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Emma ou la découverte du plaisir

Chapitre 4

Lesbienne
Voilà autre chose, je ne connais Pierre que depuis trois heures et on me propose de lui caresser la bite, c’est quand même une drôle de famille. Je n’hésite que quelques secondes et tends ma main vers ce sexe de plus en plus gros. Je tombe sur un morceau de chair chaud et vivant, il n’est pas complètement dur et je le sens palpiter sous mes doigts. Instinctivement, je serre la main, je le sens se durcir entre mes doigts, je commence des va-et-vient et je sens la peau glisser sur le membre de plus en plus dur. C’est bien évidemment la première fois que je masturbe un sexe d’homme, c’est même la première fois que j’en touche un; encore une première. Elle devient dure comme du bois, impossible de la compresser. J’imagine qu’il bande au maximum. Mais, pendant ce temps, la main d’Elisa s’est glissée entre mes cuisses et me caresse discrètement le clitoris. Je mouille de plus en plus.
Elle enfonce un peu son doigt dans mon vagin pour me l’enfoncer dans l’anus. Je réagis en envoyant mes fesses en arrière et son doigt s’enfonce complètement. Je mouille encore plus.
Je commence à réaliser ce qui va se passer. Je pense que les filles ont décidé de me faire dépuceler par leur frère, et j’avoue que l’idée ne me déplaît pas du tout. Je lâche le sexe de Pierre et m’allonge sur le dos en écartant les cuisses au maximum de la place libre. Elisa a maintenant sa main sur mon pubis, Manon se redresse et me regarde tendrement.
— Tu crois que tu es prête ?— Pourquoi ?— Pour te faire dépuceler petite idiote.— Peut-être pas tout à fait, mais je pense que l’une d’entre vous va me préparer aux petits oignons. — C’est le rôle d’Elisa.— Allez Elisa, prépare-moi bien, j’en ai envie. Je veux que Pierre me fasse sauter l’hymen, je veux sentir son sexe dans mon sexe, en moi.— Tu es d’accord Pierre.— Bien sûr que je suis d’accord, regarde dans quel état elle m’a mis, et comment refuser de faire l’amour à une si belle femme qui se donne à toi? Bien sûr que j’ai envie.

Elisa se glisse entre mes cuisses pour me titiller le sexe avec sa langue. Quand elle constate que je suis complètement liquéfiée, elle se retire. Pierre vient au-dessus de moi, les bras tendus, je sens le bout sa bite contre ma cuisse gauche. Les filles descendent sur la banquette arrière pour nous laisser toute la place.
— Toujours partante? Je te préviens, même si je suis le plus délicat possible, tu risques d’avoir très mal.— Je sais, toutes les femmes sont passées par là n’est-ce pas ?— Oui toutes.— Alors, vas-y, j’ai envie.

Sa bite remonte la cuisse vers mon sexe et entre en contact avec mes lèvres. Je suis secouée d’un violent frisson de plaisir. Son gland les écarte et s’enfonce encore un peu, très lentement, très facilement. Mais, très vite, je sens une résistance de plus en plus forte. Mon sexe se dilate, mais la douleur arrive. Mon hymen fait barrage et résiste. Pierre me regarde avec tendresse, il sait que je commence à avoir mal et que ça va empirer.

— Je continue ?— Bien sûr, vas-y mon chéri, vas-y.

Pourquoi ai-je dit « mon chéri », je deviens folle ? Le gland s’avance encore un peu, mais assez vite à mon goût, je veux en finir. N’y tenant plus, je pose mes mains sur ses fesses musclées et donne un violent coup de reins en avant en l’attirant à moi. Il s’enfonce d’un seul coup, explosant mon hymen. Je ressens une douleur fulgurante, mais contrairement à ce que je craignais, j’en ressens presque autant de plaisir. Je me demande si, en plus, je ne suis pas un peu masochiste. Son sexe est maintenant complètement enfoncé dans le mien, je le sens sur mon col. J’enlace Pierre et le plaque contre ma poitrine, il s’allonge sur moi. J’ai mal, très mal, mais je suis bien et heureuse.
— Merci Pierre, merci pour ce merveilleux cadeau.— Tu as mal ?— Oui, mais ça ne fait rien, j’aime te sentir en moi.

