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Emma ou la découverte du plaisir

Chapitre 6

Lesbienne
Je regarde Elisa, elle a un grand sourire, elle me regarde tendrement, c’est évident, tout le monde réalise qu’il se passe quelque chose entre Pierre et moi. Je me retourne vers lui, il me sourit.
— Moi, il n’y a qu’une seule personne qui m’intéresse.— Ça tombe bien, il n’est pas question qu’un homme la touche, c’est une pure et dure, elle veut mourir vierge. Elle s’appelle Elodie, elle a vingt ans.

Il se penche sur ma bouche, un long baiser nous unit, mon cœur fond, je suis dans un autre monde, je me donne à lui, je crois que j’ai rencontré l’homme de ma vie, mais je ne veux pas m’emballer, je suis trop cartésienne pour ça.
Nous arrivons au mobil-home vers seize heures trente. Il n’est venu à l’idée de personne que je puisse aller chez moi, je fais partie du groupe. Nous nous allongeons sur des transats, il fait chaud, mais avec la mer à côté, c’est très supportable, je me mets sur le dos. Pierre me passe de la crème sur tout le corps, il en profite pour me caresser les fesses, je dois dire que je me laisse faire avec un grand plaisir, je somnole entre deux caresses. L’après-midi s’achève, Manon et Elisa sont allées faire des courses et commandé le repas. A leur retour, nous préparons l’apéritif du soir, l’ambiance est à la rigolade quand Elisa sort un concombre.
— Ça va être super pour l’apéro, mais sans préparation d’Emma cette fois.— Pour le prochain peut-être ?

Nous rigolons tous quand arrive Elodie. Elle s’est déshabillée, elle est superbement bronzée, de très beaux petits seins, des hanches assez étroites, un ventre plat et un pubis lisse et bien bombé. C’est un « beau petit lot » comme on dit. Elle vient vers nous d’un pas décidé avec un grand sourire. Quand elle monte sur la terrasse, Elodie l’enlace et pose ses lèvres sur les siennes. Elles échangent un court baiser.
— Nous avons fait connaissance tout à l’heure.— On s’en doutait, ne t’en fait pas. Assois-toi sur cette chaise, bienvenue, pas besoin de te présenter, Elisa l’a fait pour toi, on connaît le principal.— Merci.— Je suis Manon, le beau mec, c’est Pierre notre frère et elle, c’est Emma, sa copine.

Elodie s’assoit sur la chaise en face de moi, elle ne serre pas complètement ses jambes, je remarque quelque chose de métallique au niveau de son sexe. Elle remarque mon regard dirigé vers son pubis, elle me regarde.
— Quelque chose t’interpelle ?
— Oui, tu as quelque chose sur le sexe ?

Elle ouvre un peu plus ses cuisses. Je vois deux anneaux accrochés à ses grandes lèvres.
— Je t’ai vue plusieurs fois de dos tout à l’heure, je voyais le bas de tes fesses, je ne les ai pas vus, comment ça se fait ?— Je ne les mets pas quand je travaille, surtout que je suis toujours sans sous-vêtements, sinon, ça se voit trop.— Ton patron te permet de travailler comme ça ?— Il s’en fout, pourvu que tu fasses bien ton travail, moi, j’aimerais bien travailler à poil, je ne supporte pas les fringues, mais c’est une question d’hygiène.— Tu les portes tous les jours ?— Oui, mais le plus délicat c’est ici, la direction du camping interdit le port de bijoux sexuels, je fais très attention.— Pourtant, beaucoup de femmes en ont sur le sexe et sur les seins.— Oui, ils sont un peu plus cool qu’avant, il y a un nouveau directeur.— Tu les as depuis combien de temps ?— Deux ans et demi, c’est ma mère qui me les a mis le jour de mes dix-huit ans en cadeau d’anniversaire, c’est son métier avec mon père, ils sont tatoueurs perceurs. — Ça fait mal quand on te perce ?— Pas spécialement, je dois dire que j’ai même joui quand maman m’a percé les lèvres.— Tu as joui ?— Oui, ma mère a fait ce qu’il fallait.— Ta mère t’a fait jouir ?— Oui, pour atténuer la douleur, elle posait ses lèvres sur la lèvre percée en donnant un coup de langue. A la seconde lèvre, j’ai maintenu sa tête, elle a compris et m’a titillé et aspiré le clitoris, j’ai joui comme jamais je n’avais joui. Mais si ça a été la première fois, ça n’a pas été la dernière, nous faisons régulièrement l’amour depuis.— Tu fais l’amour avec ta mère ?— Oui, elle est bi et le suis lesbienne, c’est elle qui m’a fait découvrir ce qu’était l’amour entre femmes. Mais elle n’est pour rien dans mes penchants, je ne vois pas les hommes comme partenaire amoureux. Je ne flashe que sur les femmes, c’est comme ça depuis toujours, je ne sais pas pourquoi.— Et ton père là-dedans, que fait-il ?— Ça ne le dérange pas, il sait que je n’aime pas les hommes, il le respecte. De temps en temps, il baise ou sodomise ma mère pendant qu’elle me broute le minou, je dois dire que ça m’excite de sentir ma mère secouée par les coups de boutoir que lui donne mon père.

