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Emma ou la découverte du plaisir

Chapitre 5

Lesbienne
Nous allons rejoindre Pierre sur la terrasse, nous buvons un petit apéro et mangeons dans la bonne humeur. Le concombre est excellent, tout le monde rigole bien en pensant d’où il vient. Après le repas, tous à la plage, nous voulons prendre un bain de presque minuit. Il fait déjà nuit, mais la plage n’est pas déserte, pas occupée par des personnes qui se baignent, mais surtout par des personnes qui draguent. Plusieurs couples, hétéros ou homos, font l’amour dans les dunes, il y a surtout des hommes seuls qui se masturbent pour attirer l’attention. Cette zone de la plage est exclusivement réservée au sexe, mais nous nous baignons quand même avec plaisir. C’est juste pour le fun, car l’eau n’est pas particulièrement chaude, à peine vingt degrés, c’est un peu juste pour moi, nous n’y restons pas longtemps. Nous rejoignons le mobile home, nous n’avions pas pris de serviette, je vois Manon devant moi, le corps recouvert de gouttelettes d’eau comme nous tous.
Une fois dans le salon, je l’immobilise et commence à la lécher sur tout le corps pour lui enlever ses gouttes d’eau salée, Pierre en fait autant à Elisa. Je finis avec Manon par son pubis pour atterrir sur son sexe ruisselant de cyprine. Ma langue a vite fait de la faire jouir, quelques secondes avant Elisa. Celle-ci vient vers moi pour me faire la même chose pendant que Manon s’occupe de son frère. Je finis par jouir et me retourne vers Manon. Elle est agenouillée devant Pierre, son sexe dans la bouche. Je passe derrière Pierre, glisse un doigt dans mon vagin, et le plante entre ses fesses pour venir l’enfoncer dans son cul. Il se cambre et donne un coup de reins en arrière.
— Oui, oui, fait le bouger.

Je le pistonne avec mon doigt, je dois régulièrement venir le lubrifier dans mon vagin, mais il finit par se raidir, ses fesses me bloquent le doigt tellement elles me serrent. Il donne des coups de reins en avant, il se vide dans la bouche de Manon qui avale, mais pas tout. Quand Pierre se retire, elle se lève et vient embrasser Elisa, elles se partagent son sperme. Encore une petite pointe au cœur, j’aurais bien aimé partager avec elles. Elles s’embrassent longuement. L’heure passe, je veux repartir chez moi, ils s’y opposent, mais j’insiste, je suis trop fatiguée, mon corps a besoin de repos. Je les quitte un peu à regret tout de même, mais il le faut. Une fois chez moi, je prends une douche, me couche et m’endors comme un bébé.
Je me réveille au milieu de la nuit, j’ai une drôle de sensation, je tourne un long moment dans le lit, je ne retrouve pas le sommeil, j’ai une impression bizarre, j’ai une sensation de solitude, de vide. Je tourne et tourne, persiste jusqu’à réussir à me rendormir. Je suis réveillée en sursaut, je sens une main sur mon corps, c’est Pierre qui me secoue pour me réveiller.
— Bonjour ma chérie.— Bonjour mon chéri.— On t’attend au mobile home pour petit-déjeuner, après, on va faire une petite balade en bateau, tu en es ?— Bien sûr que j’en suis, je suis chez toi dans un quart d’heure.— OK, à tout de suite.

Mais d’un seul coup, je réalise qu’il est à ma merci, j’attrape sa main et tire violemment. Surpris, il perd l’équilibre et me tombe dessus.
— Tu ne croyais pas t’en tirer comme ça, j’espère !

Je me retourne pour me mettre sur lui. Je sens son sexe entre mes jambes, il commence à se redresser lentement. Je le serre entre mes cuisses et fais des petits mouvements pour accélérer son développement. Il me sourit et m’attire à lui pour m’embrasser. Nous échangeons un long baiser pendant que son sexe se redresse complètement et commence à trouver le chemin du bonheur. J’écarte les cuisses, glisse sur lui pour m’empaler sur son vit dur comme du bois. J’ai une légère douleur, mais c’est plus érotique que douloureux et ça m’excite encore plus. Quand je sens son gland bien enfoncé, je lève les fesses et les redescends dans un mouvement lent et régulier. Je le masturbe avec mon vagin, il semble apprécier et ferme les yeux. Je continue jusqu’à ce que je sente son sexe palpiter, signe d’une éjaculation imminente. Je me laisse aller à mon plaisir que je retenais depuis un bon moment pour l’attendre.
Son éjaculation déclenche mon orgasme, je me serre contre lui pour vivre encore plus intensément ce moment de bonheur pur. Je commence à ressentir un drôle de sentiment pour Pierre, je suis bien avec lui, mais surtout, je réalise que j’ai ressenti un manque cette nuit dans mon lit, et c’était un manque de lui. Il ne faut pas que je m’emballe, je ne le connais que depuis hier. Nous nous levons, je me dirige vers la douche.
— Où vas-tu ?— Prendre une douche.— Non, pense aux filles.— OK, mais je croyais que ce n’était que quand elles sont présentes.— Oui, mais elles ne sont qu’à deux minutes d’ici, tu peux bien leur faire ce cadeau.— Oui, mais ça va couler le long de mes cuisses.— Ne t’en fais pas, je m’en occupe.— OK, allons-y.

