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Emma ou la découverte du plaisir

Chapitre 3

Lesbienne
Elisa se tourne vers moi.
— Et tu veux le rester ?— Bien sûr que non, mais j’attends de rencontrer un homme doux et prévenant qui me dépucèlera en douceur, je sais que je vais souffrir, mais je veux le faire avec quelqu’un de gentil.— Il se peut qu’on le connaisse ton homme, qu’en dis-tu Manon ?— Oui, pourquoi pas ?— Ah bon, et c’est qui ?— On verra ça plus tard, pour le moment tu es avec nous. Tu restes ?— Bien sûr que je reste, vous n’êtes pas encore débarrassées de moi.— Tu aimes jouir, on dirait que tu ne vis que pour ça.— C’est une découverte pour moi, je ne savais pas que mon corps était si sensible aux caresses.— Tu te masturbes souvent ?— Une ou deux fois par semaine, pourquoi ?— Une ou deux fois par semaine, mais nous, c’était une ou deux fois par jour au minimum.— Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais jamais vraiment joui, rien à voir avec ce que je vis depuis cet après-midi.— J’ai aussi remarqué que tu réagissais au quart de tour quand on te touchait l’anus, tu aimes ?— Moi aussi je l’ai remarqué, mais je ne sais dire si c’est un besoin, je découvre comme vous, je ne me suis jamais touché l’anus pour des jeux érotiques. Je dois quand même avouer que quand tu m’as mis ton doigt, j’ai beaucoup aimé et je peux même dire que s’il avait été plus gros, voire si tu en avais mis deux, j’aurais encore plus apprécié.— Eh bien, on peut remédier à ça, tu es partante ?— Bien sûr.— A la douche.

Nous allons dans la douche du mobil-home qui est assez vaste pour nous contenir. Manon rabat une sorte de lunette de toilette montée sur un pied.
— Assois-toi là-dessus.


Elle prend le pommeau de la douche, le dévisse et le remplace par une sorte de petit gode percé de plusieurs trous au bout et sur sa longueur. Pendant qu’Elisa me passe une substance grasse entre les fesses, elle ouvre l’eau qui sort du gode en de multiples petits jets assez puissants, règle la température et s’agenouille à côté de moi.
— Je vais te faire un lavement à l’eau, tu verras, c’est assez jouissif, prête ?— Vas-y.

Je sens les jets m’arroser les fesses, le bout du gode se glisse entre elles et vient au contact de mon anus.
— C’est parti !!

Le gode s’enfonce doucement, mon sphincter a un peu de mal à le laisser passer, il n’a pas l’habitude, mais comme il est assez fin et avec la graisse, il ouvre la porte sans trop me faire mal. Manon l’enfonce au maximum et fait des va-et-vient. Je sens l’eau sortir de mon anus, mais surtout, les jets d’eau fouettaient la paroi de mon rectum, ça m’excite, tout comme le gode qui glisse en caressant ma rondelle, je commence à mouiller sérieusement et à prendre du plaisir. Je ne pensais pas que cette zone de mon corps puisse être aussi érogène. Je me laisse aller au plaisir qui envahit mon corps.
— Regarde Manon, elle prend son pied, c’est une bête de sexe, il suffit de la toucher quelque part pour qu’elle réagisse. — Ça promet !!

Manon continue pendant quelques minutes. Elle retire le gode et se redresse.
— OK, tu as le cul clair comme de l’eau de roche, allez, au turf !!

Nous retournons dans la chambre, Elisa dispose un gros coussin au milieu du lit et me fait allonger dessus à plat ventre, j’ai de la sorte les fesses plus hautes. Je sens une main me badigeonner de nouveau l’anus de graisse. Un puis deux doigts s’enfoncent dedans et font de petits aller-retour. Je sens mon sphincter se détendre. Les doigts me quittent et sont remplacés par un objet dur qui s’enfonce de plusieurs centimètres sans rencontrer aucune résistance. J’en éprouve un plaisir immense.
— Oui, j’aime ce truc dans mon cul, vas-y, dépucèle-moi de la rondelle, sodomise-moi.— Avec plaisir.