Pierre se lève.
— C’est bien beau tout ça, mais j’ai soif, je vais chercher les glaçons.

Manon se lève pour venir se mettre entre les cuisses d’Elodie. Elle les ouvre au maximum. Je vois sa tête s’avancer lentement sur son sexe, mais je ne vois pas ce qu’elle fait, je me lève pour me mettre à côté d’Elodie, Elisa fait la même chose de l’autre côté. Manon donne un coup de langue, Elodie se cabre un peu, elle ferme les yeux, elle recommence plusieurs fois quand Pierre revient.
— Je vous signale les filles que nous sommes sur une terrasse et que pas mal de monde passe à deux mètres de nous, un peu de patience, évitons les emmerdes.

Manon se redresse, nous retournons à nos places.
— C’est vrai que j’avais oublié ce détail.

Mais je vois qu’Elodie n’est pas à l’aise, elle semble troublée. Pierre le regarde.
— Quelque chose ne va pas Elodie ?— En fait, Manon m’a excitée, j’ai du mal à revenir à moi.— Et bien, fais ce qu’il faut pour ça.

Elle nous regarde tous, ouvre ses cuisses et pose son majeur sur son clitoris qui a pris des proportions incroyables, on dirait une petite bite. Il se dresse orgueilleusement entre ses anneaux. Son doigt accélère de plus en plus, elle ferme les yeux, penche sa tête en arrière, elle prend son clitoris entre deux doigts et le masturbe comme un sexe d’homme, je n’ai jamais vu ça. Elle se tend doucement, je sais qu’elle va jouir très fort, elle s’exhibe devant nous, ça a l’air d’être son trip. Elle finit par exploser en soulevant ses fesses et en accélérant son geste, un son rauque sort de sa bouche.
— MMMMMMMMMMMMMMMMMM.

Elle finit par revenir à elle, elle nous regarde, son regard est franc, perçant.
— Merci de m’avoir laissé me libérer, je n’aurais pas été de bonne compagnie si j’étais resté sur ma faim.— Et, a priori, tu aimes te masturber.— Oui, et en plus vous avez dû remarquer que j’aime bien me montrer, j’adore me masturber en public, ça fait partie de moi.— Ici, tu fais ce qui te plaît.— Je m’en souviendrais.

Nous buvons l’apéro joyeusement, tout le monde sait comment ça va se terminer et l’attend sereinement. Vers vingt et une heures, un livreur vient nous amener une superbe paella qu’Elisa et Manon ont commandée. Nous allons dans le salon pour la manger avec délice, l’ambiance commence à monter, Elodie est assise entre Elisa et Manon. Elles ne cessent de la caresser, cuisses, seins, sexe. Elles sont en face de nous, les cuisses d’Elodie s’ouvrent de plus en plus, son clitoris sort, un doigt vient le titiller. Elle se cambre pour l’offrir au doigt, un autre se glisse entre ses lèvres, se charge de cyprine pour glisser plus bas et forcer le passage entre ses fesses. Elle serre les fesses, a priori, c’est un sens interdit. Le doigt n’insiste pas et s’en va. Elisa se le lèche, elle semble un peu déçue, mais garde le sourire. Une fois le repas terminé, Elisa se glisse sous la table et vient planter sa bouche sur la vulve d’Elodie dégoulinante de cyprine.
Elle se donne à cette bouche, Manon se penche sur elle et pose ses lèvres sur les siennes. Elles échangent un long baiser pendant qu’Elisa s’occupe de son sexe. Soudain, des mains m’écartent les cuisses et une bouche se pose sur mon sexe, c’est Pierre. Déjà excitée par le spectacle devant moi, je ferme les yeux et laisse mon corps me guider vers l’orgasme. J’entends un grondement, j’ouvre les yeux pour voir Elodie exploser une nouvelle fois, mais cette fois en silence, sa bouche est occupée. Je la suis, transportée au nirvana par la langue de l’homme que j’aime. Tout le monde finit par se calmer, nous allons vers la chambre.
Manon et Elisa allongent Elodie sur le lit, elles lui écartent un peu les jambes, pas trop. Elles lui mettent ses bras en croix et lui ferment les yeux.
— Laisse-toi faire.— Pas de problème.

