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emmanuelle

Chapitre 1

SM / Fétichisme
EmmanuelleintroductionPourquoi ?Parce que je suis convaincue d’avoir la capacité pour être une bonne chienne.J’aime être excitée. J’aime exciter.J’aime être troublée. J’aime contenter.Je ne peux m’empêcher de revenir vers le jeu.J’ai besoin d’aller toujours plus loin.Je ne peux plus me contrôler lorsque je commence à jouer.J’aimerais devenir le jouet d’un maître intelligent et sensible.Qui me comprenne et qui sache comment me faire plaisir et déplaisir.Qui sache maintenir l’équilibre fragile qui me donne envie d’arrêter et de revenir.Qui puisse m’humilier et m’honorer.Que je puisse satisfaire et rendre fière.Mon plus bel exemple ? Que ma vie devienne la sienne.Qu’il contrôle mon poids.Qu’il choisisse mes tenues.Qu’il définisse les règles.Qu’il me punisse si je ne le satisfais pas.Et si je devenais digne d’être sa soumise, je me sentirais heureuse d’arborer un corset de taille sous une robe légère en plein été aux yeux de tous et toutes.Je sais que je peux agacer.Que le chemin est long et que j’en ignore beaucoup de choses.Mais je sais une chose. Je peux être chienne parce que je suis déjà une salope.Et demain, peut-être, si mon maître le veut, une pute.
Emmanuelle, 29 ans :
Ce que je préfère— Le latex— La dilatation anale durant de longues périodes— Le travail des seins durant de longues périodes également— Le jeu permanent qui se poursuit en dehors des séances (régles, défis, tenues)Mes partenaires— Mon meilleur ami m’a fait découvrir la SM lorsque j’avais 20 ans— Cet ami m’a initiée deux ans plus tard— Deux amants ont essayé de me dominer dès lors que je leur ai avoué mes goûts— Je suis ma meilleure maîtresse pour le moment et la plus assidueCe que j’ai connu— Le jeu exploitable par les objets en ma possession— Le défi lié à la découverte de nouvelles limites (extérieur, à l’insu de mes amis)— La cire chaude sur les zones érogènes— La fessée— La position commandée par le maître— Le suivi régulier de mon physique— La nécessité d’acheter l’équipement nécessaire à mes désirs— La contrainte, l’immobilisation (sur chaise, table basse, au plafond)— La mise sous film plastique alimentaire— La honte (supplier d’être libérée, exhibition forcée, port de la laisse et du collier)— La salissure (uriner alors que j’étais emballée par un film alimentaire étanche et être laissée ainsi pendant de longues périodes)— Le contraste (changement d’attitude du maître, obligation d’avoir un comportement me rappelant ma condition de soumise : porte-jarretelles et bas sous une jupe trop courte, seins nus sous un chemisier transparent devant des personnes de ma connaissance, sortir avec un plug entre les fesses pour une soirée entre amis nue sous une robe, donner des cours particuliers à des élèves vêtue d’une robe décolletée quelques minutes après que mon partenaire ait éjaculé sur ma poitrine et m’ait commandé de l’étaler puis de le laisser sécher)
Ce que j’aimerais mieux connaître ou découvrir— Le bondage— La micro-électricité sur les zones érogènes— Ce que j’ignore…Ce que je ne veux pas connaître— La scatologie— La zoophilie— Toute expérience impliquant des choses définitivesHors jeu— J’aime la littérature, la musique, le cinéma— J’aime la natation, le tennis mais ne pratique pratiquement pas— J’aime séduire— J’aime que l’on pense à moi et que l’on s’occupe de moi— J’aime la lingerie— J’aime écrire …    Le parcours SM d’Emmanuelle est étonnant. Initiée à vingt ans, elle ne pratique pas vraiment jusqu’au jour où elle décide de jouer… de jouer très intensément. Un peu trop haut, un peu trop vite, elle décide d’arrêter. Mais vous savez comme moi que le SM est un délicieux poison. Quand elle veut jouer de nouveau, elle ne trouve plus de partenaire qui la motive. Alors, elle joue seule avant de rechercher son bonheur sur le net. Pour notre bonheur, Emmanuelle consigne tout dans un journal intime qu’elle nous livre sans pudeur …
Lundi 8 mars 2013Aujourd’hui, 3 objectifs à remplir pour plaire à mon maître : tout d’abord, ma tenue : privée de culotte et de soutien-gorge, je devais arborer fièrement une jupe en cuir accompagnée d’un pull gris clair en laine à col cheminée, chaussée de bottes à fermeture éclair qui s’arrête sous le genou. J’ajoute qu’exceptionnellement, j’ai mis du rouge à lèvre ce matin. je commence à être troublée par cette absence de culotte dont mon maître me prive depuis maintenant deux journées de travail, non pas que cela soit étrange en soit, mais peut être parce que ma peau fut au contact du cuir durant toute la journée. la privation de soutien-gorge est plus difficile, comme je l’expliquais à mon maître hier, le volume et le poids de mes mamelles font qu’en l’absence de ce soutien que j’aime pigeonnant, ma silhouette s’en trouve fortement affectée.Plus encore lorsque je suis entourée de personnes qui me côtoient au quotidien et qui sont à même de percevoir la différence.En me regardant ce matin dans la glace, je ne pouvais que méditer sur l’étroitesse du pull qui dessinait parfaitement mes seins dont la liberté ne pouvait faire aucun doute.J’ai néanmoins apprécié la caresse de la laine sur mes mamelons encore douloureux du traitement infligé par les pinces la nuit dernière, mamelons qui sont encore sensibles ce soir et qui portent les traces des pinces dentelées (petites marques sombres là où ont pénétré les dents).Précision : j’ai mis une bonne heure avant de me décider à ôter ma veste au bureau. ensuite, je devais écrire une lettre à un homme de la société pour satisfaire l’envie de mon maître de voir sa salope sucer une queue pour lui. J’ai choisi Gérard, informaticien au troisième, parce qu’il n’est pas encore bien implanté dans la boite. L’objectif : l’attirer dans un cinéma relativement désert, le rejoindre pendant la séance pour le sucer en lui glissant à l‘oreille « je suis la salope de serge, je le fais pour lui, laisse toi faire ». Il ne doit avoir aucune certitude quant à mon identité. j’ai préparé deux lettres, une phrase chacune. J’ai déposé la première a midi sur son bureau, dans une enveloppe avec la mention personnelle, et pour message : « j’ai très envie de vous connaître intimement » avec pour signature la marque de mes lèvres. l’autre est partie au courrier cet après-midi avec pour message « si une aventure vous lendemain vous intéresse, venez demain au restaurant d’entreprise avec un pull noir ».J’attends avec impatience mercredi pour voir sa réponse. J’avoue que ce projet me plaît beaucoup. Parce que je me sens manipulée comme un jouet, je deviens une chienne que l’on envoie chercher une branche d’arbre et qui doit la ramener. pour achever en beauté cette journée, je devais étrenner ce qui deviendra désormais une habitude quotidienne : aller uriner en cachette dans la cour du 87. j’étais terriblement anxieuse, je suis passée plusieurs fois devant la cour pour voir comment était disposée la cour. J’y suis retournée il y a un peu moins d’une heure, lorsque la nuit permettait une totale obscurité.J’avais le cœur qui battait en entendant mes bottes marteler le sol pavé de la cour malgré mon pas le plus lent. J’ai choisi de m’abriter dans l’angle de deux murs attenants à une haie, là, j’ai ouvert mon manteau, déboutonné ma jupe et l’ai baissée, me suis accroupie et ai attendu… Parce que je ne suis pas parvenue à faire pipi immédiatement, malgré une envie importante, j’étais tellement tendue que j’ai du essayer de siffloter pour que surgisse le jet, provoquant ce bruit caractéristique du liquide sur la terre. Je regardais les fenêtres, j’entendais les bruits, les cris d’enfants, le brouhaha des télévisions. Je me suis dépêchée de remettre ma jupe sans m’essuyer et suis rentrée chez nous pour écrire cette journée dans ce qui sera désormais mon journal.Mardi 9 mars 2013Deuxième jour de la semaine, deuxième journée au bureau. Aujourd’hui mon maître m’a donnée plus de confort quant à ma tenue, en m’imposant d’un côté ce qu’il retirait de l’autre : vêtue d’un jean accompagné de la veste assortie, on pourrait penser à un relâchement de ma part mais le chemisier