Pierre me prend dans ses bras, il me plaque contre son torse, je me colle à lui. Nous nous dirigeons vers le mobile home, je suis comme un loukoum qu’on amène à des enfants sages.
— Il ne faut rien perdre.

Quand nous arrivons au mobile home, Manon se précipite sur moi.
— Tu nous l’as gardé ?— Quoi ?— Ecoute ma petite chérie, tu penses bien que je me doute que si Pierre est venu chez toi, tu ne l’as pas laissé partir comme ça, allez, viens sur le divan.

Je la suis dans le mobile home, Pierre me sourit, je lui souris en lui envoyant un baiser.
— Bien sûr que je vous l’ai gardé.

Elisa est là, elles m’allongent sur le divan, et me nettoient consciencieusement. Ça a comme effet de m’exciter, ce qu’elles remarquent et décident de me faire jouir encore une fois. Je suis réveillée depuis à peine vingt minutes et j’ai déjà joui deux fois, la journée commence bien. Cette fois, je veux prendre une douche, Pierre m’accompagne, je ne veux pas de douche crapuleuse, il le comprend et se contente de me laver en insistant un peu sur les seins et les fesses tout de même. Moi aussi je me contente de le laver en insistant évidemment sur ses fesses bien musclées et un peu sur son sexe. Nous rejoignons les filles pour petit-déjeuner.
Vers neuf heures, nous sommes dans le bateau, cette fois, c’est Manon qui pilote, elle est aussi habile que son frère.
— Il faut un permis pour piloter ce bateau ?— Oui, nous avons tous les trois le permis hauturier, nous pouvons nous éloigner des côtes au-delà des six milles marins d’un port, c’est pratique pour pêcher, il y a moins de monde, mais il faut un équipement spécial, il y a plus de fond.— Vous pêchez le gros ?— Non, nous ne sommes pas équipés pour ça, et puis, c’est trop réglementé, il faut des autorisations spéciales.— OK.

Manon se dirige vers le large jusqu’à ce qu’on n’aperçoive que très peu la côte au loin, à peine visible. Elle arrête le moteur, ne jette pas l’ancre, trop profond, le bateau dérive doucement. Pierre vient vers moi.
— Chérie, on t’a préparé une surprise, tu nous laisses faire ?— Si ce n’est pas de me balancer par-dessus bord, vous pouvez faire de moi ce que vous voulez.

Il vient vers moi, me tend une petite bouteille d’huile de monoï et commence à me badigeonner avec sa propre huile.
— Vas-y, badigeonne-moi de cette huile.

Je le badigeonne sur tout le corps en insistant un peu plus sur son sexe qui gonfle et se dresse vers le ciel. Je vois Elisa et Manon se badigeonner mutuellement, elles semblent y prendre elles aussi un grand plaisir. Quand tout le monde est bien huilé, il me prend dans ses bras et m’allonge sur la plage arrière qu’Elisa a recouverte d’un drap rouge. Manon se positionne entre mes cuisses et me les écarte. Je me laisse faire, ça va encore être un moment que je ne serais pas près d’oublier. Elle se penche pour me lécher la vulve, ça manque un peu d’originalité, mais j’adore ça. Je sens mon corps commencer à réagir, Pierre vient s’allonger à côté de moi, il bande toujours, Elisa l’a entretenu, il me fait mettre sur lui. Ça devient intéressant. Nos corps huilés glissent l’un sur l’autre, c’est une merveilleuse sensation. Je sens sa bite raide contre mon vagin, je me laisse descendre dessus. Je sens son gland s’enfoncer, j’adore cette sensation de possession.
Je suis bien enfoncée sur sa bite, je commence à faire de petits mouvements quand je sens un objet dur se glisser entre mes fesses. Elisa arrive avec un grand miroir, elle le dirige pour que je puisse voir ce que me fait Manon. Elle porte une ceinture sur laquelle est fixé un godemiché assez impressionnant.
— Elle va te sodomiser avec ce gode de trente centimètres de long sur cinq de diamètre, pendant que Pierre te fera l’amour, mais je ne resterai pas inactive, ne t’en fais pas.

