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Emilie et mon meilleur ami

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Je m’appelle Jilian. L’histoire que je vais vous conter se déroule sur de nombreuses années. Il est possible que ce premier chapitre vous laisse sur votre faim, mais je pense qu’il est intéressant de préciser le contexte et la façon dont les choses se sont mises en place. En commençant par le jour où j’ai rencontré ma compagne.
Il y a deux décennies de ça, par un après-midi ensoleillé, je profitais de la véranda chez les parents de Michel, un ami d’enfance. Nous parlions de tout et de rien, savourant une bière, lorsqu’il m’annonça que sa sœur cadette Pauline allait nous rejoindre, accompagnée de deux de ses amies. A sa façon de sourire lorsqu’il évoqua une prénommée Emilie, je compris que cette dernière avait retenu toute son attention. Pour ma part, j’étais à l’époque récemment séparé après une relation de trois ans, et même si j’avais quelques flirts en cours, j’étais relativement curieux de découvrir l’objet de son intérêt.
Je n’ai pas été déçu, et loin de là. Je me souviens encore l’avoir regardée descendre les marches du perron, et cessé pendant quelques secondes de penser à quoi que ce soit d’autre que sa personne. Elle était grande, mince, blonde, les cheveux mi-longs. Des jambes interminables, moulées dans un pantalon de toile gris. Des fesses à vous faire hausser les sourcils. Un haut blanc, qui épousait sa petite poitrine, dévoilait légèrement le bas de son ventre. Ses yeux, d’un vert intense, parvinrent à me faire oublier l’espace d’un instant toutes les personnes présentes.
Je serais incapable aujourd’hui de détailler le moment que nous avons passé cet après-midi-là. Je me souviens vaguement des rires et des gloussements du groupe de filles, des regards inquiets de Michel qui me voyait utiliser toutes mes ressources de séduction pour attirer l’attention d’Emilie. J’avais bien sûr compris qu’il avait des vues sur elle. Je n’en ai pas tenu compte. Je ne voyais qu’elle, son regard, son sourire, et sentais que je lui plaisais. Elle habitait tout près, je l’ai raccompagnée. Nous avons discuté en chemin, puis longuement devant l’immeuble où elle habitait avec ses parents. Le courant passait.
Je vais résumer la suite, car ce ne sont pas les détails qui nous intéressent ici. Je l’ai revue le lendemain. Nous nous sommes embrassés. Notre relation a commencé comme ça, et était partie pour durer. En l’apprenant, Michel a été profondément blessé par mon attitude égoïste. J’ai pendant longtemps été désolé de lui avoir causé du tort, mais je n’ai jamais regretté mon choix. Notre amitié y a heureusement survécu. J’ai quarante-deux ans, Emilie en a trente-huit, nous avons deux enfants. Michel a, depuis, trouvé une compagne avec laquelle il a également fondé une famille.
Durant les années qui suivirent, nous fréquentâmes régulièrement Michel, passant presque toutes nos vacances ensemble en compagnie d’un troisième couple d’amis. Emilie faisait de l’ombre aux autres femmes, qui n’essayaient même pas de lui faire concurrence, et ne lui en tenaient d’ailleurs pas rigueur. Elle était belle, féminine, drôle, d’un naturel positif et enjoué. C’était comme ça, et tout le monde faisait avec. Evidemment, elle ne laissait pas mes amis indifférents. Je le voyais à la façon dont leurs regards s’attardaient parfois sur son corps. Tout particulièrement quand elle arborait des maillots deux-pièces en bord de mer.
Je me suis souvent demandé s’il leur arrivait de fantasmer sur elle, peut-être même se masturber en l’imaginant dénudée, ou dans des situations plus osées. Je n’avais pas trop de doutes sur le sujet, à vrai dire. Après tout, même en étant un homme comblé, il m’arrivait parfois de me faire plaisir en pensant à des femmes de ma connaissance. Pourquoi eux n’en feraient-ils pas de même ?