Le gode va-et-vient dans mon fondement de plus en plus vite, mon anus m’envoie des ondes de plaisir de plus en plus fortes, je suis très étonnée de ressentir du plaisir par l’anus, mais j’en suis très heureuse. Mon sphincter se détend de plus en plus à tel point qu’au bout d’un certain temps, je ne sens plus le gode, il glisse sans retenue, d’autant qu’il est constamment lubrifié. Je suis un peu déçue. Mais soudain, mon cul est vide, plus rien ne le perfore. Je sens l’air sur ma rondelle, elle ne s’est pas refermée. Je suis sur le point de demander ce qui se passe quand je sens de nouveau le gode revenir. Cette fois, la pénétration est plus laborieuse. Ce n’est pas le même gode, il est nettement plus gros, il doit ouvrir un peu plus mon anus.
— Tu as changé de gode ?— Oui, l’autre ne servait plus à rien, je ne sentais plus de résistance, je suis sûre que tu ne le sentais plus.— Effectivement.

Manon pousse sur le gode qui commence à ouvrir en grand mon anus, c’est une autre paire de manches, il est gros et mon sphincter ne l’entend pas de cette oreille. Manon pousse doucement, elle s’arrête, repousse, le retire un peu, repousse tant et si bien que mon sphincter se détend progressivement. Le gode trouve sa place, Manon recommence à me pistonner, d’abord lentement et sur une courte distance puis en augmentant la cadence et l’amplitude. Ça se termine par des aller-retour sur vingt centimètres à une cadence infernale. Comme pour l’autre gode, mon cul se dilate et laisse glisser l’engin en toute liberté. Mon corps commence à me donner des signes de jouissance, je sens une boule dans le bas-ventre qui diffuse dans tout mon corps des ondes de plaisir. J’ondule du bassin, pointe mes fesses vers le haut pour qu’il me pénètre encore plus.
Maintenant, Manon fait sortir le gode à chaque mouvement, la répétition de la rentrée violente du gode dans mon anus me fait disjoncter et j’explose dans un orgasme démoniaque. Mon corps est pulvérisé par une multitude d’explosions atomiques, je pointe mon cul vers le ciel, je sens le gode me quitter, je panique, mais soudain, un énorme objet s’enfonce dans mon cul, me dilatant le sphincter au maximum, c’est un nouveau gode encore plus gros, mon sphincter réagit par une violente douleur. Je suis submergée par une onde de plaisir magnifiée par la douleur, mon cœur explose de bonheur, c’est le trou noir.
Quand j’émerge, je vois Manon et Elisa autour de moi, elles ont l’air inquiètes, mais me sourient en voyant que je leur souris et se détendent.
— Putain, mais que m’est-il arrivé ?— Tu es tombé dans les pommes ma chérie.— Comment ça ?— Tu as tellement joui que tu as perdu connaissance quelques secondes.— A ce point ?— Tu as joui ma chérie, tu as joui avec ton cul, rien qu’avec ton cul. Je n’ai jamais vu une fille jouir comme ça la première fois qu’elle se fait sodomiser, d’autant qu’il est très rare de jouir qu’avec son cul.— Oh la la, quel pied, je n’ai jamais autant joui de ma vie, c’était d’une puissance extrême, vivement qu’on recommence.— Ça, ça peut se faire d’autant que ta rondelle me semble une zone extrêmement érogène.— J’avoue que c’était mieux qu’avec mon doigt sur mon petit bouton, mais je n’ai pas encore connu de belle bite d’homme.— Tu n’es qu’une bête de sexe, je suis sûre que si je te chatouille le gros orteil, tu vas trouver le moyen de jouir.

Tout le monde rigole, mais cet orgasme hors norme m’a liquéfiée, je suis épuisée. Manon s’en rend compte, elle se penche sur moi pour m’embrasser tendrement. Elle s’allonge à côté de moi, je me tourne un peu pour me coller à elle. Je pose un bras sur ses côtes, juste sous ses seins, appuie ma tête contre son épaule et m’endors instantanément.
Je suis réveillée par une main qui glisse sur mon corps. C’est Elisa qui me caresse avec beaucoup de délicatesse.
— J’aime caresser ton corps, il est tellement beau, en plus, ta peau est très douce.— J’aime que tu me caresses comme ça, mais j’aimerais aussi que tu t’occupes de mon petit minou, il est en manque de soin.

