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Emma et ses tourments

Chapitre 3

Minuit sous les draps

Inceste
Dire que j’ai passé un week-end de merde est un euphémisme. J’ai à peine mangé, à peine dormi et mes quelques heures de sommeil ont été interrompues par des fantasmes de mon beau-père nu – sur moi, au-dessus de moi, derrière moi... Ce matin, moins de chance. J’émerge en sursaut, haletante. Je tremble de tous mes membres, entortillée dans mes draps de soie. Je suis en sueur. Mon rêve était si intense qu’il m’a amenée à l’orgasme. J’alterne les rêves érotiques et les cauchemars où ma mère nous surprend. « Merde » fais-je en sortant du lit. Je suis vraiment la pire fille qu’une mère puisse avoir. Ça va de mal en pis. Comment j’aurais pu savoir que la relation avec mon beau-père déraillerait autant ? Et surtout, que j’aimerais ça ?
Je passe sous la douche. Mais tandis que, debout dans la salle de bains, j’attends que l’eau soit à la bonne température, mes pensées dérivent une nouvelle fois. Je crève d’envie de l’entendre prononcer mon nom au moment où il jouit. Mon cœur saute dans ma poitrine. Fantasmer sur lui, c’est un aller simple pour le purgatoire. Je me lave et je m’habille rapidement. Pour me donner le courage de l’affronter, j’enfile une robe qui met parfaitement mes courbes en valeur, j’y ajoute une paire de baskets pour ne pas avoir l’air trop provocante.
Je me dirige vers la cuisine pour prendre en vitesse mon petit-déj. Sur le réfrigérateur, je trouve un mot accroché : « Une urgence au travail, je ne rentre que ce soir. Bisous, maman». Piouu ! Je suis soulagée de ne pas la voir ce matin. Je l’ai déjà esquivée tout le week-end et je compte bien continuer comme ça. Mais rien que le fait de savoir que je suis actuellement seule avec Marc, je sens des fourmillements au niveau de mon vagin. Je suis irrécupérable ! Je prépare mon thé tout en essayant de chasser mes pensées obscènes. Machinalement, je mets en route la machine à café pour Marc.
— Hmm ça sent bon le café, merci Emma, dit-il en s’étirant les bras.
Je sors une tasse et la remplis du liquide amer, puis la lui tends. Ses yeux sont fixés sur mon corps. Cette robe gagne à tous les coups. Il reste quelques secondes, perturbé par ce qu’il voit.
— T’as vu un fantôme ou quoi ? lui dis-je d’un ton sarcastique. — Elle te va... très bien cette robe Emma.
Son regard me déstabilise. Il ne fait même plus l’effort de cacher le désir qu’il éprouve pour moi. Et pour être totalement honnête, j’ai moi même du mal à réprimer mes envies. Sans quitter mes yeux, il s’approche de moi, me poussant à reculer et me retrouver coincé entre lui et l’îlot central de la cuisine. D’une main tremblante, je dépose doucement nos tasses sur le côté. Je n’entends plus que les battements de mon cœur sous ma poitrine. Je le regarde... ou plutôt je dévore son visage de mon regard. Mes yeux glissent de ses cheveux à ses lèvres. Ses magnifiques lèvres que je rêve d’embrasser. Comment fait-il pour réduire systématiquement mon cerveau en bouillie et mouiller mes petites culottes ?
Je mordille ma lèvre inférieure. Il a maintenant son regard rivé sur celle-ci. Dans le mouvement d’une pulsion commune, on s’empare de nos lèvres respectives. On s’embrasse avec faim, féroce et désir. Bordel, il embrasse si bien. Mon corps s’embrase une nouvelle fois. Entre quelques baisers, essoufflée, je réussis à dire « je... vais être... hum... en retard pour la fac...». Il s’arrête le temps d’une seconde et je vois le feu dans ses yeux.
OK j’ai compris, je vais être en retard.
Il me porte avec facilité, comme si j’avais le poids d’une plume, et me pose sur l’îlot. Retire d’un geste agile ma culotte. Remonte dans le même élan ma robe au-dessus de mon nombril. Ma chatte toute épilée se retrouve face à lui. Un sourire se dessine sur son visage quand il réalise à quel point elle est déjà bien humide. L’attente est interminable, je n’ai jamais autant voulu qu’on me la bouffe. Je pose mes pieds sur la table et écarte mes cuisses lui donnant mon feu vert. Il s’empresse de plonger sa tête en direction de mon vagin. Sa langue lèche goulûment ma fente désormais trempée. Un râle profond m’échappe. Je lui agrippe les cheveux très fort, ce qui lui arrache un soupir. Putain que c’est bon. Mon dos se cambre sous les coups répétés de sa langue. On sent l’expérience. Je comprends mieux pourquoi maman l’aime tant.
Pendant qu’il embrasse voracement mon clitoris, deux de ses doigts viennent pénétrer mon antre. Il veut ma mort ou quoi ? Je ne retiens plus mes gémissements, ses doigts font des va-et-vient de plus en plus rapides tandis que j’ai de plus en plus de mal à rester en place.
— Chéri t’es là ? C’était une erreur, je ne travaille pas aujourd’hui. Faut que j’appelle Sarah, c’est son tour de garde.