J’en frémis à l’avance de plaisir. Elle pose le miroir et vient se positionner au-dessus de la tête de Pierre. Elle descend lentement jusqu’à ce que sa vulve se pose sur ses lèvres. Pierre lui broute le minou pendant qu’il me fait l’amour. Je sens le gode se frayer un passage entre mes fesses et venir frapper à la porte de mes entrailles.
— Si ça te fait mal, dis-le, j’arrête.— Continue.

Elle pousse un peu, mon anus s’ouvre pour laisser le passage. Depuis hier, il est formaté, mais c’est quand même un peu gros. Manon avance doucement, une douleur se réveille, je me crispe un peu, elle le sent et s’arrête.
— Ça va ?— Oui, continue doucement.

Elle pousse doucement, mon sphincter se détend, il accepte volontiers cet intrus qui s’enfonce jusqu’à ce que je sente ses couilles sur mes fesses, trente centimètres dans le cul, mon record. Je sens le gode et le sexe de Pierre entrer et sortir de mes deux orifices. Ils se frottent l’un à l’autre, juste séparés par une fine paroi, ça augmente mon plaisir, je sais que je ne vais pas résister longtemps. Pierre s’active sur la moule de sa sœur, je me redresse le plus possible pour arriver au niveau de ses seins que je lèche et mordille avec plaisir. Manon m’enlace et me titille les seins en me pinçant doucement les tétons. Je ne peux résister plus longtemps, je jouis comme une folle entre ses trois êtres que j’aime. Je me rends compte que le plaisir que je viens de ressentir est autant cérébral que physique. Elisa jouit au moment où Pierre se vide en moi. Étonnamment, je sens Manon jouir derrière moi.
Quand tout le monde s’est calmé, je me dégage de Pierre qui reste allongé, et m’allonge à côté de lui en ouvrant mes jambes en grand. J’offre son sperme à ses sœurs. Je vois Manon qui enlève sa ceinture et oh surprise, il y a un énorme gode à l’intérieur. Elle me regarde en souriant.
— Tu ne crois pas que j’allais te sodomiser sans me faire plaisir en même temps, et je vois que tu n’as pas oublié.

Elle se jette sur mon sexe et aspire le sperme de son frère. Elisa finit le travail, mais comme d’habitude, ça m’a excité grave. Je ruisselle de cyprine. Manon vient à mon secours et commence à me brouter le minou. Sa sœur la relaie pour finir par me faire jouir. Je commence à accuser le coup, ça fait quatre fois que je jouis en moins de deux heures. Je me blottis contre Pierre en fermant les yeux, il m’enlace. Je suis bien, mais Morphée me surprend et je m’endors dans ses bras.
Je me réveille avec une sensation de vide, je suis seule sur la plage arrière, ils ont disparu. J’entends des voix dans l’eau, il y a Pierre et Elisa qui s’amusent ensemble. Une bouche se pose sur mon épaule.
— Tu n’es pas avec eux ?— Je te signale qu’il y a soixante mètres de fond, nous n’avons pas ancré, le bateau dérive, s’il s’éloigne trop rapidement, on ne peut plus le récupérer et ça peut très mal se terminer. Par mesure de sécurité, il doit y avoir constamment une personne dans le bateau.— OK, mais une personne qui sait le manier.— Bien sûr.— Donc pas moi, je peux les rejoindre.— Bien sûr chérie, vas-y.

Je me lève et plonge dans l’eau un peu fraîche à mon goût, mais j’ai envie de nager un peu. En ressortant de l’eau, je vois Manon qui me regarde en souriant, Pierre vient vers moi et m’enlace, je sens son sexe mou entre mes cuisses, nous échangeons un baiser rapide, sa main vient se plaquer contre mon sexe, j’écarte un peu les jambes.
— J’ai envie de toi, là, tout de suite.— Moi aussi.— Accroche-toi à l’échelle.