J’ai à peine fini ma phrase que des mains écartent mes jambes et qu’une bouche se pose sur mon sexe. C’est Manon qui s’est jetée dessus. Un frisson me parcourt le corps, une bouche sur mon sexe et des mains sur mon corps, je suis au nirvana. Je laisse les deux sœurs s’occuper de mon corps, je ferme les yeux pour apprécier encore plus ce moment divin. Je jouis assez vite, j’en suis assez étonnée, mais j’apprécie. Quand je reviens à moi, je vois Elisa qui prépare du café et fait griller du pain. Manon est sortie.
— Que fais-tu ?— Le petit-déjeuner bien sûr.

Je réalise qu’il fait jour, j’ai dormi toute la nuit chez elles.
— Putain, mais j’ai dormi jusqu’à maintenant ?— Oui, il n’est que sept heures trente, mais tu as bien dormi, même nos caresses ne t’ont pas réveillée, et pourtant, on s’est bien occupé de ton corps.— J’étais fatiguée et ce dernier orgasme m’a tué.— Mais quelle belle mort !!— Bon, il va falloir que je rentre, j’ai besoin de prendre une douche.— OK, mais après avoir déjeuné avec nous.— D’accord.

Je me lève pour aller m’assoir sur un pouf sur la terrasse, il fait très beau et déjà assez chaud. C’est la canicule dans le reste du pays, mais la mer tempère tout ça. Manon revient avec du pain frais et des croissants. Elle se penche sur moi pour m’embrasser, ses lèvres sentent toujours mon sexe, j’ai un violent frisson. Elle s’en rend compte et plonge sa main entre mes cuisses que j’écarte volontiers. Elle me titille le clitoris, mais très légèrement. Je commence à me liquéfier. Elle s’en rend compte, mais nous sommes sur la terrasse, il passe pas mal de monde, elle me prend la main et me fait lever. Elle m’entraîne dans la chambre, me jette sur le lit, m’écarte les jambes en grand et se retourne.
— Elisa, tu as un petit amuse-gueule sur le lit, viens, je prépare le petit-déjeuner.

Elle arrive en courant et se jette sur mon sexe, sa bouche atterrit entre mes jambes et commence une séance de léchage. Je suis les bras en croix, je ne bouge pas, je la laisse faire monter le plaisir dans mon corps. C’est une spécialiste et ça monte très vite. Je ne tarde pas à jouir, secouée de spasmes et de soubresauts de plaisir. Je reviens à moi assez vite, Elisa m’aide à me relever, nous allons rejoindre Manon sur la terrasse. La journée commence bien, deux orgasmes en une demi-heure, pas mal. Le petit-déjeuner est très cordial, l’atmosphère est à la joie. Je les quitte pour aller me rafraichir dans mon bungalow, elles me font promettre de revenir vers treize heures pour déjeuner, ce que j’accepte avec joie.
Je passe la matinée sur la plage à me faire griller. Je me suis mise à la même place que la veille. Je vois de temps en temps un attroupement sur la plage, je sais ce que ça veut dire et je sens une onde me titiller le sexe. Un homme est allongé à trois mètres de moi et se masturbe en me regardant, il a un gros sexe qu’il me montre fièrement, mais ce n’est pas avec un mec pareil que je veux perdre mon pucelage. Ça ne m’empêche pas d’ouvrir un peu plus mes cuisses pour qu’il puisse bien voir mon abricot ruisselant. Toujours allongée sur le dos, je ferme les yeux et je porte ma main sur mon sexe, elle fait des ronds sur mes lèvres, un doigt s’enfonce un peu dans mon vagin pour se lubrifier et venir caresser mon clitoris. Je sais qu’en me voyant me masturber, plusieurs personnes vont venir s’attrouper autour de moi, mais ça m’excite encore plus. Le jeu dure, j’ai appris à maîtriser ce geste et à faire durer le plaisir.
Je porte mon doigt à ma bouche pour vérifier le goût de mon sexe, il ressemble étrangement à celui de Manon. Je replonge mon doigt dans mon vagin, pour le porter à mon clitoris. Mon corps se tend lentement, je reste les yeux fermés, mais je sais qu’un attroupement s’est formé autour de moi, j’entends les gens parler à voix basse, je suis au summum de l’excitation. Encore un aspect de ma personnalité que je découvre, l’exhibitionnisme.
Mes fesses montent au-dessus de ma serviette, j’écarte les jambes pour bien offrir mon sexe au regard des autres, j’explose dans un sublime orgasme qui me transporte au nirvana sous un tonnerre d’applaudissements. C’est l’orgasme le plus fort que j’ai ressenti depuis que je me masturbe, mais ça n’atteint pas l’intensité de ce que m’ont fait vivre les filles. Quand mon corps s’est détendu et a retrouvé ma serviette, j’ouvre les yeux, il ne reste que trois femmes qui regardent fixement mon sexe grand ouvert en se caressant. Quand elles voient que je les regarde, elles font demi-tour et s’éloignent. Je me lève et vais plonger dans l’eau, elle est assez fraîche, mais c’est exactement ce qu’il me faut. Deux mains se posent sur mes fesses, je me retourne pour voir une magnifique jeune fille me sourire.
— Trop tentant, tes fesses sont trop attirantes.— OK, mais ça sera tout.— Bien compris.