Je dois avouer que, petit à petit, cette idée a commencé à me plaire. J’en rêvais, parfois. Je les imaginais, dans leurs lits, prendre leur sexe en main et se caresser en pensant à elle. Cela m’excitait de plus en plus au fur et à mesure que les années passaient.
De son côté, Emilie n’avait qu’une conscience limitée de leur intérêt pour sa personne : elle doutait tant d’elle-même qu’elle accordait peu de crédit à son potentiel érotique. A l’entendre, elle me plaisait parce que je l’aimais, et ce ressenti très subjectif ne s’appliquait pas aux autres hommes.
Il y a six ans, un évènement, certes anecdotique en regard de ce qu’il s’est passé ensuite, a marqué un tournant dans la façon dont elle percevait leur attirance. C’était en été, au cours de vacances à l’océan. Elle s’était fait tatouer sous le sein gauche, quelques jours plus tôt, la date de naissance de notre fils. Nous étions, elle, mes deux amis et moi, à l’apéritif, pendant que leurs épouses s’étaient absentées. La conversation avait porté sur le fameux tatouage, et Michel et Nicolas réclamaient, goguenards, de pouvoir le contempler. Elle, légèrement désinhibée par le vin, s’amusait à les faire tourner en bourrique. Il faut dire que le tatouage était tellement près de son sein qu’il était difficile de le révéler sans risquer d’en montrer davantage que ce que permet la convenance.
Je me souviens bien de ce moment, car elle ne portait pas de soutien-gorge. On pouvait même deviner sous son t-shirt le renflement de ses tétons pointés. Si je l’avais remarqué, je ne doutais pas que c’était également le cas pour mes amis. Après quelques minutes, elle avait fini par accepter de satisfaire leur curiosité et, tout en soutenant leurs regards respectifs, avait glissé une main sous son haut pour couvrir son téton, avant de remonter entièrement le coton pour révéler son sein gauche et leur laisser découvrir le tatouage. La voyant ainsi exposer sa poitrine, certes partiellement recouverte par ses doigts, et leurs regards à tous les deux braqués sur elle, mon sang n’a fait qu’un tour. Je me souviens d’avoir senti mon cœur accélérer, et mon sexe manifester mon émoi de façon très sensible.
Les remarques n’ont évidemment pas tardé :
— Tu peux remonter un peu la main, je ne vois pas bien ?
— Enlève-la plutôt complètement !
Elle déclina leurs suggestions tout en riant aux éclats. Je vis bien que mes amis n’étaient pas indifférents à ce petit jeu de candide provocation. Quant à moi, pendant quelques fractions de seconde, je l’avais imaginée retirer sa main et leur exposer son sein, et cela m’avait fait trembler d’excitation. Je me souviens que nous avions évoqué le sujet, le soir même, sur l’oreiller.
— Dis donc, j’ai bien cru pendant un moment que tu allais leur montrer tes seins, lui ai-je dit.— Oh, je ne doute pas qu’ils auraient bien voulu, mais on ne va pas exagérer quand même, avait-elle rétorqué.
Plusieurs mois se sont écoulés sans qu’une situation similaire ne se représente. De mon côté, je continuais à repenser à ce moment, à le visualiser pour agrémenter mes plaisirs solitaires. Et si elle avait retiré sa main ?
Je me réjouissais également, tous les matins, de voir Emilie partir travailler dans des tenues qui, au gré d’un mouvement, devaient sans nul doute dévoiler subrepticement des aperçus de sa lingerie à ses collègues, ses clients. Elle était devenue adepte des décolletés plongeants et des jupes courtes. Parfois vraiment courtes, au point que le simple fait de se pencher légèrement dévoilait la naissance de ses fesses et ce qu’elle portait sous ses collants. J’étais sûr que les hommes qu’elle côtoyait ne devaient pas en rater une miette, et cela m’excitait au plus haut point.
Au printemps suivant, nous avons passé une semaine de vacances sur l’Ile de Beauté. Tous les deux, sans enfant, pour la première fois depuis plusieurs mois. Nous logions dans un superbe hôtel sur la baie de Santa Giulia, et profitions quotidiennement des différents bars de plage environnants, sans lésiner sur les cocktails et les verres de vin.