porté dissipe très vite cette idée : en mousseline, gris foncé, transparent à souhait, j’ai vainement tenté durant la journée entière qu’il ne soit pas remarqué sous la veste. Comme il est impossible de conserver une veste en jean boutonné à l’intérieur par pure correction, je me résignai à afficher certains détails attractifs : mon nombril, visible aux yeux du monde, mais aussi et surtout, le soutien-gorge qui portait ma poitrine libre la veille encore. aujourd’hui, point de liberté mais la pression du satin blanc bordé de dentelle noire sur la partie supérieur du balconnet. Pression accessoire en temps normal, mais en cette période de jeu mordant, plus rien n’effleure mes seins sans raviver des souvenirs pinçants.Le plus gênant était sans doute lorsque j’oubliais ma tenue et que je me penchais normalement, ou bien lorsque ma veste s’ouvrait trop sur le monde. J’ai d’ailleurs une collègue de travail qui m’a fait remarqué que « je n’avais pas fait dans la discrétion ce matin ». En effet.Elle aurait pu dire que je n’avais pas fait dans la dentelle, puisque cette matière constitue le slip très échancré qui me protégeait du jean. Ce slip, ce bel effet, antithèse sensuelle de la partie supérieure, entièrement en dentelle noire, arborant fièrement un satin d’une blancheur immaculée sur le pubis, avant de s’évanouir entre mes fesses pour ressortir miraculeusement transformé en dentelle.Dentelle… le mot du jour ? impatiente de connaître l’attitude de Gérard, prévue pour demain, j’ai opté pour la sécurité, usant du même stratagème avec un garçon du 4ème étage afin d’anticiper un éventuel refus du premier. mon maître double ainsi ses chances de voir sa chienne prendre en bouche un sexe inconnu d’ici à quelques jours. J’espère qu’il appréciera mon initiative.délicate attention de mon maître, j’ai porté en moi des boules de geishas du matin jusqu’à ce soir, profitant de ma douche du soir pour me délivrer de cette présence.contrairement à vendredi dernier, je ne redoutais pas que ces boules glissent de mon sexe afin de rejoindre le sol, ce qui, je l’avoue, est une chose que j’apprécie dans le cadre professionnel.Mais, nouveauté pour moi, j’avais reçu ordre de retirer ces boules à chaque fois que je me rendrais aux toilettes, non par souci de confort, mais par volonté de me bouleverser.En effet, j’ai du mal à décrire ici ce que j’ai ressenti à parcourir de ma langue ces deux boules liées entre elles par un lien aussi humide et odorant que la liqueur dont elles étaient recouvertes. Une odeur pénétrante, un goût persistant, une discipline contraignante. Je n’avais jamais remarqué que je me rendais aussi souvent aux toilettes. Six fois, les toilettes de l’étage m’ont vu reproduire cet acte, cérémonial sacré qui me voyait nettoyé ce que mes chairs avaient souillé. Six fois, je me suis lavée les mains vigoureusement. Six fois, en retrouvant ma bouteille d’eau minérale, je me suis désaltérée devant mes collaboratrices étonnées par ma soif.Elles ne pouvaient pas imaginer que ma bouche était emplie d’une saveur qui m’est intime et, dont je ne croyais jamais me débarrasser. Comme cette odeur que je croyais déceler sur mes mains mais que j’imaginais la plupart du temps.Elles ne pouvaient pas non plus imaginer les vibrations qui agitaient mes chairs, ni ce filet humide et gluant qui se déversait inéluctablement à l’entrejambe, rendant ce slip particulièrement moite en fin de journée. Et quand plus aucune pilosité ne s’interpose entre le coton et votre peau, je puis vous assurer que vous ressentez parfaitement cette humidité.fatiguée de ces courtes nuits, j’ai profité d’une partie de ma pause déjeuner pour me reposer sur le canapé d’une des salles de réunion de l’étage. cela m’a fait un bien fou, j’ai sauté l’heure du repas et ai rejoint des collègues qui partaient faire du lèche-vitrine. J’ai eu l’occasion de voir une paire d’escarpins rouges, dotés de talons de 8 centimètres et de cette fameuse lanière à la cheville. J’ai craqué et ai acheté ces chaussures afin de m’habituer à porter des talons. Je commence par cette hauteur et je suis persuadée que je parviendrai à marcher avec mes chaussures de salope, celles aux talons de 12.comme hier, comme demain et désormais chaque soir, je devais aller rendre visite à la cour du 87 afin d’y déposer une partie de moi-même.
j’avais le pas un plus assuré qu’hier, ce qui ne m’a pas empêché de choisir le même endroit que la veille, dans un environnement néanmoins plus bruyant que la veille, notamment à cause de deux adolescents qui sont arrivés juste après moi et se sont mis à discuter en bas de l’immeuble, à vingt mètres de moi environ, mais, protégée par le mur, je me suis cachée. J’ai attendu cinq minutes, mais ils ne sont pas partis. Et comme je me retenais depuis un long moment (je ne m’étais pas soulagée depuis le départ du bureau, soit trois bonne heures avant), j’ai du me résigner à déboutonner mon jean et à baisser ma culotte malgré les risques encourus.Le plus difficile ne fut pas de faire abstraction de leur conversation et de leur présence, mais de me résigner une nouvelle fois à tirer sur la ficelle afin que les boules de geisha viennent se nicher dans ma main droite.En les léchant amoureusement pendant que mon physique décide de libérer (enfin) mon urine, je me suis imaginée être surprise, la culotte baissée, urinant dans cette cour, léchant ces boules : je n’ose imaginer mon humiliation et suis surprise par mon courage.Après avoir remis les choses à leur place, j’ai attendu encore cinq minutes pour voir si les garçons daignaient partir. Finalement, j’ai décidé de sortir de l’ombre et de quitter la cour malgré tout.Ils étaient plus près de moi que ne le croyais au début, sous le porche en fait, j’ai croisé leur regard, leur ai dit un « bonsoir » comme l’aurait fait une voisine et suis partie le ventre plein d’émotions.Mercredi 10 mars 2013Journée fatidique : celle de l’hypothétique signal. Le signal du jeu. D’un jeu dangereux. Je suis peut être influencée parce que ce soir, plutôt que de lire, j’ai allumé la télé afin de regarder un téléfilm dénommé « l’occasionnelle ». Une jeune femme qui se prostitue par contrainte financière.Etrange, je me suis sentie proche d’elle quand elle prend en bouche le sexe de son premier client.J’ai également beaucoup réfléchi lorsqu’elle retrouve un anonyme client en collègue de travail.la réponse : positive. Gérard portait effectivement un pull noir à midi. Cet après-midi, j’ai donc eu à consulter les horaires de cinéma afin de lui fixer rendez-vous samedi matin. La lettre est partie au courrier de seize heures et je pense qu’il l’aura au plus tard vendredi. American History X, 10H30, en plein Paris. étrangement, je n’ai rien ressenti en voyant ce pull noir. Comme si tout était déjà écrit. Lui ou un autre, peu importe, puisque je fais tout cela pour mon maître. En opposition, je réfléchis beaucoup à la manière dont je vais me préparer et me comporter. Puisque je suis incapable d’imaginer ce que je vais ressentir. Serge m’a rapidement dicté la marche à suivre pour la journée lors de notre dernière entrevue :jupe en cuir (la longue qui serre le fessier et les cuisses, très étroite aux genoux où elle s’arrête),pull avec un décolleté, j’ai choisi un pull en coton maillé blanc, avec une encolure en V,cette forme très échancré dévoile automatiquement une bretelle du soutien-gorge porté en dessous.Ce soutien-gorge noir était en cuir, un cuir rigide qui aiguisa la sensibilité de mes mamelons jusqu’à la fin de la matinée, moment où j’ai remarqué la dissipation de cette légère douleur consécutive au port répété des pinces. Je précise ici que je suis très fière hier d’avoir supporté mes pinces maudites pendant plus de six minutes alors que les deux nuits précédentes j’avais craqué après deux minutes seulement. Assortis à l’ensemble, je portais un slip et un porte-jarretelles en cuir accompagné de bas noirs qui réhaussaient le rouge de mes nouvelles chaussures.j’ai bien vite abandonné ces chaussures que j’ai troquées dans le métro pour d’autres souliers plus confortables. Sur le plan vestimentaire, je