Je me débrouille pour que nos bouches se soudent. Ma langue ouvre sa bouche et vient titiller la sienne. Il répond à mon baiser avec beaucoup plus d’entrain que je ne l’espérais. Notre baiser dure un certain temps, jusqu’à ce que je bouge un peu du bas-ventre pour faire comprendre à Pierre qu’il peut maintenant me faire l’amour.
— Vas-y, fais-moi l’amour.

Son sexe commence des va-et-vient dans le mien. La douleur s’accentue, mais le plaisir de l’avoir en moi la rend très supportable. Mon sexe est bien lubrifié, ma cyprine coule toujours à flots et je sens que Pierre prend lui aussi de plus en plus de plaisir. Il est toujours sur moi, je sens son torse puissant sur mes seins. Je le serre de plus en plus fort contre moi, je veux qu’il sente que mon corps commence à réagir. Je me colle à lui, mon ventre m’envoie des signes caractéristiques, je sais que je vais jouir, je sais que je vais avoir du plaisir et je veux le partager avec lui. Son gland me laboure le vagin délicatement; je le sens aller et venir librement; son pubis lisse touche mon pubis lisse et excite mon clitoris. Je me tends de plus en plus, il le sent et accélère un peu la cadence. La douleur est là, elle s’amplifie, mais elle accompagne le plaisir et le sublime.
Je me donne de tout mon être, je réussis à nouer mes jambes autour de sa taille, je suis complètement ouvert et offerte. Je commence à délirer, ma tête va dans tous les sens.
— Ma parole, mais elle va jouir !

Elisa doit être étonnée que je réagisse comme ça pour mon dépucelage, mais c’est mon corps qui commande et il veut jouir. Je me laisse aller, la douleur s’est maintenant transformée en plaisir et je propulse mon sexe à la rencontre du sien à chaque aller-retour. Mon corps se tend en se collant à celui de Pierre et quand je sens un jet liquide m’envahir le vagin, j’explose dans un sublime orgasme. Nos corps vibrent à l’unisson, je ne peux m’empêcher de poser mes lèvres sur les siennes et nous échangeons un voluptueux baiser. Je m’agrippe à lui pour prolonger le plus possible ce moment merveilleux. Je redescends doucement sur terre, je suis maintenant allongée sur la serviette et des mains me caressent sur les flancs. Je sens toujours le corps de Pierre sur le mien, mes jambes sont toujours autour de sa taille, je veux le garder sur et en moi le plus longtemps possible. Mais son sexe se ramollit et finit par sortir du mien.
Pierre se laisse aller sur le côté et Elisa se positionne entre mes cuisses toujours ouvertes, pose ses lèvres sur mon sexe et aspire le sperme de son frère. J’hallucine! Elle boit le sperme de son frère. Décidément, je n’arrête pas de faire des découvertes plus ou moins étranges avec ces filles. Quelques secondes plus tard, Manon vient prendre sa place. Quand elles jugent qu’il ne me reste plus rien, elles s’agenouillent sur ma droite. Pierre est toujours contre moi, son bras m’enlace, je me colle à lui. Manon me regarde.
— Je pense que tu as compris que le seul homme qui peut me toucher c’est Pierre.— Pareil pour moi, et quand il fait l’amour avec l’une de nous, l’autre vient boire son sperme à la source. C’est ce que nous avons fait avec toi. Cela n’empêche pas que nous allions directement à la source de temps en temps sans passer par un intermédiaire.— Je croyais que vous étiez complètement lesbiennes.— Oui, mais nous aimons le sperme et sentir de temps en temps une belle bite dans nos ouvertures. — OK, mais pourquoi qu’avec lui ?— Parce que c’est notre frère, et que les autres hommes ne nous intéressent pas du tout, c’est tout. Nous aimons sentir un sexe en nous de temps en temps, mais uniquement le sien. Je dois dire que ça n’arrive pas très souvent, et que maintenant que tu es là, ça va encore diminuer. Nous n’aimons pas les hommes, nous n’aimons que notre frère.— C’est donc lui qui vous a dépucelées ?— Oui, d’abord Manon, puis moi. Il était jeune et vigoureux.— Qui a eu l’idée ?— Moi, je voulais que Manon connaisse l’amour, elle n’arrêtait pas de parler de son pucelage, mais Pierre m’a dit être d’accord à condition qu’il nous le fasse à toutes les deux le même jour.— Et pourquoi penses-tu que vous allez faire l’amour moins souvent ?— Par ce que tu es là maintenant.— Vous comptez me garder avec vous ?— Si tu es d’accord.— Mais je pourrai faire l’amour avec vous ?— Et plutôt deux fois qu’une, avec tout le monde et même ensemble si ça te fait plaisir.