Elle se retire non sans avoir parcouru mes fesses une dernière fois. Je retourne sur ma serviette, je m’allonge en ouvrant mes cuisses en grand. Je vois plusieurs personnes me regarder, je commence à mouiller grave. Je ferme les yeux, espérant que pas mal de personnes viendront voir mon sexe ruisselant. De temps en temps, je fais glisser mon majeur entre mes lèvres et le suce. J’ouvre les yeux, la fille et devant moi, pratiquement entre mes jambes, elle est accroupie, les jambes ouvertes, et se masturbe en me regardant. Une dizaine d’hommes sont autour de nous et se masturbent, je porte ma main sur mon sexe, mon majeur s’excite sur mon clitoris, la jeune fille s’agenouille et je vois à ses mouvements qu’elle jouit, je la suis très rapidement. Trois ou quatre hommes jouissent eux aussi, les autres se retirent. La jeune fille me sourit, je lui souris, elle se lève et s’en va se plonger dans la mer, je la suis. Je m’approche d’elle, elle se tourne vers moi en bombant ses seins.
Je tends les mains et les caresse, elle en fait autant avec les miens. Ma main descend sur son sexe, mon majeur se glisse entre ses lèvres, elle me fait la même chose. Je lui titille le clitoris, elle m’imite. Lentement, je sens le plaisir monter dans mon corps, je présume qu’il en est de même pour elle. Je finis par jouir quelques secondes avant elle. Quand nos corps retrouvent leur calme, nous nous regardons, elle me sourit et plonge dans l’eau en s’éloignant sous l’eau. Pas un mot, pas un gémissement, le silence. Je sors de l’eau pour rentrer au bungalow vers midi me préparer pour aller rejoindre mes nouvelles amies.
Je vais au centre commercial d’Héliopolis pour acheter une bouteille de vin, je ne veux pas arriver les mains vides. Il y a beaucoup de monde, c’est assez surprenant de voir toutes ces personnes nues aller et venir aussi naturellement, je n’ai pas encore l’habitude. Tout le monde a un regard naturel, je ne remarque pas de regard en coin comme dans toutes les villes quand on s’habille un peu sexy. Ici, tout le monde est nu, rien ne se cache. Une autre chose qui m’interpelle, c’est que malgré le monde, personne ne se touche, personne ne se bouscule. En ville, on est quelquefois bousculé quand on croise quelqu’un, ici, jamais malgré la densité de personnes. La cave est tenue par un couple très sympa, je dois dire que pour la première fois, je m’attarde un peu sur la femme, très jolie, superbement faite, dans sa robe moulante. Je suis étonnée d’avoir plus regardé la femme que l’homme, serais-je attirée ? C’est elle qui s’occupe de moi pendant que l’homme range des bouteilles.
J’arrive au mobil-home avec la bouteille de vin rosé château Puech Haut tête de bélier deux mille dix-sept bien frais que Sandrine, la caviste, m’a recommandée. Manon m’accueille avec un tendre baiser, de même qu’Elisa, mais je suis surprise de voir un homme avec elles.
— Emma, nous te présentons Pierre, notre petit frère, il a tout juste vingt et un ans.