Un après-midi, au Palm Beach, sur la baie de Palombaggia, Emilie s’est endormie sur son transat. J’ai remarqué que le haut de son maillot de bain s’était abaissé, exposant suffisamment ses seins pour que ses tétons soient entièrement visibles. A peu de choses près, elle aurait tout aussi bien pu être topless. Sur le point de remettre son maillot en place, je m’interrompis. Le côté exhibitionniste de la situation m’excitait. Je la regardai dormir pendant quelques minutes et décidai de ne pas intervenir.
Je pus observer que quelques hommes autour de nous avaient constaté cette partielle nudité, et m’amusais intérieurement d’en voir certains passer et repasser près de notre emplacement, jetant des regards furtifs vers sa poitrine. Je faisais mine de ne pas les remarquer, me délectant de leur voyeurisme. Je dus faire des efforts considérables pour que mon érection naissante ne se distingue pas sous mon maillot de bain.
Elle resta ainsi assoupie pendant près de deux heures. Le serveur de plage, plus téméraire que les vacanciers, venait régulièrement s’enquérir de ce que je souhaitais consommer, et n’essayait même pas de prétexter l’innocence. En posant une bière sur la table basse entre nos transats, il regarda les seins d’Emilie sans l’ombre d’une gêne, puis détailla son corps de la tête aux pieds. Ses jambes étaient légèrement écartées, et le bas de son maillot laissait deviner la fente de son sexe. Le regard du serveur s’attarda sur son entrejambe. Il se tourna vers moi, comme pour demander mon approbation, et je lui souris. Il me rendit mon sourire, et resta encore là pendant quelques secondes à profiter du spectacle. Mes sens étaient en ébullition.
Le soir même, au restaurant, je fis part à Emilie de cette anecdote, et lui décrivis l’excitation qui avait été la mienne de la voir ainsi exposée et regardée. Elle était mi-amusée, mi-surprise. Que moi, l’ancien jaloux, me réjouisse d’une situation de ce genre, restait une nouveauté pour elle. Elle m’avoua que ça ne la gênait pas que le serveur ait apprécié son corps, car elle l’avait trouvé plutôt charmant. Je lui dis que, peut-être, une fois dans son lit, il allait se masturber en repensant à elle. Elle ne fit pas de commentaire, mais son sourire en coin me laissait deviner que l’idée ne la dérangeait pas.
J’ai ensuite orienté cette conversation déjà troublante vers un sujet qui me tenait à cœur. Je lui demandai de deviner quels hommes de notre entourage s’étaient déjà fait plaisir en fantasmant sur elle. Elle me répondit en riant ne pas avoir de doute sur le fait que Nicolas l’avait sans doute déjà fait, et ajouta que Michel devait le faire souvent. Elle avait souvent constaté que sa façon de la regarder exprimait un désir sans équivoque. Elle évoqua aussi un de ses collègues de travail. Je lui demandai ce qu’elle en pensait, et elle me répondit que c’était plutôt flatteur et même légèrement excitant de les imaginer jouir grâce à elle. J’avais du mal à réaliser que nous étions en train d’avoir ce genre de discussion, et j’étais aux anges. Nos ébats lors du retour à l’hôtel ne m’ont laissé aucun doute sur le fait que cet échange l’avait considérablement échaudée.
Le lendemain, lors d’un apéritif bien arrosé, nous profitions du soleil couchant sur la terrasse de notre chambre d’hôtel. Emilie lisait un magazine, et je discutais sur Whatsapp avec Michel qui me demandait des nouvelles de notre séjour. Je lui envoyai quelques photos prises l’après-midi même sur la plage, et ne pus résister à l’envie d’en glisser une où l’on voyait Emilie en maillot de bain, allongée sur sa serviette. Il me répondit que le paysage était vraiment superbe, précisant « surtout le premier plan », agrémenté d’un smiley qui rougit. Je lui répondis que je lui enverrais peut-être d’autres photos les jours suivants, vu qu’il semblait apprécier.