n’ai aucune observation particulière excepté l’abandon du soutien-gorge et du slip que mon maître avait ordonné dans l’après-midi, en même temps que je dus glisser entre mes cuisses les deux boules de geisha (les grosses) que j’avais cachées dans mon sac ce matin. J’avoue que je n’avais jamais porté celles-ci au bureau et que leur diamètre et leur poids sont inappropriés à une activité professionnelle.Egalement parce que je les sentais plus encore que leurs petites sœurs et inondait en conséquence autant mon entrejambe qu’à l’accoutumée. Lorsque je suis allée aux toilettes avant de partir, j’ai du les retirer afin de les nettoyer de ma langue, ce, qui, comme à l’accoutumée, me troubla beaucoup.au registre information, j’ai trouvé le miroir que désirait mon maître afin que je puisse admirer mes seins torturés par ses soins lors de nos dialogues.Je me suis rendue comme le veut désormais la tradition dans la cour de l’immeuble où chaque soir je satisfais un besoin naturel en pensant à mon maître. Je n’ai finalement pas changé d’endroit, mais le fis avec une certaine facilité qui m’a étonnée. Je commence à m’habituer je crois, même si ce soir les boules à lécher était plus grosses et plus difficiles à réinsérer en moi, même si la jupe en cuir est trop peu pratique pour être ôtée dans de pareilles conditions.Je n’ose imaginer le jour où mon maître me fera porter une robe. Ce sera peut être de nouveau un challenge difficile à réaliser pour moi.En rentrant, j’ai diné et me suis douchée en conservant les boules de geisha que je garderais en moi jusqu’à minuit avant de les ôter avec un soulagement certain.Jeudi 11 mars 2013Cette journée sera marquée par l’absence de mon maître. Ce soir, il ne pourra me pas me rejoindre sur internet. Je le regrette mais il ne m’a pas laissée inactive et sans ordre, autant pour aujourd’hui que pour demain.mon maître voulait que je sois vêtue « un peu pute » selon ses propres termes, aussi étais-je vêtue comme une pute aujourd’hui. Les souliers tout d’abord : je suis très fière d’être parvenue à porter mes souliers jusqu’à ce soir. Oui, cher journal, ces souliers aux talons hauts de huit centimètres. Leur couleur rouge n’est pas passée inaperçue, peut être ont-elles même été plus remarquées que les bas résilles noires qui ornaient mes jambes. Au sommet de celles-ci, un porte-jarretelle en dentelle avec une large taille élastiquée. Noir comme ma lingerie du jour, le soutien-gorge pigeonnant aux bonnets ornés d’une matière proche du velours et dotées de larges bretelles, le slip arborant fièrement cette similitude au pubis, les fesses recouvertes de dentelle. La jupe est cette vieille complice gris foncée aux reflets bleutés que j’affectionne tant. Légère, courte, plissée, je savais que la porter avec une pareille lingerie en-dessous ne saurait pas sans risque. Mais j’étais prête à en assumer l’excitation, rassurée par la sagesse du chemisier en soie noire qui ce jour ne dévoilerait rien de ma poitrine aux yeux du monde.je n’ai pas à me plaindre du choix de mon maître. Les regards des hommes se sont rivés sur moi particulièrement dans les transports en commun, là, où je ne garde pas mon manteau ouvert.Au bureau, la correction des collègues font que les regards sont plus discrets ou moins insistants. Je préfère que cela en soit ainsi d’ailleurs. La seule chose perturbante au bureau vint d’une collègue qui, alors que nous discutions alors que nous échangions quelques paroles en fin de journée installées dans de confortables fauteuils en cuir. En effet, fatiguée, habituée à ma tenue, faisant preuve de légèreté, ma copine a vu que je ne portais pas des collants, mais des bas, et que ce bas dévoilée se maintenait à ma jambe gauche grâce à des jarretelles.Pas de remarque désobligeante comme l’aurait fait un homme, non, juste un constat qu’elle n’aime pas ça au quotidien car juge cela trop contraignant. Je me suis fendue d’un « moi, j’aime bien » et ai changé de sujet. Je suis persuadée que mon maître aurait préféré que j’approfondisse ma réponse.Mais je n’en ai pas trouvé le courage. Une autre fois peut être.A noter qu’il faisait très doux aujourd’hui à Paris et que j’ai flâné sur le chemin du retour, manteau sous le bras, montrant aux passants l’agrément visuel de ma tenue, la jupe virevoltant au rythme de la marche, à l’unisson des balancements de mes hanches et de mon cul de putain.ce cul de salope, mon maître le désirait plein aujourd’hui. J’ai donc glissé entre mes fesse le plug en métal parfaitement lubrifié et suis sortie ainsi de l’appartement ce matin. Arrivée au bureau, je n’en pouvais déjà plus. Lourd, le plug asséché, me brûlant, les chairs me tirant, je me suis précipitée aux toilettes afin de me libérer comme mon maître me l’avait autorisé. Quand cela alla mieux, je le remis, soit une heure environ après l’avoir retiré. Cette fois-ci, je l’ai conservé deux heures : assise, il est moins contraignant. La journée s’est déroulée à ce rythme jusqu’à minuit : deux heures de plug, une heure de repos. Et j’ai adoré être obligée d’aller aussi souvent aux toilettes, caresser de ma langue le métal lorsqu’il n’était pas trop sale, mais aussi, ce sentiment étrange que j’éprouvais lorsque je sortais l’objet de mon sac pour le glisser entre mes fesses après avoir enduit mon anus et le métal de lubrifiant qui lui aussi trônait dans mon sac. Maintenant, je ressens comme un vide en moi sans cet objet. Même si mon petit trou me fait un peu mal.alerte rouge dans l’après-midi au bureau : je revenais des toilettes, le plug en moi, j’avais mis trop de lubrifiant parce que je commençais à ne plus supporter cette pénétration prolongée et répétée, lorsque lors d’un aller et retour entre mon plan de travail et celui de ma secrétaire le plug quitta mon orifice… fort heureusement, mon slip l’a recueilli provisoirement le temps que je pose mes fesses sur mon fauteuil. Ce qui fut très excitant, parce que très gênant, c’est de faire comme si de rien n’était, alors que ma main glissait sous ma jupe afin de remettre l’objet en place. Troublant de sentir le plug glisser en soi alors que deux personnes étrangères au jeu sont dans la même pièce. Je le referais.Comme chaque soir, je suis ressortie à la nuit tombée pour faire un petit pipi. Ce soir, j’ai changé d’endroit, il y a une autre zone parfaitement obscure dans cette cour où j’ai trouvé refuge, entre un mur et une voiture qui chaque soir est stationnée là. Je me suis glissée entre le mur et le coté passager du véhicule afin de m’accroupir. J’ai simplement baissé ma culotte avant de le faire.La jupe ample et courte, c’est très pratique pour se soulager à la sauvettej’ai été très excitée de changer d’emplacement, mais aussi de m’entendre uriner. Il n’y avait pas un bruit ce soir dans la cour de l’immeuble et j’entendais mon urine s’abattre sur les pavés parfaitement prédisposés à une sonorité plus plaisante que la terre où je faisais avant. Incident sans conséquence, le plug s’échappa de nouveau alors que je me relevais et remettais ma culotte. J’ai cru que tout le monde entendrait le bruit du métal contre la pierre. Mais c’est mon imagination qui amplifie toutes ces manifestations sonores. Néanmoins, j’ai détalé comme un lapin et suis rentrée me reposer avant d’écrire ces lignes en pensant beaucoup à Serge qui me manque déjà.Vendredi 12 mars 2013Après la pute, mon maître voulait une bécassine. Alors j’ai adapté mon look à sa volonté qui n’avait qu’un but, renforcer plus encore son emprise physique et le contraste imposé par son autre souhait : une double pénétration pour la journée entière.robe gris clair en tergal, affreuse comme mes dessous : de la vieille lingerie en coton, grise aussi que j’ai empruntée ce matin à Florence prétextant que je n’avais plus rien à me mettre sur le cul.résultat des courses : un look de veille fille prude renforcé par un chignon très strict. Un contraste saisissant avec mes tenues de la semaine que bon nombre de personnes avaient remarquées. Mais aussi, et c’était sans doute le plus agréable, des dessous trop étroits pour mon corps plus en forme que celui de colocataire : les