Je me retourne pour saisir l’échelle, je sens que son sexe gonfle et se raidit contre mes fesses, je commence à mouiller grave. Quand il est bien raide, Pierre le présente juste sous mes fesses, je sens son gland se glisser vers ma vulve, j’écarte au maximum les cuisses, je passe mes jambes le long de ses cuisses, je ne peux pas m’ouvrir plus. Son gland arrive sur mon vagin et s’enfonce doucement. Un long frisson me parcourt, mais ce n’est pas de froid. Il commence ses va-et-vient, assez amples, son gland arrive à la limite de mes lèvres sans sortir de mon sexe. Je ferme les yeux, je veux goûter à fond ce plaisir inconnu. Tout à coup, une langue vient me titiller le clitoris, c’est Elisa qui a plongé sous l’eau, mon corps réagit instantanément. Au bout de quelques secondes, la langue me quitte, mais elle a déjà fait son effet, je suis au bord de l’orgasme. Je sens la bite de Pierre qui commence à palpiter dans mon sexe, il va jouir.
Je le sens se raidir en moi quand la langue revient et m’aspire le clitoris, j’explose dans un sublime orgasme, je sens le sperme de Pierre me remplir le vagin, je m’agrippe à l’échelle pour ne pas couler. La langue me quitte, Elisa apparaît à côté de moi, je me tourne pour pouvoir recevoir sa bouche sur la mienne. Elle se maintient en m’enlaçant, mais sa bouche me quitte assez vite pour laisser la place à la bouche de Pierre. Nous échangeons un long baiser quand tout à coup, je sens une bouche sur mon sexe et qui aspire. Elle récupère le sperme de Pierre, mais s’arrête assez vite. Elle remonte, escalade l’embase pour monter sur le bateau.
— Il en reste.

Manon plonge, je sens sa bouche sur mon sexe cinq secondes plus tard, elle finit de récupérer son bien. Quand elle remonte à côté de moi, Pierre lui laisse la place, elle me tend ses lèvres, nos bouches se soudent. Sa langue envahit ma bouche, mais je sens qu’il reste un peu de sperme de Pierre, ma langue s’active et en récupère un maximum que j’avale avec délice. Tout ceci m’a excitée grave, j’ai envie que quelqu’un s’occupe de mon sexe, et je sais que je trouverai cette personne. Je remonte dans le bateau, aidée par la main de Pierre, je m’allonge sur la plage arrière, les jambes ouvertes, les bras en croix. Je sens le corps de Pierre sur mon corps, il bande de nouveau. Son sexe s’enfonce en moi sans aucune résistance, je me laisse aller au plaisir qui monte lentement en moi. Pierre me fait l’amour doucement, tendrement, nous sommes en missionnaire, je sens son sexe en moi et son corps sur moi, je l’enlace et fonds en larmes.
— Que t’arrive-t-il, chérie ?— Rien, ce sont des larmes de bonheur, continue, chéri, fais-moi l’amour comme ça, lentement, tendrement, comme un vieux couple. Fais-moi l’amour, fais-moi l’amour mon chéri, je t’aime.

C’est parti tout seul, je réalise que c’est ridicule, on ne se connaît que depuis deux jours, mais mon cœur a parlé, je ne sais pas s’il a raison, je l’espère. Je me donne avec tout l’amour que je peux ressentir pour cet homme, Pierre ne s’interrompt pas, il me fait l’amour tendrement jusqu’à ce que mon corps soit submergé de feux d’artifice qui le transportent au nirvana. C’est la première fois que je jouis de la sorte, je perds complètement toutes notions de réel, je ne sais où je suis, qui je suis, ce que je fais, je suis ailleurs, là où seuls l’amour, le plaisir et le bonheur comptent. Lui aussi a joui très fort en me serrant dans ses bras, nos bouches se soudent pour un long baiser d’amour. Quand nous nous séparons, les filles nous regardent, elles semblent heureuses, elles sourient, Manon pose sa main sur mon ventre et remonte vers mon sein gauche, Elisa sur le droit. Elles me les titillent, mes tétons durcissent encore plus, évidemment, mon corps réagit.
Je suis étonnée, je les regarde l’une après l’autre.
— Vous ne récupérez pas le sperme de Pierre ?— Seulement si tu nous le demandes, après ce qu’on vient de voir, nous pensons qu’il t’appartient.— C’est gentil les filles, je vous l’offre, et en plus, j’adore sentir quand vous le récupérez.— Sûre ?— Allez-y mes chéries.

Elles se jettent sur mon sexe, d’abord Elisa qui vient m’en donner un peu et Manon qui fait la même chose. Mon corps est une nouvelle fois au bord de l’orgasme, Pierre me regarde, il se penche sur moi.
— Tu peux te masturber devant nous, j’aimerais tant te voir jouir par toi-même.— Bien sûr chéri.

Je me redresse un peu.
— OK mes chéries, je vais finir le travail.