Pierre se penche à mon oreille.
— Ça te dit de la goûter ?— Oui, j’aimerais bien voir ce que donnent ses anneaux sur ses lèvres.— Vas-y, fais-lui plaisir.

Je viens vers elle, je commence par lui embrasser les seins, ils sont petits, mais très fermes, j’adore cette sensation. Je descends sur son ventre, arrive sur son nombril, le titille avec ma langue, elle commence à réagir en ondulant du bassin. Ma bouche arrive sur son pubis, très doux, sa peau est d’une remarquable finesse. Je sens l’odeur de son sexe, je donne un petit coup de langue sur son clitoris qui commence à sortir de sa tanière. Je l’évite pour aller laper sa cyprine. Elle se tortille de plus en plus, elle monte un peu son bassin, je glisse mes mains sous ses fesses pour plaquer ma bouche sur son sexe. Ses fesses sont très musclées, je les malaxe, les caresse, les écarte, les resserre, elle a l’air d’apprécier. Sentant qu’elle arrive au bord de l’orgasme, je remonte sur son clitoris que je masturbe avec mes lèvres en l’aspirant et le repoussant. Je le sens aller et venir entre mes lèvres.
— Oui, oui, oh lala, oh lala, encore.

J’accélère le mouvement, elle finit par exploser dans un sublime orgasme, elle hurle son plaisir. Tous les voisins savent ce que l’on fait. Je n’arrête de la masturber que quand je sens son corps se détendre. Quand ses fesses ont retrouvé le lit, ses mains se posent sur ma tête et elle me fait remonter le long de son corps. Elle me regarde droit dans les yeux.
— Quel pied, tu es la reine du broute minou.

Elle me plaque contre sa bouche, nous échangeons un long baiser. Je finis par me redresser, Pierre me regarde, je vois qu’il a envie de moi, mais ici, ça me paraît compromis. Je viens vers lui.
— Et si on allait chez moi, laissons-les s’amuser entre elles, je pense que c’est ce qu’elles désirent.

Pierre regarde ses sœurs.
— Nous allons chez Emma, vous serez plus à l’aise sans homme.— Merci petit frère, à demain.

Nous allons dans mon bungalow, je suis heureuse de me retrouver seule avec lui, maintenant, j’en suis sûre, c’est l’homme qui partagera ma vie. Je me jette sur le lit, il vient me rejoindre et s’allonge à côté de moi.
— Fais-moi l’amour comme si on était de vieux amants, fais-moi l’amour tendrement, longuement.— Oui mon amour.

Nous avons passé une nuit d’amour intense, je me suis donnée à lui, il s’est donné à moi, nous n’avons arrêté que vers quatre heures du matin.
Le lendemain, je me réveille assez tôt, je vais chercher de quoi petit-déjeuner. A Héliopolis, je tombe sur Manon qui vient elle aussi acheter son pain. Elle me raconte leur nuit, Elodie est une amante extraordinaire, elles ont passé la nuit à faire l’amour sous tous ses angles. Elle insiste pour que nous venions chez elles pour déjeuner, j’achète les croissants et retourne au bungalow. Pierre dort toujours, il est allongé sur le lit, sur le dos. Il bande comme tous les hommes le matin. Je monte doucement sur lui et me laisse glisser sur son sexe. Ça le réveille, il me sourit et m’enlace.
— Bonjour mon amour.— Bonjour ma chérie d’amour.