seins comprimés par des bonnets pas assez profonds et des lèvres sans cesse taquinées par un coton ajusté au plus près de mon intimité.petites boules de geisha entre les fesses, gros modèles entre les cuisses, je n’ai pas tenu. A midi, je les ai retirées comme m’y avait autorisé Serge. J’ai hésité à les remettre en moi tant j’avais souffert de leur présence, m’obligeant à m’isoler régulièrement aux toilettes pour me soulager temporairement, pour faire le point sur mon esprit où des idées confuses s’entrechoquaient.Il faut que l’on arrête ces jeux de pénétration au bureau. Ils sont trop perturbants. Je me suis dis que je pouvais faire un effort pour la dernière fois, pour un vendredi après-midi qui serait forcément plus court que les autres jours de la semaine.Etrangement, hors du bureau, je me suis mise à aimer cette double présence : elle ne me gêne plus, elle me stimule parce que je m’autorise peut-être à être excitée. Je ne suis pas rentrée immédiatement chez moi, en profitant pour m’acheter une perruque rousse pour l’épreuve qui m’attend demain.une fois chez moi, j’ai essayé cette perruque : je pense qu’avec la pénombre du cinéma, personne ne pourra me reconnaître. J’en ai profité pour choisir la tenue que je porterais demain : préférant me mettre en condition immédiatement. Je porterais une culotte, un soutien-gorge et un porte-jarretelles en latex. Si je n’avais pas eu à me déplacer en plein jour, j’aurai opté pour la même matière en ce qui concerne les bas (j’adore avoir les jambes gainées de latex). Mais, puisque ce n’est pas le cas, je porterai des bas classiques de couleur noire. Au fond, demain, je serai habillée entièrement de noir. Ma jupe également, extrêmement courte, moulante à souhait, accompagnée de la veste assortie, sous laquelle j’ai préféré un chemisier en satin.Dans mon sac à main, le fourre-tout, je glisserai la perruque et mes chaussures de putain aux talons vertigineux. Je les mettrai juste avant de rejoindre la queue que je dois astiquer pour mon maître.je suis allée uriner dans la cour, je suis retournée entre le mur et la voiture. Rien de spécial, si ce n’est la contrainte de devoir me retrouver a moitié nue à cause de la robe… C’est surréaliste de se retrouver en soutien-gorge, dans une cour où je peux être surprise en position fort encombrante. Mais j’aime toujours autant cela, surtout sans ôter les boules qui me remplissait encore à cette heure.Puis, je suis rentrée chez moi et n’en suis plus ressortie.additif : après m’être douchée, j’ai du laver la culotte de Florence à la main, frottant et frottant pour enlever toute trace suspecte d’une journée très… humide.Samedi 13 mars 2013Une semaine après avoir été véritablement prise en main par Serge, je devais vivre une matinée très particulière que je n’oublierai sans doute jamais.je suis arrivée après le début de la projection. Quelques secondes auparavant, je sortais en rousse de toilettes où j’étais rentrée blonde : excitant changement aux conséquences inexistantes, puisqu’ aucun témoin en ces heures matinales. Je me suis assise près de l’entrée et ai observé. Il était bien là, avait suivi mes consignes et avait fait en sorte de ne pas avoir de voisin proches. Une quinzaine de têtes tout au plus dans cette salle de taille moyenne.J’ai attendu. J’ai hésité. J’ai quitté la salle. J’y suis retournée. J’avais chaud. Le latex me donnait une sensation d’oppression inhabituelle. Les fesses serrées, l’entrejambe moulée, les seins enveloppés par ce cocon moite et chaud, je troquai mes chaussures classiques pour celles de putain.J’ôtai mes lunettes et plongea dans le bain. Je rejoignis sa rangée et pris le premier siège de celle-ci. Je l’ai observé. Il regardait parfois autour de lui. Le film avait achevé son premier tiers. Un film grave inadapté au moment mais volontairement choisi pour sa relative obscurité et son public restreint.Je glissai de mon siège pour le rejoindre, pris le siège à sa gauche et me colla à son épaule.Aucune réaction, aucune parole. J’avais par instinct de protection immédiatement enfoui le visage contre son torse, afin de faire en sorte qu’il ne parvienne jamais à me reconnaître. En me protégeant de la main gauche, je suis allée murmurer à son oreille « je suis celle que tu attends, laisse toi faire » et, alors qu’il essayait de m’approcher pour me répondre, je me positionnai de manière à pouvoir libérer son sexe à l’aide de mes mains fébriles. Je tremblais presque. Je pensais à moi, à mon maître, à cette queue qu’il me fallait faire durcir et à ce qui m’attendait.Je me suis penchée et l’ai prise en bouche encore à moitié endormie, visiblement, lui aussi n’était pas très à l’aide dans cette situation. Taquinant la base de sa verge coincée entre le pouce et l’index, déposant mes lèvres telle une prison se refermant sur un corps en formation, l’attirant doucement avec moi en relevant quelque peu le menton, le principal arriva et son sexe devint une queue.Une queue plus imposante que la moyenne que je sentais gonfler en moi, repoussant ma langue, flattant mon palet qui, subitement, dans un sursaut caractéristique, vint buter au fond de ma gorge.Je sentis son avant-bras droit entourer ma tête, le poids de sa main s’écrasa au sommet de mon crâne et une pression se fit sentir, il m’encourageait à continuer : mes lèvres montaient et descendaient sur sa queue turgescente, ma langue dansait le mieux qu’elle pouvait sur la chair tendue, contrairement à lui, je n’aimais pas lorsque le gland s’écrasait au plus profond de moi.Maintenant, ma main ne s’occupait plus de son sexe mais des ses couilles que je percevais lourdes et imposantes. Lui, imposait à ma tête une pression de plus en plus vive, me privant parfois d’un air vital, plus encore lorsqu’il jouait avec son bassin comme pour baiser ma bouche.Quand il ne pressait plus ma tête, il caressait ma bouche, mes lèvres, il essayait de voir le profil de mon visage : je commençais à trouver la position inconfortable et j’espérais à chaque va et vient que ma bouche s’emplirait d’un gout nouveau, mais c’était trop tôt.J’avais bien senti sa main gauche caresser mon dos depuis un moment, mais cette fois-ci, il avait trouvé comment se glisser sous la veste, à l’arrière, mon chemisier était débraillé : il flattait ma chute de reins de sa chaleur, glissa sa main entre le latex et ma croupe mais s’arrêta net, troublé, stoppé par son éjaculation.J’avais la bouche pleine de son sperme, et, alors qu’il achevait de se vider en se masturbant, je me suis enfuie, débraillée, souillée par son jus.j’ai passé un long moment dans les toilettes situées juste derrière la porte. J’avais emmené de quoi me rincer la bouche. En regardant mon reflet dans le miroir en train de me débarrasser de sa saveur, je me suis vraiment pas sentie fière. L’endroit était froid. J’étais seule. J’ai marché. Je suis restée à Paris et vient de rentrer pour écrire ces lignes. Et en me l’écrivant, je ne suis toujours pas satisfaite de moi. Ce soir, je sors avec des amis. J’ai besoin de me changer les idées… pour mieux repartir ?Lundi 15 mars 2013
Nouvelle semaine, nouvelles habitudes : défis et tradition sont de rigueur.aujourd’hui fut une belle journée de mars : printanière. Mon maître avait prévu la tenue adéquate, claire, ma robe couleur crème, longue, serrant mes genoux, moulant mes cuisses et mon cul.Cette robe qui laissent les épaules nues, qui tient par deux fines bretelles et dont le corsage se ferme par un laçage adorable sur le devant. Parfaitement adaptée à l’absence de soutien-gorge puisque tout œil indiscret peut constater qu’aucune bretelle en dentelle ne se fait remarquer.En dessous, je portais un slip très échancré avec de la dentelle sur les hanches et son porte-jarretelles assorti, tous deux d’un très beau jaune pastel satiné.en m’habillant ce matin, je me suis regardée sous toutes les coutures pour voir si l’on remarquait la présence de cette lingerie sous ma robe. Seul un œil très aiguisé pouvait déceler la silhouette discrète des jarretelles qui maintenaient des bas blancs en parfaite harmonie avec les souliers coordonnés à la couleur de ma robe.
