’ignominie, sa grâce dominait. Puante et gribouillée d’insultes, Émilie résistait sans effort apparent à tous les avilissements, affichant tout à tour à l’adresse du CPE auprès de qui elle n’était pas certaine encore de la meilleure conduite à tenir, des sourires radieux ou réservés.
Quelques minutes plus tôt, agenouillée au bout d’une rangée d’urinoirs, Émilie avait perdu le compte de toutes les décharges de foutre qu’elle avait avalé depuis qu’elle s’était installée dans les toilettes des garçons. A un moment, il y avait eu une bousculade et plusieurs d’entre eux s’étaient succédés dans sa bouche dans une grande confusion avant un retour au calme relatif. Quand le CPE était intervenu, une dizaine de jeunes hommes attendaient encore leur tour en faisant sagement la queue et ce furent donc ceux-là, qui n’avaient de coupable que les intentions, qui furent incriminés et qu’Émilie tenta de disculper.
— Tu es une souillure pour notre établissement.
Émilie qui en avait entendu d’autres tout au long de la matinée fut surtout surprise par l’emploi du tutoiement de la part de cet homme dont on eut pu douter qu’il l’employa jamais.
— Tu es une souillure que nous allons devoir nettoyer.
La jeune fille, à ces mots, se jeta aux pieds du CPE, posant sa joue contre le cuir de ses chaussures tandis que son cul, tendu vers le ciel, ouvert en grand, lui présentait ses chairs rougies et luisantes. De nombreuses flèches tracées au marqueur désignaient les deux orifices et une cible entourait l’anus. Quelqu’un avait également dessiné à partir d’un des traits de la cible, dans le prolongement de la raie, le petit logo GPS désignant les « Points d’intérêt ».
— Faites de moi ce qu’il vous plaira monsieur, mais s’il vous plaît ne me chassez pas du lycée.
Jack, une nouvelle fois, était ébloui par la beauté d’Émilie qui demeurait, même ainsi, la plus belle chose de ce bureau somptueusement meublé et décoré.
— Je vais devoir prendre des photos de ton corps, Souillure.
Le mot avait échappé au CPE, surgissant spontanément de ses lèvres alors qu’il contemplait, hypnotisé, le trou-du-cul cible de la jeune fille.
— Tu veux bien que je t’appelle Souillure ?— Oui monsieur.— Parfait, ce sera ton nouveau nom à l’avenir si tu veux rester encore un peu dans notre prestigieux établissement.— Oh oui, monsieur, merci monsieur.— Oh bon sang, Souillure, regarde ce que tu as fait !
Jack montra du doigt une tache sombre qui s’était formée à l’endroit où Émilie était précédemment assise.
— Ce fauteuil qui tu viens de salir a accueilli des personnes dont tu n’es même plus digne de prononcer les noms...— Oh pardon monsieur, pardon, s’écria la jeune femme en embrassant la pointe des chaussures du CPE.— Mes chaussures n’ont pas besoin de tes soins, Souillure. Va à 4 pattes jusqu’au fauteuil et lèche le cuir.
Émilie se retourna et s’en fut vers le fauteuil comme il lui avait été ordonné, exagérant subtilement le balancement de ses hanches, puis se pencha sur le siège et entreprit de le lécher avec application, offrant à Jack son cul en ligne de mire, plus offert que jamais.
Le CPE, comme obéissant à une loi naturelle, défit son ceinturon, baissa son pantalon puis son caleçon et s’agenouilla entre les cuisses ouvertes d’Émilie, plongeant d’un seul coup dans son cul cible sa queue trop longtemps emprisonnée. La jeune fille accueillit l’intrusion comme une ébauche de pardon. Le gémissement qu’elle émit devait plus au soulagement qu’à la sensation produite par l’enculade qui, bien que plaisante, relevait en particulier ce matin du « déjà vu ».