Je suis dans un nuage, j’arrive à peine à réaliser ce qui se passe. J’ai rencontré deux magnifiques jeunes filles qui m’ont révélée que j’aimais jouir et que mon corps était une source d’un plaisir inconnu jusqu’à maintenant. Avec elles, j’ai découvert l’amour entre femmes, que mon anus pouvait me donner un plaisir immense et un homme qui m’a faite femme, m’a révélée que même la douleur pouvait générer du plaisir. J’ai réalisé tous mes rêves, voire plus. Je me retourne vers Pierre pour lui demander son avis. Je n’ai pas le temps, sa bouche se colle à la mienne pour un long baiser agrémenté d’une main qui se promène sur mes fesses. J’ai ma réponse.
Nous restons un bon moment sur la plage arrière du bateau, et les mains des filles et celles de Pierre se promènent un peu sur tous les corps, tout comme les miennes. Je suis de plus en plus excitée et je vois que le sexe de Pierre commence à reprendre des formes. Je pose ma tête sur son torse, j’ai sa bite à quelques centimètres de ma bouche qui semble me narguer. Les filles me regardent très intéressées. Ma tête descend lentement sur son ventre pour venir s’arrêter à un centimètre de sa bite qui se redresse lentement. Je tire la langue pour lui lécher le gland. J’avance un peu ma tête pour engloutir complètement son vit, pas encore entièrement rigide. Il est gros, mais je n’ai pas trop de mal. Je monte et descends dessus. Elle a encore le goût de ma cyprine et de mon sang et je sens ma fontaine à cyprine s’ouvrir une nouvelle fois. Je la sens gonfler et se raidir de plus en plus jusqu’à devenir énorme et dure comme un bout de bois.
Je ne sais que faire de ce morceau de viande qui remplit ma bouche: je suis un peu gauche. Manon se penche à mon oreille.
— Mordille-lui un peu le gland, passe ta langue tout autour et aspire-le. Essaie de l’enfoncer jusqu’au fond de ta gorge, mais attention, ça peut être désagréable pour toi.

Je m’exécute et je sens qu’il réagit mieux. Il pose ses mains sur ma tête pour mieux me sentir. Je suis maintenant à quatre pattes au-dessus de sa bite. Manon et Elisa sont à côté de nous, tête-bêche et elles se font elles aussi plaisir. Je sens que son sexe palpite de plus en plus; il ne doit pas être loin de jouir.
— Attention Emma, je vais jouir, attention.

Il va jouir, mais je veux faire comme elles: je veux boire du sperme. Si elles peuvent le faire, je peux le faire. Un violent jet de liquide m’envahit la bouche. C’est chaud et onctueux. Instinctivement, j’avale tout. Deux autres jets viennent compléter le premier et je me délecte de ce sperme. Je réalise que j’aime beaucoup. Les filles jouissent juste à côté de moi. Pierre me prend dans ses bras et me fait pivoter sur le dos. Sa bouche descend le long de mon corps pour finir sur mon sexe. Sa langue est moins experte que celles des filles, mais il sait faire monter en moi la pression d’autant que les filles s’occupent du reste de mon corps. Je jouis une nouvelle fois comme une folle. Une fois calmés, nous nous allongeons sur la plage arrière pour récupérer un peu. Nous restons côte à côte en silence.
J’entends un moteur de bateau approcher, je me redresse: c’est la vedette des douanes. Deux minutes plus tôt, ils nous prenaient en flagrant délit de baise. Le bateau accoste, ils sont trois à bord, deux hommes et une jeune femme. J’ai un réflexe de pudeur, mais je vois qu’ils n’ont pas l’air de trouver bizarre que nous soyons nus. Un homme et la femme descendent sur le bateau.
— Papiers du bateau et permis s’il vous plaît.