Il vient vers moi pour m’embrasser sur les joues, mais comme il est nu, son sexe touche un peu ma cuisse. Nous nous installons sur la terrasse, je peux le regarder. Il est assez beau, grand, bien bâti avec de jolis pectoraux, un ventre en tablette de chocolat, des fesses musclées, de belle jambe. Mais surtout, un beau sexe assez gros sans être monstrueux, bien au-dessus de la moyenne de ce que je vois tous les jours, avec un gland proéminent. Je ressens un petit frisson, à voir ce beau sexe avachi entre ses cuisses. Il a ramené le bateau dans le port avec un copain qui a dû repartir tout de suite. Nous buvons un peu du rosé que j’ai amené en apéritif avant de passer à table. Après le repas, comme la mer est d’huile, Pierre nous propose d’aller faire un tour en bateau, ce que nous acceptons avec enthousiasme.
Nous fonçons au port pour embarquer, sur le coup, je suis étonnée de monter à bord nue, mais Manon m’explique que sur un bateau, on peut être nu surtout quand on vient du quartier naturiste. Le bateau est magnifique, une ligne très élancée, comme un offshore, il semble neuf, Pierre a passé une semaine à le repeindre. On peut y monter légalement à sept, il y a une grande banquette et deux sièges pivotants et une cabine basse dans laquelle on peut s’allonger. A la sortie du port, Pierre met les gaz et nous filons à quarante nœuds, presque soixante-quinze kilomètres-heure sur l’eau, c’est très impressionnant, voire un peu flippant. Au bout de quelques minutes, nous nous retrouvons en face de la plage naturiste à six ou sept cents mètres, il arrête le bateau et jette l’ancre.
— J’ai envie de me baigner, qui m’aiment me suivent.

Il plonge du bateau suivi comme son ombre par les trois femmes. Nous jouons dans l’eau assez fraîche, des mains glissent sur mon corps, je ne suis pas complètement sûre qu’elles appartiennent toutes aux filles, je m’en fous. Moi, je me contente d’explorer le corps des filles, je ne touche accidentellement le dos de Pierre que deux fois. Nous sortons du bateau, Pierre reste dans l’eau et nous pousse sur les fesses pour nous aider à grimper à l’échelle. Je dois dire que j’ai adoré le contact de sa main sur ma fesse.
Une fois remonté, Pierre étale une grande serviette sur la plage arrière rembourrée de mousse et s’allonge, Manon s’allonge à sa gauche, mais Elisa se met à sa droite en laissant un espace entre elle et Pierre, juste suffisante pour que je m’y glisse. Elle me regarde en souriant, se penche à mon oreille et me chuchote.
— Il est beau mon petit frère hein ?— Très beau.

L’espace est assez restreint, nos peaux se touchent, encore un peu froides, je sens la cuisse d’Elisa sur ma droite et celle de Pierre sur ma gauche. Elisa se met sur le côté et pose sa main sur mon ventre. Je suis surprise, mais au point où on en est, je ne me pose plus de questions, je me laisse aller à la vie qui arrive. Je pense que Pierre doit bien connaître les penchants sexuels de ses sœurs. Je ferme les yeux pour apprécier encore plus le moment, sa main me caresse tendrement, elle s’attarde un peu sur mon sein droit, descend sur mon ventre et veut passer sur ma fesse, j’ouvre les yeux et me tourne un peu du côté de Pierre pour la libérer. Surprise, la main gauche de Manon lui caresse le sexe qui a bien gonflé et commence à avoir des proportions intéressantes. Je réalise d’un seul coup que l’homme dont elle m’a parlé, le seul qui peut lui faire l’amour c’est Pierre. Je me demande s’il en est de même pour Elisa. Manon me regarde en me montrant la bite de Pierre.
— Elle est belle tu ne trouves pas ?

Je suis un peu scotchée par la situation, je ne réagis pas tout de suite.
— Tu ne trouves pas ?

Je balbutie.
— Oui, très belle.— Eh bien, caresse-la.
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