Jack en revanche, cédant à cet impératif sans réfléchir, vivait une situation inédite et il lui semblait en ramonant de toutes ses forces le cul de la lycéenne, entendre ces chœurs angéliques qui soulignent parfois dans les films une révélation, un miracle. Les mains crispées sur les fesses poisseuses, il lisait à voix basse les mots obscènes écrits dans le dos. L’intention d’originalité apparaissait dans certaines formules, mais les mêmes insultes se répétaient souvent, certains garçons s’étant sans doute empressés de laisser un petit souvenir avant de déguerpir, quitte à dire la même chose que les autres, un peu comme sur ces cartes de vœux collectifs.
Une formule écrite sur la hanche, un peu au-dessus de sa main droite surprit Jack par le surcroît d’excitation qu’elle généra. A la lecture de ces mots, quelque chose se contracta sous les couilles du CPE projetant avec force leur contenu dans les entrailles de la jeune fille : « Vœux d’orientation après le bac : urinoir public ».
Jack marmonna encore quelques injures en retirant sa queue ramollie de l’anus, se reprochant tout autant d’avoir négligé de se protéger que de ne pas avoir terminé sa course dans la bouche de la jeune fille. Celle-ci, pendant la poignée de minute que dura l’assaut avait continué sa besogne et léchait toujours le cuir du fauteuil quand Jack eut remis son pantalon.
— OK Souillure, ça suffit, mets-toi à genoux devant moi. On n’en a pas terminé avec cette histoire.
Émilie rejoint à quatre pattes le proviseur qui se tenait au centre de son vaste bureau et se redressa sur ses genoux devant lui, ouvrant la bouche en grand, comme elle en avait peut-être la consigne, à moins qu’il se fût agi d’une initiative personnelle. Une nouvelle fois, son regard lumineux, ses traits harmonieux jusqu’aux moindres détails lui conféraient en dépit de sa position humiliante une allure impériale. Jack, bien qu’impressionné, décida de continuer selon son plan initial. La persistance insolente de la beauté l’y incitait même peut-être mieux que si elle eut totalement disparu sous l’indignité. Il alla lui-même chercher les deux garçons qui poirotaient dans la salle d’attente.
Jack avait choisi parmi les lycéens surpris dans les toilettes avec Émilie, deux jeunes hommes de sa classe pour deux raisons : ils étaient majeurs et entretenaient tous deux une relation singulière à Émilie. Son « service de renseignement » formé de pions, de profs et d’élèves lui permettait d’en savoir long sur les élèves. Pierre Grangier, fils aîné d’un industriel du textile, était, bien qu’il s’en défendit, amoureux d’Émilie, tandis que Fabien Riberol, issu d’une famille de négociants en vins de Bourgogne, la haïssait. Très bon élève, ce dernier était cependant empêché de briller au firmament de la meilleure classe du prestigieux lycée, ainsi que ses parents l’eussent souhaité, du fait que la place était prise par la jeune fille.
En dépit des sentiments diamétralement opposés qu’ils éprouvaient à l’égard d’Émilie, les deux garçons montrèrent la même stupeur face à leur camarade agenouillée toute nue sur le tapis persan, bouche bée, comme eux, mais pour des raisons différentes.
— Messieurs, cette jeune fille s’est rendue coupable d’actes inqualifiables entachant gravement la réputation du lycée et portant atteinte à la moralité des jeunes gens qui y sont accueillis, dont vous êtes. En tant que victimes, vous avez votre mot à dire sur la question, il me semble. Je veux bien faire preuve de clémence envers cette jeune fille et continuer à l’accueillir parmi nous si vous êtes tous les deux d’accord pour cela.
Pierre cria presque « Oui, qu’elle reste, je suis d’accord ». Pierre soulageait ainsi sa conscience coupable. D’abord profondément blessé en visionnant les vidéos qui circulaient mettant en scène Émilie avec tel ou tel garçon du lycée subissant toujours plus d’outrages, il s’en était ensuite servi comme support de branlette et s’était décidé à participer, la mort dans l’âme à la séance des urinoirs. Le fait d’être surpris avant de profaner son idole l’avait en réalité soulagé et il était maintenant prêt à se jeter à corps perdu dans sa défense.
Fabien en revanche se ruait sur cette opportunité de vengeance d’autant plus savoureuse que la précédente venait de lui être confisquée. A défaut de dominer Émilie en classe, il eut en effet trouvé plaisant de contribuer à son humiliation dans les toilettes. « Hors de question que cette traînée reste dans l’établissement », dit-il d’une voix froide en fixant le beau visage barbouillé de la jeune fille.