mon maître l’extrême bienveillance de prendre en compte ma demande : dorénavant, je ne serai plus pénétrée au travail que lors des périodes d’inactivité professionnelle. Ainsi, aujourd’hui, avant de partir déjeuner, je me suis rendue aux toilettes pour glisser en moi les boules de geisha cachées dans mon sac à main : doublement emplie, je suis allée déjeuner avec un responsable de service qui doit coordonner son action avec la mienne.j’ai particulièrement apprécié de ressortir des toilettes entièrement soumise à la présence vibrante des boules. Comme toujours, j’ai aimé les sentir monter et descendre en moi, tirer ou humidifier les chairs en fonction de leur emplacement, et, évidemment, adoré sentir cette moiteur se fixer à mon slip au fil des minutes. Je me suis libérée dans les toilettes du restaurant, avant de rentrer au bureau. Comme le veut mon maître, j’ai léché les boules, même celles qui avaient séjourné entre mes fesses mais qui ne présentait pas un aspect répugnant.J’ai aussi beaucoup aimé cette obligation de me dévêtir presque dans la totalité à cause de cette robe et j’ai, ainsi, souvent pu pensé à ce que cela donnerait le soir dans ma cour des miracles.suivant la volonté de mon maître, lors d’un passage aux toilettes en milieu d’après-midi, j’ai sorti mon rouge à lèvres et m’en suis servi afin d’inscrire sur le mur « je suis une salope ». Oui, le mur des toilettes du bureau. Une parmi d’autres. Mais au bureau malgré tout…j’étais troublée en sortant. C’est vrai que ce geste anonyme me marquait malgré tout. Me marquait positivement car cela m’excitait d’imaginer celle qui lirait cela et d’imaginer sa réaction. Peut être fut ce la jeune femme que j’ai croisé en sortant dans le couloir et qui se rendait à son tour aux toilettes ?ce soir, après avoir diné seule à la maison et avoir eu la confirmation de Frédérique pour le repas très spécial que m’a concocté Serge avec elle demain soir, je suis allée faire mon petit pipi.comme je l’avais imaginé à plusieurs reprises, je fus très excitée d’avoir la robe sur les chevilles pendant que j’urinais dans le noir, de nouveau entre le mur et la voiture qui avait repris sa place. Ce qui était particulièrement troublant, comme dimanche soir, c’était d’avoir la poitrine directement au contact avec l’air frais.J’ai par contre eu une frayeur puisque le propriétaire de la voiture est sorti alors que je finissais mes besoins, je n’ai eu que le temps de prendre mes jambes à mon cou, sans même avoir le temps, ni de m’essuyer, ni de remettre convenablement ma robe. Je me suis cachée derrière un muret, qui donne sur un petit jardin et une maison, mais je n’avais guère le choix pour me cacher et me rhabiller.Fort heureusement, toutes les lumières étaient éteintes dans la maison et il n’y avait probablement personne à l’intérieur. Je l’ai échappée belle.Mardi 16 mars 2013Une journée double, en deux temps : la journée et le soir.la journée s’est déroulée avec une robe longue et légère, ample, noire, semi transparente avec un slip sage mais très échancré, avec dentelles sur les hanches et les fesses à moitié couvertes par de la dentelle également. Le soutien-gorge était assorti au slip, tous deux de couleur noire. Rassure-toi cher journal, cette transparence permettait à qui le voulait de parfaitement distinguer jusqu’au détail de la dentelle ornant mes dessous affichés gratuitement à la vue de tous et toutes.
je n’étais guère gênée par cette transparence ou cette coquette lingerie car l’ensemble était sage et de bon goût. Je précise que lorsque je suis allée aux toilettes ce matin, j’ai choisi celle ou j’avais inscrit l’inscription la veille. Elle y était encore. J’ai souri.j’avais une sacoche avec moi ce matin : fermée à clef, elle renfermait la tenue que j’allais revêtir quelques heures plus tard, dans les toilettes publiques d’une grande avenue parisienne. Je suis donc rentrée dans ce lieu habillée sagement, légère, printanière et en suis ressortie habillée en soumise, la soumise de mon maître, affichant un look de putain. Jugez plutôt :chemisier blanc coton, cintré à la taille et décolleté largement ouvert, jupe noire mi-cuisses en cuir, bas résilles noirs, souliers rouges de huit centimètres, rouges comme mes lèvres aguicheuses.dès ma sortie et mes premiers pas, j’ai senti les regards s’affoler : il faisait beau, mon manteau ne me protégeait pas, je l’avais mis sur la sacoche que je tenais en bandoulière. J’affichais mon look, le chignon strict contrastant avec mon allure, mon attitude, celle qu’une pute arborerait pour attirer le client. Je me sentais bien. Je me sentais forte. Je marchais d’un pas alerte. Pourtant, je portais depuis mon passage aux toilettes un plug en latex de taille moyenne entre mes fesses.Peut-être était-ce l’effet enivrant du latex couvrant mes seins, mes fesses et ma taille qui me donnait cette énergie : soutien-gorge, slip à fermeture éclair, porte-jarretelles. Le latex me cernait et j’aime ça.A moins qu’il ne s’agissait du souvenir récent de me changer dans un lieu public, d’entendre le latex crisser en le plaçant sur ma peau. Ou tout simplement l’idée de revoir Frédérique en étant vêtue telle une putain de luxe.une demi-heure plus tard, j’étais chez Fred. Comme toujours, naturelle, fraiche et souriante. Moi, je venais d’un trajet en métro, plutôt encombré, la sueur commençait à ruisseler sous le latex, sentais mes seins se mouvoir dans un contexte moite et mes lèvres du bas caressées par une humidité qui n’avait rien à envier à la chaleur du métro.Comme toujours Fred se montrait imprévisible, et, plutôt que d’être prête, elle était en retard. Mieux, nous ne prenions plus un verre à l’extérieur avant d’aller dîner mais attendions deux amis à elle pour boire l’apéritif. « Ils dinent avec nous ? » demandai-je un peu énervée. « Non, ils doivent me passer un truc, je leur offre un verre et on file ».vêtue comme une pute, je me suis retrouvée en face de deux inconnus qui, dès que Fred tournait le dos, ne manquaient pas de regarder ailleurs que sur mon visage. Mais je n’en garde pas souvenir intense, parce que je réfléchissais déjà comment amener la discussion sur mes jeux de soumission. Assise sur un tabouret en bois particulièrement inconfortable, je peux assurer ici que la présence du plug dans ces conditions est vraiment de trop… Mais j’ai résisté à la tentation de l’enlever.finalement, nous sommes parvenues au restaurant. Plutôt intimiste, tranquille, du côté du parc Montsouris. Je connaissais l’endroit pour sa tranquillité. Fred me fit remarquer que j’avais été un peu sèche avec ses camarades. « Tu as des problèmes ? » me demanda-t-elle. « Moi ? non, tout va bien. Très bien même ». « Toi ? Toi très bien ? Ce n’est pas ton style pourtant… il n’y a pas un garçon là dessous ? » lança-t-elle certaine de son coup.« J’ai rencontré quelqu’un » entama notre conversation de nana. Je fis le parallèle entre vous et celui qui m’initia, que Fred connaît pour avoir été plus qu’un simple amant. « C’est sérieux alors » ; « Pour l’instant, tu sais, on se découvre, et puis c’est un peu spécial ». Elle m’interrogea. Je lui ai parlé du Québec, d’internet, que nous ne nous étions pas encore vus.« Mais pourquoi te plait-il alors ? » ; « Parce qu’il m’apporte autre chose » ; « Si t’es heureuse tout va bien mais quand on te regarde, on a plutôt l’impression que tu cherches un mec et non pas que tu en as trouvé un ». Bingo.« Je m’habille comme ça parce qu’il le veut ». Regard inquisiteur de Fred.« Tu ne recommences pas tes bêtises au moins ? » puis, quelques secondes de silence plus tard, « Oh et puis ça ne me regarde pas ».« Si, puisque tu en parles, ça a l’air de t’intéresser : qu’est-ce que tu reproches à mon look ? »« Ça fait pétasse » répliqua-t-elle.« J’aime ça ». Elle soupira.Je m’absentai. J’étais énervée. Lorsque je revins, je lui glissai doucement « tu peux remarquer que je n’ai plus de soutif’, oui tu vois, parce que je suis en plus une pétasse obéissante qui fait ce qu’on lui demande, et j’avais oublié de le faire ».