Je lui fais l’amour lentement, comme nous aimons tous les deux. Je commence à bien le connaître sexuellement, nos corps s’harmonisent doucement, tendus vers le même but, le plaisir du partenaire. Nous jouissons ensemble, ça nous arrive de plus en plus souvent. Quand nous revenons à nous, je lui dis qu’on nous attend chez les filles, je garde donc son sperme pour elles. Il refuse, maintenant, son sperme est à moi, je ne suis plus obligée de faire ça. Je lui dis que ça me plaît et que, pour l’instant, ça ne me dérange pas, on verra plus tard pour les enfants. Nous nous levons, il me prend dans ses bras et nous allons directement au mobil-home, sans un mot, je vais dans la chambre en m’allongeant, les jambes écartées. Elles comprennent et viennent me vider le vagin. Quand elles ont terminé, je vais prendre une douche avec Pierre. Elodie est très impressionnée par ce que nous venons de faire. Elle peut rester avec nous jusqu’à douze heures, heure à laquelle elle reprend le boulot.
Nous déjeunons assez rapidement et allons à la plage. Nous nous sommes levés assez tard, la « baie des cochons » commence à se remplir, il est un peu plus de dix heures. Nous retrouvons ma place, pas loin du Paralia. Tout le monde se retourne sur nous, certains hommes regardent Pierre avec envie, un homme avec quatre canons, ça se remarque. Nous nous installons en arc de cercle, côte à côte, je me mets à côté d’Elodie, Pierre s’installe entre moi et Elisa. Nous avons laissé assez de place pour étendre nos jambes devant nous, nous prenons pas mal de place.
C’est Elodie qui donne le départ des festivités, elle s’allonge sur sa serviette, écarte un peu les jambes et commence à se masturber. Manon l’imite tout de suite, je m’allonge en même temps qu’Elisa. Pierre nous regarde. Nous nous masturbons en cercle, je vois que des personnes arrivent. Je ferme les yeux et me caresse le sexe de manière à rester juste en deçà de l’orgasme, j’entends Elodie émettre des soupirs de plaisir, j’en fais autant. Doucement, la pression monte, je sens une onde commencer à parcourir mon corps, j’entrouvre les yeux pour voir au moins vingt personnes, hommes comme femmes, autour de nous qui se masturbent ou regardent tout simplement. Mon côté exhibitionniste prend le dessus, je finis par jouir en me cambrant, les fesses à dix centimètres du sol, j’entends Elodie me suivre, suivie par Manon et Elisa.
Je me laisse redescendre lentement au fur et à mesure que mon corps se détend, j’ouvre les yeux pour voir l’attroupement autour de nous, en définitive, il n’y a pas tant de personnes que ça, on n’est pas l’après-midi ou la plage est bondée.
Mais l’autre surprise, c’est que Pierre filme ses sœurs et Elodie avec son smartphone, je présume que je fais partie de la distribution. Il fait un gros plan sur le sexe d’Elodie grand ouvert encore en apesanteur. Les anneaux ont l’air de plaire aux personnes autour de nous, tout le monde est focalisé sur son sexe. Elle redescend lentement, je suis allongée, elle se tourne vers moi, pivote, me monte dessus et présente son sexe devant ma bouche. Ses lèvres s’emparent de mon vagin. Je fais la même chose, nous commençons un soixante-neuf d’enfer, mais je ne sais pas comment mon corps va réagir immédiatement après avoir joui. Je fais comme si tout allait bien se passer, et encore une fois, c’est mon côté exhibitionniste qui prend le dessus. Mon corps se réveille aux caresses d’Elodie, je suis subjuguée par ses anneaux, c’est un peu de froid au milieu de ses lèvres chaude et gluante de cyprine.
Elle me coule littéralement dessus, je sens que je vais jouir, je la plaque contre moi, son clitoris a encore gonflé, il est énorme, je le suce et le branle avec mes lèves comme hier. Son corps ondule sur le mien, je sens son plaisir monter, quelque chose me dit qu’elle ne va pas tarder à jouir, mais je ne sais quoi. C’est elle qui gagne, j’explose dans un gigantesque orgasme, mes dents se serrent, je lui mords le clitoris, heureusement, je m’en rends compte et relâche la pression. Elle me suit assez vite, son corps se raidit sur le mien, je vois que deux femmes se masturbent en nous regardant, l’une d’elles a des lèvres gigantesques qui pendent entre ses cuisses. Quand Elodie se détend, elle pivote à nouveau et vient poser ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un long baiser pendant que Manon et Elisa, qui nous avaient imités, jouissent. L’attroupement se disloque, il ne reste que deux femmes et un homme à côté de nous. Manon se tourne vers eux.
— Salut les amis, de retour parmi nous ?— Oui, on est arrivé hier soir, c’est notre premier jour.