Elles me regardent, Pierre me sourit, je porte ma main sur mon sexe, le masse un peu, mais je veux faire durer le plaisir, mon majeur vient sur mon clitoris, il le titille, le masse, le caresse, je sens mon corps réagir, mais je ne veux pas aller trop vite, je veux me donner en spectacle, j’en ressens un immense plaisir, c’est maintenant sûr, je suis exhibitionniste. Je fais lentement monter la tension dans mon corps, il se tend doucement, je regarde constamment Pierre, il me sourit, je vois son sexe se redresser doucement, ça m’excite encore un peu plus. Il se saisit de sa bite et commence une lente masturbation. Je le regarde, il me regarde, je lui offre mon plaisir, il m’offre son plaisir, nous communions dans le plaisir de l’autre. Je vois que les filles aussi ont leurs mains sur leurs sexes, elles aussi veulent jouir par elles-mêmes. Mon corps se tend lentement, je vois que celui de Pierre monte aussi en pression.
Les filles se sont agenouillées de chaque côté, elles ont les cuisses grandes ouvertes juste à côté de ma tête, je peux voir leurs vulves inondées de cyprine crémeuse, je sens que moi aussi, je me liquéfie. Je finis par exploser dans un gigantesque orgasme, mais je réussis à garder mon regard sur Pierre. Je vois des jets de sperme sortir de son sexe et me tomber sur le corps. J’entends les filles jouir aussi, tout le monde est heureux. Je ferme les yeux pour écouter les messages de plaisir que m’envoie mon corps. Deux langues s’occupent des gouttes de sperme sur ma peau. J’ouvre les yeux pour voir les seins de Manon juste au-dessus de ma tête, elle est au-dessus de moi pour me lécher, elle s’occupe du haut, Elisa du bas. Je l’enlace et l’attire sur moi, je lui mordille les seins, mais j’ai envie d’autre chose, je la fais glisser vers le bas jusqu’à ce que son sexe arrive au niveau de ma bouche. Elisa lui laisse la place pour qu’elle puisse avancer et me présenter son sexe.
Je le plaque contre mes lèvres, il ruisselle de cyprine, je me délecte de son élixir d’amour, ma langue s’active sur ses lèvres, son périnée, son vagin. Je prends un plaisir particulier à passer ma langue entre ses lèvres pour récupérer et avaler sa cyprine. Elle se laisse aller et finit par jouir une nouvelle fois, quand je la libère, j’entends Elisa jouir elle aussi, c’est Pierre qui s’est occupé de son sexe avec sa bouche. Je suis un peu fatiguée, Pierre vient vers moi.
— Envie de rentrer chérie ?— Je suis le troupeau, comme tu veux.

Je réalise qu’il est plus de quinze heures, nous n’avons pas mangé pris par nos jeux d’amour. Elisa démarre le bateau et se dirige vers la côte. Pierre s’allonge à côté de moi et m’enlace. Je me laisse aller à somnoler dans ses bras, je suis bien, heureuse comme jamais je ne l’ai été. Nous arrivons au port, nous décidons d’aller manger dans un restaurant, trop tard pour cuisiner. Nous trouvons un restaurant en haut de port nature, le Waiki beach, le seul ouvert, nous nous régalons de fruits de mer. Elisa et Manon repèrent la serveuse qui est magnifique, mais, habillée, elle travaille. Elle porte une jupe très courte qui laisse deviner le bas de ses fesses. Elle se penche à côté de moi pour poser le menu, je vois une partie de ses fesses bien bronzées, elle porte au maximum un string ficelle, je ne vois rien sur ses fesses. Elisa et Manon semblent très intéressées, elles ne la quittent pas du regard.
Elle s’en rend compte et vient souvent près d’elles, elle va même jusqu’à se mettre à côté d’Elisa et de se pencher un peu plus que nécessaire pour récupérer un plat au milieu de la table. La main d’Elisa glisse sur sa cuisse et remonte sur sa fesse gauche, elle ne bronche pas, la regarde, lui sourit et retourne à l’intérieur. Vers la fin du repas, Elisa va aux toilettes, d’où je suis, je vois l’intérieur de l’établissement, la serveuse la voit, regarde sa salle pour voir si personne n’a besoin d’elle et la suit quelques secondes plus tard. Elisa revient au bout de dix minutes, tout sourire, elle se penche à l’oreille de sa sœur qui lui fait oui de la tête. Elle nous regarde.
— Nous avons une invitée ce soir vers vingt heures, nous allons lui préparer une belle réception, d’accord les amoureux ?— Oui.— OK.
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