« On change de sujet ? » glissa-t-elle.« Ça t’ennuie qu’on continue ? » ai-je répondu.« Si ça doit t’exciter à ce point la, oui je préfère. On va pas s’engueuler ! »« On s’engueule pas, on discute, et puis j’ai besoin de parler de tout ça, et que ça reste entre nous ».S’ensuivit une discussion assez libre, comme lorsque deux nanas parlent de sexe et de fringue, je lui parlais de ma tenue, de ce que j’éprouvais, elle voulut même voir le soutien-gorge que j’avais rangé dans mon sac à main. Elle le toucha sans le sortir. Il était encore humide. Je lui ai expliqué la raison. Puis la discussion cessa : le dîner nous était servi et nous partîmes sur d’autres sujets, comme deux filles qui ont terminé de jouer.j’ai apprécié cette petite joute verbale. Ce petit combat mis en scène. Cette insolence dont je me suis montrée capable par moment. Je regrette maintenant que je suis rentrée de ne pas lui avoir parlé du plug qui m’a irradiée de douleur pendant toute la soirée et que j’ai finalement expulsé sans être remarquée par le taxi qui me raccompagnait. Allant le chercher de ma main derrière le dos en luttant avec ma jupe et le latex du slip.Nous n’avons pas reparlé de tout ça de toute la soirée mais elle me fit une petite remarque avant de nous séparer : « Je suis rassurée parce que je vois que t’as l’air plutôt heureuse, mais sois prudente ».Je lui répondis simplement que j’étais une grande fille, un peu vicieuse, mais avec la tête vissée sur les épaules. Je l’ai embrassée sur la joue et suis partie, les cuisses et les fesses ruisselantes de sueur.Mercredi 17 mars 2013Je n’ai pas pu dialoguer avec Serge depuis dimanche soir, aussi, ne savais-je que faire aujourd’hui pour lui être agréable. J’ai improvisé.ma tenue tout d’abord : un tailleur bleu marine, veste courte, serrée à la taille, pantalon à pinces de style très classique. J’avais envie d’être belle par moi-même, mais aussi d’être confortable. Aussi ai-je opté pour un body en coton et dentelle, sage, de couleur saumon. Aucun décolleté grâce à une forme qui remonte sur le cou grâce à un col en dentelle. Sans manches, épaules et bras nus, ce body se ferme comme tous les body par des agrafes à l’entrejambe.toujours une délicieuse contrainte : dégrafer et ragrafer (ce qui est toujours casse-pieds) le body à chaque passage aux toilettes où mon inscription a été effacée.comme lundi, j’ai profité de la pause déjeuner pour me remplir, mais, seulement par les boules de petite taille, logées au creux de mon vagin.je suis revenue de déjeuner avec la sensation délicieuse d’un body trempé : j’étais très excitée par l’odeur que je dégageais ainsi humide. J’ai commencé à me caresser aux toilettes du bureau, mais j’ai du m’interrompre en raison d’une voisine de cabinet qui venait d’arriver.ce soir, je suis allée à la piscine. J’avais pris mon maillot avec moi ce matin et me suis changée : troquant mon body moulant pour un maillot de bain une pièce encore plus moulant. Lycra blanc, j’adore ce maillot pour son indiscrétion, en effet, comme je crois l’avoir déjà expliqué à mon maître, lorsque l’eau intègre la fibre, l’opacité de celle-ci se réduit considérablement. Ainsi, après le premier plongeon, lorsque je ressors, le lycra et le pubis se confondent, et, comme je suis parfaitement lisse, j’adore imaginer que quelqu’un s’apercevra qu’il « manque » quelque chose à cet endroit.j’aime beaucoup également voir la silhouette des mamelons se dessiner sous la blancheur grâce à leur teinte caractéristique. A noter une expérience volontairement tentée aujourd’hui : lorsque je me suis changée, j’ai réinséré en moi les boules de geisha avant de mettre mon maillot.Ainsi, j’ai nagé avec les boules en moi, ce qui est une sensation extrêmement agréable. Au sortir de la cabine, j’ai vérifié que la ficelle de ce jouet qui reste au dehors du vagin n’était pas décelable sous le lycra. Seul un œil avisé aurait pu le remarquer, si tenté que je lui ai ouvert en grand mes jambes sous le nez.au retour de la piscine, il commençait à faire nuit : je suis donc allée faire mon pipi du soir et c’est derrière le mur qui m’a protégée la dernière fois que j’ai œuvré. Après avoir vérifié qu’il n’y avait pas de bruit, de lumière ou d’ombre visible à l’intérieur et à l’extérieur de la maison, j’ai baissé pantalon et dégrafé mon body de manière à pouvoir faire jaillir le jet d’urine.
en rentrant, j’ai pris un bain bouillant malgré la douche de la piscine : plus pour me caresser que pour me laver… dans la baignoire, j’ai joué avec les boules de geishas, les utilisant pendant que je me caressais jusqu’à la jouissance.Vendredi 23 avril 2013J’avais perdu l’habitude d’obéir à Serge. Je suis heureuse que mon dressage ait repris il y a trois jours. J’ai repris l’habitude d’aller uriner dans ma cour habituelle et de m’habiller comme le souhait mon propriétaire. Aujourd’hui, mon maître me souhaitait salope parce que je lui avais fait part de mon accoutumance aux choses aisées. Ainsi, a-t-il décidé que je porterai une robe ultra-courte avec un décolleté. Cela désignait immédiatement ma robe rouge en coton, un peu épais, trop opaque, mais parfaitement moulante et courte : aussi courte qu’une mini-jupe avec une encolure en demi-cercle qui s’ouvre sur le haut de la poitrine.En me préparant ce matin, je me suis tout de suite plu : maquillage un peu plus prononcé qu’à l’accoutumée, notamment le rouge à lèvres, un parfum poivré des plus odorants, et surtout, la vue du soutien-gorge en latex noir autour de ma poitrine. Je glissai en moi les boules de geisha avant d’enfiler la robe. Des que je suis sortie de mon appartement, je me suis sentie plus excitée. Le cul à l’air libre à peine protégé par la remarquable longueur de la robe, les boules vibraient au rythme de mes pas. Il faisait un peu frais pour avoir les jambes nues, mais avec cette robe, impossible de porter des bas. Inconcevable aussi de croiser les jambes sous peine de dévoiler trop de choses.Je profitai de la prévoyance de Florence pour lui dérober quelques préservatifs, au cas où…Genoux serrés de rigueur pour la journée entière ! Cela m’a un peu gênée car je ne suis pas habituée mais je pense que je m’y ferai vite. Au bureau, j’ai senti beaucoup de regard se poser sur moi dès mon arrivée. Je suis allée ôter les boules d’entre mes cuisses aux toilettes, les ai léchées et rangées dans mon sac à main, au coté des pinces à seins emmenées pour le soir.En effet, en sortant du bureau, je devais aller me promener dans le quartier des putes. Saint Denis. Si la journée le quartier est assez neutre, je dois avouer que ma tenue ne me permettait pas de passer inaperçue. Peu m’importait. Depuis la sortie du bureau, les boules étaient de nouveau en moi et je sentais une moiteur m’envahir. Cette moiteur s’accentua au fil du temps. A cause des mouvements, de la gymnastique musculaire, mais aussi au plaisir de savoir que le fil de coton qui les unit jouait aux limites de ma robe. Dans les toilettes où je les ai remises en place, j’ai également ôté mon soutien-gorge le temps de placer les pinces les plus douces que je possède, les carrées à serrage progressif. Puis j’ai remis les bonnets en place. La pression exercée sur le téton enserré par le métal m’est apparue comme délicieuse. Et au fil des minutes, je ne m’en lassais pas.Mes talons de dix centimètres ont martelé les pavés de la zone piétonne de Saint Denis pendant vingt bonnes minutes avant que je n’aille me poser dans un café près des Halles. En terrasse bien sur afin que les hommes puissent mater mes cuisses non protégées par la robe. Au début du périple, je portais mon manteau, mais, rapidement grisée par l’excitation, je l’avais retiré. Là, il était posé sur la chaise à côté de moi. Le décolleté annonçait la couleur. Comme souvent dans la journée, le latex débordait un peu et se laissait deviner aisément pour un regard attentif à la limite du coton rouge. On ne pouvait d’ailleurs rêver meilleur contraste.