OH MON DIEU. Mon sang se glace instantanément. L’excitation redescend aussi vite qu’elle est montée. Mon beau-père me regarde d’un air terrifié. Je bondis hors de la table, ne manquant pas de faire tomber les tasses par terre.
— Marc ?! Ça va ? s’inquiète ma mère. Elle se précipite vers la cuisine.— Marc ? Qu’est-ce qui se passe ? — Je, heu, tu m’as surpris, j’ai lâché les tasses, ce n’est rien haha. — Pourquoi il y en a deux ? Emma n’est pas encore partie ?? — Heu, non, enfin si, si elle est partie, mais elle n’a pas bu sa tasse, elle était en retard.
Cachée derrière l’îlot de la cuisine, je suis en tachycardie. Pourquoi je me suis cachée ? Quelle idiote, si elle me voit on sera foutus. Oh non ma culotte ! Elle est où ?! Je lance un regard à Marc pour lui faire comprendre d’agir vite pour que ma mère sorte de la cuisine.
Il reprend :
— Au fait, tu tombes bien, j’avais besoin de ton aide. Tu sais pour le store dans la chambre.— Tu veux faire ça maintenant ? Tu ne peux pas attendre ?— Non viens s’il te plaît, c’est rapide ne t’inquiète pas.
Je les entends s’en aller. Je peux respirer de nouveau. Je me relève discrètement, m’assurant qu’ils ne peuvent plus me voir. Je récupère ma culotte dans le coin de la cuisine. Je chope mon sac à main et sors de la maison. Je retrouve peu à peu un rythme cardiaque normal. J’ai bien cru que j’allais mourir. Mon Dieu mais qu’est-ce qui m’a pris. Pendant que je marche en direction de mon arrêt de bus, les jambes encore tremblantes, je remets mes cheveux et ma robe en place. J’ai l’impression d’enfin vivre quand je suis avec lui, il me fait ressentir des choses que jamais je n’ai ressenties. Rien - ni personne - ne m’a jamais fait me sentir aussi sexy que lui.
En plein cours de biologie, mon téléphone vibre dans la poche de ma veste. Peu intéressée par ce que le prof raconte, je regarde ma nouvelle notification. Un message de Marc. Boum boum boum.
«J’adore le goût de tes lèvres, surtout celles du bas»
Ow. Le rouge monte directement à mes joues. Apparemment l’apparition surprise de maman ne l’a pas refroidi. Bien au contraire... S’il ne met pas de stop, je risque de ne plus réussir à arrêter de jouer. Il a réveillé quelque chose en moi que je ne connaissais même pas. J’abrite désormais un feu ardent. Un feu qui ne demande qu’à être constamment ravivé. Une petite voix me souffle à l’oreille que je n’en aurai peut-être jamais assez...
Ma tête posée contre la vitre du bus, je me laisse bercer par le trajet. Je pense à comment ma vie a radicalement changé depuis ces dernières semaines. Puis à ma mère qui aurait pu nous surprendre dans la matinée... Rien qu’à cette idée, mes yeux s’humidifient. Le désir peut-il être plus fort que tout ? J’ai beau vouloir m’éloigner de lui, chacune de mes pensées me ramène à lui.
Je descends du bus d’un pas peu assuré. Je prends une grande inspiration avant de me diriger vers ma maison. Tu peux le faire Emma, tu peux le faire.Une fois devant la porte d’entrée, je me sens tétanisée. La culpabilité, le manque, le désir, la peur, ce tourbillon de sentiment m’arrache tout courage à entrer de nouveau dans cette maison et à y affronter ses habitants.
« Ma chérie ça ne va pas ? Il s’est passé quelque chose à la fac ?
Je me retourne dans un sursaut. La présence de ma mère me fait vaciller, je fonds en larme dans ses bras.
— Emma, tu m’inquiètes, qu’est-ce qui se passe ? »
J’ai la gorge nouée, je n’arrive pas à prononcer le moindre mot. Je sens sa main me caresser le dos en signe de compassion. Ce geste m’anéantit. Le pire c’est que je ne pleure pas par regret de ce qu’il s’est passé... Mais de ce que je n’arriverai pas à empêcher...
La tension qui règne dans notre habitacle est lourde. Je tourne en rond dans ma chambre telle une lionne en cage. J’ai vraiment envie de goûter sa peau. Je le désire plus que tout. Je suis devenue une junkie, je vis pour la prochaine dose. Ne tenant plus en place, je décide d’agir. J’attrape mon portable et tape un message :
«J’ai terriblement envie de toi. L’offre expire à minuit. »