Les deux femmes viennent embrasser Pierre, Elisa et Manon, l’une d’elles vient vers moi et me regarde, elle est magnifique. Je me redresse, elle se penche pour m’embrasser, mais perd l’équilibre sur le sable et me tombe dessus. Je me retrouve sur le dos avec une femme sur moi. Nos yeux sont à dix centimètres les uns des autres, je vois à son regard qu’elle a envie de quelque chose. Je passe ma main derrière sa tête et appuie. Nos lèvres se soudent, nos langues font connaissance, elles se plaisent et continuent un bon moment. Elle ondule du bassin sur mon pubis, je recommence à avoir envie de jouir. Elle libère ma bouche pour descendre lentement sur mon corps en embrassant tout ce qu’elle rencontre, cou, seins, peau, ventre, nombril. Je ferme les yeux pour apprécier cette sensation sans parasite visuel. Elle arrive sur mon sexe, sa langue se glisse entre mes lèvres pour récupérer ma cyprine qui coule à flots.
Je commence à ne plus savoir où je suis lorsque je sens quelque chose de doux, chaud et humide se poser sur ma bouche. J’ouvre les yeux, c’est l’autre femme qui vient de poser son sexe sur ma bouche. Ma langue se déchaîne sur ses lèvres et son clitoris bien caché derrière son capuchon. Je porte mes mains sur ses hanches pour la garder en position. Je sens qu’elle coule comme une fontaine, je bois son élixir d’amour, je ne peux plus atteindre son clitoris, elle se masturbe. Je sens qu’elle monte en pression, mais moi aussi, je suis au bord de jouir, je ne peux résister longtemps et explose de nouveau dans un merveilleux orgasme. La femme qui est sur moi jouit à son tour quelques secondes plus tard en m’aspergeant copieusement le visage d’un liquide chaud, ce qui prolonge mon orgasme. C’est une femme fontaine, encore une première.
Etonnement, je ne ressens pas de dégoût, je me lèche les babines, je ne sais définir le goût, ça a l’odeur de l’urine, mais très diluée, à peine perceptible, mais si cela avait été de l’urine, je crois que ça ne m’aurait pas gêné, serais-je aussi urophile ? La femme sur mon visage se lève et me libère, je vois ses magnifiques fesses bien bronzées s’éloigner.
Je me redresse, je n’ai pas le temps de réagir que Pierre m’allonge et se met sur moi. Son sexe s’enfonce lentement dans le mien. Il me fait l’amour comme j’aime, lentement, mais, à ma grande surprise, mon corps réagit tout de suite, mon pubis va à la rencontre de son corps. Je l’enlace, nous échangeons un long baiser pendant qu’il s’active dans mon sexe. Je sens son sexe commencer à donner des signes de plaisir, je passe mes jambes autour de sa taille, ce qui ouvre mon sexe encore plus. Je le sens se raidir, je m’abandonne à cette onde qui parcourt mon corps pour me faire jouir comme une folle, surtout quand je sens un violent jet de sperme me remplir le vagin. Une fois calmés, il s’allonge à côté de moi, je reste les jambes ouvertes. Je sens une bouche venir aspirer le sperme de Pierre, une seconde vient la remplacer quand elle me quitte. Les filles me nettoient consciencieusement, mon sexe est nickel.
Il y a pas mal de monde autour de nous, les gens arrivent et nous sommes juste sur le passage. Vers midi et demi, nous retournons au mobil-home, Elodie nous quitte pour aller travailler. Pierre aimerait que je m’installe avec eux, il ne me reste que trois jours de location et je peux rester ici jusqu’à la fin des vacances. Nous allons voir la direction qui m’enregistre chez eux à partir de la fin de ma location.
Je suis restée avec eux jusqu’à fin août, je suis retournée à Toulouse avec Pierre et les filles, nous avons emménagé ensemble dans l’immense appartement que leurs parents leur ont laissé. Les journées se passent toujours de la même manière, fac, maison, amour. Je me partage entre les filles et Pierre, j’avoue que je ne pourrais pas me passer d’elles. Mais, mon cœur n’appartient qu’à Pierre, il est l’homme de ma vie, aucun autre homme ne me touche, comme les filles, mais ce n’est pas pour les mêmes raisons. Elles ne se partagent plus le sperme de Pierre, maintenant, je le garde en moi, et elles ont bien compris. Cela dit, je vis une sexualité libre, j’aime rencontrer d’autres filles, elles viennent toujours chez nous, nous la partageons entre filles, Pierre ne voulant pas participer. Et les filles ramènent souvent une fille, voire plusieurs, qu’elles partagent avec moi.
J’aime la douceur des femmes, mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est l’amour que me porte Pierre, il sera le père de mes enfants. Cela dure depuis un an, nous retournons passer deux mois à Agde dans deux jours, je ne sais pas ce que ça va donner avec la pandémie, mais je serais quand même la plus heureuse des femmes, avec les personnes que j’aime. « Pourvou qué ça doure » comme disait Maria Létizia.
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