— Nous avons donc un problème, une voix pour son maintien et une voix contre. Que faisons-nous ?
Sans plus réfléchir, Pierre se jeta sur son camarade qu’il attrapa par le col : « espèce d’enculé, t’es content hein, pauvre minable, salopard ! »
— Ça suffit, intervint le CPE en les séparant physiquement. Vous perdez la raison Grangier !— Excusez-moi monsieur, je ne sais pas ce qui m’a pris...— La créature ici présente vous fait à tous perdre la tête !
Pierre s’agenouilla à son tour, implorant la clémence de Jack.
— Monsieur, je vous en prie, laissez-lui une seconde chance.— Monsieur, relevez-vous, votre attitude est indigne de vous, de votre famille.— Peu m’importe ma famille ou ma réputation. Je suis prêt à tout sacrifier pour permettre à Émilie de rester parmi nous.— Eh bien, voici une déclaration qui mérite d’être étudiée...
Fabien regardait son camarade agenouillé en souriant d’un air mauvais.
— Je ne peux ignorer votre requête, poursuivit le CPE après un instant de réflexion. Vous êtes un élève brillant au comportement jusqu’alors irréprochable. Je ne peux pas non plus tolérer la violence physique et verbale, en particulier quand elle se manifeste dans ce bureau...— Je vous demande pardon, monsieur, souffla Pierre en baissant la tête.— Ma décision est prise. Mademoiselle T restera parmi nous.
A ces mots, Pierre s’illumina tandis que Fabien se décomposait.
— Mais il y a des conditions préalables, poursuivit Jack.
Tous les regards se tendirent vers lui.
— Mademoiselle T ne saurait, au regard de ce qu’elle a fait, continuer à humilier impunément monsieur Riberol qui sera en droit désormais, à chaque fois qu’il s’estimera lésé par cette jeune fille, d’exiger d’elle... eh bien, disons la compensation qu’il estimera juste, ayant liberté à compter de cette heure d’user d’elle comme bon lui semble dans ces circonstances.
Fabien, incrédule, se frotta les mains.
— Oh non, quelle horreur monsieur, protesta Pierre, vous ne pouvez pas...— Je n’ai pas terminé. Quant à vous monsieur, votre comportement inqualifiable ne peut rester impuni. L’insulte que vous avez prononcée à l’adresse de votre camarade exige réparation. Vous allez inviter ce dernier à sodomiser mademoiselle T sur-le-champ, sur ce tapis.— Vous... vous plaisantez monsieur...— Pas du tout. Et ce n’est pas fini. Vous serez vous-même allongé tête-bêche sous elle afin d’être aux premières loges pour assister à la scène. Acceptez-vous la sentence ? Oh, bien entendu, c’est une condition sine qua non au maintien de mademoiselle T.
Pierre, à sa grande surprise était aussi en colère qu’excité. Doutant jusqu’ici que ces deux sentiments puissent coexister, il faisait l’expérience de cette ambivalence depuis qu’il était lui-même tombé à genoux aux côtés de la jeune fille dont il était amoureux. Son pantalon contenait une douloureuse érection, grandissant à mesure que le CPE parlait, en même temps que son ressenti d’injustice.
— Nous sommes d’accord, demanda Jack comme le silence s’installait ?— Oui... souffla doucement Pierre.— Parfait. Regarde ton camarade et répète après moi...
Pierre ne remarqua pas le passage au tutoiement, abasourdi par la phrase prononcée en suivant par le CPE et qu’il était supposé répéter. Ravalant son orgueil, tremblant de rage et d’excitation, il leva la tête vers Fabien : « Je te prie de m’excuser de m’être emporté et te supplie de bien vouloir enculer Emil... heu... Souillure, pendant qu’allongé sous elle, je regarderai. »

Cette histoire se poursuivra sans doute, mais bifurque ici vers une autre, déjà publiée, que je vous invite à découvrir : Marie Lise, d’épouse fidèle à chienne docile.
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