Pierre va dans la petite cabine et en sort un porte-document. Il en extrait plusieurs documents qu’il présente aux douaniers. Je remarque que la jeune douanière n’a pas l’air de rester indifférente à la vue du sexe de Pierre. Elle le regarde très souvent. Elle tourne la tête, voit que je la regarde, semble un peu gênée, mais se détend quand elle me voit lui sourire. Je m’approche d’elle.
— Il est beau n’est-ce pas ?

Cette phrase a un double sens: elle ne sait pas si je parle de Pierre ou de son sexe. Elle rougit en me souriant. Je la regarde en haussant les sourcils. Elle me regarde en souriant.
— Oui, très beau.

C’est à ce moment que le douanier tend des papiers à pierre. Elle lui tend ceux qu’elle a et ils remontent sur la vedette.
— Tout est parfait, passez une bonne fin d’après-midi.

La vedette s’éloigne, Pierre a rangé les papiers dans la cabine et vient vers moi. Il me serre dans ses bras. Je suis bien, mon corps collé au sien. Nous échangeons un long baiser et des mains nous caressent. Le temps passe, il faut rentrer. Pierre redémarre le bateau et nous rentrons tranquillement au port. Pierre insiste pour que je passe la soirée avec eux. J’accepte volontiers car je sens qu’il va se passer de belles choses. Je leur dis que j’amènerai un concombre que j’ai acheté hier pour l’entrée.
Arrivée chez moi, je prends une douche, mais mon corps est électrisé. Je pense aux filles, je pense à Pierre, et je ne peux m’empêcher de me caresser la vulve. Je ne veux pas jouir, mais ma main sur mon sexe me calme; je suis bien. Je veux que cette soirée soit inoubliable, j’ai envie que Pierre me sodomise et décide de me préparer. Je dévisse le pommeau de la douche, règle la chaleur de l’eau et m’introduis le tuyau dans l’anus. Il se passe ce que je pensais, le liquide expulse tout ce qu’il y a dans mon rectum. J’arrête quand je constate que l’eau est parfaitement claire. Je vais dans le frigo pour en sortir le concombre que j’ai acheté hier. Il n’est pas très long, à peine plus de vingt-cinq centimètres et assez lisse. En le regardant, il me vient une idée. Je vais chercher mon huile solaire, j’en enduis le concombre, m’accroupis et le présente à mon anus. C’est froid, mais très érotique et mon sexe commence à couler sérieusement.
J’enfonce sans trop de difficulté le légume dans mon rectum. Il n’est pas très gros, mais je le sens quand même bien. Le froid m’électrise, je le fais aller et venir de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Mon corps commence à réagir et mon cul m’envoie le signal du départ. J’explose dans un super orgasme, mais je n’ai rien pour me retenir et m’écroule par terre en tombant sur le concombre qui s’enfonce complètement dans mon anus et disparaît dans mon rectum. Je le sens bien en moi et j’ai un moment de panique, mais en définitive, il ne me dérange pas. Je décide de le garder et d’aller comme ça chez les filles. Je me suis même parfumée un peu sur le pubis. Je veux les étonner. Je m’allonge sur un transat face au soleil pendant un petit quart d’heure. Je sors quelques minutes avant le rendez-vous, en traversant le camping. Je sens le concombre toujours en moi qui bouge au rythme de mes pas et ça m’excite.
Je commence à couler sérieusement. Je vois une poubelle qui fait un angle avec un petit mur, je me cache derrière et porte ma main sur mon sexe. Je veux évacuer la tension de mon corps, mais je vois arriver un couple avec deux jeunes enfants et je reprends mon chemin. J’ai aussi un peu d’appréhension: j’ai peur qu’il sorte de lui-même au milieu de l’allée. J’arrive sans encombre chez les filles. Pierre se précipite pour me prendre dans ses bras, me soulever et me faire tourner autour de lui.
— Attention Pierre, j’ai quelque chose qui risque d’être éjecté.

Il me dépose à terre, étonné. Je me retourne, me penche en avant, écarte mes fesses avec mes mains et pousse un peu. Je sens le concombre commencer à sortir de mon anus.
— Mais qu’est-ce que tu as fait, c’est quoi ça ?— Je vous avais promis un concombre pour l’entrée, le voilà, je ne savais pas comment le porter, c’est plus simple comme ça. Ne t’en fais pas, je me suis préparée avant de me l’introduire. En plus, j’adore cette sensation d’avoir quelque chose dans le cul quand je marche, c’est excitant.— Tu es encore plus folle de cul que mes sœurs, et je te garantis que ce n’est pas facile.