Je m’empressai de montrer mon téléphone à Emilie afin qu’elle puisse lire notre échange. Une fois encore, son sourire en coin me démontra qu’elle n’était pas indifférente à l’intérêt qu’il lui manifestait.
— J’imagine qu’il aimerait surtout voir des photos où je suis un peu moins habillée ! me dit-elle avec un sourire. Je sautai sur l’occasion.— Je n’en doute pas. Ça me plaît qu’il te voie en tenue légère. J’aimerais bien lui envoyer une photo de ton tatouage.— Quoi, tu veux dire une photo sans le haut ?— Oui.— Non, je ne peux pas envoyer à Michel une photo de mes seins, ça me mettrait trop mal à l’aise. Je ne veux pas qu’il se fasse des films et pense que je le drague. Et ce n’est pas très sympa par rapport à Carine...— Alors, une photo assez soft, avec un soutien-gorge par exemple ?
Elle ne répondit pas immédiatement, puis finit par me lancer : « T’es grave ! », toujours avec ce petit sourire au coin des lèvres. Je lui fis un clin d’œil, en me réjouissant des perspectives que son absence de refus catégorique laissait envisager, et je fus estomaqué de la voir immédiatement se lever et partir vers la penderie pour fouiller dans ses sous-vêtements. Elle revint au bout de quelques minutes.Elle avait retiré son haut, et portait un de ses soutiens-gorges les plus sexy. En dentelle turquoise, il était assez explicite, car non rembourré, et suffisamment transparent pour que l’on aperçoive au travers des motifs l’auréole de ses tétons. J’étais sidéré. Mais évidemment ravi. Elle se rassit et se tourna vers moi.
— Bon, ben vas-y avant que je change d’avis.
Je m’exécutai, cadrant son buste juste au-dessus du nombril, sa poitrine au centre de l’image. Elle me demanda de voir le résultat, et observa l’écran de mon téléphone pendant quelques secondes sans dire un mot.
— On voit quand même beaucoup à travers, hésita-t-elle.— C’est justement ça qui est excitant !— Oui, mais ça me fait bizarre quand même.— Je l’envoie ou pas ? Je ne veux pas te forcer la main.
Quelques secondes d’hésitation, puis : « Allez, on verra bien... ». J’ai envoyé la photo, accompagnée d’un petit message On espère que ce paysage te plaira aussi !, sur le téléphone professionnel de Michel, pour ne pas prendre de risque inconsidéré.
Plusieurs dizaines de minutes passèrent avant qu’il ne réponde. Au cours du repas, Emilie commençait à douter, me disait qu’il avait peut-être trouvé ça déplacé, que c’était une idée farfelue. Et puis, enfin, un message. Quatre ou cinq smileys aux yeux exorbités suivis d’autant d’autres avec les yeux en cœur, puis un texte : Ah oui celui-là me plaît vraiment beaucoup ! Je connaissais le tatouage, mais moins le reste... Emilie me demanda de lire sa réponse, et je perçus son soulagement.
Nous convînmes tous les deux que ce n’était finalement pas une mauvaise idée, et en tout cas amusant, d’oser des défis de ce genre. Quelques instants plus tard, nous partions nous coucher. Une fois sous les draps, j’ai laissé ma main glisser vers ses seins et ai commencé à les caresser. J’ai senti ses doigts à elle qui s’approchaient de mon sexe, qui se refermaient autour.
— En tout cas, à toi ça t’a fait beaucoup d’effet de lui envoyer cette photo !
Il faut dire que je bandais considérablement depuis une heure. Je lui confirmai que ça me rendait fou qu’elle ait osé se dévoiler ainsi, pour lui. J’approchai ma main de son entrejambe et la glissai entre ses cuisses. Sa culotte était chaude, humide.
— Je vois que toi aussi ça ne te laisse pas indifférente, lui glissai-je à l’oreille tout en jouant avec son sexe à travers la dentelle.— Non c’est sûr... C’est bizarre, mais en même temps super excitant de savoir qu’il a une photo où il voit presque mes seins !