Comme à mon habitude, après manger, je file sous la douche. J’enfile un ensemble de lingerie à dentelle noire. J’applique sur mon corps une crème légèrement parfumée. Je me glisse dans mes draps de soie.
23h30. Toujours rien. Je commence à angoisser. Et s’il ne venait pas ? Peut-être qu’il ne veut pas coucher avec moi. Est-ce trop pour lui ?
Minuit. Bon au moins le message est clair, il ne veut pas aller plus loin. Rah ! Qu’est-ce que je peux être naïve !! Comment il voudrait coucher avec sa prétendue fille !
Soudain, j’entends des bruits de pas dans le couloir. Mon sang se glace. Je vois ma porte s’ouvrir lentement. Prise de panique, je me retourne, dos à lui, assise à genoux sur mon lit. Je l’entends s’approcher et monter sur le lit. Je le sens, tout près de moi. Le bruit de notre respiration remplit la pièce. Je n’ose pas me retourner, je ne suis pas sûre de pouvoir l’affronter.
Sa main vient se poser sur mon épaule et descend le long de mon bras. Un frisson me parcourt le corps au simple contact de ses doigts. Lentement, il dégrafe mon soutien-gorge et le laisse tomber sur le lit. Il continue de promener sa main sur mon corps et finit par caresser mes seins, toujours positionné derrière moi. Sa main continue son exploration et descend sur mon ventre à la lisière de ma culotte. Je sens son souffle contre ma nuque s’accélérer, preuve de son impatience. Mais malgré tout il prend le temps de passer ses doigts sur le dessus de mon tissu. Je me laisse aller à ses caresses avec délectation. Mon excitation augmente, et rester calme devient une véritable torture. J’agrippe sa main et la passe sous ma culotte. J’en veux davantage et plus fort. Il échappe un léger rire. Les hostilités sont annoncées. Il se met alors à toucher mon clitoris avec vigueur.
Après quelques minutes, je n’en peux plus. Je me retourne vivement. Avec des gestes frénétiques, je défais sa ceinture et j’ouvre son pantalon. Il m’aide à le descendre. Sa queue effleure ma chatte. J’ai fantasmé sur sa bite plus d’une fois et la réalité ne perd pas au change. Pas du tout même. Je le pousse sur le lit et monte sur lui. Je lui embrasse le cou avant de lui prendre sa lèvre inférieure avec mes dents. Je fais glisser ma langue le long de son corps pour enfin arriver à sa queue. Je la prends d’une main et la lèche de ses testicules à son gland. Je fais tournoyer ma langue sur son capuchon puis je la prends entièrement en bouche. Il lâche un râle profond qui me motive à intensifier mes va-et-vient. Je sens sa queue durcir dans ma bouche. Il a une main posée sur le sommet de ma tête et guide mes mouvements. Mes mains caressent ses couilles. Il gémit fort quand je les fais rouler dans mes paumes.
Il se redresse et échange nos positions. Mes yeux se sont habitués à l’obscurité et je peux maintenant y voir l’animal dans son regard.Le bruit rauque de nos respirations, la chaleur de ses baisers et l’idée de ce qui m’attend. Je veux qu’il me baise, j’en crève. Je ferme les yeux, en le glissant en moi. Je me cambre pour me coller contre lui, pour qu’il aille plus loin, toujours plus loin. Je n’ai jamais eu envie de dévorer un corps avec autant de rage que le sien. Je veux l’engloutir. Je ne suis jamais assez proche, jamais assez profondément baisée. Il pèse sur moi de tout son poids, je supplie sans pouvoir m’arrêter.
Je me fous de savoir où nous sommes, qui nous sommes, ce que nous éprouvons l’un pour l’autre. Je n’ai jamais vécu une telle alchimie avec personne. Quand nous sommes ensemble, plus rien n’a d’importance. Savoir que ma mère juste à côté pourrait nous surprendre rend la chose encore plus excitante.
Il sort de moi et me retourne brusquement. Mon dos se retrouve contre son torse. Il me pénètre une nouvelle fois. Les coups se font plus profonds et plus violents. Mon corps s’embrase un peu plus à chaque poussée. Mes doigts cherchent quelque chose pour s’accrocher, je veux crier, mais ne peux pas. C’est follement excitant.
Je sais que je suis en train de faire une connerie. Tout s’effondre autour de moi, et je m’en fous. Je veux qu’il pense à moi ce soir en se couchant. Je veux qu’il me sente en lui quand il ferme ses yeux et qu’il baise ma mère.
Il attrape mes cheveux et tire ma tête en arrière. Je le sens au bord de l’implosion. Mais c’est quand il crie mon nom que j’explose. La chaleur envahit ma colonne vertébrale, s’enroule dans mes hanches et entre mes jambes. Mes mains s’appuient contre la tête de lit, mon corps entier frémit, plein de l’orgasme qui me prend, me laissant le souffle coupé.

Je reviens lentement sur Terre. Mon beau-père a quitté ma chambre. Il a ravivé quelque chose en moi que j’avais perdu depuis bien trop longtemps. Désolée maman, mais c’est diaboliquement trop bon pour que je puisse m’arrêter là.

Inspirée d’une histoire vraie...
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