Deux jeunes hommes m’ont abordée en s’asseyant à la table voisine. L’un me plaisait. Il avait un air de jeune premier. L’autre, plus baraqué, un peu fort, ne m’intéressait pas. On a parlé. De tout et de rien. « Tu fais quoi ici ? » me demanda l’un, « Je me promène » répondis-je.Ils m’ont proposé de m’accompagner dans ma balade. Je n’ai pas refusé. Ils me prenaient pour une touriste et commencèrent à me montrer quelques endroits sympathiques mais que je connaissais par cœur. « Tu n’as pas rien d’autre à me montrer de plus excitant ? » lançai-je en plaisantant. « Moi si, et toi ? » dit le plus mignon, « J’aime les choses excitantes » répondis-je avec un aplomb étonnant.« T’es une pro ou quoi ? » dit le gros. « Non, mais ça n’empêche pas d’avoir des envies ». Sourire.Je mouillais comme une folle. Je sentais l’intérieur de mes cuisses se frotter l’une contre l’autre avec une aisance éblouissante. Là, le beau gosse m’embrassa en m’enserrant la taille de ses bras. Pas un baiser timide. Pas un premier baiser. Un vrai baiser. Langue contre langue. Frénétique.Il faisait encore jour. Je lui murmurai « Pas ici » et nous nous éclipsâmes vers un hôtel voisin après qu’il eut prévenu qu’il habitait à côté. « Je préfère l’hôtel » avais-je répondu. Son copain nous suivit jusque dans le hall. Il paya la chambre d’avance et nous montâmes au premier. Nous n’étions pas encore seuls. A la porte, je demandai jusqu’où il comptait aller comme ça. « Il vient avec nous » dit sèchement celui qui me plaisait. J’hésitai. Seule avec deux hommes. Inconnus de surcroit.J’ouvris la porte et m’engouffra dans la pièce en me rassurant : « nous sommes dans un hôtel, si ça se passe mal, j’appellerai ». Ils me suivirent. Gilles, le beau mec, n’attendit même pas que la porte soit refermée pour se jeter sur moi. « Accorde-moi deux minutes » lui dis-je avant qu’une main n’ait atteint mon sexe trempé.Dans la salle de bains, j’ôtais les boules de geisha sans enlever ma robe, debout, les cuisses un peu ouvertes, comme une vraie chienne dressée pour cet exercice. Ensuite, je glissai une main tour à tour à droite et à gauche de mon décolleté pour ôter les pinces en tirant dessus. Je gémis faiblement. Je pris même soin de réajuster ma robe avant de retourner dans la pièce glauque et crasseuse. Le copain s’était assis au pied du lit, Gilles, lui, m’attendait près de la porte. Dès ma sortie, il m’agrippa.Sa main plongea entre la robe et mes seins. Il était dans mon dos. Je tordais le cou pour l’embrasser tandis que sa main pétrissait mes seins à travers le latex. Puis soudain, sa main glacée pénétra entre la peau trempée et le latex tandis que je sentais ma robe être remontée sur mes hanches.Nous nous approchâmes du lit sans cesser ces jeux. Le copain acheva de remonter ma robe. La taille ceinte de la robe rouge, je sentis mon buste être libéré aussi du coton : Gilles dévoilait à son copain mon soutien gorge et mes seins gonflés de désir. Mais celui-ci était trop occupé à passer et repasser sa main sur ma chatte lisse et gluante.Gilles abandonnait ma bouche pour embrasser mon cou. Je sentais son sexe durcit caresser mon cul. Je ne pouvais pas oublier mon maître. « Encule-moi. Encule-moi doucement. Mais encule-moi » lui murmurais-je. « T’es vraiment une garce » dit-il.« Pendant ce temps la, tu vas me sucer salope » ajouta son copain qui s’allongeait sur le lit où je le rejoins à quatre pattes tandis que Gilles se présentait derrière moi après que j’eus glissé sur sa queue un préservatif glissé à la base de mon soutien gorge. Son copain se branlait quand je saisis son sexe pour le prendre en bouche.Je me sentais brulante d’envie. Investie d’un pouvoir énorme. Quand Gilles glissa entre mes fesses, j’eus un instant de paralysie. Je n’avais pas été prise par un mec depuis un bon moment. Dieu que c’est bon. Il n’avait pas eu besoin de s’y reprendre à plusieurs fois. Peut être parce que son sexe n’est pas énorme. Ou aussi parce que je suis déjà bien ouverte comme une soumise doit l’être.La queue de son copain était en revanche énorme et j’avais du mal à le sucer sans m’étouffer. Quand Gilles accéléra la cadence, cela devint carrément impossible et je cessa ma pipe pour me consacrer à mes gémissements et cris retenus.Son copain tira sur les bonnets de mon soutien gorge de manière à ce que mes seins soient extraits de leur niche, je les voyais rebondir au fil des assauts de Gilles. Je me sentais oppressée par le latex qui écrasait la base du sein sorti par-dessus le bonnet. Son copain me tripotait les seins si forts que je sentais une forme de douleur m’envahir. En fait, c’était la conjonction de tous ces éléments. Je relevais le buste, presque assise pendant que Gilles continuait de m’écarter le cul.Je le voyais bien préparer sa queue en y mettant une capote mais la sodomie commençait à me faire un tel effet que je n’y prêtais guère plus vite attention. Quand Gilles quitta mon cul, je me sentis bien, très bien… J’étais presque à l’orgasme quand il m’entraîna après s’être allongé sur le dos.Je le chevauchais, son préservatif était sale. Son visage rouge d’effort. « Encore » dis-je en menant moi-même son sexe entre mes cuisses.Enfin, après une si longue période de sagesse, un homme me prenait comme une femme. Le copain rentra de nouveau en jeu après s’être équipé de sa capote. « Avec moi tu vas crier salope » me dit-il. Avant que je n’ai le temps de lui dire non, il s’était collé à moi, prenant un sein dans chaque main, serrant si fort que j’aurais presque pu oublier que sa queue rentrait en moi.J’aurais pu. Si son sexe avait été moins gros. Il n’était pas long mais large et je sentis tout de suite la différence. J’étais prise par les deux amis sans que je n’ose rien dire. Qu’aurais-je pu faire de toute manière ? J’y prenais de toute façon beaucoup de plaisir. Lui grognait. Je ne voulais pas crier. Je me retenais comme si j’avais eu un baillon pour m’empêcher de m’exprimer. Il lâcha mes seins pour me tirer par les cheveux, il aimait alterner entre la vitesse et la lenteur tandis que Gilles se retenait en allant plutôt lentement.J’ai joui. J’ai joui tandis que Gilles et son copain me déchiraient. Comme une chienne. Gémissante. Comme une pute, j’ai attendu que Gilles ne s’arrête et que son copain ne veuille pénétrer entre mes cuisses pour reprendre mes esprits. « Pas maintenant, tout à l’heure » lui dis-je en haletant, de ma plus douce voix, juste avant de l’embrasser comme pour l’embobiner.Je pris son sexe recouvert de latex à l’intérieur de ma main pour le faire jouir quasiment immédiatement : la peau sale, je quittai le lit pour la salle de bains où je me suis habillée vite.Là, j’avais envie de ne pas être seule. D’être avec mon maître pour qu’il me permette de quitter.Là où je suis sortie de la salle de bains d’un pas décidé tandis que les mecs conversaient sur « la salope » qu’il venait de baiser. « Où tu vas », « J’ai eu ce que je voulais. Salut ! » leur répondis-je en partant. Je savais qu’ils ne me suivraient pas à moitié nus dans le couloir.Je suis rentrée chez moi. La bouche amère. Le petit trou dilaté. Les seins endoloris. Le teint rosi et le rouge à lèvres enlevé à la va-vite avec un kleenex en sortant de l’hôtel. La robe froissée et les talons aux pieds. Comme une vraie pute, ils ne m’ont pas quitté un instant pendant que je me faisais défoncer. En rentrant du métro, je suis passée par la cour où j’ai uriné avec cette petite sensation de brûlure que j’aime bien. La brûlure d’irritation. Celle qui rappelle comme j’ai été bien baisée.puis la douche, le repos et ce journal. En espérant bientôt lire mon maître.Dimanche 25 avril 2013Hier, j’ai fait des folies. Parce que je m’ennuyais un peu, parce que j’étais encore excitée de mon aventure de vendredi, je suis allée à la boutique pour acheter quelque chose dont j’avais envie depuis longtemps : un body en latex. J’ai vu Isabelle, la vendeuse, toujours aussi sympathique, bonne conseillère qui m’a convaincue de me laisser tenter.Ainsi, je suis ressortie de cet endroit avec trois achats.Le body est comme une robe qui se terminerait par un short. Il s’enfile comme un short d’ailleurs et se ferme sur le devant par une fermeture éclair apparente. Les bras sont nus ainsi, et je sais que mon maître aimera ce détail, mes seins. Ma poitrine est libre : chacune de mes mamelles se glisse dans un cercle prévu à cet effet, une ouverture qui épouse parfaitement la base du sein, qui se referme dessus comme un piège. Le sein légèrement pressé, je suis ainsi enfermée et libre. C’est un sentiment doux et étrange : mon sexe est pris au piège ainsi que mes fesses et l’intérieur de mes cuisses, mais pas ma poitrine qui est disponible pour… recevoir des pinces ? Je l’ai essayé à la boutique mais pas porté depuis même si l’envie est grande !J’ai également acheté une robe superbe, longue, au-dessous du genou, les manches longues mais ce qui m’a tout de suite fasciné, c’est qu’elle est coupée comme une robe normale : plutôt ample. Cela contribue à l’excitation : certaine partie du corps sont prises au piège, enserrées, moulées tandis qu’à d’autres endroits, le latex plisse avec une indécente liberté. On a envie de tirer dessus pour que ce qui plisse vienne là où l’on se sent outrageusement moulée. Je ne l’ai essayé que ce matin : je n’ai pas pu la garder longtemps car Florence ne s’est pas absentée longtemps mais c’est un redoutable piège à chaleur : moiteur et excitation garanties !Enfin, et c’est mon dernier achat, dès qu’Isabelle m’a montré cet ensemble, j’ai craqué : imaginez un tailleur classique mais en latex. Oui, une jupe plutôt courte (mi-cuisses) et une espèce de veste qui se ferme sur le devant par une fermeture éclair, le tout en latex. Et comme la veste est courte, une partie du ventre demeure visible ce qui est esthétiquement génial. Porter du latex et voir son nombril en même temps, c’est une sensation splendide.Résultat : une belle addition et quelques bombes de lustrant pour me faire belle quand le moment sera venu de porter ces tenues pour mon maître adoré.