Je passai mes doigts sous sa culotte. Sa vulve était trempée. Je commençai à la pénétrer avec un doigt, puis deux, de plus en plus profond. Sa respiration devenait plus rapide.
— Tu penses qu’il va faire quoi avec cette photo ? demandai-je tout en sentant son clitoris durcir sous mon pouce.— A mon avis... Probablement aller se branler dans les toilettes avant d’aller dormir.— Et ça te fait quoi de l’imaginer éjaculer en regardant tes seins ?
Elle continuait à me masturber lentement durant ces échanges. Tremblant de tous mes muscles, j’étais sur le point d’exploser. Sous mes doigts, son clitoris était rigide, gonflé. Elle a difficilement trouvé son souffle pour répondre « Ça m’excite... », avant de retenir sa respiration. J’ai senti son corps se cambrer, agité de soubresauts. La tête renversée en arrière, elle a gémi dans un murmure pendant que l’orgasme l’envahissait. Il m’a semblé durer éternellement. Toute à son plaisir, elle avait cessé ses va-et-vient sur mon sexe, mais au simple fait de sentir ses doigts se crisper autour, et réalisant qu’elle imaginait sans doute Michel en train d’éjaculer, je me suis abandonné à mon propre plaisir. D’une intensité exceptionnelle. Tourné vers elle, les yeux fermés, je sentis mon sperme éclabousser ses doigts, les draps, se projeter jusque sur son ventre.
J’ai laissé ma tête retomber sur son épaule. Sa respiration était rauque, profonde, sa peau moite. Elle tenait toujours mon sexe dans sa main. Epuisés par l’excès d’alcool, les émotions, et notre plaisir, nous nous sommes endormis dans cette position. Plus tard cette nuit-là, je me suis réveillé et n’ai pas résisté au plaisir de relire l’échange avec Michel sur mon téléphone. J’ai dû me rendre aux toilettes pour me soulager à nouveau.
Le lendemain, alors que nous étions en voiture pour nous rendre au restaurant, elle a reçu une notification sur son téléphone. Un message de Michel la remerciant pour la photo de la veille en lui précisant qu’il avait « fait de beaux rêves », et lui disant qu’il était impatient que nous retournions en vacances pour recevoir d’autres surprises de ce genre. Elle fut flattée, et soulagée de constater qu’il ne s’enflammait outre mesure, qu’il avait conscience que c’était un extra, un délire ponctuel. De mon côté, j’espérais bien que l’expérience se renouvelle, et le plus vite serait le mieux.
Jusqu’à la fin de notre séjour, trois jours plus tard, nous n’avons presque pas reparlé de ce sujet. Mais nous avons fait l’amour plusieurs fois par jour, chose qui ne nous était pas arrivée depuis de nombreuses années.
Je vous imagine déjà impatients de connaître la suite des évènements, les photos toujours plus sexy, leur émoi quand nous nous sommes revus avec Michel, mais... Ça ne s’est pas passé ainsi. A part un sourire entendu quand nous lui avons rendu visite quelques jours plus tard, aucune remarque sur ce qui s’était passé. Ce qui se passe à Vegas reste à Vegas, comme le dit l’adage.
Quelques semaines après, le souvenir de ce moment bien encore bien présent dans ma mémoire, j’ai défié Emilie de lui envoyer une photo un peu plus osée. Le bas de son ensemble turquoise, par exemple. Je voulais tellement qu’elle se dévoile à lui, et j’étais curieux de savoir jusqu’où elle accepterait d’aller. Mais elle a refusé. C’était un ami de longue date, sa femme également : elle craignait que tout ça ne prenne des proportions démesurées et risque de compromettre nos relations.
Elle a accepté, par contre, autre chose... Que je garde sous silence pour l’instant, mais qui fera l’objet d’autres récits.Soyez toutefois rassurés : cette histoire-ci n’est pas terminée. La suite, qui se déroule de nombreux mois après, vous sera contée dans le second chapitre...
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