Les filles sortent du mobil-home et éclatent de rire en voyant le concombre légèrement sortir de mon cul.
— Ouha, c’est super! Entre, je veux voir ça de plus près.

Je rentre dans le mobil-home, Manon et Elisa m’entourent. Elisa me fait pencher vers l’avant.
— Pousse!

Je pousse un peu et le concombre sort un peu plus. Elisa se saisit du bout sorti et commence à lui faire faire des aller-retour de plus en plus rapides. Je commence à ne plus savoir où je suis. Décidément, mon cul est ma zone la plus érogène: elle réagit instantanément et me fait perdre la tête immédiatement. Je passe mes bras autour du cou de Manon, je l’embrasse tout en me maintenant grâce à elle. Je pointe mes fesses le plus possible en arrière pour faciliter le travail d’Elisa. Je finis par jouir debout, soutenue par Manon qui me serre dans ses bras. Quand je reviens à moi, Elisa m’enlève le concombre.
— Je vais l’éplucher et l’émincer, ça fera une super entrée, merci Emma.

Je suis un peu stone et je vais m’assoir sur le divan. Mais je suis précédée par Pierre qui s’assoie là où je voulais m’assoir. Il me regarde d’un air un peu coquin: il bande comme un cerf.
— Si tu veux, tu peux toujours t’assoir à cette place.

Je le regarde droit dans les yeux, me retourne et m’assois sur son sexe. Il s’enfonce lentement dans mon sexe mais je ne veux pas de ça. Je me redresse, prends son sexe dans la main et le guide vers mon anus. Je m’assois dessus et il s’enfonce jusqu’aux couilles. Je reste un moment sans bouger, j’ai le sexe de Pierre dans mon cul. Il m’enlace et me plaque contre son torse; ses mains me caressent les seins, je suis bien.
— Tu es bien comme ça ?— Merveilleusement bien, merveilleusement bien mon chéri.— Pourquoi tu m’appelles mon chéri ?— Comme ça, c’est venu comme ça.— Ce n’est pas la première fois.— Oui, mais ça te gêne tant que ça ?— Pas spécialement si je t’appelle ma chérie.— OK mon chéri.

Nous rigolons ensemble. Je me sens bien contre lui, j’adore le contact de sa peau, je ne bouge toujours pas, mais je sens son sexe se ramollir un peu. Je décide donc de bouger et de monter et descendre sur son vit. Il pose ses mains sur mes hanches pour suivre le mouvement. Mon anus est extrêmement souple, c’est sa troisième saillie. Cela ne m’empêche pas de sentir mon corps réagir. Je monte et descends de plus en plus vite. Pierre m’aide avec ses mains et je sens que lui aussi va jouir. J’ai hâte de le sentir se vider dans mon rectum. Je me donne de plus en plus jusqu’à sentir mon corps exploser dans un énième orgasme. Pierre se vide dans mon anus. Des jets de sperme arrosent mon rectum et la puissance de mon orgasme en est décuplée. Pierre me sert contre lui et me murmure à l’oreille.
— Merci ma chérie, merci de ce bonheur, merci de ta confiance.

Je me plaque encore plus contre lui. Ses mains prennent possession de mes seins et les caressent; je suis bien. Manon me regarde, elle semble heureuse de ce qu’elle voit. Je suis soulagée, je ne voudrais pas peser sur la relation de la fratrie. Je veux m’y intégrer sans m’y imposer. Lentement, le sexe de Pierre me quitte, je le regrette, mais c’est obligatoire. Pierre se lève et je veux l’imiter quand Manon me plaque sur le divan, sur le ventre.
— Tu oublies quelque chose.

Elle m’allonge sur le ventre, me soulève les fesses, les écarte pour poser ses lèvres sur mon anus et aspirer. Je sens le sperme quitter mon anus. Au bout d’un instant, elle se redresse, vite remplacée par Elisa. Quand je suis nickel, Elisa se penche à mon oreille.
— Merci Emma, merci pour ce petit en-cas.— N’oublie jamais que nous récupérons toujours le sperme de notre frère quand nous sommes là et quel que soit l’endroit où il le met.— OK, je ne l’oublierai pas.
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