Lundi 26 avril 2013
Aujourd’hui, inspirée par le latex, j’ai porté une culotte et un soutien-gorge sous mon tailleur strict imposé par une série de réunions. Pendant ces périodes qui n’en finissaient pas, j’ai plusieurs fois pensé à la moiteur de ma peau (surtout après s’être dépêchée dans les couloirs), à l’odeur laissée par cette matière sur ma peau (qui se dépose ensuite sur mes doigts lorsque je me rends aux toilettes) et au bruissement si caractéristique lorsque je replace le latex qui prend une mauvaise position ou à celui de la fermeture éclair de la culotte que je referme sur ma chatte de chienne.Je ne suis pas allée uriner dans ma cour ce week end, je l’avoue, et, comme pour me punir de ce laisser aller, me suis imposée de ressortir ce soir pour uriner en pleine rue cette fois.Mais avant cela, je vais envoyer à mon maître mon journal ainsi que les trois scans que je viens de faire : mes achats que j’ai pris dans le catalogue de la boutique pour qu’il voit bien ce que je suis prête à porter pour lui. Seul détail, le body de la photo est noir tandis que le mien est rouge.J’espère que cela lui plaira, d’autant que j’ai encore une mauvaise nouvelle, le rendez-vous pris avec Jérôme pour les photos ayant encore été annulé par ses soins. Remis à plus tard, je ne sais pas encore quand.Demain, j’ai envie de faire quelque chose pour mon maître, mais je ne sais pas encore quoi.Je viens de rentrer de ma balade. Finalement, j’y suis allée plus tôt que prévu. Je n’ai même pas attendu que la nuit soit tombée. Il faisait encore clair quand j’ai décidé d’y aller parce que je n’en pouvais plus d’attendre.Je suis sortie de l’appartement en tailleur avec mon manteau et, dans l’ascenseur, j’ai enlevé ma jupe pour perdre le moins de temps possible et l’ai mise dans mon sac à main. Le manteau bien fermé, je me suis éloignée de chez moi, et, deux rues plus loin, je me suis accroupie entre une camionnette et un camion de bâtiment.Là, j’ai ouvert mon slip en latex particulièrement moite après la journée sur moi, et me suis libérée d’un jet puissant, particulièrement bruyant lorsque l’on a peur d’être surprise. Je me suis pas essuyée, ai refermé la fermeture éclair en me contorsionnant comme d’habitude, et me suis éloignée en refermant le manteau, laissant derrière moi une marre de pisse dans laquelle mes talons ont baigné.Je suis rentrée sans remettre ma jupe. Otant mon manteau dans ma chambre après avoir croisé Flo qui s’étonne de plus en plus souvent de mes sorties injustifiées. Cela m’amuse. J’ai envie d’afficher mes goûts vis à vis de ma colocataire. Je me demande ce que mon maître en penserait.Mardi 27 avril 2013Je me suis enfin décidée à ne plus cacher mes vêtements préférés : en rentrant ce soir, j’ai rangé la penderie qui se trouve dans ma chambre. Maintenant, si Florence veut venir fouiner, elle aura de quoi s’interroger sur sa colocataire ! En effet, j’ai suspendu à des cintres mes dernières acquisitions en latex tandis que mes autres sous-vêtements sont rangés sur l’étagère que je leur ai dédiée.
Aujourd’hui, comme mon maître me l’a demandé, je me suis habillée en frou-frou : robe longue blanche, avec un jupon en dessous. Les épaules nues, les seins pigeonnants grâce à la forme de la robe et uniquement celle-ci avec des chaussures plates blanches aussi. J’ai remédié à un problème de ma garde-robe à midi en allant m’acheter des chaussures à talons allant avec ces tenues claires.J’ai opté pour des chaussures vernies avec des talons épais de douze centimètres que j’ai tout de suite gardés aux pieds. Je les ai malgré tout retirés avant de partir du bureau car elles me faisaient un peu mal. Je les ai néanmoins remises quand je suis ressortie vers neuf heures pour aller uriner dans ma cour à la nuit tombée. Avec tous ces frous-frous, ce n’était pas très simple, j’ai d’ailleurs sali ma robe sur la terre que je venais de tremper de mon urine de chienne.Durant toute la journée, je ne portais pas de culotte malgré la dentelle de ma robe : les mailles serrées et le jupon réduisaient vraiment la visibilité mais, néanmoins, un regard très attentif pouvait remarquer que mes fesses et mon pubis n’avaient aucune protection supplémentaire.Je porte encore en moins les boules de geisha que mon maître souhaitait me voir arborer. Je vais les conserver jusqu’au coucher : toute la journée, quand je n’étais pas en plein travail, ces boules m’ont habitée et se sont rappelées à mon souvenir en forçant mes chairs à se contracter et mon orifice de chienne à se lubrifier malgré moi.Ces boules, en les retirant au coucher, je les lécherai amoureusement comme je l’ai fait déjà six fois ce jour. Et cette fois, je garderai leur arôme en bouche pour toute la nuit.Mercredi 28 avril 2013Ce matin, je me suis réveillée tôt. Plus tôt qu’à mon habitude. Après m’être préparée, j’ai décidé de jouer à me faire peur et à m’exciter. Ainsi, ai-je enfilé mon body rouge en latex devant la grande glace qui trône dans ma chambre : l’entrejambe emprisonnée comme dans un short ultra-court, j’ai remonté la fermeture éclair jusqu’à la naissance de ma gorge après avoir placé mes seins comme il se doit. Les mamelles pendantes hors du latex, la matière comprimant légèrement leur base, j’ai aimé cette image que me renvoyait le miroir. Immédiatement, passionnément.J’étais fragile. Emprisonnée. Soulignée. Comprimée. Dévoilée. Exhibée. Troublée.Inconsciente, ou simplement obéissante, j’ai saisi une robe et l’ai arrachée du cintre où elle pendait. Une robe en coton maillé. Une robe légère. Moulante. Ajourée. Je l’ai revêtue. Je me suis examinée. Sous la robe, partout une couleur rouge dominait où le coton manquait. La maille indiscrète révélait non pas le vêtement mais la vérité : je portais quelque chose en-dessous. Quelque chose qui, et cela devait aiguiser l’attention des regards baladeurs, ne protégeait pas ma poitrine.Délicieuse sensation de m’exhiber sans rien montrer. La robe au ras du cou masquait tout. Sauf une opulente poitrine dont la blancheur tranchait avec le rouge brillant du latex lubrifié qui habillait le dessous de ma robe. Partout. Partout sauf ici et les cuisses.
J’ai pris mon manteau, mes affaires de piscine et suis sortie ainsi. Sans réveiller Florence endormie. Il faisait déjà clair. Suffisamment pour que je m’amuse à ne pas fermer le manteau noir sur ma robe. Assez pour que les mecs me matent quand je suis allée acheter des cigarettes au café. Regardaient-ils ma robe ou mes chaussures à talons de douze centimètres ?Satisfaite de ce premier test, j’ai poursuivi mon chemin jusqu’à la piscine. Après la marche, le bus, j’ai affronté le regard des nageurs ma
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